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07/04/2025

Chibre ou pas chibre...

=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=



 

 

Ces huit dernières années, la France a reculé de façon drastique dans tous les domaines. Nos compatriotes sont plus pauvres aujourd'hui qu'en 2017. L'immigration, cette indiscutable « Chance pour la France », a explosé avec l'entrée dans notre pays, tant légale qu’illégale, de quelques 500 000 étrangers par an. Tous en très grande majorité issus d’imaginaires sociaux totalement étrangers à notre univers mental, principalement des pays du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne.
Du coup, l’insécurité a pris des dimensions délirantes et le narco trafic est devenu l'industrie qui se porte le mieux, qui crée de nombreux emplois dans ce pays et pèse, selon les sources, entre 3 et 6 milliards par an. Des emplois précaires, certes, mais qui permettent à de multiples familles défavorisées de vivre dans les Banlieues urbaines où la Police s’aventure très difficilement. La France est à deux doigts de devenir un Narco Etat.
Un narco Etat… vous savez… ce « Monstre Froid » au sein duquel tous les corps et organes administratifs sont envahis par la puissance et l’opulence issues du trafic prohibé des drogues.

Si la France n’avait pas LVMH et l'industrie militaire, institutions que l’extrême-gauche passe son temps à diffamer, notre pays serait au même niveau que la Bulgarie ou la Roumanie en termes de balance commerciale. L'extrême-gauche n'a jamais été aussi puissante sur le plan Parlementaire, avec plus de 140 députés à l'Assemblée nationale, alors que du point de vue sociologique et sociétal elle ne représente tout au plus que 5% du corps électoral.

L’industrie fourbe de la dite culture et les perfides médias, dans leur sinistre intégralité, ont été détournés à des fins uniquement propagandistes. Ce ne sont plus que des dissimulateurs de la réalité simple et crue que les français constatent pourtant chaque jour au pas de leur porte. On se croirait aux pathétiques heures glorieuses de la Pravda Soviétique qui faisait indéfiniment l’éloge d’un système au bord du gouffre alors que tout partait progressivement à vau-l’eau et que celle-ci cachait à grands coups de slogans journalistiques la souffrance du peuple endoctriné. Nous assistons pourtant partout à la perte de sécurité basique et au recul des libertés élémentaires. Plus de 100 attaques au couteau en France par an. Du jamais vu, même au temps des « Apaches » et de « Casque d’Or »

Le cinéma a été pris en otage par une caste qui jouit de subventions faramineuses qui viennent principalement du revenu et de la sueur des français, français qui ne vont même pas voir les films que leur deniers financent.
Il m’arrive de voir certaines de ces réalisations lorsqu’elles finissent par passer à la télévision et je me dis systématiquement que ce sont des Télé-films… et aucunement des projets pour les grands écrans des salles obscures. Des scénarios abscons, des dialogues téléphonés par les opinions du moment, quelques bons acteurs qui sont là pour gagner leur vie dans le cadre de réalisations sans la moindre dimension cinématographique.

Macron, tout comme jadis Mitterrand, est un lecteur de Machiavel. Le théoricien italien conseille au Prince de promulguer discrètement des bourdonnements d’opinions extravagantes et surprenantes, voire surnaturelles, afin d’écarter l’attention de ses sujets aux réels projets qui sont les siens. Macron, tout comme Mitterrand avant lui, a bien retenu la leçon.

Quand le citoyen s'alimente dans l'insensé et dans des formes comateuses de "pseudo-sacré", il évite de considérer la réalité concrète et comptabilisable de sa patrie, et il en oublie de discerner naturellement l'indigence de ses responsables politiques.

On a mis en exergue des dieux païens issus des forces naturelles pour écarter le courroux et l’exaspération des premiers peuples civilisés quand les moissons étaient exécrables et que les pandémies foudroyaient leurs enfants.

Bien plus tard, le communisme a théorisé que les fortunés étaient obligatoirement les ennemis des pauvres. Un pathétique ressentiment effaçant le simple fait que pour avoir la possibilité de faire reculer la mouise matérielle il fallait commencer par marcher droit et se retrousser les manches.

 

 

C'est précisément ce qui me dérange dans l’affaire de l’hypothétique conversion de genre de Brigitte Macron. Je ne dis pas qu’elle n’a pas eu lieu. En fait, je m’en fous un peu. Que Brigitte ait un chibre ou non, qu’elle se le soit fait couper et remplacé par une fausse chatte, ça la regarde.

