Incarnation

Une façon polie de dire que c'était d'affreux niouls ou n'haigres misilmons ou animistes ou même chrestos
La faculté d'éducoration du discours public me stupéfiera toujours
Perso, j'aurais jamais pu

Écrit par : L'avatar | 19/10/2025

Avatar, vos histoires de "niouls ou n'haigres misilmons ou animistes ou même chrestos" sont drôles mais pas productives du tout. C'est dommage parce que vous êtes intelligent au demeurant.

Écrit par : Robert | 19/10/2025

Je ne prétend être ni drôle ni intelligent
Je prétend simplement vous ouvrir les yeux sur le fait racial, fait que, comme tout aveugle volontaire, vous refusez de regarder en face
Dommage
Car si c'est pas vous qui en paierez le prix, ça sera vos petits enfants

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

Ou alors, restons socialement acceptables dans nos discussions
Ne disons plus niouls ou n'haigres mais extra européens
Mais même ça, même cette édulcoration,vous condamne à encaisser une philippique
Que vous le vouliez ou non, la race, le fait racial, est au centre
Vouloir substituer un peuple par un autre, sur le même territoire, ça s'appelle de la purification ethnique (Nebo vous en parlera mieux que moi) et c'est du racisme envers le peuple autochtone, c'est à dire Nebo, moi et peut-être vous aussi
C'est tout

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

Durant le Moyen-Âge, le pays leplus cosmopolite d'Europe occidental était incontestablement l'Espagne, où deux mondes et deux continents se rencontraient, s'épousaient, dans un combat à mort.

On sait comment ça a fini.

Pour redonner un peu d'homogénéité à l'Espagne, les Rois et Reines Très Catholiques vont donc prendre une série de mesures qui aura fait date. Conversion obligatoire des muzz et des jouifs. Instauration de l'Inquisition pour contrôler la réalité des conversions. Interdictions aux conversos d'occuper des postes administratifs ou autres fonctions officielles avant que 4 générations ne se soient écoulées, jusqu'à assimlation totale des populations concernées...
Et ceux qu n'étaient pas contents n'avaient qu'à partir ! Ou mourir !

Ce sont des méthodes radicales, certes, mais il faut croire que ça leur a réussi car l'Espage entrera alors dans son Âge d'Or !

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 20/10/2025

Lorsqu'on parle des bagages kulturels et historiques des zimmigris, bagages avec lesquels ils sont rentrés chez nous (bizarre, je croyais qu'ils n'avaient plus rien, genre une main devant une main derrière), le locuteur cité plus haut (ancien dirlo de la DGSE) signifie "haine des blancs, des céfrans", l'auditeur distrait n'entend rien et la prof gauchiste qui a adopté un petit n'haigre à Haïti, elle prétend que ça n'existe pas, les bagages culturels
Et elle a raison, elle a élevé son petit n'haigre et, à la trentaine, il l'étrangle,la viole et incendie la maison "familiale "(voir les événements récents à la turballe), sans jamais avoir eu aucun contact avec Haïti mais uniquement avec le monde blanc
De toutes toutes façons, les bagages culturels n'existeront bientôt plus, soit on y foutra le feu, comme à nostre dame ou dans d'innombrables églises (mais avant c'était les chrestos qui incendiaient les temples dits païens, injuste retour des choses), soit on les volera pour desceller les gemmes et fondre le vil métal, soit on supprimera ou taxera à mort l'héritage
Pas seulement pour de vulgaires raisons pécuniaires
Mais aussi pour faire de l'homo modernus, le sapiens sapiens augmenté, un esclave de la redistribution et un décervellé
Beau travail, en définitive

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

Je rejoins vos positions, néanmoins vous divaguez en disant que les Chrétiens foutaient le feu aux temples païens.

Bien au contraire ! Les temples païens, les lieux saints, les statues, etc... étaient recyclés à fond la caisse !
Dans ma ville, le temple de Mercure est resté debout 400 encore après la fin de l'empire romain ! Jusqu'à son effondrement au IXe siècle ! Pour preuve qu'on le respectait encore quand bien même le peuple était devenu chrétien !

