19/03/2015
Bourgeois de gauche
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Quand on est bourgeois de gauche, on n’est pas un révolutionnaire, mais on a une sensibilité révolutionnaire. Cela signifie qu’on ira risquer ni sa peau, ni sa fortune, mais on est toujours prêt à toutes les faiblesses, à toutes les compromissions, les lâchetés, pour avancer l’heure de son triomphe. Une telle disposition procure au sujet la flatteuse sensation qu’il a conscience du péril personnel où il se trouve engagé, mais qu’il se laisse déborder par son tempérament poétique. On fait ordinairement à ce genre d’imbéciles une grande réputation d’intelligence. »
Marcel Aymé, Le confort intellectuel
15:33 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Une part de notre adolescence
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Il y a toujours une part de notre adolescence à laquelle nous ne survivons pas. »
Alain de Benoist, Mémoire vive, entretiens avec François Bousquet
15:17 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Comme des fleuves qui rentrent dans leur lit naturel
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Quand nous nous fâcherions, nous reviendrions toujours l’un vers l’autre, comme des fleuves qui rentrent dans leur lit naturel. On ne peut se soustraire à la fatalité de son cœur. Tu es à moi, je suis à toi. Qu’on en souffre ou qu’on en jouisse, il le faut ; cela est. »
Gustave Flaubert, Lettres à Louise Colet
15:09 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Médias Franchouillards II...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Bravo aux journalistes franchouillards pour leur vive intelligence ! Pour leur compréhension de plus en plus grande de la Réalité et leur connaissance de plus en plus approfondie de la vérité politique ! Par exemple Libération avant-hier. Ce matin "Bibi" est vainqueur. Bérézina pour ses insupportables donneurs de leçons de morale dont Libération est l'exemple le plus grotesque, au même titre que Les Inrocks ou Télérama, ses égaux dans le grotesque caricatural !
A conserver soigneusement et à encadrer...
14:43 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (3) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Médias Franchouillards...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Ce que les Médias franchouillards ne vous montreront jamais...
14:36 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Ni xénophobie, ni ontologie révolutionnaire
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Tous les sociologues savent que lorsque deux populations différant nettement du point de vue ethno-culturel vivent l'une avec l'autre, dès que l'on dépasse un certain seuil, il en résulte des difficultés de toutes sortes : discrimination, ségrégation, déculturation, délinquance, etc. C'est dans ce genre de difficultés que se débattent les Etats-Unis. Il va sans dire qu'elles nuisent profondément à toutes les communautés en présence, à commencer par les communautés minoritaires, qui sont, dès lors, fondées à exprimer leur indignation. Dans le problème de l'immigration, je distinguerai deux aspects. Tout d'abord, une question de principe. On dit que l'immigration est indispensable à l'économie. C'est possible, encore qu'il ne soit pas certain qu'on prenne toujours en compte les coûts marginaux. Quoi qu'il en soit, une telle affirmation revient à dire que les impératifs économiques doivent être considérés comme prioritaires par rapport à tous les autres. Ce n'est pas forcément évident. Nous sommes donc, à nouveau, devant une question de choix. D'autre part, à l'heure actuelle, la formule "indispensable à l'économie" signifie en clair "indispensable au maintien de la marge bénéficiaire des grandes entreprises".
On peut donc s'étonner de la voir employée par des organisations qui se déclarent "anticapitalistes". Le rapport Massenet met l'accent sur un point important. Le recours aux immigrés n'est-il pas un recours à une énergie de substitution à l'innovation économique ? A terme, c'est l'innovation qui conditionne la compétitivité. Il y a là un risque de protectionnisme. Sous l'Empire romain, l'esclavage a freiné l'innovation, parce que, sur le moment, il était toujours plus facile d'avoir recours aux esclaves. Le retour à une telle situation serait inacceptable. Ensuite, il y a une situation de fait. On compte en France environ quatre millions de travailleurs immigrés, soit 6% de la population totale. Ils contribuent pour 56% à notre croissance démographique. Trop souvent, ces travailleurs sont traités en parias. Méprisés, exploités, parfois redoutés, ils vivent dans des conditions qui nous paraissent choquantes. Cette situation est odieuse. La présence des immigrés irnplique des devoirs réciproques. Il y a ceux qui veulent mettre "les Arabes dehors" et ceux qui, comme les gauchistes, parlent dans l'abstrait d'"hommes comme les autres" et, dès lors, refusent tout contrôle. On ne doit tomber ni dans la xénophobie ni dans l'ontologie révolutionnaire. »
13:30 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Les hommes ont mépris pour la Religion...
12:58 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
N'attendre de l'Etat que deux choses...
12:52 Publié dans Brèves Libérales | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Etat corrompu
12:50 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook