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19/09/2012

Couché, l'Occident, donne la papatte à ton nouveau maître !

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

 

Je n'ai jamais été un grand fan de "Charlie Hebdo". Mais je comprends l'occasion que le journal satyrique saisit pour, non seulement se faire de la pub, mais pour affirmer également son attachement à la Liberté Totale d'Expression au moment ou un navet cinématographique soulève les foudres du monde musulman et où presque tout le monde utilise la langue de bois pour aborder le sujet.

Suite à la mise en ligne sur YouTube d'un film, ou d'extraits de ce film, on ne sait trop tellement les images tournées ne ressemblent à rien, des manifestants armés ont attaqué, la semaine dernière, le consulat américain à Benghazi (en Libye), provoquant la mort de l'ambassadeur J. Christopher Stevens et de trois fonctionnaires. C’est un rude contrecoup pour les Etats-Unis qui avaient eux-mêmes armé ces groupes pendant "la révolution libyenne" et qui aujourd’hui, pour ne pas changer, se retournent contre eux !
Ainsi au nom de la colère vis-à-vis d'un film, on sodomise, torture et tue un Ambassadeur avant d'en transbahuter le cadavre par les rues afin de clamer qu'il n'y a de Dieu qu'Allah, que Mahomet est son prophète, etc... tout cela en signe de protestation. Car l'Islam est une Religion d'Amour, de Tolérance et de Paix comme ces descendants de bédouins moyenâgeux nous le rappellent presque chaque jour que Dieu fait un peu partout à travers notre joli monde.

Nous allons voir, dés à présent, une montée en puissance des revendications musulmanes de la part des plus extrémistes, bien entendu, et un silence assourdissant de la part des supposés modérés. Le but étant, bien entendu, de nous imposer leur valeurs et leur vision du monde, de l'extérieur comme de l'intérieur. Ne vous inquiétez pas, quelques 200 000 immigrés officiels rentrent chaque année juste sur notre territoire franchouillard en toute légalité, sans parler des irréguliers qui s'accrochent comme ils peuvent. Le renouvellement va se poursuivre tranquillement mais sûrement. Il n'y a rien à craindre de ce côté, car si vous craignez quoi que ce soit c'est que vous êtes un sbire du Front National, un raciste et islamophobe en puissance, que dis-je ?, un monstre ! Et nos doux penseurs droit d'l'hommistes vont continuer à nous inviter à ne pas faire d'amalgames, à ne pas heurter une communauté enrichissante pour notre pays, à ne pas donner de signes d'exaspérations. Même si, bien entendu, les agitations se sont propagées un peu partout en Europe pour le plus grand bonheur de l'Actualité frémissante qui a toujours besoin de se mettre quelque chose sous la dent tout en jouant totalement le jeu de la bien-pensance et du "politiquement correct". Cela me rappelle, pour ne donner que cet exemple, la Bosnie vers... 1986...1989...1991... lorsque les musulmans se sont mis à avoir des revendications qui ont laissés les serbes pantois... et on a vu, ensuite, ce que ça a donné.

Le simple fait que Hollande ou Obama se la jouent mi-figue mi-raisin, cherchant par leurs déclarations récentes à préserver la chèvre et le choux au lieu d'affirmer ce que Bush, par exemple, avait affirmé à partir d'un tout autre problème mais selon des critères, au final, équivalents : "NOTRE MODE DE VIE N'EST PAS NEGOCIABLE !"

Car non, notre mode de vie, notre Culture, notre Langue, nos Moeurs, nos Traditions et nos Coutumes, notre Histoire, nos Racines, rien de tout cela ne devrait être, normalement négociable, en aucune manière. Voilà ce que les dirigeants occidentaux devraient avoir les couilles de dire clairement, sans ménager les musulmans, même les réputés modérés, non pas pour paraître irrespectueux mais simplement pour afficher clairement et sans prendre de gants ce qui caractérise notre manière d'être au monde selon nos valeurs qui, désolé de le dire, ne sont pas celles de l'Islam. Cela permettrait, entre autre, aux musulmans chez nous de dévoiler leurs vrais visages et de savoir reconnaître les ennemis affichés aux valeurs occidentales des autres qui veulent vivre tranquillement et pas faire chier leur monde.

Il faut qu'ils comprennent de façon définitive que l'on peut chier sur Mahomet et le Coran, chez nous, autant que sur Moïse, le Christ et la Bible... que les seules protestations se doivent d'être encadrées par le débat, l'échange ou la protestation verbale et courtoise ou, pourquoi pas, pamphlétaire. Que c'est ça et rien d'autre et que s'ils ne sont pas d'accord avec ce principe nous pouvons les expédier dans le pays musulman de leur choix pour le plus grand bonheur de leur Foi et de leurs courbettes sous l'égide de la Charia dont nous n'avons que foutre ici.

