06/11/2009
Le Dernier des Mohicans... et les crétins à Babouches...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
Très bel hommage de Morgan Sportès dans le Figaro d'aujourd'hui... Ca nous change des conneries qu'on peut lire dans la presse gôchiste depuis deux ou trois jours sur ce grand monsieur.
Claude Lévi-Strauss,
le dernier des Mohicans
Morgan Sportès
La « Pléiade » rend hommage à l'académicien centenaire en publiant le premier volume de ses oeuvres complètes *. Occasion rêvée de relire son oeuvre immense, dont « Tristes tropiques », son livre-phare.
« Passées de mode, les "sixties", où intellectuels de gauche, cinéastes, hippies prenaient systématiquement le parti du Peau-Rouge massacré, du fellagha, du Viêt-minh ?... Ne cherche-t-on plus, aujourd'hui, à se "déprendre" de soi ? A s'interroger sur le point de vue de l'Autre ? De l'Irakien, du Chinois, de l'Afghan ?... Tout au contraire (signe de désarroi civilisationnel, sans doute), on tente désespérément de se ressourcer, de se ré-enraciner : à La Mecque, à Jérusalem, à Rome et autres sacristies. Pour se "déprendre", Claude Lévi-Strauss, grand intellectuel français rationaliste et laïc d'origine juive, de la race du moins des Freud et des Spinoza, n'y alla pas par quatre chemins. A 28 ans, à la fin des années 30, il s'embarqua pour l'autre monde afin d'atteindre, au fond de la jungle brésilienne, "l'extrême de la sauvagerie". Entreprise conradienne s'il en est ! Cette expérience, il la raconte dans ce livre-phare du XXe siècle (paru en 1955), Tristes tropiques, où, avec toute la subtilité de la langue d'un Proust, il décrit les menus faits et gestes des ultimes tribus vivant encore en marge des "bienfaits" du monde moderne et de sa culture massifiée.
Car c'est bien là le paradoxe de ce livre que d'y voir un rejeton hyper-raffiné de la grande bourgeoisie juive occidentale, épris de Stravinsky et Mallarmé (dire que des crétins médiatiques ont voulu faire de lui l'apôtre du babacoolisme-multiculturaliste !) entrer en sympathie, et plus qu'en sympathie souvent, avec des Caduveo, des Bororo, des Nambikwara, débris pathétiques d'une civilisation indienne exterminée, vivant cul nu dans la jungle, de chasse et de cueillette. Et c'est avec une délicatesse que lui donne une autre civilisation elle-même en pleine décadence mercantiliste, la nôtre, qu'il les décrit, rencontre émouvante, souvent cocasse : leur donnant un soir un rouleau de drap rouge, ne les vit-il pas le lendemain tous drapés d'écarlate, hommes, femmes et enfants, et même les chiens et les perroquets à qui on avait confectionné un costume éphémère ?
Loin de moi l'idée d'essayer d'expliquer la pensée si subtile de Lévi-Strauss. J'aimerais au moins faire sentir ce que sa démarche nous a apporté, moins dans la connaissance passionnante des sociétés dites primitives que dans la connaissance de notre société. Grâce à ce retour sur soi que cela nous a permis... Grand écart de la pensée auquel on répugne désormais. »
--(Commentaire)--
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"J'aimerais au moins faire sentir ce que sa démarche nous a apporté, moins dans la connaissance passionnante des sociétés dites primitives que dans la connaissance de notre société."