Il est même archi-connu et prouvé que des cathédrales telles que Chartres ou des abbayes tel que le Mont Saint Michel, ont été bâties sur des sites à très haute valeur symboliques et spirituelles païennes. En gros, nos ancêtres les gaulois vénéraient déjà leurs dieux en ces endroits !

Par alleurs, et contrairement à ce que l'on croit d'habitude, ce recyclage systématique ou presque venait essentiellement du PEUPLE, et non pas des autorités religieuses plutôt favorabes à une rupture complète avec les héritages païens. Le peuple, ou les peuples nouvellement christianisé ont voulu faire évoluer ces héritages plutôt que des les détruire, comme ça s'est vu en Islam, où il ne reste plus rien de l'Histoire païenne arabe (2500 ans de foutu en l'air.)

Dans le Nouveau Monde, il s'est passé sensiblement la même chose, quand le Temple majeur de Huichiopochtli, à Mexico, a été transformé en cathédrale Santo Domingo. Pareil au Pérou, à Cuzco.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 20/10/2025

Ça n'était certes pas le populaire qui boutait le feu aux édifices païens, basilique religieuse et civile, temples divers
Mais bien une minorité d'agité.e.s qui est, au fil du temps, devenue une véritable clericature avec ses papes, soupapes, bielles et joints de culasse
La plèbe a conservé le souvenir des djieux zanciens jusqu'à aujourd'hui (enfin, presque) dans des fontaines ressortant de sous la mousse en pays celtique, dans les avens des causses (où l'on trouve encore des offrandes néolithiques) dans les résurgences hydrauliques sardes (avec des offrandes du chalcolithique,pour le coup)
Et dans les croyances popu, ma grand mère, vieille cevenole simple et vraie, ne touchait jamais une poule noire, ce n'est qu'un exemple
C'est la prominenz, xenophile puisque ouverte au monde extérieur (sinon comment aurait elle pu entrer en contact avec les missionnaire de jesouha ?) qui a impulsé ce mouvement d'éradication du passé
Un peu comme la très glorieuse révolution vronzaise
En récupérant au passage des morceaux utiles à recycler
Les lieux, puisque le populaire était habitué à y venir lors des transhumances ou des fêtes des solstices et aussi parce qu'un lieu utilisé de longue date voit son sol aplani et stabilisé (pas de bulldozer à l'époque)
Les matériaux, une colonne cannelée, un chapiteau bien fleuri, ça trouve toujours à s'intégrer dans une façade, sinon, ça peut faire le hérisson de bas de fondations
La hiérarchie, quelques siècles de soumission sociale à un ordre liturgique ne s'envolent pas d'un claquement de doigts surtout lorsqu'on n'a netteflixe pour se dériver les pensées
Les chemins de la richesse enfin, on versait les taxes au collecteur d'impôt mandaté par le tribun local, il y avait une réversion à la plèbe sous la forme de la sportule et des munichies, il y aura ensuite la dime et la charité obligatoire, il y a aujourd'hui les mille taxes et impôts vronzais et, en contrepartie, la CAF, le RSA, le RMI et tout à l'avenant

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

Je cois que vous sous-estimez grandement l'oeuvre de destruction opérée par l'empire Romain, l'empire du Vide.

La religion des celtes (pour ne citer qu'elle), n'étaient plus que l'ombre d'elle même après le passage de l'empire romain, qui avait éliminé méthodiquement ses duides, âmes de la résistance à l'occupation.

Le christianisme s'est développé facilement justement parce que les spiritualités antiques étaient en ruine. Le matérialisme de la civilisation romaine allié aux nouveautés de la philosophie grecque ont jeté les masses dans une sorte de mondialisation avant l'heure, en créant plus de vide (spirituel) qu'autre chose.

"Je m'en lave les mains", est une phrase qui résume très bien ce que pouvait être la spiritualité offerte par le monde romain. Aujourd'hui, on dirait "Je m'en bat les couilles."

