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26/03/2024

La Souris est déglinguée — et nous aussi

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Disparition de Tai-Luc

par Laurent Schang


Cliquez sur la photo...

 

Tai-Luc, aka Nguyen Tan Tai-Luc pour l’état civil, né à Suresnes en 1958, chanteur-guitariste-parolier — et docteur en linguistique — de souche franco-britto-vietnamienne, devenu par effraction une légende vivante du rock ’n’ roll hexagonistanais (comprendre : sans l’agrément de l’industrie du disque), n’est plus. Mauvais garçons de la rue de la Grande-Truanderie ou « Princesses de la rue de Sabaïland », il va falloir faire avec.

Les dieux ont un humour cruel, qui bien souvent nous échappe. En nous enlevant notre Tai-Luc (inter)national le 1er décembre 2023, ils nous ont encore fait une blague pas drôle, de celles dont on se serait volontiers passé. Les dieux — et l’on sait depuis l’album Tambour et soleil et le morceau « Invisibles drapeaux » que Tai-Luc avait une inclination particulière pour ceux du panthéon tibéto-mongol — ou bien l’administration francilienne ?
Dans ce cas, le Raya Fan Club, sa garde prétorienne, serait en droit de demander réparation au Moloch de la rue de Lutèce. Pas en le trainant devant les tribunaux, non, à l’ancienne — ambiance concerts sauvages, début des années 80 — sur le parvis des Halles, du moins ce qu’il en reste, façon 47 rônins du troisième millénaire. Aux vengeurs, le choix des armes : Doc à bouts en fer, chaînes de mobylette, tessons de bouteilles Heineken, Kirin ou Tsingtao (de source sûre, lui-même ne buvait plus que du thé).

À quand une rue Tai-Luc ?

Quand l’absurde vire au tragique, ou l’inverse. Les faits d’abord : parce que, soi-disant, les Jeux Olympiques de Paris, les Ji-Ô-Pé en langage cuistre, l’exigeait, la préfecture de police avait « invité » les bouquinistes des quais de Seine à vider leurs boîtes sans attendre leurs avis d’expulsion. J’écris « avait » puisque, au moment où je rédige ce papier, je lis dans la presse que le préfet Nuñez est revenu sur sa menace. Ordre d’en haut. Mais allez expliquer à la famille de Tai-Luc, et j’inclus dedans tous les inconditionnels de son groupe La Souris Déglinguée (LSD), que l’icône du Punkabilly (Punk + Rockabilly), le chef incontesté, révéré même du « Parti de la Jeunesse », qui faisait aussi profession de bouquiniste, terrassé par une insuffisance respiratoire alors qu’il remontait chez lui son stock de livres, est mort d’un regrettable excès de zèle.
Pour une fois qu’il avait décidé d’obéir à une injonction « supérieure »… À notre dernière rencontre, il y a une éternité, il m’avait donné rendez-vous dans le 13è. Certains font de l’arrire-salle d’un bar leur GQ, lui c’était l’arrondissement. Nous n’étions pas amis, mais il se trouve qu’il avait goûté les questions que nous lui avions posées pour la revue Cancer !, le camarade Pierre JokerKriss et moi, au sortir d’un de ses concerts.
Je revois Tai-Luc, visage de marbre, le crâne rasé de frais, son foulard cambodgien ou krama enroulé autour du cou. Chèche, keffieh ou krama, à chacun son signe de reconnaissance, à chacun sa tribu. Et puis ce regard, qu’un Hugo Pratt aurait saisi mieux que personne d’un simple coup de pinceau. On était allé manger chinois (pour reconnaître un bon chinois, m’avait-il dit, il suffit de regarder les clients : si c’est des « Asiates », tu peux foncer), et on avait causé : des reproches qui lui avaient été adressés après un concert dans le Sud, dont la première partie avait été assurée par un groupe de R. I. F. — comme si Tai-Luc était étiquetable, lui qui fédérait tous les clans urbains en concert, pas toujours dans le calme il est vrai — ; de son album de reprises, Jukebox, qu’il avait eu la gentillesse de m’offrir dédicacé (où Lou Reed, avec ou sans le Velvet, côtoie Aznavour et des chants birmans) ; de sa récente signature avec Universal Music France. Il devait se rendre à son siège parisien, justement. Avant de nous quitter, j’ai pris une photo de lui devant l’immeuble. Sérieux comme un Gurkha en faction, on croirait qu’il s’apprête à partir en expédition dans la jungle, avec son chapeau de brousse, son bermuda et ses pataugas (et de fait, c’en fut une, d’expédition : Tai-Luc, qu’on le qualifie d’indé ou d’alter, préférait, et de loin, les militants de la cause musicale aux professionnels du divertissement de masse).
Aujourd’hui que je réécoute le disque, je me dis que Jukebox sonnait déjà comme un testament musical en 2007. Pas le sien, mais celui d’une époque, quand jukeboxes et flippers animaient encore les soirées dans les cafés enfumés.
Paris se prétend toujours capitale des arts ? Qu’elle nous le prouve donc en rebaptisant une de ses rues — dans le 13è par exemple — « rue Tai-Luc, chanteur et poète ».

