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30/08/2015

Je n’appartiens pas à une paroisse où l’on croit que tout finit par s’arranger

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Mon "optimisme", comme vous dites, n’est pas béat. Je n’appartiens pas à une paroisse où l’on croit que tout finit par s’arranger. Je vois parfaitement tout ce qui est noir dans notre époque. Je pressens, cependant, que les puissances qui pèsent négativement sur le sort des Européens seront sapées par les chocs historiques à venir. Pour parvenir à un authentique réveil, il faudra encore que les Européens puissent reconquérir leur conscience indigène et la longue mémoire dont ils ont été dépossédés. Les épreuves qui viennent nous y aideront en nous affranchissant de ce qui nous a pollué en profondeur. C’est la tâche téméraire à laquelle je me suis voué. Elle a peu de précédents et n’est en rien politique. Au-delà de ma personne mortelle, j’ai la certitude que les brandons allumés ne s’éteindront pas. Je m’en rapporte pour cela à nos poèmes fondateurs. Ils sont le dépôt de toutes nos valeurs. Mais ils constituent une pensée en partie perdue. Nous avons donc entrepris de la réinventer et de la projeter sur le futur comme un mythe créateur. »

Dominique Venner, La NRH n° 58, janvier 2012

 

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