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 20/10/2025

J'm'en balek, aurait répondu pilate (pas le coach sportif, l'autre) aux encravatés du sanhedrin venus lui réclamer la tête de Jubilar et les myons de Sarkozy (détournés par Ghataffi, avant qu'il crève sous une frappe de kinjal à Krivoi-Rog, ou quelque chose comme ça, ou l'inverse, allez savoir, l'histoire est une matière très incertaine, on a du bol, ici en vronze, d'avoir des législateurs qui ont la bonté de nous l'enseigner, à coups de trique,de prison et d'amendes mais qui nous l'enseignent quand même, merde)
Tout le pourtour méditerranéen étant sous domination romaine, il eût été logique, suivant votre raisonnement, que le vide spirituel s'étendit aussi aux rivages afwicains et moyen orientaux, se substituant aux culte tridivinatoire dont on retrouve des traces physiques (voir la stèle sise à Petra, qui m'a fortement impressionné) et mentales (le père le fils le saint esprit), puis fut comblé par le culte chrestien
Or ce dernier fut balayé en moins d'un siècle
D'accord, ce furent les misilmons (ou les protomisilmons, peut-être moins versés dans l'exegese des déclarations du profet ' machin et truc sur lui, et plus habiles dans le maniement de l'épée) qui récupérerent le truc
Mais prenons un contre exemple
Sur la côte ouest du Dekan, à Madras, là où St Antoine ou ses disciples ont pris pied, dans une terre indienne de grande spiritualité (dites pas le contraire), le catholicisme perdure jusqu'à aujourd'hui, preuve que la spiritualité du monde romain (ou son absence)n'avait pas grand chose à voir avec l'instauration ou la disparition des cultes locaux

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

"Tout le pourtour méditerranéen étant sous domination romaine, il eût été logique, suivant votre raisonnement, que le vide spirituel s'étendit aussi aux rivages afwicains et moyen orientauxe"

C'est effectivement ce qu'il s'est passé. Le Christianisme est même arrivé en Chine vers l'an 70. On a d'ailleurs retrouvé la première église primitive de Chine.

https://www.eecho.fr/frise-kong-wang-shan-dessin/


Pour ce qui est de la "spiritualité hindoue", il exuste selon moi une grosse différence entre avoir une grande spiritualité et avoir une spiritualité saine d'esprit. Parce que cette fameiuse spiritualité jindoue promouvait les Castes, le sacrifice des veuves, la sodomie avec le yoga antrique, et autres joyeuseté tout droit sortie de cervaux malades et imagnatifs.

Quelques extraits de la fameuse spiritualité hindoue :

« Toutes les impuretés du paganisme, qu’avaient dénoncées les Pères de l’Église, vivaient, croissaient, multipliaient sur cette terre brûlante (l'Inde). Lorsque l’historien anglais Whiteway; ancien fonctionnaire de l’Inde, nous déclare que les Hindous étaient plus civilisés que les Portugais, de quels Hindous parle-t-il? Les Vichnouistes étaient-ils plus chastes que les Goanais, et les féroces Sivaïstes moins cruels? Les adorateurs de Kali, les sectateurs de la Main Gauche, ne poussaient-ils pas plus loin que tous les autres peuples la passion, le délire des rites obscènes et sauvages? De temps en temps, des voix s’élevaient à Goa contre les iniquités. Mais, depuis mille ans, aucune voix ne s’était élevée dans l’Inde contre le mépris ignominieux des parias. Et même quand l’Inquisition fonctionna chez les Goanais, les bûchers qu’elle alluma ne consumèrent pas autant de victimes en un siècle que ceux du Malabar n’en dévoraient en un an. Quel monstrueux chaos de peuples que cet énorme pays qui portait indifféremment d’abjects sauvages et de grands artistes, des barbares et des métaphysiciens et , comme le dit un autre Anglais, sir Alfred Lyall, quelle jungle de superstitions depuis celles qui interdisaient le meurtre d’une mouche jusqu’à celles qui se délectaient dans les sacrifices humains! Demandez-vous seulement ce que pouvaient penser les gens d’Europe quand ils voyaient des Hindous suivre leur vache, un vase de cuivre à la main, et attendre le moment de recueillir son urine pour s’en laver la tête et le visage ».André Bellesort, Saint François Xavier : l’apôtre des Indes et du Japon, (Perrin), 1917, p 96-97.