 


Laurent Schang

 

Article paru dans le numéro 207 du Magazine Éléments (Avril-Mai 2024)

 

19:17 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (16) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

" des reproches qui lui avaient été adressés après un concert dans le Sud, dont la première partie avait été assurée par un groupe de R. I. F. " ???
Ben z-enfin, y a déjà de ça bien des lunes, quand je fréquentais des frappadingues vivants en lieu et place de me cautériser l'âme à l'alcool des bardes défunts, spectateurs et sectateurs de la Souris c'était loin d'être la gauche rose-aviar. C'était skins, keupons et derniers représentants des noirs zonblou dans la salle aux allures de temple du pogo voyou. Un spectacle des Déglingués c'était même risqué. Le scénariste-dessinateur Voss en a même fait une petite novelette dans un vieux Métal Hurlant spécial Rock. Enfin, plus rien ne devrait m'étonner, même vouloir boboiser la souris déglinguée...

Écrit par : restif | 29/03/2024

Ah ben si le magazine Éléments est en cours de boboisation, c’est que sa radicalité est en voie de décrépitude. À moins que ce ne soit Restif qui se radicalise dans ses postures juste pour faire son intéressant. ^^

Écrit par : Gérard | 29/03/2024

Elements ? C'est qui, c'est quoi-t-y-donc Éléments Gérard-que-je-ne connais-pas (parce si vous, vous semblez savoir qui je suis, moi j'ignore totalement qui vous incarnez noble fantôme. Aucun souvenir d'avoir jamais échangé avec votre vaste intelligence et votre immense perspicacité). Pour le reste, ce sont juste des souvenirs "du temps de ma jeunesse folle/ Du temps que j'étais estudiant", rien de plus, rien de moins etc, etc

Écrit par : Restif | 29/03/2024

Je vous ai souvent lu par le passé sur le défunt blog ilys, chez xp,chez Isabelle des Charbinières, et par extension ici. C'est surprenant que "incarnation" soit encore actif après toutes ces années.Je trouve très drôle que vous voyez en cet article une tentative de boboisation du défunt boss de LSD. Je n'ai rien voulu dire d'autre et m'en retourne à mon anonymat. Avé!

Écrit par : Gerard | 29/03/2024

Réponse à Gérard longtemps après que l'équipe ait quitté le terrain...