Le passage de l'extrait, à propos de l'Islam, de "Tristes Tropiques" que j'ai posté précédemment sur mon modeste blog est très révélateur, en effet de cette démarche de Lévi-Strauss, lorsqu'il dit, entre autre : "Ce malaise ressenti au voisinage de l’Islam, je n’en connais que trop les raisons : je retrouve en lui l’univers d’où je viens ; l’Islam, c’est l’Occident de l’Orient. Plus précisément encore, il m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane. Chez les Musulmans comme chez nous, j’observe la même attitude livresque, le mêmes esprit utopique, et cette conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarrassé aussitôt. A l’abri d’un rationalisme juridique et formaliste, nous nous construisons pareillement une image du monde et de la société où toutes les difficultés sont justiciables d’une logique artificieuse, et nous ne nous rendons pas compte que l’univers ne se compose plus des objets dont nous parlons. Comme l’Islam est resté figé dans sa contemplation d’une société qui fut réelle il y a sept siècles, et pour trancher les problèmes de laquelle il conçut alors des solutions efficaces, nous n’arrivons plus à penser hors des cadres d’une époque révolue depuis un siècle et demi, qui fut celle où nous sûmes nous accorder à l’histoire ; et encore trop brièvement, car Napoléon, ce Mahomet de l’Occident, a échoué là où a réussi l’autre. Parallèlement au monde islamique, la France de la Révolution subit le destin réservé aux révolutionnaires repentis, qui est de devenir les conservateurs nostalgiques de l’état des choses par rapport auquel ils se situèrent une fois dans le sens du mouvement."
Certains devraient en prendre de la graine, lorsqu'ils manipulent les mots (et les maux), les concepts et le sens profond des choses, au nom de leur idéologie cordicole mais absolument dénuée de cordialité et d'élégance. En plus, ils se sentent offusqués lorsqu'ils se font remettre en place par plus expérimentés qu'eux. Et ça veut faire la révolution...
Je leur conseille d'ouvrir quelques livres qui les mettent à l'épreuve, et non pas constamment les mêmes fureurs revendicatrices pseudo-littéraires, pseudo-scientifiques, pseudo-politiques, pseudo-philosophiques qui ne feront qu'une seule chose : les conserver, poussiéreux et sans saveur, dans leur impasse.
Il n'y a rien de plus sinistrement Conservateur qu'un gôchiste franhouillard qui veut conserver ce qu'il croit être définitivement acquis. C'est une jouissance sans nom que d'être traité de "Réactionnaire" et de "Conservateur" par cette engeance qui s'ignore.
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Morgan Sportès : « Lire Lévi-Strauss, du moins ses textes non directement théoriques, est un véritable plaisir même pour les non-initiés : qu'il nous balade à travers jungles en 1938 ; dans les rues de New York en 1941, aux côtés d'André Breton (Le Regard éloigné) ; ou qu'il nous aide à décrypter la peinture de Poussin (Regarder, écouter, lire) ; quand il ne dénonce pas les errements de l'art contemporain (Le Cru et le Cuit). Car Lévi-Strauss est (aussi) un grand écrivain. On n'oubliera pas cette scène où il croque, en quelques mots, un chef nambikwara qui emprunte à l'ethnologue un stylo et du papier sur lequel il gribouille, puis qui fait semblant de lire à voix haute, devant sa tribu, ce qu'il a fait semblant d'écrire, tentant de persuader les siens qu'il s'est approprié le savoir de l'homme blanc. C'est Trissotin ! Ainsi Lévi-Strauss débusque-t-il derrière le "particulier" (tel Indien du Mato Grosso) l'universalité des archétypes décrits par Molière. Combien faut-il être de mauvaise foi aussi pour faire accroire que Lévi-Strauss a voulu réduire l'Homme aux défroques folkloriques de ses différentes coutumes, de ses rites.
Les gens qui l'ont attaqué violemment naguère, et qui continuent aujourd'hui, ne sont-ils pas au fond des réincarnations de ce Trissotin nambikwara ? N'ont-ils pas, comme celui-ci, fait semblant de lire, pour dénoncer, dans des semblants de livres, une pensée à laquelle ils ne comprendront jamais rien ? Faisant semblant de lire aussi, les critiques littéraires troussent leurs éloges. Et le public gobe tout... Cette parodie n'est-elle pas une des manifestations de la destruction de notre propre culture qu'a préfigurée celle des cultures indiennes initiée par Cortès et parachevée par le McDo-Coca ? D'où la constante mélancolie qui émane de la plupart des textes de Lévi-Strauss, proche de celle du Chateaubriand des Mémoires d'outre-tombe. Il compare le pseudo-rationalisme occidental qui a asservi le monde à ce laboureur qui avance, les yeux fixés sur son sillon, incapable par ailleurs de voir ce qu'en même temps il détruit et ce qui, sur les bas-côtés du sillon, s'amoncèle. Ce qui s'amoncèle, ce sont ces rites en voie de disparition que Lévi-Strauss, affrontant moustiques et paludisme, est allé recueillir, auprès de tribus aujourd'hui disparues, ces mots de langues abolies, ces réglementations conjugales, ces interdits - ou ces vieux objets qu'avec André Breton et Max Ernst il aimait chiner chez les antiquaires de New York, restes, résidus, épaves d'époques révolues, pieds de lampe, chromos... - qui, si un esprit averti sait les comparer les uns aux autres, forment entre eux système, reconstruisent le style, l'âme, l'être de sociétés, de modes de vie obsolètes.
