20/12/2014
Centralisée, autoritaire, bureaucratisée...
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Ce pays de salauds...
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Quand Yannick Noah nous donne des leçons de morale... à l'autre bout du monde, entre les quatre murs de sa belle villa californienne.
Cliquez sur les photos et lisez...
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Au fond des lointains inaccessibles
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« Habituellement une émotion très forte éprouvée dans un rêve en brise les fils impalpables, et c’est fini : on s’éveille ; la trame fragile, une fois rompue, flotte un instant, puis retombe, s’évanouit d’autant plus vite que l’esprit — s’efforce davantage à la retenir, — disparaît, comme une gaze déchirée dans le vide, qu’on voudrait poursuivre et que le vent emporte au fond des lointains inaccessibles. Mais non, cette fois, je ne m’éveillai pas et le rêve continua, en s’éteignant ; le rêve se prolongea en traînée mourante. »
Pierre Loti, Le livre de la pitié et de la mort
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L’insondable abîme
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« Je voudrais connaître une langue à part, dans laquelle pourraient s’écrire les visions de mes sommeils. Quand j’essaie avec les mots ordinaires, je n’arrive qu’à construire une sorte de récit gauche et lourd, à travers lequel ceux qui me lisent ne doivent assurément rien voir ; moi seul, je puis distinguer encore, derrière l’à peu près de ces mots accumulés, l’insondable abîme. »
Pierre Loti, Le livre de la pitié et de la mort
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Quand le vent enfle sa voix et que la nuit s'annonce peu sûre...
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« En mer, il y a beaucoup de ces soirs-là, quand de vilaines nuées livides traînent sur l’horizon où la lumière baisse, quand le vent enfle sa voix et que la nuit s’annonce peu sûre. Alors, à se sentir isolé au milieu des eaux infinies, on se sent pris d’une vague angoisse que les crépuscules ne donneraient jamais sur terre, même dans les lieux les plus funèbres. »
Pierre Loti, Le livre de la pitié et de la mort
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