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05/04/2019

Banlieue 1981 : c'était déjà la merde...

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Un inconditionnel des pétasses

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« Ô combien de fois ai-je arpenté ainsi cette longue artère du sang parfait, combien ai-je bien assisté à toutes les danses, avec les négresses qui ne racolent jamais, les jeunes éteintes, les bovines, les ovines, les porcines, les nitroglycérines ! Les ballonnées, celles qui ont beaucoup vécu, pas assez, les salopes fatiguées, les mépriseuses, les attachées de détresse, un vrai décor... Un jour, assez jeune, je n'y tenais plus, il a fallu que je goûte: une brune nue sous sa robe rose avec une peau d'éléphant... Quelle déception ! Vous montez l'escalier ça va encore, arrivé en haut, ça commence à flancher, dans la pièce vous êtes foutu, elle vous lave la pine, c'est fini. Rien de plus froid : on aurait dit une infirmière : elle m'a couché sur la serviette du matelas, elle m'a branlé, la tête ailleurs, comme une mayonnaise, avec interdiction de lui toucher les nibards... Très fonctionnaire, garde-malade, cuisinière presque. Une fois stable, elle vous exige une capote et vous introduit elle-même dans un vagin qui semble ne pas lui appartenir, sec et acide, immobile... Vous ahanez jusqu'à ce que sperme s'ensuive. C'est bien pitoyable... Quinze sacs pour me faire laver le bout ! C'est exagéré !

Pourtant, je suis comme Michel Simon un inconditionnel des pétasses. Ce sont mes fées. Tout ce qui peut rabaisser l'homme me plaît. Tout ce qui peut faire trembler d'un geste le plus grand crâneur m'enchante. J'aime chez les putes ce qu'elles doivent penser des hommes. »

Marc-Edouard Nabe, Au régal des vermines

 

 

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Le sommet de la Création

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« Il faut se souvenir que, pour le judaïsme, la matière n'est pas considérée comme inférieure ; dans une certaine mesure, elle constitue même, tout au contraire, le sommet de la Création. Elle est source d'émerveillement parce que, paradoxalement, son existence même semble occulter le divin ; c'est donc nécessairement lui qui a voulu la créer. On peut la comparer à une onde née de la rencontre de la révélation et de l'occultation ; c'est pourquoi, en dépit de sa finitude, la matière est le lieu de la plus grande concentration de la révélation de l'Infini dans le monde. Notre monde est le plus limité de tous les mondes. Cependant, pour subsister comme être séparé et indépendant, il faut nécessairement qu'une énergie infinie s'exerce sur chacune de ses particules. C'est bien pourquoi toute action qui oriente la matière en direction de la sainteté a une valeur bien plus grande qu'une action entreprise dans le monde de l'esprit. Du fait que tous les mondes se focalisent sur la matière, chaque geste, chaque mouvement qui s'y produit, si infime soit-il, a plus d'effet que les mouvements de la vie de l'esprit ou même des mondes supérieurs à l'esprit. C'est que la fonction de la Mitsvah, en s'efforçant d'informer le monde matériel, de le changer, de le tourner vers la sainteté, consiste à libérer d'immenses forces qui produisent des ondes de choc depuis notre monde jusqu'aux mondes supérieurs. Voila pourquoi la signification d'une action sainte qui s'exerce sur le monde matériel dépasse largement tout ce qui serait accompli dans le strict domaine de la pensée et de l'émotion. Ainsi s'explique que la Torah et les Mitsvot se référent essentiellement au monde matériel : il est le véritable secret de la Création, la concrétisation de la quintessence de l'idée divine. Aussi bien, toute modification, ou toute correction, du monde de la matière entraîne-t-elle des mutations sans fin dans l'ensemble des mondes. »

Adin Steinsaltz, La rose aux treize pétales

 

 

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Avant la bougie...

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