D'ailleurs, pour le dire clairement, au risque une fois de plus de passer pour le sale fasciste de service, le moindre barbu et croyant en appelant à la mort de notre Civilisation je te le foutrais directement dans un Charter avec interdiction de remettre les pieds sur notre territoire sans la moindre sommation et sans discutailler le bout d'gras avec lui. Et tanpis pour Bruxelles. Que l'on fasse, d'ailleurs, un Référendum à ce sujet auprès des français et Bruxelles pourra aller se rhabiller.

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Voici quelques articles trouvés ça et là histoire de vous faire cogiter...

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Ces faiblesses coupables de l'Occident pour la colère islamique par Gilles William Goldnadel.

Cette semaine aura été celle, une nouvelle fois, de la « colère islamique ». Colère !, colère !, colère ! Que de fois ce mot sanctifié aura été écrit, prononcé, annoncé, breveté, pour l'associer, avec une révérence craintive, à ces foules noires et blanches, de barbes et de voiles, à cette « rue arabe » (vous en connaissez d’autres ?) qui en aurait de droit le monopole, scrutée avec d'autant plus de fascination que ceux qui l’instrumentalisent à plaisir savent les faiblesses de l'Occident pour elle.

Si l'on veut mesurer l'étendue de la folie de l’époque que l'on dit moderne, si l'on veut, pour en apprécier la démesure surréaliste, peser les poids du virtuel et du réel, alors l'histoire du film ridicule sur Internet censé avoir allumé la mèche qui a conduit à l'explosion d’une ire ayant causé la mort d'Américains, non seulement innocents, mais encore ouverts à l'islam, en est un rude exemple.

Des films aussi stupides, la toile en charrie chaque jour des centaines, aussi haineux les uns que les autres, y compris sur les sites islamistes et surtout les télévisions du Caire ou de Doha autrement plus regardées, dont les prédicateurs ne sont pas en reste à l'égard des chrétiens et des juifs (« les porcs judéo-croisés ») sans que pour autant, les rues de Paris ou de New York se remplissent d'individus déchaînés.

En France, un Christ plongé dans l'urine, une pièce de théâtre ridiculisant le messie des chrétiens, n'ont évidemment déclenché que des réactions pacifiques, déjà sévèrement stigmatisées, au nom de la liberté d'expression.

Mais, « les injures que nous infligeons et celles que nous subissons se pèsent rarement à la même balance » disait déjà Esope...

Le prétexte, est, ici, tellement grotesque qu'il ne trompe plus que les derniers idiots utiles du monde occidental qui hurlent encore au complot dans lequel, bien entendu, un israëlo-américain et des juifs argentés y auraient pris leur part, alors que l'on sait à présent que l'auteur du brûlot est un copte aux pratiques financières hétérodoxes (1).

De son côté, le dernier carré d'optimistes qui veulent croire encore à la survie du bourgeon printanier, n'ont pas tort de faire observer que les foules colériques qui défilent à Tunis ou au Caire ne sont pas si nombreuses.

Une raison de plus, pour ne pas être fasciné par leur indignation scénarisée, et une de moins, de s'excuser d'une faute dont on n'est pas responsable et qui ne peut qu'alimenter une colère d'abord feinte.

A ce sujet, les excuses présentées par l'ambassade des Etats-Unis au Caire, comme l'humiliante démarche de ce chef d'état-major américain, suppliant un pasteur illuminé de ne pas soutenir le film crétin au risque de déclencher l'apocalypse, en disent long sur l'état d'esprit soumis de l'actuelle administration au pouvoir à Washington.

Le fait que Mitt Romney n'ait pu mettre en cause cette culture de l'excuse érigée par Barak Obama en un dogme dont on voit aujourd'hui la piteuse vanité, sans être morigéné par une grande partie des grands médias américains, en dit également long sur l'état d'esprit qui règne aussi dans les salles de rédaction de la côte est.

Heureusement, et une nouvelle fois, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, a su dénoncer clairement la « manipulation » islamiste bien mieux que certains intellectuels contorsionnés s'obligeant à renvoyer symétriquement dos à dos un aigrefin copte et des centaines de milliers de fanatiques, dont des assassins.

 

(1)Manifestement, tout le monde ne le sait pas, puisque France 2 continuait le 13 septembre à 12h à propager la fausse information, alors que l'AFP l'avait rectifiée dès 9h30, et que, imbattable record, Patrick Le Hyaric, directeur de L'Humanité, à la fête du même nom, accusait ce dimanche16 « un cinéaste israélien d'avoir insulté l'islam » dans un discours retransmis par la chaîne LCP. Pure distraction sans doute de la part de « l’Huma » qui, on le sait, a depuis toujours le mensonge en horreur.


