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19/11/2014

À partir du moment où ça devient interdit, je mords

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« On ne va pas se mentir entre voisins. Beaucoup de gens te soutiennent parce que tu as dit du mal des Arabes, comme moi la plupart ne me soutiennent pas parce que j’en ai dit du bien. En France, l’élite adore Israël et les masses détestent les Arabes. Voilà pourquoi je me suis coupé de tous ! Pourtant, j’ai attaqué "certains" Juifs et j’ai défendu "certains" Arabes, mais ça a suffi pour m’ostraciser.
Sur ce sujet, tout le monde se sent obligé d’y aller de son petit couplet pleurnichard forcé, alors que la plupart n’en ont rien à foutre au fond, mais ça leur garantit le soutien et la "protection" des intéressés. J’espère que ceux qui ont vraiment souffert de l’Holocauste ne sont pas dupes de tous ces larbins hypocrites de la deuxième ou troisième génération qui ont sans doute un cadavre en chemise noire, brune ou vert-de-gris dans leur placard... Moi, je n’ai jamais eu peur, contrairement à beaucoup de goys zélés qui leur font toute la journée de la lèche, de dire aux Juifs ce que je pensais de leur histoire (et de leur géographie), de leur culture, de leur humour, de leur art, toutes sortes de choses que je suis tout à fait capable d’apprécier si on me laisse aussi les critiquer. À partir du moment où ça devient interdit, je mords. »

Marc-Edouard Nabe, Le vingt-septième livre

 

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