Lévi-Strauss a du goût aussi pour les vulgaires cailloux et les pierres précieuses, renvoyant par-delà les millénaires, aux temps pré-néolithiques. Car l'homme que décrit Lévi-Strauss n'est pas l'Homme abstrait des « droits de l'Homme » qui s'arroge le droit de détruire les autres espèces, la Nature, le Monde, et de se détruire lui-même, mais un homme concret, inscrit non seulement dans cette quotidienneté de ses moeurs et coutumes qui font - qui sont - la saveur même de la vie (l'art du vin, par exemple, que l'industrialisation détruit), mais aussi dans la temporalité scandée par les saisons que nous impose la nature, et dans la durée immémoriale des temps géologiques. »
--(Commentaire)--
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Eh oui... Claude Lévi-Strauss ne pensait pas un Homme Utopique, mais un homme enraciné, qui EST non parce qu'il pense (voyez Descartes), mais qui EST parce qu'il vient de quelque part, qu'il porte avec lui des Vestiges enfouis qui le guident ou le perdent, mais que l'on ne peut nier comme le font tous les sentimentalistes gôchistes qui du Passé voudraient faire table rase !
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Morgan Sportès : Lévi-Strauss n'a jamais, comme Foucault, chanté la mort de l'Homme, ni comme Barthes célébré le naufrage du Sujet cartésien : il a très simplement replacé l'un et l'autre dans le système de signes que constitue leur Temps, et dans la continuité infinie d'un monde physique qui exista avant la naissance de l'humanité, et se perpétuera quand celle-ci aura disparu. Voilà ce que les « sauvages » ont enseigné à Lévi-Strauss, voilà ce que grâce à eux il nous enseigne, et que ne saisissent pas ses critiques qui ne perçoivent, des peuples primitifs ou traditionnels, que des clichés folkloriques, exotiques, relevant de la culture des clubs de vacances. Ce savoir irrationnel des « sauvages », chacun de nous en pressent le mystère dans cette dernière part de « nature » à laquelle il nous est donné de goûter : l'étreinte amoureuse par exemple. "Faire l'amour, c'est bon", disent les Nambikwara. Claude Lévi-Strauss, dont on peut deviner qu'il est un homme de jouissance, nous convie à partager encore ce savoir (dans les dernières lignes de Tristes tropiques, qu'on ne méditera jamais assez). Il nous y exhorte à interrompre notre "labeur de ruche" (le stress du cadre trop dynamique) et à saisir l'essence de ce qui fut et continue d'être notre espèce, en deçà de la pensée et au-delà de la société : "(...) dans la contemplation d'un minéral plus beau que toutes nos oeuvres ; dans le parfum, plus savant que nos livres, respiré au creux d'un lys ; ou dans le clin d'oeil alourdi de patience, de sérénité et de pardon réciproque, qu'une entente involontaire permet d'échanger avec un chat." »
M. S.
* OEuvres, Gallimard, « Pléiade », 2 128 pages. Edition établie par Vincent Debaene, Frédéric Keck, Marie Mauzé et Martin Rueff.
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L'ami XP a raison, Claude Lévi-Strauss est probablement l'inventeur (qui s'ignorait ?) du concept de Catholique à Babouches, XP l'ayant pressenti à sa manière et divulgué sur la réacosphère d'abord, puis sur la toile en général. Et le concept fait son chemin. XP n'est pas en reste... il a, récemment, vu juste à nouveau, en présentant un concept neuf, celui de "gardien de vaches à diplômes" qui, n'en doutons pas, fera son petit bonhomme de chemin aussi.
