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21/04/2010

21 Avril

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Nous sommes le 21 Avril 2010. Souvenez-vous du 21 Avril 2002. Ce fut hilarant. D'un comique remarquable. Toute cette France qui a chié dans son froc, uniquement par principe, face à la Bêêête îîîmmonde qui s'en allait revenir pratiquer la ratonnade, pour sûr...

Allez lire l'article de Didier Goux... et ayez une pensée pour ce brave Lionel... il doit se faire chier depuis.

 

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04/04/2010

HRISTOS VOSKRESE

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Christ est ressuscité !

Il est vraiment ressuscité !

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25/03/2010

Mahomet, FN, même combat ?

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Le vieux a encore fait caca...

 

 

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24/03/2010

Patrie

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"Une patrie, ce sont des champs, des murs, des tours et des maisons; ce sont des autels et des tombeaux; ce sont des hommes vivants, père, mère et frères, des enfants qui jouent au jardin, des paysans qui font du blé, des jardiniers qui font des roses, des marchands, des artisans, des ouvriers, des soldats, il n'y a rien au monde de plus concret.

Le patriotisme n'est pas seulement un devoir. C'est un plaisir. "Pour ma part, disait Ulysse aux bons Phéniciens, je ne sais rien de plus agréable à l'homme que sa patrie." Il le disait d'un pauvre rocher sur la mer. Comment parlerons-nous de la nôtre? En est-il de plus belle, plus digne d'être défendue? Qui, un jour se penchant dans l'embrasure d'une haute colline ou vers quelque vallon ouvrant sur le fleuve et la mer, ne s'est pas arrêté, suspendu, presque sidéré par un chœur imprévu de couleurs et de formes demi-divines ?...

La patrie est une société naturelle ou, ce qui revient absolument au même, historique. Son caractère décisif est la naissance. On ne choisit pas plus sa patrie - la terre de ses pères - que l'on ne choisit son père et sa mère. On naît Français par le hasard de la naissance.

C'est avant tout un phénomène d'hérédité.

Les Français nous sont amis parce qu'ils sont Français; ils ne sont pas Français parce que nous les avons élus pour nos amis. Ces amis sont reçus de nous; ils nous sont donnés par la nature... Rien ne serait plus précieux que d'avoir des Français unis par des liens d'amitié. Mais, pour les avoir tels, il faut en prendre le moyen et ne pas se borner à des déclarations et à des inscriptions sur les murs.

Certes, il faut que la patrie se conduise justement. Mais ce n'est pas le problème de sa conduite, de son mouvement, de son action qui se pose quand il s'agit d'envisager ou de pratiquer le patriotisme; c'est la question de son être même, c'est le problème de sa vie ou de sa mort... Vous remercierez et vous honorerez vos père et mère parce qu'ils sont vos père et mère, indépendamment de leur titre personnel à votre sympathie. Vous respecterez et vous honorerez la patrie parce qu'elle est elle, et que vous êtes vous, indépendamment des satisfactions qu'elle peut donner à votre esprit de justice ou à votre amour de la gloire. Votre père peut être envoyé au bagne : vous l'honorerez. Votre patrie peut commettre de grandes fautes : vous commencerez par la défendre, par la tenir en sécurité et en liberté.

Le patriotisme n'a pas besoin d'un idéal, socialiste ou royaliste, pour s'enflammer; car il naît de lui-même, du sang et du sol paternels. Ce qu'il faut saluer, c'est le suprême sacrifice de la vie fait sur le sol qu'il s'est agi de défendre. Ce sol sacré serait moins grand, moins cher, moins glorieux, moins noble et moins beau si les Français de toute origine et de toute obédience n'y payaient pas en toute occasion nécessaire la juste dette de leur sang.

Plus haut que l'armée et que le drapeau, plus haut que la plus fière conscience de la patrie, vit la patrie même, avec les saintes lois du salut public. Ce sont elles qui font consentir à de durs sacrifices pour défendre l'intégrité du reste et préserver son avenir. Qu'elle vive d'abord !"

