14/12/2020
Malentendu...
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13/12/2020
Que ton ombre...
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« Ce n’est qu’en rêve,
ce n’est que dans l’autre monde du rêve que je te rejoins, à certaines heures,
quand je ferme les portes
derrière moi.
Moi qui ai tant méprisé ceux qui rêvent,
me voici à mon tour ensorcelé,
pris au filet.
Avec quelles délices morbides je te fais entrer
dans la maison abandonnée pour t’aimer mille fois
d’une même façon différente !
Ces endroits que nous connaissons tous deux
chaque nuit nous attendent comme un vieux lit
et dans l’obscurité il y a des choses qui nous sourient.
J’aime te le répéter,
mes mains adorent tes cheveux,
et je te presse doucement contre moi jusqu’à mon sang.
Frêle et douce, tu étreins mon étreinte.
Mes lèvres sur tes lèvres, je te cherche encore et encore.
Parfois, c’est un souvenir. Et parfois,
c’est la fatigue de mon corps qui m’en parle.
Quand vient l’aube cruelle, tu disparais
et je n’ai plus entre mes bras que ton ombre. »
Jaime Sabines, Tarumba
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12/12/2020
Il n'y a rien d'autre
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« Il n’y a rien d’autre. Seulement une femme pour le bonheur,
seulement des yeux de femme pour le réconfort,
seulement des corps nus,
territoires où l’homme ne se lasse jamais.
Si on ne peut se consacrer à Dieu
quand on grandit,
que peut-on accorder au coeur affligé
si ce n’est le cercle de mort nécessaire
de la femme ?
Nous sommes dans le sexe, beauté pure,
cœur solitaire et propre. »
Jaime Sabines, Tarumba
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Un bouquin ?
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11/12/2020
Que nous fondions, tel un seul être, dans le ciel intact...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Cours, femme insensée, cours - va-t'en ! Cette pièce, pour la foudre, est un terrain de jeu : où donc es-tu venue ? L'amour peut disparaître dans un souffle, nous réduisant tous deux en cendres et nous pulvérisant. Qui sait? Il se peut maintenant que nous fondions, tel un seul être, dans le ciel intact ; il se peut aussi que cet aveu de l'inconcevable géant, perçant le coeur comme un épieu, éclate n'importe quand - n'importe quand ! Cours femme, cours ! Ceci, vers toi, est ma parole - pourtant adressée à moi-même. Et pas un son, bien sûr, ne s'échappe de mes lèvres. »
Lokenath Bhattacharya, Le danseur de cour
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Rouge blanc bleu ?
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10/12/2020
Un visage de femme
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ce n'était pas seulement ce rire qui faisait vibrer son corps : je vis encore une fois ses traits faiblir et se décomposer. Un visage de femme qui se met à nu alors que la personne est toute habillée a pour moi un attrait irrésistible. »
Stephen Vizinczey, Éloge des femmes mûres
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Au repos et en mouvement...
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09/12/2020
Le désir
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Avide je bois ton parfum et je prends ton visage
entre mes mains comme on serre
en son âme un miracle.
Si proche l’un de l’autre, tes yeux dans mes yeux, que c’en est brûlure.
Et pourtant tu murmures à mon oreille que je te manque.
Mystérieuse et hantée de désir tu m’appelles comme si je vivais exilé
sur une autre planète.
Femme,
quelle mer portes-tu dans le cœur et qui es-tu ?
Ô, que s’élève encore une fois le chant de ton désir,
j’écouterai ta voix
et chaque instant sera comme un bourgeon gonflé
où fleurit en vérité – l’éternité. »
Lucian Blaga, Le désir, in Les Poèmes de la lumière
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Ca tourne pas rond
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08/12/2020
Demande d'ami...
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07/12/2020
L'homme sans plaisir
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Cet homme qui sondait tout pour en extraire l’argent n’a jamais joué ni joui ; il n’aimait comme distraction que la marche, l’équitation, les sports violents. Sa seule fête était d’actionner l’opinion par des arguments et les hommes par leurs intérêts. C’est l’ambitieux, qu’on peut définir : l’homme sans plaisir. »
Maurice Barrès, Les déracinés
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Sensibilité...
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06/12/2020
Père Marc-Antoine Costa de Beauregard : « Les mots blessés du christianisme : la morale »
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Le Christianisme n'est pas réduit à la Morale... quand c'est le cas c'est une perversion...
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