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Je ne vous inviterai jamais assez à lire les articles de l'ami XP, pour comprendre les déclinaisons que son concept de Catholique à Babouches peut prendre...
* Le Concept de CAB n'est pas un reductio ad Islamum
* Les Catholiques à Babouches dans le Texte
* Finance Islamique et Anti-Libéraux à Babouches
Enjoy, les loustics...
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Commentaires
Nebo, y a juste un petit problème avec votre ridicule éloge à la gloire du génie de l’imbécillité sociologique ilysienne, c'est que le concept de CAB est définitivement mort est enterré depuis des mois après une vilaine affaire avec Polydamas que Xpêt traita "d’ordure pédophilique" (sic) et autres joyeusetés du même style !
Donc prière de ne pas trop en rajouter avec ce type de connerie profonde qui a déjà fait assez de dégâts comme ça...
RAPPEL :
« Le CAB est un concept officiellement mort. Il vient de montrer ses limites, ça n'est pas un outil intellectuel qui soit réellement pertinent s'il conduit à commettre de telles erreurs massives d'appréciation. Rideau, le CAB. Suffira de se contenter de démonter l'islam et ça suffira amplement. » aquinus
http://abimopectore.over-blog.com/article-34562462-6.html#anchorComment
Écrit par : slapd | 09/11/2009
Votre commentaire est tellement joli que je le laisse pour la gloriole du Net...
En tout cas, chose littéralement INCROYABLE, XP a raison sur une chose, me semble-t-il : vous ne comprenez pas ce que vous lisez, vous ne comprenez pas ce que votre écriture ou vos propos engagent, vos capacités d'abstraction sont vraiment limitées et vous voulez "démonter" l'Islam alors que vous n'avez pas les outils pour le faire. En plus, comment voulez-vous "démonter" l'Islam si son virus est déjà en vous. Vous ne le réaliserez que lorsque vous aurez compris que le CAB de base se focalise sur l'Islam alors que celui-ci n'est qu'un des nombreux symptômes qui crispent notre époque. Relisez, lentement, ce passage de "Tristes Tropiques" et détendez-vous la rondelle :
"Ce malaise ressenti au voisinage de l’Islam, je n’en connais que trop les raisons : je retrouve en lui l’univers d’où je viens ; l’Islam, c’est l’Occident de l’Orient. Plus précisément encore, il m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. Je pardonne mal au premier de me présenter notre image, de m’obliger à constater combien la France est en train de devenir musulmane. Chez les Musulmans comme chez nous, j’observe la même attitude livresque, le mêmes esprit utopique, et cette conviction obstinée qu’il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarrassé aussitôt. A l’abri d’un rationalisme juridique et formaliste, nous nous construisons pareillement une image du monde et de la société où toutes les difficultés sont justiciables d’une logique artificieuse, et nous ne nous rendons pas compte que l’univers ne se compose plus des objets dont nous parlons. Comme l’Islam est resté figé dans sa contemplation d’une société qui fut réelle il y a sept siècles, et pour trancher les problèmes de laquelle il conçut alors des solutions efficaces, nous n’arrivons plus à penser hors des cadres d’une époque révolue depuis un siècle et demi, qui fut celle où nous sûmes nous accorder à l’histoire ; et encore trop brièvement, car Napoléon, ce Mahomet de l’Occident, a échoué là où a réussi l’autre. Parallèlement au monde islamique, la France de la Révolution subit le destin réservé aux révolutionnaires repentis, qui est de devenir les conservateurs nostalgiques de l’état des choses par rapport auquel ils se situèrent une fois dans le sens du mouvement."
Claude Lévi-Strauss
Quant au Clash entre XP et Polydamas, je suis complètement passé à côté, je ne sais pas de quoi il s'agit et je m'en branle comme de ma première pollution nocturne.
Cordialement.
Écrit par : Nebo | 09/11/2009
@Nébo
C'est amusant, toutes ces nullités du net dont il semblerait presque que je les empêche de dormir... Toutes proportions gardées, je suis comme Dantec ou Finky qui provoquent la rage de Soral, lequel est rongé par le constat qu'il ne parle pas leur langue et ne pourra jamais l'apprendre.