« Mentionnerai-je à cette place, quoique privé encore, le rite à la fois austère et ignoble auquel s’astreint celui qui ambitionne la propriété de sept villages, c’est-à-dire, somme toute, une petite souveraineté? Je m’en excuse, mais ne crois pas pouvoir l’omettre. Il garde la chasteté durant un an, puis verse du sperme humain dans une coquille perlière, y mêle des grains de riz et mange le tout, enduit du sampâta. « Le roi dévore ses sujets », dit la sagesse hindoue; elle ne s’en plaint pas, elle le constate, car il ne fait qu’user de son droit. Ceci est le dicton hindou mis en action ». Victor Henry, La magie dans l’Inde antique, (Editions de la Clef d’Or), 2017, p 133-134.


« Grattez un Brahmane et vous trouverez l’Hindou arrogant, dont la toute-puissance repose sur la dégradation de toute la masse indienne, dont l’existence est maintenue grâce au sang et au labeur de millions d’esclaves, dont le travail souterrain et insidieux mine les fondations mêmes de l’Inde, et dont la foi est la seule barrière qui s’oppose à la liberté d’une race persécutée ». Arthur Miles, Le culte de Civa, (Payot), 1951, p 46.


« Ensuite, à ma grande surprise, on me conduisit dans une petite pièce où on me montra respectueusement une boîte carrée et sombre. Il s’avéra que c’était les toilettes que Rama Maharishi avait utilisées pendant ses dernières années (…) D’abord je fus plutôt choqué et contrarié à l’idée que cet objet ait été préservé, mais en voyant les visages pieux regardant respectueusement et tendrement les toilettes du saint homme, je commençai à comprendre la vraie nature de l’hommage exprimé par ce peuple extraordinaire. Car en Inde il n’y a pas de divisions ; tout est naturel et a sa place dans le cosmos. Les fonctions naturelles d’un homme sont aussi sacrées et aussi dignes de respect que ses idées ». Miguel Serrano, Le Serpent du Paradis : Histoire d’un pèlerinage en Inde, (Ars Magna), 2018, p 194.


« On ne peut s’empêcher, en évoquant ces diverses pratiques, de penser aux gnostiques d’Alexandrie qu’avait vus Saint Épiphane au IVe siècle de notre ère. Eux aussi communiaient au sperme (représentant le pain) et au sang menstruel (le vin); eux aussi se marquaient le visage et le corps avec le mélange des deux substances; eux aussi, surtout, avaient le sentiment d’accomplir, ce faisant, un haut rite, la pâque parfaite, la communion véritable (réservée, il va sans dire, aux seuls initiés) ». Jean Varenne, Le tantrisme : la sexualité transcendée, (Retz), 1977, p 137.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 20/10/2025

En somme des pratiquants et pratiquantes du bukake, autrement dit éjac' faciale
Pas de quoi fouetter un chat si vous m'en croyez
J'en usais ainsi dans mes vertes années lorsque je pouvais encore séduire (on se demande comment, djieu que j'étais laid !), et fournir

Écrit par : L'avatar | 20/10/2025

Le passage sur la pisse de vache (et sa bouse aussi, je me souviens de ces bords de route, aux indes, où l'on voit des amoncellements de briques brunes, devant mon étonnement-de la tourbe, ici, dans ce pays sec comme une vulve de bonne sœur ?- le guide avait rectifié mon hypothèse "briques de bouse, une fois sec, ça peut brûler des heures ") m'a remis en mémoire le sobriquet dont les participants d'un site affectent les autochtones, ils les appellent "les chieurs de rue"

Écrit par : L'avatar | 21/10/2025