Charles Maurras

 

 

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23/03/2010

SOS-Racisme... SOS-Baleines

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"Toute société doit se désigner un ennemi, mais elle ne doit pas vouloir l’exterminer. Ce fut l’erreur fatale du fascisme et de la Terreur, mais c’est celle aussi de la terreur douce et démocratique, qui est en train d’éliminer l’Autre encore plus sûrement que par l’holocauste. L’opération qui consistait à hypostasier une race et à la perpétuer par reproduction interne que nous stigmatisons comme abjection raciste, est en train de se réaliser au niveau des individus au nom même des droits de l’homme à contrôler son propre processus génétiquement et sous toute ses formes.
SOS-Racisme. SOS-baleines. Ambiguïté : dans un cas, c’est pour dénoncer le racisme, dans l’autre, c’est pour sauver les baleines. Et si dans le premier cas, c’était aussi un appel subliminal à sauver le racisme, et donc l’enjeu de la lutte anti-raciste comme dernier vestige des passions politiques, et donc une espèce virtuellement condamnée."

Jean Baudrillard, Cool Memories

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21/02/2010

Séparé de toute part par son incompréhensibilité comme par une ténèbre

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"Ayant laissé toutes les apparences, non seulement ce que perçoivent les sens, mais ce que l’intelligence croit voir, il tend toujours plus vers l’intérieur, jusqu’à ce qu’il pénètre, par l’effort de l’esprit, jusqu’à l’invisible et à l’inconnaissable et que là il voie Dieu. C’est en cela que consiste la vraie connaissance de celui qu’il cherche et sa vraie vision, dans le fait de ne pas voir, parce que celui qu’il cherche transcende toute connaissance, séparé de toute part par son incompréhensibilité comme par une ténèbre."
Saint Grégoire de Nysse, La Vie de Moïse

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19/02/2010

Liquider les peuples

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« Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite, le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. »

Milan Hübl, historien et porte-parole des intellectuels et acteur de premier ordre lors du Printemps de Prague.

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12/02/2010

Jens Orback

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"Nous devons être ouverts et tolérants envers l'Islam et les Musulmans car quand nous serons une minorité ils le seront en retour envers nous."
Jens Orback, ancien ministre suédois, social-démocrate.

 


Petite crapule de la Gôche suédoise

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09/02/2010

Je suis vivant, c’est pourquoi je souffre

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Je suis un homme qui, comme le Christ, écoute les commandements de Dieu.

Je suis un homme bondissant, et pas un homme assis.

Je suis heureux, car je suis amour.

Je suis un cadeau.

Je suis la faim.

Je suis un homme avec des fautes.

Je suis une transe d’amour.

Je suis moi-même un poème.

Je suis un fou qui a de la raison.

Je suis un tremblement de terre.

Je suis resté triste longtemps, car j’ai traversé la forêt.

Je suis malade de l’âme, et pas de l’esprit.

Je suis pauvre. Je suis misérable. Je suis malheureux. Je suis affreux.

Je suis un homme fort, et pas faible.

Je suis ce Dieu qui meurt si on ne l'aime pas.

Je suis un homme, et pas une bête.

Je suis tout le globe terrestre. Je suis la terre.

Je suis l’amour, et pas la férocité.

Je suis un chercheur, car je sens Dieu.

Je suis vivant, c’est pourquoi je souffre.

Je suis la nature.

Je suis le cœur de Dieu.

Je suis une colombe.

Je suis un enfant.

Je suis l’esprit dans le corps.

Nijinsky

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07/02/2010

L'Homme Docile

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"Je pense depuis longtemps que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l'indignation qu'éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu'elle s'attire... mais la docilité, l'absence de responsabilité de l'homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu'il y a de plus en plus d'hommes obéissants et dociles."

Georges Bernanos


Le Dr Fritz Klein, un ancien médecin du camp qui menait des expériences médicales sur les détenus, se tient au milieu des cadavres dans un charnier. Bergen-Belsen, Allemagne, après le 15 avril 1945.