Cela dit, par définition, si un CAB pouvait comprendre le concept de CAB, ce ne serait plus un CAB...
Amusant aussi:le concept de CAB est officiellement mort, parce que quelqu'un la dit une fois, dans un contexte particulier. Attidude livresque typique de la structure mentale du CAB.
C'est pourquoi s'il ne sert à rien de parler avec eux (c'est même impossible), il n'est pas inutile de les laisser parler et de les étudier... Ne serait-ce parce que c'est fascinant.
Écrit par : XP | 09/11/2009
Intéressant aussi, ce point commun entre les musulmans et les CAB:cette propention à marteler un truc sur tous les blogs en changeant à chaque fois de pseudo, et cette manière de n'appréhender la conversation que sous l'angle de l'entrisme et du militantisme, quitte à masquer dans un premier temps qui on est, et se dévoiler progressivement.
J'y ai déjà vu des muzz se faire passer d'abord par des contempteurs de l'Islam, puis mettre des bémols, avant d'en faire l'apologie.
Et bien j'ai vu notre ami faire la même chose:critiquer le site La Question, pour ensuite lui reconnaître des qualités et en copier coller ensuites de longs passages.
Fascinant, disais-je...
Écrit par : XP | 09/11/2009
Fascinante également la capacité musulmane à oublier ses délires, cacher ses forfaits et dissimuler ses égarements chez Xpêt :
"Ma chère Crevette, si je puis vous donner un conseil: abstenez-vous de tout débat avec la petite crapule pédophilique Polydamas (comme on dirait d'un sidaïque, porteur du virus s'il n'est pas déjà malade): outre le fait qu'il est très con, ces gens-là sont naturellement portés vers la délation et les coups bas.
Il parait que "lui et sa famille ont beaucoup donné et beaucoup reçu", contrairement à mon vieux père "infoutu d'avoir reçu des sacrements" et donc mort au milieu d'une assemblée paroissiale.
Mais reçu et donné quoi? Des coups de B...? Sans doute.
On ne polémique pas avec ce genre de déchets, on écrase comme une punaise ou on met en prison pour pédophilie.
Ecrit par : XP | 24.08.2009
http://chrnniques.blogspirit.com/archive/2009/08/13/la-morgue.html
Comme l’a bien vu aquinus, ce concept est un concept « officiellement mort » du fait des erreurs gigantesques qu'elle provoque, et dont cette hideuse histoire avec Polydamas, après quelques autres victimes, est révélatrice.
Ce type profère des ignominies, des insultes à caractère sexuel, va jusqu’à la diffamation en traitant Polydamas ou Hadrien, de pédophiles, se trompe lourdement sur la situation géopolitique, vomit la tradition catholique au nom du concept de CAB, et il faudrait s'extasier sur cette trouvaille ?
http://ilikeyourstyle.net/2009/04/20/de-la-securite-alimentaire-au-xvieme-siecle/#comment-64448
Non ce concept est une grotesque connerie qui couvre une chose : la maladie mentale et la sévère névrose de celui qui devrait être en HP plutôt que de signer des billets ridicules sous le pseudo de XP.
Écrit par : slapadim | 09/11/2009
Typique aussi de certains cathos tradis:la délation.
En quoi ma passe d'arme avec Polydamas concerne ce roquet qui me mordille les mollets? En rien. Mais les délateurs et ceux qui envoient des lettres anonymes à la police n'ont pas besoin d'être concernés pour moucharder.
"Fascinante également la capacité musulmane à oublier ses délires, cacher ses forfaits et dissimuler ses égarements"
En quoi je dissimule quoi que ce soit?
Mais bon, aller sur des sites en disant "regardez ce que ce untel à dit" c'est la preuve qu'on est une balance. Ce type ne cherche pas à défendre ses idées, mais à me nuire (qu'il s'imagine pouvoir le faire est du reste assez comique).
"Xpet"
Ca, ça fait vraiment pitié.
@Nébo
Ce troll est interdit sur Ilys et c'est la seule raison pour laquelle il vient baver ici. D'un côté, ça fait assez pitié, mais Moi à sa place, je passerais à autre chose. Lui non. Il enrage.