Plus cette histoire s’amplifie, plus j'ai le sentiment que c'est un mirage, si ce n’est orchestré par le couple présidentiel, tout au moins conjugué par lui, en fonction des faits qui sortent progressivement au grand jour, pour détourner le regard des français sur le fiasco et la débâcle du macronisme qui ne fait que poursuivre un peu plus les échecs politiques et sociétaux cumulés du giscardisme, du mitterrandisme, du chiraquisme, du sarkozysme et du hollandisme. 

Car tout va de plus en plus mal dans ce pauvre pays qui n’est plus que l’ombre de lui-même. Les postes à responsabilité ont été perfidement attribués à des ministres qui sont nourris au même âtre idéologique que notre président et son entourage.
Prenons l’exemple d’Eric Lombard, ministre de l’économie qui fait du surplace. Apathique. Mou. Indolent. Satisfait de lui-même comme tous les membres des élites bien placées, celles qui progressivement, depuis une cinquantaine d’années, ont fait de la France un cabinet poussiéreux où chaque règlement supposé progressiste est devenu une relique sacrée. Tout en Eric Lombard incarne la partition orchestrale et crépusculaire de la déchéance régentée, jouée sur le violoncelle dissonant d’un État obèse aux taxes dévastatrices. Ses devises semblent être sorties de la purulente gueule idéologique d’un socialiste ou d’un LFIste déterminé : « La France n’a jamais été un pays libéral ; on est un pays d’État, de protection. » « Ce ne sont pas les prélèvements obligatoires qui posent problème. » « Il n’y a pas d’agences qui ont des missions inutiles. » « La question n’est pas le nombre de fonctionnaires. » « Nous avons besoin de logements sociaux dans toutes nos villes. C’est un élément de diversité et d’inclusion. » « La France doit bien sûr rester un pays d’immigration. »

Fabuleux ! C’est un peu comme s’il avait proclamé que nous nous enfoncions un peu plus mais que, au moins, les apparences étaient sauvegardées et… après moi, le Déluge !

Lombard est le produit de notre système tombé du cul sordide de la Libération, en 1945, il est le Suprême Fonctionnaire, celui qui ne remédie à aucun problème, ne corrige rien, ne rectifie aucune erreur, il ne fait qu’essaimer les pansements, et il vous exposera avec une bienveillance supérieure et méprisante que votre difficulté, c’est que vous ne saisissez pas la supériorité ésotérique de l’appareil politique qui vous ratiboise et vous lamine. Sous son regard sûr de lui-même, chaque impôt supplémentaire est une grâce, chaque taxe nouvelle est une consécration, chaque démesure en paperasses d’apparatchik un accomplissement. Lombard est un monument historique qui commande, régente, domine encore, un gardien de Galerie ou de Musée qui se prend pour un artiste. Pour le résumer un peu mieux : il est l’évêque des extorsions et rançonnements fiscaux, car il voit dans la redistribution une forme d’accomplissement ressentimental : faire cracher les riches, les traquer si nécessaire, mettre au pas les entreprises, écraser la classe moyenne par des spoliations maquillées en Justice Sociale, dont Mahmadou et Fatoumata se satisferont grandement. Car au nom du Bien Commun, Lombard ne ménage ni ne concerte, il saigne à blanc et étouffe. « Les entreprises devront accepter une baisse de rentabilité à moyen terme. » a-t-il décrété. Lombard est le genre de pauvre type qui ferait courir un marathonien avec un poids sur la tête en lui faisant injonction de faire un effort pendant qu’assis dans son bureau il signerait les promulgations officielles en sirotant un café. Sa volonté est une volonté morbide pour coucher tout ce qui fonctionne. L’entrepreneur privé, pour lui, n’est pas un partenaire, mais un ennemi qu’il faut soumettre.

Eric Lombard est le chef d’oeuvre accompli des Gracques, ces ridicules penseurs de dernière zone, constitués en Association depuis 2007, Think-Tank qui s’est donné pour mission de « contribuer comme "groupe de réflexion et de pression" à la  modernisation de la social–démocratie en France, dans une dynamique européenne. » Tout un programme ! Ces idéologues, entre deux coupes de Champagne et une bouchée de Caviar, ont la suffisance présomptueuse de théoriser sur le peuple qu’ils n’ont jamais vu autrement que par le biais de chiffres et statistiques dans un tableau Excel. Des technocrates aux petites mains et aux petits pieds, persuadés que leur immobilisme est une tactique digne de Sun-Tzu. Ils ne construisent rien, leurs cervelles sont vides, le néant les inspire tandis qu’ils administrent l’effondrement et fêtent chaque tassement et affaiblissement comme une victoire. Ils creusent des tombes en affirmant planter des arbres, illuminant leurs visages du sinistre sourire satisfait des gestionnaires fossoyeurs qui gangrènent notre pays de leur incapacité crasseuse à créer quoi que ce soit et qu’ils doublent d’un désir fondamental de contrôler absolument tout et tout le monde.