Source Photo

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05/02/2010

La réaction n’est séduisante que dans l’anarchisme aristocratique

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« Cette race bénie des sceptiques, qui ne croient ni au progrès, ni à l’action, ni au sens de l’histoire, ni à aucune des chimères dont s’enivrent nos contemporains. La réaction n’est séduisante que dans l’anarchisme aristocratique ; lorsqu’elle se pique de réorganiser la société, elle devient aussi ennuyeuse que la gauche, et tombe dans les mêmes ornières. »

Gabriel Matzneff, L’archange aux pieds fourchus - 1983

« Le catholicisme semble avoir irrémédiablement réduit la sublime folie de l’Incarnation, de l’Esprit qui se fait chair, à un catalogue de quéquettes interdites (…) Plus que jamais, j’ai conscience que seule une bonne théologie de la liberté, c’est-à-dire une bonne théologie du Saint-Esprit, pourrait délivrer l’Église romaine de la tentation moralisatrice, de l’obsession sexuelle. » (27 juillet 2008)

« Les intellos franchouillards y vont eux aussi très fort : les ‘droits de l’homme’, c’est leur spécialité. Hier c’était au gouvernement russe qu’ils expliquaient doctement ce qu’il convenait de faire. Aujourd’hui, Jeux olympiques obligent, c’est au gouvernement chinois. Le grotesque de ces perpétuels donneurs de leçons (droite libérale et gauche caviar confondues) me fortifie dans la satisfaction de n’être pas un Français pur sucre, dans le bonheur d’être un métèque. Né et grandi en France, c’est sans nul doute à mon sang russe que je dois d’être immunisé contre cette maladie française de la vanité, de la suffisance, de la ridicule prétention à morigéner les autres nations » (8 août 2008)

Gabriel Matzneff, Carnets noirs 2007-2008

 

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04/02/2010

E. M. CIORAN

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"Je suis un Sahara rongé de voluptés, un sarcophage de roses." (Le crépuscule des pensées)

"S’il me fallait renoncer à mon dilettantisme, c'est dans le hurlement que je me spécialiserais." (Syllogismes de l’amertume)

"Deux voies s’ouvrent à l’homme et à la femme : la férocité ou l’indifférence. Tout nous indique qu’ils prendront la seconde voie, qu’il n’y a aura entre eux ni explication ni rupture, mais qu’ils continueront à s’éloigner l’un de l’autre, que la pédérastie et l’onanisme, proposés par les écoles et les temples, gagneront les foules, qu’un tas de vices abolis seront remis en vigueur, et que des procédés scientifiques suppléeront au rendement du spasme et à la malédiction du couple." (Syllogismes de l’amertume)

 

"Pendant des siècles, des esprits se sont battus et ont risqué leur vie pour se libérer de Dieu. Et nous, au milieu du XXe siècle, nous regrettons les chaînes qu'Il représentait et ne savons que faire d'une liberté pour laquelle nous n'avons fait aucun sacrifice, que nous n'avons pas conquise. Nous sommes les héritiers ingrats de l'athéisme héroïque, les épigones de la révolte, une masse de rebelles qui déplorent secrètement la disparition des "superstitions", des "préjugés" et des anciennes "terreurs"." (Carnets 1957-1972)

"La civilisation, avec tout son appareil, se fonde sur notre propension à l’irréel et à l’inutile. Consentirions-nous à réduire nos besoins, à ne satisfaire que les nécessaires, elle s’écroulerait sur l’heure. Aussi, pour durer, s’astreint-elle à nous en créer toujours de nouveaux, à les multiplier sans trêve, car la pratique généralisée de l’ataraxie entraînerait pour elle des conséquences bien plus graves qu’une guerre de destruction totale." (La chute dans le temps)

"Le souci du système et de l’unité n’a été ni ne sera jamais le lot de ceux qui écrivent aux moments d’inspiration, où la pensée est une expression organique obéissant aux caprices des nerfs. Une parfaite unité, la recherche d’un système cohérent indiquent une vie personnelle pauvre en ressources, une vie schématique et fade d’où sont absents la contradiction, la gratuité, le paradoxe. Seules les contradictions essentielles et les antinomies intérieures témoignent d’une vie spirituelle féconde, car seules elles fournissent au flux et à l’abondance internes une possibilité d’accomplissement. [...] Tout produit exclusif de l’acharnement et du travail est dépourvu de valeur, comme tout produit exclusif de l’intelligence est stérile et inintéressant." (Sur les cimes du désespoir)

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29/01/2010

Ach ! La Race des Seigneurs...