Source : cette chronique de Gilles William Goldnadel et quelques autres (l'enjeu des élections américaines, le silence des consciences bruyantes françaises face au massacre des civils innocents d'Alep et le départ de Richard Millet de chez Gallimard) se trouvent sur le site ATLANTICO

 

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En France, le blasphème n’existe plus par HUBERT LESAFFRE, Docteur en droit public et conseiller parlementaire

 

Non, contrairement à ce qu’envisagent certains éditorialistes, les exactions qui ont suivi la diffusion d’un pamphlet contre Mahomet sur Internet ne sauraient en aucun cas commander l’ouverture d’un débat sur les limites de la liberté d’expression.

Indépendamment de la médiocrité des images et des propos en cause dont les quelques minutes encore accessibles sur Internet montrent combien l’on est loin de la Vie de Brian des Monty Python, il faut bien mesurer une chose : non seulement il n’existe plus de délit de blasphème en France depuis 1791 puis 1881, mais encore, dans une république laïque, il n’existe tout simplement pas de blasphème.

La liberté d’expression ne saurait donc être limitée par la liberté de croyance. La seule limite en ce domaine est le respect de l’ordre public, qui prohibe l’incitation à la haine, la discrimination, ou encore l’incitation à la violence à l’égard non pas d’une religion, mais des personnes qui la pratiquent. La nuance peut paraître subtile mais elle est fondamentale, c’est le citoyen que protège la république, pas sa croyance.

Or, il faut bien mesurer que cette conception est loin d’être partagée par tous. L’Organisation de la conférence islamique (OCI) est le fer de lance du combat qui vise à faire condamner au sein des instances onusiennes l’utilisation de la liberté d’expression à des fins qu’elle juge blasphématoires. A chacune des réunions de ses ministres des Affaires étrangères, la Conférence adopte ainsi systématiquement depuis le précédent des caricatures de Mahomet deux résolutions, l’une intitulée «Lutte contre l’islamophobie et l’élimination de la haine et des préjugés à l’égard de l’islam», l’autre «Lutte contre la diffamation des religions».

Ainsi, le 25 mai 2009, condamnait-elle «dans les termes les plus énergiques tous les actes blasphématoires à l’encontre des principes, symboles, valeurs sacrées et personnages islamiques, notamment la publication des caricatures injurieuses du prophète ainsi que toutes les remarques désobligeantes sur l’islam et les personnalités sacrées et la diffusion d’un documentaire diffamatoire sur le Coran et la reprise par d’autres médias, sous le prétexte de la liberté d’expression et d’opinion».

Cette offensive est même parfois couronnée de succès, puisque l’OCI est parvenue à faire voter le 26 mars 2007 au sein du Conseil des droits de l’homme, contre évidemment les positions françaises, une résolution sur la «lutte contre la diffamation des religions»qui peut être regardée comme une remise en cause directe de la laïcité et un appel à la condamnation du blasphème. Ainsi peut-on y lire que la liberté d’expression doit s’exercer dans «le respect des religions et des convictions».

Face à cette offensive, dont nul ne doute qu’elle va redoubler de vigueur après la diffusion de ce «navet», il nous appartient de défendre avec la plus grande vigilance les valeurs qui fondent nos démocraties. Il ne faut à cet égard jamais perdre de vue, comme le rappelle avec constance la Cour européenne des droits de l’homme, que la liberté d’expression est consubstantielle à la démocratie et vaut pour les «idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent».

Aussi, ne serait-ce qu’envisager ouvrir un débat avec l’idée que l’on pourrait transiger avec nos valeurs est-il déjà une victoire des obscurantistes sur l’esprit des Lumières. Lorsque, après les attentats du 11 septembre, ont fleuri les législations antiterroristes dans tout l’Occident, l’Angleterre avait adopté un dispositif permettant de placer en détention illimitée tout étranger simplement soupçonné de terrorisme. Saisie de cette loi, la Cour suprême, et plus particulièrement lord Hoffman, avait affirmé avec force que «la réelle menace pour la Nation […] ne venait pas du terrorisme mais de ce genre de lois» qui constituait «l’exacte conséquence de ce à quoi peut aboutir le terrorisme». Et il concluait en se demandant si le «Parlement pouvait concéder une telle victoire au terrorisme» (Secretary of State for the Home Department, 16 décembre 2004).