Pardon, mais depuis que j'ai eu l'audace de dire que l'Ukraine avait bien le droit d'être libre, ce qu'elle cherche depuis longtemps (on trouve même un Tom Clancy sur ce thème qui date de 79, ah la CIA vise de loin^^)je suis devenu paranoïaque en ces lieux, c'est idiot (disons que ma paranoïa naturel s'est accentuée); donc mea culpa, je suis exémateux de l'égo. Mais au départ, je ne visais nul autre que le journaliste qui avait présenté le souri's man avec ses mots de vigile de la démocrassouille anti Vachiste
" des reproches qui lui avaient été adressés après un concert dans le Sud, dont la première partie avait été assurée par un groupe de R. I. F. "
Or comment peut-on reprocher à La souris de laisser jouer du rock identitaire étant donné que dans son public il y a TOUJOURS eu des représentants du clan bombers-et-Doc Martins et quelques crêtes vertes pas franchement de gauche. J'ai même souvenance d'avoir un soir croisé un zig des Négresses vertes qui était loin de tenir un discours social-démocrate bien présentable. Pub Saint germain ou London Tavern, j'ai oublié où, Bacchus me pardonne.

Brefi-bréfa, des Zid y en a depuis le début de la Souris, dont les concerts étaient connus pour être un poil (un gros poil parfois) dangereux. Alors pourquoi leur reprocher d'avoir du rock iden en première partie, ça m'échappe. Mais il est vrai que de plus en plus de choses m'échappent de nos jours. C'est d'ailleurs ce qui me fait revenir encore sur le blog de Nebo malgré nos fâcheries politico-otanesquo-russe, tout simplement parce j'aime en grande partie les écrivains qu'il cite et les dessins qu'il publie et qu'il m'apparait comme encore plus désabusé que moi. Et puis il est de bonne foi, et je pressens qu'il tente de rester honnête et que ça n'est pas toujours facile pour lui. En tous cas, il est droit, il a une colonne vertébrale.

Un autre blog ou vous m'auriez pu croiser avant fermeture du lieu, le meilleur pour moi, (parfaitement infréquentable, à côté Ilys était mélanchoniste et Nebo est fan de Sardine Ruisseau) c'était Les enfants de la zone grise. J'ai appris la mort de son créateur, Stag récemment, et j'ai du mal à m'en remettre. Je suis donc heureux qu'Incarnation existe toujours.
Ouf, vous m'en avez fait écrire plus en un coup que depuis 8-10 mois. dieu vous ait en sa sainte garde (ou Le Grand Athée si vous préférez).

Écrit par : Restif | 10/04/2024

Excellent article ! Avec du souffle.

Écrit par : Rigodon | 10/04/2024

Restif, je ne comprends pas votre commentaire qui est paranoïaque. Le journaliste, dans l’article, que vous avez dû lire en diagonale, ne reproche aucunement à LSD d’avoir pris un groupe ZID en première partie, bien au contraire. Relisez, vous dites une grosse bêtise là. Il signale juste que cela lui a été ridiculement reproché à l’époque.

Écrit par : Gérard | 16/04/2024

Oui, je n’ai pas compris moi non plus.

Écrit par : Rigodon | 16/04/2024

CE n'était pas au journaliste émetteur du texte que je faisais des reproches, mais bien à ceux qu'il évoque et qui eux, ont élucubré des récriminations à l'égard de la Souris. ILs sont bien désignés dans l'article pour avoir fulminé une mercuriale politique contre le déglingos qui osa jouer avec des Zids en première partie :
" on avait causé : des reproches qui lui avaient été adressés après un concert dans le Sud, dont la première partie avait été assurée par un groupe de R. I. F. — comme si Tai-Luc était étiquetable, lui qui fédérait tous les clans urbains en concert"

La locution conjonctive de subordination "comme si..." joue ici pleinement son rôle grammaticale d'outil syntaxique d'opposition à ce qui a déjà été dit par L'AUTRE voix ici présente, précisément CONTREDITE par le scripteur :
" - comme si T.L était étiquetable lui qui fédérait" = s'entend : "Alors que TAi-Luc n'était pas étiquetable, lui qui fédérait etc". Je pointais donc non pas celui qui contait l'histoire des reproches, mais bien les crétins qui avaient fait les reproches, et je m'étonne plus que jamais que de pareils zombis du cervelet existent vu que la Souris a TOUJOURS passé pour un groupe ou les ZId et autres affreux étaient accueillis bras ouverts, skins compris - et d'ailleurs Batskin aussi , du temps qu'il avait un petit nom et n'était pas revenu dans le giron fort bourgeois de la famille.

