Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/08/2015

Le dentiste, Mugabe et Daesh...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

Un abruti de riche dentiste américain s'est offert un safari au Zimbabwe et a pu tuer un brave Lion dans sa savane (routine en Afrique, où les Safaris se monnaient à prix d'or)... or il se trouve que le Lion en question était un Symbole pour les habitants du pays.

Du coup, les réseaux sociaux se sont déchaînés contre le dentiste avec une violence inouïe (le petit bourgeois derrière son écran est un spécialiste de l'igorance crasse)... et, bien entendu, cette vieille raclure de Mugabe (91 ans... la vieillesse est un naufrage, mais lui est sur son radeau idéologique depuis l'accession du Zimbabwe à l'indépendance et il s'accroche à son poste comme une lente à un poil de cul... Google est votre ami... vous allez halluciner... mais vous y retrouverez toute la platitude de l'Afrique, qui est capable de profondeur, mais -- décidément -- en d'autres domaines que celui du Pouvoir Politique) exige l'extradition du dentiste histoire de se payer un blanc de plus (les fermiers blancs du Zimbabwe ne lui suffisent pas)... mais en même temps il vient de fêter son anniversaire avec moult plats culinaires locaux qui feraient vomir le moins fervent des défenseurs de la nature sauvage des quatre points cardinaux...

Pendant ce temps le massacre des chrétiens du Moyen-Orient se poursuit dans un assourdissant silence...

 

23:15 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Hommes...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

22:35 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

France, pays de la liberté

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

22:34 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Paix...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

22:33 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

5 minutes...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

Mouaaaaaahahaha ha ha ha ha ! 

 


Cliquez sur la photo

 

22:32 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Internet Connection

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

22:30 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

John John Jesse : Downtown

=--=Publié dans la Catégorie "Peinture-Sculpture"=--=

 


Cliquez sur la photo...

 

John John Jesse

14:51 Publié dans Peinture-Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

01/08/2015

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

John John Jesse : My Only Friends

=--=Publié dans la Catégorie "Peinture-Sculpture"=--=

 


Cliquez sur la photo...

 

John John Jesse

14:49 Publié dans Peinture-Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

31/07/2015

Une petite partie bien déterminée du vaste monde inerte

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Mon cousin semblait parfois ployer sous un poids énorme qui menaçait de le terrasser, et il lui fallait fuir, peut-être la canicule et l’incessante frénésie estivale, peut-être la migraine, le souvenir de nuits sordides ou quelque chose de plus sombre dont j’ignorais la nature. Il m’emmenait alors en montagne boire un café sur la terrasse d’un gîte d’étape, dans un ancien village de transhumance que traversait un sentier de randonnée. Nous y passions un moment, dans la fraîcheur des fougères, à l’ombre de grands pins. Mais son humeur restait maussade. Il ne m’adressait pas la parole. Nous reprenions sa voiture pour retourner en ville et soudain, sans que rien le laissât prévoir, au détour d’un virage, apparaissait la mer. Nous dominions le paysage, comme si nous étions suspendus dans l’air limpide, au-dessus de la route en lacets dévalant à pic à travers la forêt vers le golfe éblouissant qui s’étendait mille mètres en contrebas. Mon cousin ouvrait de grands yeux sur ce panorama qu’il connaissait depuis son enfance mais semblait découvrir à chaque fois comme si c’était la première. Il faisait une grimace incrédule, se mettait à sourire et me donnait des petits coups de poing sur la cuisse en disant, putain ! quand même, hein ? incapable d’exprimer avec davantage de clarté le sentiment qui le bouleversait et lui rendait aussi instantanément le goût de vivre, dans lequel il n’était pas difficile de reconnaître une curieuse forme d’amour qui aurait pris pour objet, non un autre être humain, mais une petite partie bien déterminée du vaste monde inerte, et dont, quoique je sois moi-même incapable de le ressentir, je devais cependant admettre l’incomparable puissance. »

Jérôme Ferrari, Le principe

 

20:15 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

20:00 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

C’était son propre de ne pas savoir choisir

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Déjà il se sentait pris par l’envie de retourner en arrière. C’était son propre de ne pas savoir choisir. Il avait toujours un geste de retard et un désir d’avance. Il ne pouvait pas compter sur soi. Son corps ne le suivait pas. De l’âme, il en avait à revendre ; vendre son âme, l’âme de Buridan... »

Antoine Blondin, L’Europe Buissonnière

 

18:43 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La Cynthia que avez fait naître de la mort même, avec la violence d’un accoucheur

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Ma nouvelle existence, celle qui me donne le bonheur de respirer dans cette chambre, de voir ce soleil rose et votre visage près du mien, c’est vous qui me l’avez donnée. La Cynthia que avez fait naître de la mort même, avec la violence d’un accoucheur, peut-être n’est-elle pas aussi belle, ni aussi désirable que celle que vous avez rencontrée à Rome, un soir, mais tant pis pour vous. Une femme, je m’en rends compte maintenant, naît deux fois. L’homme qui la révèle à elle-même, par une preuve d’amour irrécusable, est le seul qui prenne la place de son père. Et c’est pour cela qu’il est aussi le seul auquel elle puisse obéir sans discuter. »

André Fraigneau, L’amour Vagabond

 

18:23 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

John John Jesse : Dellamorte Dellamore

=--=Publié dans la Catégorie "Peinture-Sculpture"=--=

 


Cliquez sur la photo...