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Leni Riefenstahl et un guerrier Nouba

"À peine arrivons-nous dans une colonie que nous y construisons des jardins et des hôpitaux pour les indigènes. Cela me met en rage ! La femme blanche est dégradée au service des Noirs, et la prêtraille s'y ajoute avec sa fabrication des anges. Toutes ces cajoleries aboutissent à faire détester les Allemands. C'est un comble ! Pour les indigènes, c'est une brimade. Ils ne comprennent pas. Le remerciement, c'est qu'ils nous considèrent comme des pédants qui ont plaisir à manier la matraque."

Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 19 février 1942, p. 197


Leni Riefenstahl et un guerrier Nouba

Sacrée Leni, sacré Adolf, malgré votre collaboration, vous n'étiez pas faits pour vous comprendre...

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28/01/2010

Smile

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"Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l'apparence de la solidité à ce qui n'est que vent."

George Orwell

 

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27/01/2010

Dieu connaissait la chanson par cœur...

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« En Californie, il y avait de vieilles femmes avec un drôle de regard convaincues que la fin du monde était pour bientôt, ou encore que des hommes de l’espace n’allaient pas tarder à atterrir pour le Jugement dernier. On avait le choix entre les Vénusiens, les Martiens, Jésus-Christ, quand ce n’étaient pas des gens avec douze bras, des Indiens à la peau bleue. Sodome et Gomorrhe avaient été détruites par une bombe atomique larguée d’une fusée.
Jamie entendit le faible ronflement de la plus petite des deux sœurs, qui était censée prier. Dieu connaissait la chanson par cœur et ne prit même pas la peine de la réveiller. Surgie de nulle part, la rose aux couleurs vives était réapparue et elle l’étranglait à deux mains dans son sommeil. »

Denis Johnson La Débâcle des anges

 

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23/01/2010

Le vieux a encore fait caca...

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Le vieux, comme dit l'ami XP, a encore fait caca...

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21/01/2010

Fascisme IV

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"Fasciste ! Que cette insulte est douce à mes oreilles affûtées par la musique des écrivais maudits !... J’ai suffisamment étudié cette épithète pour en assumer les conséquences. Dans notre époque fascistissime, tout ce qui n’est pas fascistement dans la ligne postgauchiste est taxé de fascisme : logique."

Marc-Edouard Nabe - Nabe’s dream

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20/01/2010

Fascisme III

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"Le fascisme théorique a été écrasé en Europe mais la politique et l'économie mondiales sont sorties facsisées de cet écrasement."

Raymond Abellio - Assomption de l'Europe

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18/01/2010

Fascisme

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"Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle antifascisme."

"Il n’y a pas de pire conformisme que celui de gauche, surtout, naturellement, quand c’est adopté par la droite."

Pier Paolo Pasolini

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16/01/2010

Nous faisons Dieu

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"Je sais que sans moi Dieu ne peut vivre un instant, suis-je réduit à rien, il doit rendre l'esprit."

Angelus Silésius

Voyez aussi, impérativement, ceci : Angelus Silesius par Marcel Brion...

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15/01/2010

Je te pète la rondelle... puis tu vas te faire exploser...

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Les islamistes, on le sait à présent, sont des malades gens plein de bonté. Leur dernière trouvaille, pour pousser leurs "kamikazes" au suicide serein : les violer préalablement (qu'ils soient femmes ou hommes) pour, les ayant humiliés et déshonorés, les pousser au désespoir jusque dans l'acceptation de la mort. Il suffisait d'y penser.

Voyez ici...


La vie est merveilleuse...

Je me doutais bien que les barbus avaient l'esprit fortement perturbé sur le plan sexuel...

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13/01/2010

Mirage

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"La magie croit aux transformations immédiates par la vertu des formules, exactement comme le Socialisme."
Gustave Flaubert

 

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10/01/2010

Kung Fu arabe...

