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20/02/2012

"Le petit-bourgeois socialiste et le chef syndical ne feront jamais un national-socialiste, mais le militant communiste, oui."

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=


Je me moquais d'Alain Soral, il y a quelques jours, mais doit-on être surpris qu'il en vienne à recevoir le soutiens d'un membre du PCF, le bien nommé Philippe Marx qui, depuis, se répand en excuses, déclarant qu'il ne connaissait pas ce bon Soral ? S'il ne le connaissait pas, voilà qui est grave de la part d'un responsable politique, mais nous savons bien, ici, que les gauchistes ont plutôt tendance à être irresponsables. Toute leur histoire politique le prouve. Mais ça n'est pas cela qui est intéressant dans cet incident. Ce qui est intéressant, une fois de plus, c'est que cela montre l'indéniable proximité mentale entre les Rouges et les Bruns. Rouges et Bruns que je ne porte pas dans mon coeur, en aucune manière.


Pour savoir de quoi qu'j'vous cause... voyez l'article du Républicain Lorrain...

 

Rappelons, sobrement, quelques faits indiscutables.

En 1934, Adolf Hitler soulignait bien les liens qui existaient entre le National-Socialisme et le Communisme :

« Ce n’est pas l’Allemagne qui va devenir bolchevique mais le bolchevisme qui se transformera en une sorte de national-socialisme. En plus il y a plus de liens qui nous unissent au bolchevisme que d’éléments qui nous en séparent. Il y a par-dessus tout, un vrai sentiment révolutionnaire, qui est vivant partout en Russie sauf là où il y a des Juifs marxistes. J’ai toujours fait la part des choses, et toujours enjoint que les anciens communistes soient admis dans le parti sans délai. Le petit-bourgeois socialiste et le chef syndical ne feront jamais un national-socialiste, mais le militant communiste, oui. » (Hermann Rauschning, "Hitler m'a dit")

Poursuivons dans "Mein Kampf" où Hitler se déchaîne contre le capitalisme et "la finance internationale", influencé par l’économiste allemand Gottfried Feder, qui deviendra un membre influent du parti nazi :

« A mes yeux, le mérite de Feder consistait en ceci, qu’avec une tranchante brutalité, il précisait le double caractère du capital : spéculatif, et lié à l’économie populaire ; et qu’il mettait à nu sa condition éternelle : l’intérêt. Ses déductions dans toutes les questions fondamentales, étaient tellement justes que ceux qui, a priori, voulaient le critiquer, en contestaient moins l’exactitude théorique qu’ils ne mettaient en doute la possibilité pratique de leur mise à exécution. Ainsi, ce qui, aux yeux des autres, était un point faible dans l’enseignement de Feder, représentait à mes yeux sa force. »

Toujours dans "Mein Kampf" :

« La lutte contre la finance internationale et le capital de prêt est devenu le point le plus important de la lutte de la nation allemande pour son indépendance et sa liberté économique. »

Rappelons aux adorateurs du Caporal hystérique, comme aux communistes fans de Soral, que c'est la finance internationale et le capital de prêt qui ont permis à l'Allemagne de se reconstruire, au lendemain de la seconde guerre mondiale, qu'ils lui ont donné les moyens de tenir tête à la triste Allemagne de l'Est durant la guerre froide, et que ce sont encore eux qui ont présidé à la chute de l'abominable mur de Berlin ainsi qu'à la réunification d'un Peuple séparé par les jeux morbides de Hitler comme de Staline.

16:58 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

Alain Soral est capable de tout pour faire parler de lui... Et malheureusement ça marche. Ça repose la question: est-il préférable de dénoncer les nuisibles au risque de leur faire de la pub même négative - quand on sait qu'ils font leur miel de tout -, ou vaut-il mieux les ignorer ? Je suis plutôt partisan de leur opposer un silencieux mépris.

Écrit par : Paglop77 | 21/02/2012

Les commentaires sont fermés.