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18/11/2014

Thomas Beatie

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Les promesses de Dieu sont sans repentance

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« Il y a une relation supra-humaine d'Israël au monde comme de l'Eglise au monde. C'est seulement en considérant ces trois termes [Israël, Eglise, monde] qu'on peut, fût-ce énigmatiquement, se faire quelque idée du mystère d'Israël. Une sorte d'analogie renversée avec l'Eglise est ici, croyons-nous, l'unique fil conducteur (...) Aux yeux d'un chrétien qui se souvient que les promesses de Dieu sont sans repentance, Israël continue sa mission sacrée : mais dans la nuit du monde, qu'il a préféré à celle de Dieu. »

« Il y a beaucoup de Juifs qui préfèrent Dieu au monde, et bien des chrétiens qui préfèrent le monde à Dieu. Mais ce que je veux dire, c'est qu'Israël continue d'attendre dans la nuit du monde l'avènement de ce Messie dont le royaume n'est pas de ce monde, et qui est venu, et qu'il n'a pas reconnu. »

Jacques Maritain, Le mystère d'Israël et autres essais

 

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Power

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"Je fais ce que je veux" !

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« Je suis tout à fait conscient que la critique des mœurs est un exercice périlleux et rarement bien accueilli. Par un dévoiement du jugement qui est précisément une manifestation de "l’esprit de système", on ne veut voir dans la critique morale qu’une atteinte à la liberté de chacun de faire ce qu’il lui plaît. Ce qui aux yeux de beaucoup aujourd’hui, est un plus intolérable crime que de laisser assassiner son prochain.
Il n’est malheureusement pas facile de faire comprendre aux intéressés que la critique s’adresse en fait à ce qui est en eux non pas libre mais au contraire possédé, aliéné par le système, et que lorsqu’ils proclament fièrement "Je fais ce que je veux" ou qu’ils croient se justifier en disant "J’avais envie de", en réalité ils avouent qu’ils font exactement ce que le système veut ; ou, plus exactement, ce que la logique su système, qu’ils se sont incorporée, les pousse à vouloir parce que c’est ce dont le système a besoin pour fonctionner de manière optimale. Le sentiment de félicité personnelle fait partie des conditions de félicité de la reproduction tranquille de l’ordre social. »

Alain Accardo, De notre servitude involontaire

 

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Other people's money...

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Tirer son épingle du jeu

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« C’est sans doute un des effets pervers les plus remarquables du développement capitaliste que d’avoir engendré des classes moyennes dont les fractions les plus riches, les plus instruites et finalement les plus embourgeoisées ont inventé un mode d’existence sociale mi-carpe mi lapin qui pourrait être qualifié « d’adhésion critique », l’adhésion au système autorisant la critique et la critique renforçant l’adhésion. Cette attitude équivoque est à l’opposé de celle qui conviendrait à des adversaires déclarés de l’ordre établi. Elle ne peut être que celle d’une population déterminée à tirer son épingle du jeu, même si le jeu est truqué. Le petit-bourgeois peut à la rigueur admettre que le monde social qui l’entoure est exécrable. Mais il ne peut se résoudre à l’exécrer sans réserve ni remords. Le petit-embourgeoisement des classes moyennes a eu pour effet symbolique d’introduire l’euphémisme et la tiédeur partout. Le petit-bourgeois est médiocre et plat en tout, jusque dans ses répugnances et ses détestations. Il ne sait ni haïr ni aimer vraiment, parce qu’il aime tout, admet tout, pêle-mêle et sans discernement, pratique le mixage intellectuel et l’éclectisme moral et s’en fait une gloire, en se prenant lui-même pour un parangon de tolérance ou un champion de l’ouverture universelle. »

Alain Accardo, De notre servitude involontaire

 

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Je préfère la folie

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« Finalement je n'aime pas la sagesse. Elle imite trop la mort. Je préfère la folie - pas celle que l'on subit, mais celle avec laquelle on danse. »

Christian Bobin, Autoportrait au radiateur

 

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Europistan

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