Nous sommes là dans la même configuration. Nos Nations ne sont pas mises en danger par les réactions des extrémistes en tant que telles. Mais elles le deviendraient si nous-mêmes venions à douter de nos propres principes fondateurs, parmi lesquels figure la liberté d’expression, fut-elle du plus mauvais goût.

 

Source : Libération

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Islam : et si François Hollande se souvenait de 1453... par Rolland Jaccard

Si j’ai bien compris les propos tenus au Louvre hier par François Hollande, c’est dans l’islam qu’il faut chercher les valeurs permettant de combattre l’islamisme. C’est à peu de choses près ce que disait Barack Obama dans son discours du Caire. Il mesure aujourd’hui l’inanité de ses propos. Demain, il en sera sans doute de même pour François Hollande. Une erreur d’analyse, passablement doublée de démagogie, conduit inéluctablement à renverser le rapport de force qui oppose depuis des siècles les musulmans au reste du monde.

Comparer, comme l’ânonnent les commentateurs politiques, les affrontements entre chiites et sunnites à ceux qui opposèrent catholiques et protestants, ne me semble guère plus judicieux. Même si les interprétations du Coran peuvent millimétriquement diverger (c’est Allah en personne qui parle), il est hors de question de toucher à la figure du Prophète et de l’insulter en manifestant son impiété, voire en le blasphémant comme Charlie Hebdo nous y invite cette semaine.

La distinction classique que faisait Karl Popper entre sociétés ouvertes et sociétés fermées vaut aussi pour les religions. Ce n’est donc pas dans les vertus de l’islam qu’on cherchera des remèdes pour neutraliser les islamistes, mais dans la voix de la raison qui, comme disait Freud, est souvent affaiblie, mais jamais totalement inaudible.

Est-il enfin bien nécessaire de rappeler la date de la prise de Constantinople – 1453- par des musulmans qui avaient initialement demandé l’hospitalité à Byzance en se faisant passer pour d’humbles et misérables bergers venus des steppes ? Entrer dans le jeu rusé des musulmans jouant entre un islam modéré et un islamisme dont même les plus paisibles ou les plus lâches sont fiers, nous promet le sort réservé à Constantinople. 1453 devait être dans toutes les têtes et, surtout, dans celle de François Hollande.

Source : CAUSEUR


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Commentaires

Tout ça me laisse muette. Muette devant le manque de couilles de nos dirigeant, muette devant des attardés mentaux qui décrètent que comme Mickey Mouse est une souris et que la souris est un animal impur, on devrait interdire Disneyland et Tom & Jerry, muette devant ces même attardés mentaux qui confondent stratégie, réflexion avec hasard (eh oui, le jeu d'échecs est pour les musulmans un jeu de hasard et donc ne devrait pas être permis), muette devant leur intolérance, devant leur violence, leur arrogance et surtout devant leur culot. Culot d'exiger des heures aménagées dans les piscines municipales, culot d'exiger des menus hallal, culot d'envahir les rues en période de ramadan avec des étales de bouffe et des hauts-parleurs qui diffusent de la musique de circonstance, culot de "s'imposer" dans le RER en heure de grande affluence en train de lire le coran en chantant sans se demander si ça dérange les autres.
Dites-moi, vous connaissez vous un pays musulman où les chrétiens obtiennent du "halouf" à la cantine, des heures d'aménagement dans les piscines, des rayons de porc dans les supermarchés, la construction d'église, la prière dans la rue, et j'en passe ?!
Tous ça m'agace profondément, et le terme est faible, mais, après tout, nous n'aurons que ce que nous méritons puisque on ne dit rien, on ne fait rien et que l'on continue à voter pour des couilles-molles qui ne pensent de toute façon qu'à leurs nombrils.
Ce pays est mal barré, l'Europe est mal barrée et je me fait "un peu" de soucis pour l'avenir...

Écrit par : Irina | 19/09/2012

C'est décourageant.
Chez ceux qui tiennent encore leur ligne - ils sont rares -, le Canada a rompu ses relations diplomatiques avec Téhéran le 8 septembre. Le ministre canadien des affaires étrangères a déclaré:
"Le régime iranien fournit une aide militaire croissante au régime Al-Assad (Syrie); il refuse de se conformer aux résolutions des Nations unies concernant son programme nucléaire; il menace régulièrement l'existence d'Israël et tient des propos antisémites racistes en plus d'inciter au génocide; il compte parmi les pires violateurs des droits de la personne dans le monde; et il abrite des groupes terroristes auxquels il fournit une aide matérielle."
Le Canada rejoint la Grande-Bretagne qui avait rappelé son ambassadeur en novembre 2011.

Écrit par : Paglop77 | 20/09/2012

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