Chacune de leurs immixtions, de leurs ingérences, de leurs interventions est un rocher de plus posé sur la sépulture de la témérité. Et pendant qu’il gèrent cette funeste chorale administrative, notre Patrie s’enfonce lentement vers l’oubli. Mais rassurez-vous, Lombard a tout prévu : l’effondrement sera régi d’une main de maître.

Autre exemple, la nomination de Richard Ferrand à la Présidence du Conseil Constitutionnel, dont les bruits de couloirs laissent entendre que Macron banderait pour un troisième Mandat Présidentiel que notre Constitution interdit depuis le Quinquennat, Ferrand serait à ce poste pour participer à une modification de la Constitution :

Richard Ferrand, qu’on se comprenne bien… ce n’est pas le gars qui s’est retrouvé embarqué dans des affaires judiciaires pour prises illégales d’intérêts ? Vous devriez jeter un oeil sur sa fiche Wikipédia. C’est drôle à défaut d’être triste.

Ce n’est pas aussi celui qui avait continué à percevoir un salaire de ces mêmes mutuelles en tant que "chargé de mission" alors qu’il était ministre ?

Et c’est bien ce mec que Macron a proposé pour être président du Conseil constitutionnel, la plus haute instance de France qui veille à la conformité des lois à la Constitution ?

Et c’est bien lui que les députés, y compris ceux du RN, ont approuvé ?

C’est bien ça ? C’est juste pour être sûr d’avoir bien compris.

Tout cela est bien pathétique !

Et puis cette panique euro-ukrainienne ! Cette volonté d’en découdre coûte que coûte avec l’Ours Russe. Cette mise à l’écart de l’Union Zéropéenne par Trump qui veut pacifier le débat, régler un conflit que je considère pour ma part comme fratricide et qui aurait pu être même pire en nombres de victimes si Poutine avait laissé les milices de Svoboda, d’Azov, les bataillons tchétchènes islamistes anti-russes présents en Ukraine depuis bien longtemps avec la bénédiction de Kiev, pratiquer le Grand Nettoyage que préparait Zelensky sous la coordination des barbouzes de la CIA, du MI6 et du SCRS canadien… Pensez-vous que quelques thuriféraires de l’Ukraine Libre et Démocratique dans les médias ou ailleurs aient abordé ces sujets ? Jamais aucun mot pour ce qu’ont dû subir les russes du Donbass de 2014 à 2022.

Mais voici que certaines informations commencent à perler : on commence à découvrir que l'Ukraine n'était qu'une vaste opération psychologique de désinformation d’une part et de blanchiment d'argent.

Poutine, quoi que l’on pense de lui, le savait.

L’État profond américain sous Obama puis sous Biden a conditionné le monde entier à croire que tout ce que pouvait affirmer la Russie était de la « désinformation ». L’État profond américain savaient que Poutine était au courant de ses manigances, alors il a fait en sorte d’armer les médias du monde entier, via la machine d'influence USAID de Soros, pour promouvoir l’idée que tout ce que disait la Russie était un mensonge et que, bien entendu, tout ce que pouvait raconter l’administration américaine était la vérité vraie.

L'État profond savait que Poutine savait, alors ils ont armé les médias contre lui, de la même manière qu'ils l'ont fait pour Trump sans grand succès auprès de l’électorat américain.

Nous venons de vivre une guerre d'information et de propagande parmi les plus avancées que histoire de l'humanité a pu subir. Il s'agissait, en réalité, de couvrir leurs propres mensonges et crimes en Ukraine. Des rétrocommissions perçues par des milliardaires sans scrupules pour alimenter leur agenda politique mondial, aux expériences en laboratoires sur des virus en passant par des collusions troubles entre les oligarques ukrainiens, les mafias locales et les groupuscules néo-nazis anti-russes. Un cirque paranoïaque à ciel ouvert. Je suis sûr qu’en grattant un peu dans ce merdier on trouverait aussitôt quelques intérêts douteux avec nos dirigeants franchouillards et Zéropéens.

  Pourtant la France reste la France. La France reste le plus beau pays du monde où il peut faire encore bon vivre. Il suffirait de virer toutes cette coterie de salopards et la perspective se dégagera aussitôt. Mais je suppose que le chibre de Jean-Michel Trogneux… pardon… la chatte de Brigitte Macron risque de demeurer l’horizon indépassable de notre douce France.

 

 

20:13 Publié dans Humeurs Littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

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