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17/09/2014

La déconnade socialope du jour...

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22:19 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ceci n'est plus une femme...

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Jugement et discernement...

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Dans les années cinquante, on pouvait comparer le niveau de développement du Congo belge avec celui des régions les plus pauvres de l’Italie méridionale

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« En Afrique, la production alimentaire a diminué d’environ 20 % depuis la décolonisation. Avant 1960, l’Afrique exportait de l’huile de palme ; aujourd’hui, elle en importe. Avant 1960, l’Afrique détenait 73 % du commerce mondial des oléagineux ; en 1985, sa part est tombée à 27 %. La production bananière elle-même a été touchée puisque l’Afrique est aujourd’hui quasiment éliminée du marché mondial. Dans chacun de ces exemples, le tournant paraît s’amorcer à partir de 1962-1964. En 1984, l’aide alimentaire fournie à l’Afrique a totalisé 3,6 millions de tonnes de céréales ! L’Afrique est la seule partie du monde où la production alimentaire croît plus lentement que la population. Quoi d’étonnant, dans ces conditions, à ce qu’en 1986, sur les trente-six pays les plus pauvres du monde, vingt-neuf aient été africains ? Dans les années cinquante, on pouvait comparer le niveau de développement du Congo belge (aujourd’hui Zaïre) avec celui des régions les plus pauvres de l’Italie méridionale, et celui du Sénégal avec celui de la Corée du Sud. Actuellement, de telles comparaisons n’ont plus de sens. L’Asie a laissé l’Afrique loin derrière elle, et l’Amérique latine elle-même, en dépit de ses énormes problèmes, est plus développée que le continent noir. »

Bernard Lugan, Afrique, l’histoire à l’endroit

 

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La force commune instituée

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« Quant à nous, nous pensons que l’État, ce n’est ou ce ne devrait être autre chose que la force commune instituée, non pour être entre tous les citoyens un instrument d’oppression et de spoliation réciproque, mais, au contraire, pour garantir à chacun le sien, et faire régner la justice et la sécurité. »

Frédéric Bastiat, La Loi

 

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C’est la fatigue qui est ma nage dans les nénuphars

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« Ce sont les vertiges qui sont mes rivières vives. C’est la fatigue qui est ma nage dans les nénuphars. La vigie qui apparait si haut, c’est mon mal, et le navire que je vois ne saignerait point par ses écubiers, si je ne perdais mes forces moi-même. »

Henri Michaux, La vie dans les plis

 

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La Force contre le Droit...

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« Et, sincèrement, peut-on demander autre chose à la Loi ? La Loi, ayant pour sanction nécessaire la Force, peut-elle être raisonnablement employée à autre chose qu’à maintenir chacun dans son Droit ? Je défie qu’on la fasse sortir de ce cercle, sans la tourner, et, par conséquent, sans tourner la Force contre le Droit. La loi c’est la Justice organisée. »

Frédéric Bastiat, La Loi

 

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La lit­téra­ture est un cer­cle fermé, un cer­cle malade

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« La sex­u­al­ité forme la total­ité du monde fan­tas­tique épico-lyrique des Ital­iens. Un écrivain orig­i­nal est un écrivain qui parvient à trou­ver une nou­velle solu­tion à un prob­lème psy­chologique dont les ter­mes ne changent jamais : l’amour, la pas­sion, l’adultère. La gamme des tonal­ités peut s’écraser dans la plus plate des pornogra­phies ou bien attein­dre le plus mièvre des clairs de lune sen­ti­men­taux. Voici les héros : le jeune gen­til­homme déca­dent, élégam­ment vicieux, la cocotte spir­ituelle, la jeune fille qui se débat entre les mœurs tra­di­tion­nelles et l’émancipation, l’épouse qui n’éprouve pas de sat­is­fac­tions suff­isantes dans le rap­port con­ju­gal et ainsi de suite. Si les Ital­iens ne veu­lent pas ennuyer leurs lecteurs, ils doivent racon­ter des his­toires de femmes, de cheva­liers et d’amours (les armes sont inter­dites et réservés aux envoyés spéciaux).

La lit­téra­ture est un cer­cle fermé, un cer­cle malade.

A lire ces livres, on a l’impression que l’Italie est un immense sérail plein de gorilles en chaleur qui font les sen­ti­men­taux, parce que le sen­ti­men­tal­isme est la voie la plus sûre pour attein­dre le but con­voité. Il sem­ble qu’à l’exception de l’activité amoureuse il n’y ait aucune autre activ­ité dans la vie, ou du moins que pour l’Arcadie artis­tique qui a fixé un mod­èle extérieur de per­fec­tion, toutes les autres activ­ités soient inférieures. Il sem­ble que la vie mod­erne dans son ensem­ble, tra­ver­sée par la fièvre du tra­vail, riche des drames spir­ituels provo­qués par la lutte des classes, par le choc des intérêts antag­o­nistes, ne puisse devenir un con­tenu artis­tique à l’exception de quelques rares cas, offerts par les pirates des porte­feuilles, mais surtout par les pirates des alcôves. Il y a un déséquili­bre dans l’activité lit­téraire qui est le résultat de la vie super­fi­cielle de la réal­ité et qui reverse sur elle une quan­tité de marchan­dise frap­pée de super­fi­cial­ité, de légèreté, de vide rhé­torique. »

Anto­nio Gram­sci, Pourquoi je hais l’indifférence

 

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La fixation autoritaire des prix...

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