Voilà. Maintenant, étant donné que deux personnes m'ont compris de travers, il faut bien reconnaître que j'ai FORCEMENT DU m'exprimer de travers et que tout le gloubi-boulga grammaticale dont je viens d'user (authentique au demeurant) n'est qu'une tentative sournoise de noyer le poisson de ma déconfiture dans l'eau peu reluisante du pédantisme syntaxique. A chacun ses peu reluisantes distractions...
Bon : Rigodon vous aviez raison et Gérard n'avait point tord.


Me reste à faire servir ces crasses cérébrales au renouveau de mon âme esseulée et maculée de mauvaise graisse -égoïsme, jugement sans amour des autres etc, à relire pour du Jean Climaque et à méditer sur les merveilles de l'hésychasme. DE Maôtre Echkart

Toute blague mise à part nous sommes aujourd'hui le 18 avril qui est une journée sacrée pour nombre de nos frères orthodoxes qui traversent depuis des mois de douloureuses et fratricides épreuves.

Ce sera le moment pour ceux qui l'ignorent de prendre connaissance de la Déclaration de Volos
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_de_Volos

A ceux qui désireraient approfondir un rapport d'aujourd'hui à une orthodoxie vivante, in ne peut que recommander l'un des livres de l'Archimandrite Cyril Hovorun. Hélas, il faudra en passer par l'anglais pour lire son :
Political Orthodoxies: The Unorthodoxies of the Church Coerced
ou, Eastern Christianity in Its Texts.
IL est à Yale actuellement, je crois. Il donna en 2012 un séminaire à Paris.J'ai traqué les traces de ce séminaire et ai fini par tomber sur un texte en tout point remarquable d'un certain Vladimir Cvetkovic. Par contre, si la connaissance de l'existence de ce séminaire m'a amené au texte de Cvetkovic, rien ne dit que Hovorun et Cvetkovic soient sur la même longueur d'onde. L'un m'a servi d'indice, m'a donné une piste que j'ai suivi, mais rien ne prouve qu'ils soient en accord ou même en désacord. Du peu que j'ai lu de Cvetkovic, ils semblent s'ignorer mais j'ai si peu lu ces deux hommes... En tous cas il serait peu honnête d'en faire des acolytes quelconque. Je me dois hélas de préciser ce genre de choses car l'univers de l'orthodoxie actuellement vit des temps redoutables. L 'ex agent du KGB Cyril laissera derrière lui des déchirures insurmontables pour avoir lié intimement religion et politique ultra nationaliste.
Je finis donc en me faisant, je l'espère, un peu pardonne en vous donnant (hélas en Anglais) ce texte qui ouvre un champ -à mes yeux - prodigieux :

"For decades, the standard narrative, promoted by Florovsky’s associates, Alexander Schmemann and John Meyendorff, stated that, despite his ecumenical engagement, Florovsky remained in confrontation with the West in a theological sense. Florovsky’s Neo-patristic synthesis was considered as a liberation tool of Orthodox theology from “Western captivity”.[1] This picture persisted until recently, when Matthew Baker challenged these views by arguing that Florovsky’s original idea about Neo-patristic synthesis was a program with a constitutive ecumenical dimension.[2] A common feature of all representatives of the Russian religious renaissance was the aspiration to integrate art, culture and philosophy with religion into a kind of “religious synthesis”.[3] One of the main characteristics of the later Neo-patristic synthesis was the attempt to synthesize religion or specifically Orthodox theology with modern philosophical culture. However, Florovsky developed his synthesis not by following, but by challenging Vladimir Soloviev’s “synthesis of unity” and the sophiology of Sergei Bulgakov that grew out of it. The influence of Soloviev, and through him Friedrich Schelling on Florovsky, led some scholars to wrongly conclude that the root of Neo-patristic synthesis lies in German Romanticism.[4] Precisely aware of this tendency of romanticism, which incorporates religious pathos into philosophy,[5] Florovsky criticized the Slavophile synthesis of “romanticism” and “ecclesiology”.[6] Florovsky’s interest in Western historicism and philosophical hermeneutics, and especially in the views of W. Dilthey, B. Croce and R.J. Collingwood demonstrates that he did not abandon philosophy.[7] Along with the notion of synthesis, Florovsky adopted from Soloviev the ecumenical spirit of this notion. This can be seen in his commitment to a new philosophical synthesis of the patristic thought and the Western European education.[8] The inclusion of the experience of the Catholic West into this “Orthodox synthesis”[9] created a “true ecumenical synthesis”.[10] Therefore, Florovsky’s engagement with the Western theological thought aimed to overarch the East-West divide, and the cultivation of an pro-Western and pro-ecumenical sentiment."
In : Religion / Theology
Vladimir Cvetkovic
Parisian School, Athenian School and American Orthodox Theological Diaspora
23 December 2020

