07/10/2009
Afrique, bite des noirs et course vers la mort...
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
Pascal Sevran, paix à son âme, avait remué la merde à cause de ce passage tiré de son livre Le Privilège des Jonquilles paru au début de l'année 2006 : « Des enfants, on en ramasse à la pelle dans ce pays (le Niger) -est-ce un pays ou un cimetière ?- où le taux de fécondité des femmes est le plus élevé du monde, neuf enfants en moyenne par couple. Un carnage. Les coupables sont facilement identifiables, ils signent leurs crimes en copulant à tout va, la mort est au bout de leur bite, ils peuvent continuer parce que ça les amuse, personne n’osera leur reprocher cela, qui est aussi un crime contre l’humanité : faire des enfants, le seul crime impuni. On enverra même de l’argent pour qu’ils puissent continuer à répandre, à semer la mort. »
Vous vous souvenez ? Toute la meute de chiens s'était jeté sur lui, espérant le mettre en pièces. Or, voici ce qu'en pense Rosnert Ludovic Alissoutin, sénégalais, dont j'avais déjà mis en ligne un article il y a deux jours :
« (…) Parmi les africains pauvres, ce sont les plus démunis qui font le plus d’enfants. Il est courant, voire trivial, de voir une femme à peine dotée d’une alimentation équilibrée, faire, sur des années successives, sept, huit, neuf et parfois dix enfants, mettant en péril sa propre vie et celle de sa progéniture. Cette tendance à banaliser la vie en s’entourant d’une pléthore de femmes et d’enfants qu’on est incapable de nourrir s’exporte allègrement en terre étrangère. Cherchant une explication au nombre accablant d’enfants dans les ménages africains polygames en France, Gaston Kelman constate que "dans la société d’origine des immigrés, la polygamie s’accompagne toujours d’un nombre important d’enfants. La contraception, même aujourd’hui, et a fortiori il y’a une douzaine d’années, est très peu pratiquée. Les coépouses se livrent une rude compétition: à qui aura le plus d’enfants".
Au lieu de travailler pour sortir le continent d’une misère honteuse, les Africains s’entretuent pour un morceau de territoire ou de pouvoir. Des candidats à l’émigration suicidaire s’égarent dans le désert marocain pour mourir affamés, s’offrent gracieusement aux requins dans l’océan ou tombent en pièces détachées à New York après s’être accrochés aux roues d’un avion depuis Dakar…
Beaucoup d’africains prennent le SIDA pour du bluff et adoptent aisément un comportement sexuel désinvolte qui terrasse des familles entières. Des maladies mortelles comme le paludisme ou l’angine sont souverainement banalisées ; le malade, convaincu d’être victime d’un mauvais sort, préfère se doter de mixtures magiques, d’incantations mystiques ou, si le mal persiste, de médicaments de la rue périmés, et ne se rend à l’hôpital que lorsqu’il a déjà sombré dans un double coma profond. L’argument du manque de moyen est irrecevable car l’Africain dépense spontanément des sommes énormes dans les cérémonies familiales.
Et la mort est si bien accueillie que le deuil est l’occasion de mangeailles festives. Quel que soit le niveau de pauvreté, dès l’annonce du décès, l’argent est immédiatement mobilisé pour louer des tentes et des chaises, tuer des bœufs, préparer des repas copieux pendant au moins huit jours successifs. Bref, on effectue des dépenses énormes qu’on refusait de faire pour sauver le malade qui vient de mourir. Dès après l’enterrement, les faux masques de tristesse tombent et on se rend au deuil aux heures de repas, avec de jolis boubous bien parfumés pour le transformer en un lieu de retrouvailles et de réjouissances. Dans certaines ethnies, à l’occasion des funérailles, on mange, danse et boit jusqu’à tomber d’ivresse à côté de la dépouille mortelle. Un Chef d’Etat africain n’a-t-il pas esquissé de joyeux pas de danse devant les caméras du monde entier à l’occasion des funérailles de son propre père ?
Si la géographie de la mort trouve son lieu de prédilection en Afrique, c’est bien en raison du comportement des africains eux même qui laissent perdurer l’inconscience, l’imprévoyance, l’ignorance, l'indolence et le fatalisme, illustres complices de la mortalité et de la morbidité. Cette absurdité ne peut être ignorée par ceux qui travaillent pour le développement et la libération de l’Afrique: "Toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté doit commencer par leur garantir l’existence". Mais il faut avouer qu’il est bien difficile d’arrêter quelqu’un qui court à grande vitesse vers sa propre perte. »
COURSE VERS LA MORT, Rosnert Ludovic Alissoutin
Sortis de la bouche de Sevran, ou de la mienne... ces propos sont considérés par la bien-pensance d'aujourd'hui comme "douteux"... et "racistes"... mais là ils sortent de la bouche, ou de la plume, d'un Africain diplômé qui oeuvre pour le bien de son continent.
07:00 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (4) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Commentaires
Excellente note mais j'ai pas encore eu le temps d'écouter Courtillot. Ni de lire le précédent papier sur Alissoutin! ça va trop vite pour moi, ce bon blog!!
Écrit par : la crevette | 07/10/2009
"mais là ils sortent de la bouche, ou de la plume, d'un Africain diplômé qui oeuvre pour le bien de son continent."
Ouaip, et du coup, on ne le relaiera pas.
A défaut de pouvoir le diaboliser ou le culpabiliser, les médias n'en parleront pas... et de toute façon ils ont déjà oublié, maintenant c'est Tata Mimi qui est l'accusé, faut suivre.
C'est toujours bon à savoir cela dit. J'ai failli être lynché à la fac, il y a quelques années, pour avoir défendu le propos de Sevran... si j'avais su qu'un africain allait renchérir, j'aurais pu calmer les ardeurs des gauchistes beaucoup plus facilement. =)
Sinon, dans la barre de droite, "tôlier" s'écrit "taulier".
Écrit par : Lanternier | 15/10/2009
Eh non... autorisez-moi quelque fantaisie, cher Lanternier, je suis spécialiste en carrosserie de ces dames... ^^
:-)
Écrit par : Nebo | 15/10/2009
Ah, si vous aimez la tôle distendue...
Écrit par : Lanternier | 16/10/2009
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