 

John John Jesse

14:47 Publié dans Peinture-Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

30/07/2015

On souffre tant de l’absence de ce qu’on désire

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Il me fallut rentrer dans ma chambre. Françoise m’y suivit. Elle trouvait, comme j’étais revenu de ma soirée, qu’il était inutile que que je gardasse la rose que j’avais à la boutonnière et vint pour me l’enlever. Son geste, en me rappelant qu’Albertine pouvait ne pas venir, et en m’obligeant aussi à confesser que je désirais être élégant pour elle, me causa une irritation qui fut redoublée du fait qu’en me dégageant violemment, je froissais la fleur et que Françoise me dit : "Il aurait mieux valu me la laisser ôter plutôt que non pas la gâter ainsi."

Dans l’attente, on souffre tant de l’absence de ce qu’on désire qu’on ne peut supporter une autre présence. »

Marcel Proust, La recherche du temps perdu vol. 4 – Sodome et Gomorrhe

 

23:09 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Amour régna sur mon âme

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Dès lors je dis qu'Amour régna sur mon âme ; et celle-ci fut si tôt réduite à sa dévotion, et il commença à prendre sur moi tant d'assurance et tant d'empire, par la vertu que lui donnait mon imagination, qu'il me fallait faire complètement son bon plaisir. »

« Voyez combien pour cette dame le malheureux se consume en tout son être. »

Henry David Thoreau, Vita nova

 

22:37 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ceci n'est plus une femme...

=--=Publié dans la Catégorie "Gender..."=--=

 


Cliquez sur la photo

22:30 Publié dans Gender... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Une vie de tranquille désespoir

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Qu'il est vain de s'asseoir pour écrire quand on ne s'est pas levé pour vivre. »

« Il n'est d'autre remède à l'amour que d'aimer davantage. »

« La majorité des hommes mènent une vie de tranquille désespoir. »

« L'amour est un critique sévère. La haine peut pardonner davantage que l'amour. Ceux qui aspirent à aimer ne font ni plus ni moins que se soumettre à une épreuve plus rude que n'importe quelle autre. »

« Les étoiles sont lointaines et discrètes, mais brillantes et impérissables, tout comme nos plus belles et nos plus mémorables expériences. »

Henry David Thoreau, La moelle de la vie

 

19:37 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La solitude

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« J'aime être seul. Je n'ai jamais trouvé de compagnon qui fût d'une société aussi agréable que la solitude. Pour la plupart, nous sommes plus seuls quand nous sortons parmi les hommes que quand nous restons dans notre chambre. Un homme qui pense ou travaille est toujours seul, où qu'il soit. On ne mesure pas la solitude en nombre de miles qui séparent un homme de ses semblables. »

Henry David Thoreau, La moelle de la vie

 

19:31 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Que faire des assistés ?

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

19:20 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Argumenter avec des imbéciles...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo

 

19:19 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

John John Jesse : Snake Bite

=--=Publié dans la Catégorie "Peinture-Sculpture"=--=

 


Cliquez sur la photo...

 

John John Jesse

14:47 Publié dans Peinture-Sculpture | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Un travailleur...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

Le dessin satyrique qui met, en ce moment, la Gôche en ébulition une fois encore... il leur en faut peu, vraiment peu...

 


Cliquez sur la photo

 

13:11 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

29/07/2015

En rupture de ban

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« A mon rêve [...] avait succédé un rêve de claustration libre, de solitude champêtre. Il me semblait que j’avais [...] le cœur mort avant d’avoir vécu, et qu’ayant si bien découvert, par les yeux de Rousseau, de La Bruyère, de Molière même, dont le Misanthrope était devenu mon code, par les yeux enfin de tous ceux qui ont vécu, senti, pensé et écrit, la perversité et la sottise des hommes, je ne pourrais jamais en aimer un seul avec enthousiasme, à moins qu’il ne fût, comme moi, une espèce de sauvage, en rupture de ban avec cette société fausse et ce monde fourvoyé. »

George Sand, Histoire de ma vie

 

11:06 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Les hommes ont autant peur de l'amour que de la haine

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Il doit être difficile, en effet, de rencontrer celle avec qui nous sommes idéalement prêts à nous unir, autant qu'il doit être difficile pour elle de nous rencontrer. Nous ne devrions faire montre d'aucune réserve, nous devrions nous donner entièrement à cette compagnie, nous ne devrions avoir d'autre obligation que celle-ci, la seule susceptible d'être aussi merveilleusement amplifiée chaque jour. Je ferai émerger mon amie de la partie inférieure de son être pour la mettre plus haut, infiniment plus haut, et une fois là, la connaître vraiment. Mais d'ordinaire, les hommes ont autant peur de l'amour que de la haine. Ils ont des engagements plus médiocres, des objectifs immédiats à atteindre. Ils n'ont pas assez d'imagination pour le consacrer à un être humain, mais en revanche, ils doivent réparer un tonneau, que diable ! »

Henry David Thoreau, Je suis simplement ce que je suis

 

10:56 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook