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01/08/2010

The Amboy Dukes 2009

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Avant d'être la star du Hard Rock que l'on connaît, Ted Nugent, redoutable guitariste aux incessantes controverses (il chasse à l'arc et au fusil, milite pour la liberté du port d'arme, vote républicain et passe son temps à insulter tout ce que l'Amérique comporte de démocrate) a été membre d'un groupe de rock psychédélique légendaire dans les environs de Detroit, ville industrielle, où un certain son est né et a contribué fortement aux heures glorieuses de la musique populaire américaine : la Tamla Motown d'une part, mais aussi The MC5, The Stooges et le groupe, donc, du jeune Ted Nugent, The Amboy Dukes.
Le 17 Avril 2009 le groupe s'est reformé le temps de 3 chansons à l'occasion de la remise d'un titre honorifique aux Detroit Music Awards au Fillmore de Detroit. Les voici pour vous...

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Malika Sorel : Les enfants issus de l’immigration ont des problèmes identitaires profonds

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Malika Sorel

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Norman Spinrad : « La guerre sainte a déjà commencé »

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Entrevue avec Norman Spinrad pour les gôchistes consensuels de Rue89... à l'occasion de la publication de son nouveau livre "Oussama".

 

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-- Depuis « He walked among us », vos romans sont centrés sur la religion et l'imposture (« Ralf », « Oussama »). La religion est-elle toujours l'opium du peuple, plus que le sexe et l'argent ?

Le mot « religion » peut signifier deux choses. D'une part, la recherche sincère de la vraie expérience transcendantale -le bouddhisme originel, le vrai islam soufi, le zen…

D'autre part, la religion hiérarchique, imposée, basée sur des règles : l'islam en Iran ou dans les régions talibanes, l'église catholique romaine : ici, religions et Etats ne sont toujours pas séparées. D'ailleurs, « la séparation de l'Eglise et de l'Etat » est plus ou moins une invention des révolutions américaine et française.

Ce genre de religion est effectivement de l'« opium du peuple ». Un des thèmes importants du livre est le contraste entre le vrai islam (un sentier vers l'éclaircissement spirituel) et l'islam tel qu'il est utilisé par gouvernements et les organisations terroristes, à des fins politiques.

 

-- Ou alors, la guerre contre le terrorisme est-elle le nouveau leurre, et le nouvel opium, des démocraties (donc du peuple) ?

Non, il y a juste une lutte entre les démocraties libérales modernes et les régimes d'esprit théocratique réactionnaire. Le terrorisme ne peut pas être une idéologie, c'est seulement une stratégie.

 

-- Quelles ont été les recherches sur l'islam effectuées par l'Occidental que vous êtes ?

Le Coran, évidemment. Et beaucoup, beaucoup de choses sur Internet. Une lecture-clé était « Hadj », de Michael Wolfe, dans lequel cet auteur américain raconte son pèlerinage à La Mecque.

 

-- « Oussama » met en scène une sorte de guerre froide à l'heure du pétrole : Etats-Unis contre Califat. Croyez-vous au choc des civilisations ?

Absolument ! L'affrontement des civilisations est le principal moteur de l'Histoire humaine. Les Européens face aux Amériques et à l'Afrique. Les Moghols islamiques en Inde. L'Occident face à la Chine et au Japon.

La moitié des romans de science-fiction écrits portent là-dessus. Et mes propres romans historiques, le « The Druid King », sur la confrontation de Rome et de la Gaule, et « Mexica », l'histoire de la conquête du Mexique par Cortez [non traduits en France, ndlr].

 

-- Une telle guerre sainte va-t-elle vraiment arriver selon vous ?

Elle a déjà commencé. Dans une forme ou une autre, depuis les croisades.


-- Quelles sont les différences générales que vous ressentez, entre l'attitude des peuples américain et français vis à vis de l'islam ?

Je crois que l'Amérique accepte davantage les religions minoritaires. Ou qu'ils ont plus d'indifférence envers elles. Qu'ils sont plus indifférents que les Français envers l'islam. Le vote d'une loi concernant le port d'un vêtement paraît ridicule pour un Américain.

En France, la population est à 10% musulmane, et une bonne partie résiste à l'intégration culturelle. L'islam est donc une question sérieuse, et plus tendue. Pour le Français non-musulman, ça peut être un danger pour la cohérence culturelle française. C'est beaucoup plus politique qu'aux Etats-Unis, où il y a un fort préjugé contre les Arabes, pas contre leur religion elle-même.

 

-- Comment vous sentez-vous dans la France de Sarkozy ? Et dans les Etats-Unis d'Obama ?