https://pemptousia.com/2020/12/parisian-school-athenian-school-and-american-orthodox-theological-diaspora/

Écrit par : Restif | 18/04/2024

Mon englich étant désastreux, pouvez-vous préciser votre pensée en quelques phrases en french, précises et concises ? Et n’étant pas non plus un fin connaisseur de l’orthodoxie de quel jour sacré est-il question ? À moins que vous ne souhaitez parler qu’aux initiés ?

En toute courtoisie…

Écrit par : Rigodon | 18/04/2024

Pâques est célébré le 19 avril mais d'autres fêtes (de saints notamment)sont célébrées le 18. Et puis toutes les églises ne sont pas sur les mêmes dates ai-je cri comprendre. Vous savez, il suffit de googler, "orthodoxie, 18 avril" vous en avez pour deux minutes...

ET, non, je ne vais pas traduire le texte donné plus haut. Ça reviendrait à donner du Hegel et a le paraphraser lourdement. Là encore, si VRAIMENT ça vous intéresse, ben vous copier le texte english, vous le mettez dans la partie "à traduire" de google trad" et voilà, en moins de 5 minutes vous avez une trad potable, suffisante en tous cas. Enfin je sais pas, moi, je fais toute le temps, je m'y mets dès qu'un truc m''intéresse..

Écrit par : Restif | 18/04/2024

La Pâques orthodoxe ne peut tomber qu’un dimanche.

Tous les chrétiens orthodoxes se calent sur le calendrier Julien pour la date de Pâques, afin d’être en communion.

Cette année la Pâques Orthodoxe sera célébrée le dimanche 5 mai, au sortir de 7 semaines de jeûne.

Je ne vois pas, pour ma part, quels orthodoxes fêteraient une Pâques le 19 avril en pleine semaine… cela m’échappe complètement…

Écrit par : Nebo | 18/04/2024

Mon info date un peu (c'est le problème de ceux qui ne font que regarder en passant. Les textes mystiques, c'est autre chose, mais les fêtes...) Adhonc :
"Plus de 260 millions de chrétiens orthodoxes ont célébré Pâques, dimanche 19 avril, dans des conditions exceptionnelles, à l'image des catholiques et les protestants une semaine auparavant.19 avr. 2020". Voilà, y a du y avoir une bonne raison, j'ignore laquelle. AH mais si : probablement le corona! On l'oublie déjà celui là. Et bien joyeuse pâques DIMANCHE .

Écrit par : Restif | 18/04/2024

La date de Pâques est mobile, comme chez les catholiques. Elle bouge d’année en année…

Écrit par : Nebo | 18/04/2024

Après vérif’ sur google, le 19 avril 2020 tombait effectivement un dimanche.

Écrit par : Rigodon | 18/04/2024

Pour ceux qu'intéressent un papier simple (et en français) sur l'hésychasme

https://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/pdf/pdf_une_grande_spiritualite_orthodoxe_l_hesychasme.pdf

Écrit par : Restif | 19/04/2024

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