08/04/2020
Des Nazes...
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07/04/2020
La Chloroquine... une molécule que nous ne connaissons pas... qu'ils nous disent...
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Zéropa...
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Si bête...
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Remède et poison...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ce qui est un remède pour l'un peut être un poison pour l'autre. On ne peut arriver à une vie saine et accomplie par l'application de règles et de principes généraux, car c'est toujours à l'individu de l'assumer. La solution est en chacun, et si vous savez vous y prendre dans votre propre cas, vous savez aussi comment faire dans d'autres cas. Il n'existe pas de principe général qui s'applique partout, et chaque position psychologique n'est vraie que si vous pouvez aussi la retourner en son contraire. Ainsi une solution qui serait tout simplement impossible pour moi peut se révéler la plus juste pour quelqu'un d'autre. Je ne suis pas l'arbiter mundi, et je laisse le créateur engager lui-même la réflexion sur la diversité et les paradoxes de sa création. »
Carl Gustav Jung, Correspondance
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The Good Old Days...
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Les saints
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ce qui importe c’est de savoir ce qu’est exactement l’homme chrétien. Car il y a un type de l’homme chrétien, et ce type est consacré par l’Eglise elle même : c’est le saint. Les saints sont l’armée de l’Eglise. Juge-t-on la force d’un peuple sur la qualité de ses diplomates ? et bien les diplomates de l’Eglise ne valent pas grand-chose ; et précisément parce qu’ils sont médiocres, ils cèdent difficilement la place ; ils ressemblent à ces jongleurs maladroits qui recommencent vingt fois leur tour. Mais l’Eglise en arme, c’est l’Eglise debout et les saints au premier rang. »
Georges Bernanos, Lettre aux anglais
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Ah ! Avoir un cheval, et partir au galop...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ah ! avoir un cheval, et partir au galop, en chantant, peut-être vers quelqu’un que l’on aime, au coeur de toute la simplicité et de toute la paix du monde ; n’était-ce pas comme l’occasion offerte à l’homme par la vie même ? Évidemment non. Et, pourtant, une seconde, cela avait paru ainsi.
“Qu’est-ce que Goethe dit au sujet du cheval ? ” demanda-t-il.
“Las de la liberté, il accepta d’être sellé et bridé, et dut, pour sa peine, endurer jusqu’à la mort un cavalier.” »
Malcom Lowry, Au-dessous du volcan
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Attestation...
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ACH !!!
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06/04/2020
Lucie...
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Le long des peupliers impairs...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Le long des peupliers impairs
Combien de fois suis-je passé ?
Tous tes voisins me connaissaient,
Il n'y a que toi qui m'ignorais !
Et que de fois j'ai regardé
Vers ta fenêtre qui brillait !
Tout l'univers me comprenait,
Il n'y a que toi qui refusais.
Combien de fois ai-je espéré
Une réponse murmurée !
Un jour, un seul jour de ta vie,
Un jour de toi m'aurait suffi !
Être amis une heure, être amants,
Une heure, une heure seulement !
Te voir un instant me sourire,
Un seul instant et puis mourir !
D'un doux rayon de ton oeil clair
J'aurais su faire au firmament
Une étoile qui éclaire
La route à venir du temps.
Tu aurais eu vie éternelle
Et combien d’autres en plus d’elle !
Et quel beau marbre auraient donc fait
Tes bras si blancs, tes bras glacés !
Visage à jamais adoré,
Telles ces fées inégalées
Remontant jusqu’à nous
Des tréfonds du passé !
J’avais pour toi les yeux d’un chien
Car je t’aimais d’amour païen,
Du même amour que les miens
Avaient connu aux temps anciens.
Mais aujourd’hui peu m’importe
De ne plus voir souvent ta porte,
Ni de savoir que ton regard
Se retourne en vain pour me voir.
Car aujourd’hui tu ne m’attires
Ni par l’allure ni par le corps,
Je te regarde sans désir,
Pour toi mes yeux sont ceux d’un mort.
Tu aurais dû t’envelopper
De ton charme sacré
Et faire jaillir dans la nuit
Le feu de l’amour infini. »
Mihai Eminescu, "Le long des peupliers impairs..." in Poésies
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Madame Pichard
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05/04/2020
Annick de Souzenelle -- Ontologie, Discernement
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Ange gardien
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Quand mon âme, la nuit, veillait dans les extases,
Je voyais comme en rêve un ange gardien fier,
Vêtu d'un long manteau d'ombres et de lumière,
Ouvrir sur moi ses ailes et sourire comme un frère,
Mais dès que je te vis, dans ton vêtement clair,
Trop belle enfant drapée d'amour et de mystère,
Mon ange s'est enfui, vaincu par tes yeux verts,
Serais-tu donc démon pour qu'un seul regard vert,
Filtrant sous les longs cils de ton oeil grand ouvert
Ait pu faire s'enfuir mon bel ange si fier
Lui qui veillait sur moi, fidèle comme un frère ?
A moins que tu ne sois...! Veux-tu clore tes paupières
Et que je reconnaisse ton beau visage clair ?
Tu es lui, voilà tout le mystère. »
Mihai Eminescu, "Ange gardien" in Poésies
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