Je ne crois pas qu'il y ait une « France de Sarkozy, », mais plutôt un Sarkozy en France. Bien que je n'admire quasiment rien de son programme politique, j'admire vraiment sa spontanéité, sa volonté pour reconnaître ses erreurs, ses changements soudains. Je crois qu'il a montré une assez bonne maîtrise de la crise financière. Et il est très bon à la télé.

Un exemplaire d' "Oussama" lui a été envoyé, à lui ou à son cabinet, et j'ai reçu un mot de remerciement avec sa signature manuscrite. Je ne sais pas s'il a lu le roman.

Les Etats-Unis d'Obama, c'est une région sinistrée, mais pas du tout à cause d'Obama. Après tout, on lui a donné deux guerres et une catastrophe économique comme héritage de Bush.

 

-- Que pensez-vous de lui, et de son rapport à l'islam ?

Je crois qu'Obama a fait des efforts significatifs pour courtiser l'islam et les musulmans.

Mais tout est basé sur une admiration fantaisiste que les gens ont pour lui. Tout le monde pense qu'il a toujours raison, qu'il est intelligent et persuasif et que donc, puisqu'il a si raison et est un si bon orateur, il sera en mesure de persuader les islamistes de suivre sa voix. Rien n'est plus éloigné de la vérité.

 

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Source

 

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Une autre facette de l'écrivain...

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Robert Redeker : La burqa contre la civilisation

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La burqa est un signe politique bien plus que religieux. Toute politique passe par une sémiologie, une manipulation des signes. Arme psychologique aux mains de l’islam politique, autrement dit l’islamisme, la burqa fait figure d’élément de propagande : montrer aux foules que l’islam politique est bel et bien présent, au coeur du monde occidental, qu’il s’étend de façon irrésistible.

Dans cette perspective, la burqa est aussi un marqueur de territoire : montrer aux autochtones que leur territoire ne leur appartient plus totalement.

Donner une visibilité à l’islam politique, tel est le sens de la burqa. Défendre et développer le port de la burqa s’inscrit dans une stratégie : rendre visible l’islam politique.

Dès lors, interdire la burqa ne revient pas à porter atteinte à la liberté de penser et de croire, mais à infliger une défaite à cet islam politique.

Anthropologiquement, la burqa représente pourtant le contraire de la visibilité : elle rend invisibles les femmes. Elle les escamote, les fait disparaître du jour, les expulse de la lumière. Ce dispositif s’exerce par un double jeu autour du “voir” : d’un côté faire voir l’idée, la force de l’islam politique, et de l’autre effacer celles qui portent dans l’espace public cette idée, les femmes, les rendre invisibles en les couvrant d’une bâche. Certains signes religieux soulignent la foi, l’accompagnent dans l’espace public, réussissant à donner un vêtement à l’âme, redoublant la visibilité de la personne, de son corps, de son visage, par la visibilité de sa spiritualité. La kippa, la croix chrétienne, le costume d’un moine ou d’une moniale, et même le hidjab (le voile ou foulard musulman qui ne cache pas le visage) y parviennent. La burqa, au contraire, ne souligne rien : elle élimine la femme du regard d’autrui, la désincarne radicalement pour ne laisser paraître qu’une terrible abstraction, celle du pouvoir temporel d’une idée délirante. Bref, la burqa déspiritualise autant qu’elle désincarne.

Emmanuel Levinas nous l’a enseigné : l’être humain se définit par le visage. Chaque enfant, chaque homme, chaque femme identifie sa personne, dans ce qu’elle a de plus original, avec son visage. C’est avant tout sur le visage qu’apparaît le moi. Vivre en être humain revient à jouer le jeu de l’échange des visages. Mieux : l’échange des visages forme l’humanité comme communauté. Nous montrons nos visages pour être reconnus par les autres comme appartenant à la famille humaine. Le “je” et le “tu” naissent du dialogue des visages, dia logue fondateur qui précède le dialogue verbal. La burqa soustrait le visage à la visibilité, l’élimine. Caveau de tissu, elle détruit chez la femme qu’elle ensevelit le droit d’appartenir à la communauté humaine dans la mesure même où elle lui interdit d’entrer dans la sphère du dialogue.

L’homme, la femme et l’enfant sont, à la différence des animaux et à la ressemblance des divinités, des êtres d’apparition. Rien ne symbolise plus profondément la nature apparaissante des humains que les visions de la vierge Marie – qui n’est pas une déesse, mais une femme – à Lourdes et à Fatima. Nous nous apparaissons les uns aux autres. Le visage se détache de l’horizon, ou bien de la foule anonyme, fait fond sur l’indifférencié pour nous regarder, nous sourire, nous parler. Et le corps suit. Mais, recouverte par la burqa comme un tas de gravats sur un chantier, la femme a été volée de son visage et de son corps. Elle n’est plus qu’une forme inhumaine, vague et sombre. La burqa n’est pas seulement le sépulcre de la femme, mais de l’humanité.