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« Dans 10 ans, on sera entouré de Chinois, alors il faudra que l’on se serre les coudes, les Français, les Arabes et les Africains, afin de protéger notre identité. »

J'ai beaucoup rigolé quand je suis tombé là-dessus. C'est Azouz Begag qui parle. No Comment. En attendant les chinois sont déjà partout en Afrique et au Maghreb. Pauvre Azouz, mais tais-toi donc.

Source, LE TEMPS

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09/01/2010

"Forcer l'Adversaire à manger sa soupe avec son couteau."

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Entretien de Philippe Sollers dans "Études", revue fondée en 1856 par des Pères de la Compagnie de Jésus.

Extrait...

- La métaphore de la guerre traverse toute votre oeuvre. Elle est présente dans vos titres, La Guerre du goût, Guerres secrètes, vos thèmes, la guerre des sexes, la stratégie chinoise… Sollers serait-il en guerre ? Et contre quoi ?

- Je suis en guerre contre tout, famille, société… C’est pour cela que j’ai aussi intitulé mon film sur Guy Debord Une étrange guerre. Debord est l’exemple d’un grand général qui a perdu sa guerre. Il a gagné son échec. C’est énorme ! Mais nous ne sommes pas là pour perdre la guerre que nous menons, il faut la gagner. Et gagner la guerre, cela consiste à faire plusieurs choses à la fois, à avoir des identités multiples, à mener le combat contre l’Adversaire, le diable si vous voulez… Le combat est spirituel : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Qu’est-ce que le combat spirituel ? Combien de divisions ? Il faut être un peu éveillé sur les questions de stratégie… Les guerres m’intéressent beaucoup, notamment les deux dernières guerres mondiales, mais aussi l’état dans lequel nous nous trouvons, c’est-à-dire la guerre permanente.

Rimbaud a raison, la guerre spirituelle est extrêmement brutale. C’est un exercice où le système nerveux est convoqué tout entier et qui demande beaucoup de rationalité. Il faut étudier ce qu’est la défensive. Les meilleurs stratèges de guerre sont indubitablement grecs et chinois. Dans Guerres secrètes, je m’intéresse à la figure guerrière d’Ulysse. Je m’interroge sur le sens de sa guerre solitaire, contre un dieu, Poséidon ; et pourquoi il est aidé par une déesse, Athéna. Je trouve que les déesses manquent de nos jours… Les rapports d’Ulysse avec les femmes sont très passionnants, à commencer par Hélène, dont personne n’a déchiffré le rapport très étroit qu’elle entretenait avec Ulysse. Homère est bien sûr très pudique à ce sujet, mais enfin, nous comprenons. Calypso, Circé, Nausicaa, Athéna, il y a du monde au féminin dans cette affaire… Et puis il y a la grande pensée chinoise de la guerre, qui n’est d’ailleurs jamais distincte des autres activités : la médecine, l’amour. La guerre est partout, alors que, occidentalement parlant, la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens (Clausewitz). En Chine, la guerre est la continuation de la nature par d’autres moyens. Mao a été un grand criminel, soit, mais aussi un remarquable stratège dans la plus pure tradition chinoise. La métaphysique et la guerre, c’est pareil, lisez Sunzi. Dans nos vies, nous comprenons, dès l’enfance, que si nous voulons être libres, nous sommes en guerre, plus ou moins. Dans la plupart des cas, les enfants sont tout de suite ravagés par des parents infernaux, des mères dévastatrices… J’ai écrit comment j’ai vécu, en créant des possibilités de prendre la tangente…

 

- Le combat n’est jamais frontal ?

