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30/06/2016

Dantec Conservateur : "Du tueur en série comme microcosme de la Modernité"

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Le 19 juin 2007, à la Librairie Ville-Marie de Montréal, eut lieu une rencontre publique organisée par "Égards, revue de la résistance conservatrice" autour de l'oeuvre de Maurice G. Dantec. La soirée débuta avec une conférence du philosophe et essayiste québécois, Jean Renaud, qui évoqua l'oeuvre de Dantec. Le titre de son intervention : "Du tueur en série comme microcosme de la Modernité"...

 


Jean Renaud nous parle de l'oeuvre de Maurice G. Dantec

 


Réponse de Maurice G. Dantec à Jean Renaud

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L'amnésie bon marché de la commémoration symbolique

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« La destruction de l'Europe par elle-même, à travers sa population juive et l'ensemble des "anormaux" ne cadrant pas avec les principes hygiénistes de la seule fédération qu'elle fut en l'état de produire (quelle misère !), conduisit à l'amnésie bon marché de la commémoration symbolique, son bavardage incessant couvrait les hurlements épouvantables des enfants jetés vivants au brasier, il permettait de produire le spectacle du souvenir et nous épargnait le devoir de vérité. Du coup un révisionnisme général dévora lentement les sociétés de l'Occident, de l'intérieur, lentement, comme un acide. Il s'attaqua aux squelettes, aux muscles, aux organes de la pensée, il acheva l'oeuvre de destruction du nazisme en instituant l'idole remplaçante du communisme, puis celle-ci à son tour déboulonnée, on continua de translater la figure sur d'autres combinaisons idéologiques, toujours plus empoisonnées, qui conduisirent aux revendications micronationales, à l'écoloterrorisme, au fondamentalisme islamique, aux diverses formes du révisionnisme postmoderne, bref vers un désastre sans analyse, une catastrophe parcellaire et sans laboratoire de narration pour la décrypter et la projeter vers son devenir. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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L'unique issue pour les hommes libres

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« Il n'existe pas dans le monde deux hommes semblables, sauf au moyen du clonage réplicatif (naturel ou artificiel) ; nous sommes non seulement irréductiblement étrangers les uns aux autres ainsi qu'à nous-mêmes, mais l'unique issue pour les hommes libres est de toujours creuser cette distance. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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Son absolue légitimité à détruire le programme, et à écrire sa propre musique

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« L'Amour est désormais si impossible qu'il se permet d'effrayer pour quelques instants souvent cruciaux, ceux qui laissent sa béance s'ouvrir en eux, sa figure nous est devenue si étrangère que nous la confondons avec notre image, et lorsque soudain, au cas où par un obscur miracle son séisme viendrait à faire trembler nos certitudes, tout ce que la société a fait de nous crie au scandale et s'acharne à mettre en doute sa primauté, son absolue légitimité à détruire le programme, et à écrire sa propre musique.
Seule la solitude-liberté-souveraineté vous permet de vous confronter avec cette vérité et d'entreprendre son dépassement. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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29/06/2016

Accoucher de rien...

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Antifas, No Borders, etc...

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The Difference...

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Droits des Crapules

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Contraste...

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28/06/2016

Le fantasme matriarcal à l'état pur

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« Le but — lorsque les Français l'exprimeront, ils apparaîtront dés lors clairement à toute la face du monde — est le suivant : supprimer l'ordre patriarcal sous la tutelle de Dieu et le remplacer par une démocratie égalitaire (le fantasme matriarcal à l'état pur) placée sous la maternelle vigilance d'une pléthore de déesses, la première d'entre toutes se nommant délicieusement déesse Raison.
Afin de ne pas choquer trop violemment le bas peuple déjà exténué par tant de crimes, on décida que Dieu désormais nationalisé grâce à son mariage avec Raison, s'intitulerait Être suprême. Autant dire président-directeur général du cosmos.
L'Etat démocratique et socialiste moderne se constitua sur ses bases, d'abord incertaines, puis prenant de la vigueur, il pondit des millions de lois en quelques dizaines de législatures, et à l'exception de quelques fulgurants progrès scientifiques, et de quelques aventures artistiques hautement géniales, l'époque appelée XX ème siècle ne laissera sans doute qu'un colossal tas de ferraille positiviste. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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Des humains dont la seule caractéristique commune est d'ordre biologique : notre génotype

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« L'Humanité, en tant qu'entité sociale, culturelle, économique, biopolitique, n'existe pas, ou n'a jamais existé ailleurs que dans la tête des "révolutionnaires" idéalistes, autant dire des névropathes totalitaires.