A ta place, je ferais la même chose. Au passage, tu imagines ce qu'un délateur de ce genre peut faire comme dégat? Tu t'imagines l'avoir pour voisin? Bigre!
" la maladie mentale et la sévère névrose"
C'est sûr qu'eller de blogs en blogs pour étaler son obsession et dire combien il hait XP parce qu'il n'entend pas parler avec lui, qu'il a, contrairement à lui, quelques lecteurs qui l'apprécient et le font savoir, c'est un sacré signe de santé mentale.
Un conseil, mon ptit vieux:soignez vous, oubliez moi, et tâchez de vous épanouir en construisant. Ouvrez un blog par exemple, assayez de trouver des lecteurs fidèles, vous verrez, ça vous consolera du fait que je n'entend pas parler avec vous. Il n'y a pas que XP dans la vie, vous verrez.
Écrit par : XP | 09/11/2009
Autre signe de la santé mentale défaillante de notre ami:comment peut-il se souvenir d'une passe d'arme entre moi en polydamas que l'intéressé lui même à probablement oublié et que que je serais bien en peine de retrouver, perdu dans les archives de son blog?
Comment peut-il attacher de tels importances à mes propos, alors que je parle pas avec lui, que tout le monde lui a signifié qu'on se fout totalement de son opinion à mon sujet?
Qu'est ce qui doit se passer dans sa tête pour qu'il décide collectionner et classer soigneusement les commentaires que je peux laisser ici ou là?
Pourquoi enrage-il à l'idée que des gens puissent avoir de la sympathie pour moi?
Pourquoi cheche-t-il à engager un dialoque avec moi, et pourquoin en cas de refus, cette envie fait-elle place à la colère?
C'est très troublant.
Écrit par : XP | 09/11/2009
"Il parait que "lui et sa famille ont beaucoup donné et beaucoup reçu", contrairement à mon vieux père "infoutu d'avoir reçu des sacrements" et donc mort au milieu d'une assemblée paroissiale."
C'est sûr que si Polydamas a tenu des propos de cette envergure à XP (cela me revient maintenant, XP m'en avait soufflé quelques mots lors de notre rencontre parisienne), il ne faut pas être surpris de sa réaction, mais plutôt heureux. Au final ce ne sont que des missives lancées contre quelque crétinerie. Polydamas m'aurait tenu les mêmes propos au nom de sa "valeureuse" catholicité familiale, probablement serait-il en train de sécher dans une cave suspendu par les couilles.
Écrit par : Nebo | 09/11/2009
Je crois bien que dans ce cas, XP, si cet individu réagit ainsi, c'est que les vérités que vous lui assainez le blessent. Et ça n'est que justice.
Écrit par : Rex | 09/11/2009
Pour en revenir à l'auteur, mais pas au sujet, je garde un très mauvais souvenir de ce Sportès, sur le plateau de FOG, je crois, à propos de la guerre en Iraq et des maoïstes. Pour lui, les intellectuels qui soutenaient Bush étaient du même tonneau que les intellos cocos des années 50 ou 60 qui soutenaient Moscou. Pour lui, les cellules maoïstes étaient des créations de la CIA, et là était le crime. Pour lui, le problème n'était pas la réalité du maoïsme dans toute son horreur et l'abrutissement des maos occidentaux, mais la CIA ! Bref un sale con conformiste hurlant au conformisme.
Écrit par : Gil | 12/11/2009
Nebo, ne vous mêlez pas de ça, vous n'êtes pas au courant du quart du centième de l'histoire, ne commencez pas à extrapoler...
XP, je me souviens de tout parfaitement. Et non, ce n'est clairement pas anodin. Mais on ne va pas recommencer.
Écrit par : Polydamas | 16/11/2009
Moi ce que les Evangiles m'ont appris, c'est que les premiers seront les derniers... et les derniers seront les premiers... le reste, je vous le laisse, en toute courtoisie, croyez-le bien et ne me mèle de rien.
Mais mon opinion ne vaut pas grand chose, je ne suis qu'un hérétique orthodoxe et mon jeûne du moment ne vaut pas tripette... Dieu reconnaîtra les siens, n'est-ce pas ?
Gospode Pomilouï...
Écrit par : Nebo | 16/11/2009
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