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24/11/2009

Le Socialisme à visage humain... en toute courtoisie...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

La Parole est à ma douce Irina...

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Ségolène et ses sbires

95 boulevard Raspail : bureaux de « Désirs d’avenir » où madame Royal se rend chaque mardi. Voiture banalisée grise qui a pour habitude de se garer sur le trottoir devant l’entrée du 95. Depuis quelques jours, échafaudages et divers travaux perturbent un peu le quartier. Mardi 24 novembre 2009 au matin, le chauffeur de madame Royale la dépose à ses bureaux mais le trottoir est encombré (travaux obligent). Le chauffeur descend de la voiture et somme les ouvriers de dégager le trottoir afin de libérer « la place attitrée de madame Ségolène Royal » ! Les ouvriers expliquent qu’ils sont dans l’impossibilité de dégager tout le matériel et demandent au chauffeur de trouver une place un peu plus loin. Le chauffeur interpelle alors le plus âgé des deux ouvriers : « vous êtes bientôt à la retraite ? » l’ouvrier ne comprend pas bien... Le chauffeur : « Faites attention, madame Royale a le bras long et elle en a fait tomber plus d’un pour moins que ça ! »

Mardi 24 novembre 2009, milieu d’après-midi. Librairie Guillaume Budé, au 95 boulevard Raspail. La porte de la librairie s’ouvre, un jeune homme et une jeune femme entrent. Aucun des deux ne dit bonjour. Le jeune homme commence à coller une affiche sur la porte vitrée. La libraire, un peu surprise lui demande ce qu’il est en train de faire. Le jeune homme lui demande du scotch. Toujours pas de bonjour, ni de « m’autorisez-vous à coller cette affiche ? ». La libraire voit qu’il s’agit d’une affiche pour « Désirs d’avenir » qui indique avec une flèche qu’il faut faire quelques pas sur le boulevard pour accéder aux bureaux de madame Royal. La libraire l’informe qu’il est hors de question d’afficher ce genre de papier, que c’est une librairie et non une annexe des bureaux de madame Royal, qu’il doit se méprendre. Le jeune homme : « je le sais bien ! j’ai des directives mademoiselle ». La libraire insiste à nouveau, plus fermement cette fois et lui demande de bien vouloir décoller son affiche et de sortir. Le jeune homme, à la limite de l’hystérie : « Vous ne LA connaissez pas ! ça ne se passera pas comme ça !». La libraire : « monsieur, calmez-vous, si vous LA craignez à ce point-là, je vous conseille d’aller travailler pour quelqu’un d’autre ! ». Le jeune homme : « de toute façon ça ne m’étonne pas, vous n’avez pas bonne réputation »
(Petite parenthèse, un jour que Mâdâme Royal voulait échapper aux journalistes qui l’attendaient devant le porche du 95, la libraire en question s’est aimablement proposée de la faire sortir en douce par la librairie, qui communique dans le hall du 95)

Que dire ?! de quoi rester sans voix non devant un tel manque de respect ?! et on se dit de gôche ! On s’offusque, on demande pardon pour les actes d’autrui ! On veut « prendre la main des Français » !

Désirs d’avenir ?! eh bien certainement pas avec Ségo et sa clique !

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"Peut-être la vérité est-elle une femme qui a de bonnes raisons de ne pas vouloir montrer ses raisons." Friedrich Nietzsche

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A lire absolument, pour plus de détails, chez Medelliavitriol.com

22:54 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

Normal, faut savoir s'incliner devant l'élite.

Écrit par : laurent | 24/11/2009

Quelle salope ! Incroyable cette condescendance ! Mentalité de soviets.

Écrit par : Rezaj | 25/11/2009

Les commentaires sont fermés.