Rendant visible l’islamisme et invisibles les femmes, la burqa n’est pas compatible avec la conception française – et, plus largement, européenne – de la civilisation. Dans un roman visionnaire, écrit au début du siècle passé, l’Auberge volante, Chesterton imagine l’islamisation de l’Angleterre, la constitution d’un Londonistan, l’imposition de la charia, la fermeture des pubs, c’est-à-dire de l’âme britannique, malheurs permis par la tyrannie d’un politiquement correct humanitaire. Rebarbarisante, déshumanisante, la burqa, qui veut ôter le féminin de l’ordre du monde, est le cheval de Troie du danger perçu dans les années 1910 par Chesterton : l’islamisation des sociétés européennes, la victoire de l’islam politique. C’est pourquoi cette interdiction sur le territoire national s’avère fondamentalement – en fonction des fondamentaux de la civilisation française – légitime, malgré les récriminations de quelques-uns.

Robert Redeker, philosophe

 

Source : Valeurs Actuelles

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Robert Redeker est toujours sous la menace d'une fatwa en provenance d'une certaine religion d'Amour, de Tolérance et de Paix, depuis 2006.


Marseille

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30/07/2010

Elisabeth Lévy Vs Martin Hirsch

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Pour rebondir sur la déclaration de Martin Hirsch que j'avais évoqué ici, voici l'intervention d'Elisabeth Lévy, hier soir sur RTL... tranchante.

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Immigration : Michèle Tribalat, une femme courageuse...

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Michèle Tribalat, Max Gallo, Jean-Louis Bourlanges étaient les invités de l’émission "L’Esprit Public" sur France Culture le 25 Juillet dernier.

 

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29/07/2010

Islam, Islamisme même combat

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A considérer, une fois encore, les propos mielleux des bisounours sur le plateau.

Je conseille aux gôchistes chiasseux de jeter un oeil dans l'excellent livre de Jack-Alain Léger, "A contre-Coran"...

 

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28/07/2010

Immigration, Gauche et Patronat...

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Un certain Patronat et une certaine Gauche, main dans la main...

 

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L’UDC demande aux Suisses ce qu'ils pensent des étrangers

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En Suisse, l’UDC a annoncé mardi le lancement d’une consultation populaire sur la politique d’asile et des étrangers en Suisse. Tous les ménages recevront cette semaine un questionnaire à renvoyer, s’ils le désirent, jusqu’au 31 octobre.

C'est ici...

Encore un truc qui va faire tousser...

 

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27/07/2010

Elle n'a pas de science, t'vois ?

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Mon passage préféré, c'est lorsque le franchouillard converti et extatique déclare qu'apprendre l'Histoire à l'école, ça ne sert à rien, et les Mathématiques non plus. 2 + 2 = 4, OK. Mais les fractions, toussa toussa, à quoi ça sert mon frère ? Cela me rappelle une discussion avec un barbu à mon travail, il y a 7 ans de ça, l'année de la canicule meurtrière, auquel j'avais cité Omar Khayyam. Le zigue avait rétorqué, sur un ton méprisant : "Pfff ! C'est un intellectuel !" En plus, il manie déjà bien le couteau, le blaireau dans le reportage, on le sent prêt à couper autre chose que du mouton, Bismillah ! "Tu aimes les raccourcis Nebo !" Ah oui ? En êtes vous si sûr ?

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Stevie Ray Vaughan : Tin Pan Alley

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En la matière on n'a jamais fait mieux depuis, quoi qu'on en dise. Sens de la nuance, du détail, connexion complète entre les musiciens, vocabulaire fleuve des notes, grâce perceptible et sensibilité aristocratique texane déchirante. Et le pire, c'est que la structure mise à part, c'est de l'improvisation pure et inspirée... par Dieu ou par le Diable... à vous de voir.


Stevie Ray Vaughan : Tin Pan Alley (Part 1)


Stevie Ray Vaughan : Tin Pan Alley (Part 2)

 

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Les faux affranchis

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"Moi ce qui me les casse, c'est les faux affranchis, les pétroleurs syndiqués et les anars inscrits à la sécurité sociale. Ça prend la bastille et ça se prostitue dans des boulots d'esclaves. Ah! ils sont beaux les réformateurs du monde." Michel Audiard in "Archimède le clochard"

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