Incarnation

Ce tableau est intitulé "la jungle", mais il aurait très bien pu s'intituler "Guernica" ou le "Radeau de la Méduse", ou "Portrait de Frida Kalho en robe d'été"

A ce niveau là, ça n'a plus beaucoup d'inmportance.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 30/10/2025

Mario est un littéraliste qui s’ignore. ^^

Écrit par : Robert | 30/10/2025

Un esthète, vous vouliez dire.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 31/10/2025

Aaaah ! La torture métaphysique !

Vous devez adorez Münch en ce cas ? Non ? Münch serait à la peinture ce que Nietzsche a été pour la philosophie.

De la névrose haute en couleur !

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 31/10/2025

j'en ai vu plein, des munch (prononcez monch ou monk, je crois) à Oslo, y a peu
le mec projette ses phantasmes sur les portraits
m'étonne pas que "le cri" soit le tableau préféré des psychanalystes, ils l'ont tous en reproduction plus ou moins grande dans leur antre
non, celui qui est chouette, c'est la mort de marat
il ne vaut que par la vision qu'il donne de charlotte
bon elle est à poil, debout, à coté du lit où gît le mec
bien fournie de la touffe, rouquine du bas
des nibards comme des petites pommes
des cuisses bien fuselées, à la façon d'un petit lot à réclamer
l'autre, étalé, les bras en croix
plus que l'assassinat politique, c'est, à mon sens, la réaction après le viol
mais aucun républicon vronzais n'admettra que l'idole de la nazion ai pu s'abaisser à de telles extrémités
et pourtant.....

Écrit par : l'avatar | 31/10/2025

Si vous pensez que Charlotte Corday a couché avec Marat simplement parce qu'un tableau de Münch le suggère, je me permets de vous dire que vous n'avez rien compris à la psychologie de ces artistes à demi-tarés.

Ce n'est pas Marat et Charlotte que l'on voit sur votre tableau (assassinat de Marat), c'est Münch et sa maîtresse, une foldingue dont j'ai oublié le nom.

Et cet assassinat illustre en réalité la nature épineuse de leur relation de couple.

C'est parfaitement clair !

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 31/10/2025

Dans "les djieux ont soif" tanatole vronze évoque une situation similaire
Brave republicon s'ilenest, il évite toutefois d'aller jusqu'au bout de sa démonstration à savoir que la fin justifie les moyens
Quel que soit la fin, quels que soient les protagonistes
Et que des republicons prétendument incorruptibles ont dû faire fi de leurs principes et de leurs engagements pour tâter un peu de chair fraîche, surtout lorsqu'elle était offerte en échange de la libération d'un père, frère ou fiancé
Et que des vierges dédiées à djieu ou à ses œuvres ont dû faire taire leurs scrupules en engloutissant les membres des révolutionnaires influents pour faire libérer les mêmes père, frère ou fiancé
Parfois, les révolutionnaires faussaient le marché en liquidant en douce et de façon simultanée le père, frère ou fiancé, pendant que la monnaie d'échange se dépréciait entre leurs poignes calleuses, c'est le sujet du bouquin de tanatole vronze
Et parfois, la monnaie d'échange prenait un coup de calgon et surinait le révolutionnaire
C'est ce qui est arrivé à ce gros jouisseur de marat
Pour ça, Charlotte devrait être une icône féministe
Mais elle ne l'est pas, puisque le féminisme est un avatar de la république
Pour moi, Charlotte est une héroïne des temps antiques et moudern, au même titre que Jeanne of arc, je les chéri d'égale façon sur l'autel de mes djieux larres

Écrit par : L'avatar | 31/10/2025