- Jamais d’affrontements ! Regardez les Américains en Iraq, ils se trompent ! C’était la même chose au Viêt-nam, et ils recommencent la même erreur ! Le modèle neuf, c’est la guérilla, ce n’est pas la guerre au sens de choc frontal, de la concentration de gros moyens. Il faut lire Penser la guerre de Raymond Aron : Staline et Hitler étaient mauvais comme stratèges ; quand ils prenaient eux-mêmes des initiatives, cela coûtait des millions de morts. L’un des plus grands stratèges, c’est Lawrence. J’ai publié, dans L’Infini, un texte qu’il a écrit sur la guérilla, c’est prodigieux d’intelligence : c’est une guerre contre les Turcs qui se déplacent et qui cherchent l’affrontement dans le désert ; la stratégie, c’est de traiter le désert comme si l’on était sur l’océan : vous faites du désert une masse liquide, vous attaquez, vous vous repliez, vous attaquez, vous vous repliez, sans cesse. Jamais de combats frontaux! La formule de Lawrence est magnifique : « Vous allez forcer l’adversaire à manger sa soupe avec un couteau. » Ce qui va l’user moralement de façon terrible. Dans la vie, les opérations de guérilla sont incessantes: j’ai donné mon emploi du temps à Paris* ( * Dans Un vrai roman, Mémoires, Plon, 2007, p. 177 ), c’est à ciel ouvert. Mais personne n’y fait attention ; et on relève que j’ai écrit dans tel journal, que je vais à la télévision ou à la radio, que je suis un parrain ici, que j’ai une influence considérable là, que je dirige les éditions Gallimard, que je distribue les prix à tout le monde…

 

- Vous attaquez du centre, et on vous reproche souvent cela…

- Le coup du poète maudit qui a payé de son corps, c’est l’hommage du vice à la vertu. Je ne suis pas là pour faire le martyr. Le martyr n’est une preuve de rien du tout. C’est de la morale, donc cela ne m’intéresse pas. Vous connaissez le palindrome utilisé par Guy Debord : In girum imus nocte et consumimur igni (« Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu »). C’est un vers qui montre l’enfer, mais l’enfer seulement, et il n’y a pas que l’enfer. L’enfer est un passage, tous les auteurs dont nous parlons l’ont traversé… Lisez Une saison en enfer. L’enfer était éternel ; avec Rimbaud, il n’existe plus qu’une saison et un regard sur le passé. Je ne tourne pas en rond dans la nuit, je ne suis pas consumé par le feu, mon intention n’est nullement tragique. En revanche, je veux bien être condamné par un tribunal français pour avoir publié la conférence d’Artaud au Vieux-Colombier. Je suis contre le fait que les grandes aventures de la pensée soient cataloguées comme ayant été des échecs sociaux. Oui, j’attaque donc du coeur ; qu’est-ce que vous croyez que je fais là, chez Gallimard ? C’est facile à déchiffrer. Ce qui est extatique vous avez affaire à l’Adversaire, c’est qu’il est facile à troubler ! Je me sers de cette identité visible, et pendant ce temps-là, vous vous souvenez de Zorro (rires), tout se passe ailleurs, dans une autre dimension…


- L’adversaire n’est-il pas parfois en soi-même ?

- C’est ce que prétendent les musulmans ! La guerre sainte, elle est d’abord contre soi-même ! Je crois que l’on perd là beaucoup de temps… La guerre contre soi-même est en réalité masochiste. C’est du puritanisme. Si, en plus, il fallait que je me batte contre moi-même, quelle barbe ! Ne faites pas la guerre pour être battu ! Article 1. Sinon, ne faites pas la guerre, restez à l’arrière ! Il faut un discernement des esprits. Ce qui est surprenant, c’est que l’on trouve sur sa route des gens qui veulent bien faire la guerre et qui la font, des gens qui s’y brûlent aussi ! Enfin, pas toujours… Il faudrait arriver à être douze. Donnez-moi douze personnes et je déplacerai des montagnes ! Pas de communautés surtout : « Rien pour la société, tout pour nous ! », c’était un des titres de L’Infini qui a fait scandale ! Individu, communauté : ce sont des mots sociaux, pas des mots de guerre ; parlez-moi plutôt de commandos ou d’espionnage. L’individualisme ne mène à rien, les communautés non plus.

Source, avec entretien complet

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07/01/2010

Réjouissez-vous... II

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Joyeux Noël à mes frères et soeurs qui suivent le Calendrier Julien...

Christ est Né...

Hristos se rodi...

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