Ce qui existe, ce sont des humains. "Des humains dont la seule caractéristique commune est d'ordre biologique" : notre génotype, qui fait que nous appartenons tous, jusqu'à plus ample informé, à une seule et unique espèce, "homo sapiens sapiens". Pour le reste, tout nous sépare, nos langues, coutumes, histoires, mythes, religions, tout. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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27/06/2016

Ces éléphants qui se regroupent en horde

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Maurice G. Dantec est mort.

Rentré à la maison après une dure journée de labeur, je prends spontanément un de ses livres et je tombe directement, dés l'ouverture au hasard (mais est-ce, ici, un hasard ?) sur ce passage que j'avais souligné il y a 14 ans de cela lorsque je le lisais...

« En l'état actuel des choses, je ne donne pas dix ans à la France, allez... quinze, et conséquemment moins de vingt ans à la prétendue "Union européenne".

Ou les Français conduisent l'Europe à la Révolution fédérale-constituante qui lui est nécessaire, ou ils s'exileront d'eux-mêmes du processus métapolitique du XXI ème siècle. Cet exil se traduira entre autres choses par la désagrégation de l'Etat-nation dinosaurien, puis pas l'explosion armée des néonihilismes "révolutionnaires" qui se répandront comme une traînée de poudre dans tout l'espace "européen", comme au début du XX ème siècle ou à la fin du XVIII ème." »

Plus loin...

« Les "révolutionnaires" : ces éléphants qui se regroupent en horde pour briser quelque gracile porcelaine. »

Maurice G. Dantec, Le Théâtre des Opérations - Journal métaphysique et polémique 2000-2001 - Laboratoire de Catastrophe Générale

 

 

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Pазвалили союз

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24/06/2016

Une suite d'expériences unique en son genre

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« Car la vie de quelqu'un, même la plus humble, est un déroulement inédit et original d'une suite d'expériences unique en son genre. Le témoin ne peut donc juger qu'à la condition de rester témoin jusqu'au bout. Qui sait si la dernière minute ne viendra pas d'un seul coup dévaluer une vie apparemment honorable ou réhabiliter au contraire une vie exécrable ? »

Vladimir Jankélévitch, La Mort

 

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22/06/2016

La "dhimma"...

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« En 1976, étant correspondant du "Monde" en Égypte, je fus expédié au Liban pour remplacer provisoirement notre représentant local, Édouard Saâb, qui venait d’y être assassiné. On était alors au début de la longue guerre (1975-1990), non pas "civile", comme il est panurgiquement écrit partout, mais libano-palestinienne ou, pour être plus précis, maronito-islamique. Je constatai, en débarquant à Beyrouth-Ouest, que la totalité de la presse étrangère était installée en secteur "islamo-progressiste", comme répétait la doxa de l’époque, et ne mettait pratiquement jamais les pieds à Beyrouth-Est, en secteur "chrétien-conservateur"… Fidèle à l’enseignement d’Hubert Beuve-Méry, fondateur du "Monde", dont le maître-mot fut "Renvoyez les idées reçues à leurs auteurs !", je décidai d’aller voir ce qui se passait de l’autre côté de la ligne de démarcation séparant les deux Beyrouth. La première chose qui me frappa, ce fut les décalcomanies de Jésus, la Vierge ou saint-Maron, patron des catholiques maronites, apposées sur les armes des combattants. "Vous allez tuer au nom de Dieu ?", demandai-je à un jeune guerrier qui me regarda stupéfait, avant de rétorquer : "Quoi, vous venez d’Égypte, vous avez vu le sort des coptes et vous me posez une telle question ! Nous nous battons pour ne pas devenir comme les coptes, et avec l’aide de Dieu nous gagnerons !"

J’allai voir ensuite le jeune Béchir Gemayel, étoile montante des "fachos", pour Beyrouth-Ouest, et de la "résistance libanaise" pour Beyrouth-Est (et qui devait plus tard être élu président du Liban avant d’être assassiné) ; il donna raison à ses miliciens, précisant : "Nous combattons pour avoir le droit de continuer à sonner nos cloches ! Plutôt mourir que d’être dhimmi". Dhimmi en arabe, "protégé" ; dhimma : "protection", avec une nuance d’assujettissement, accordée par l’Islam depuis, croit-on, le "pacte" conclu entre des chrétiens et le calife Omar, l’un des premiers successeurs de Mahomet, pacte aussi appliqué aux autres "Gens du Livre" reconnus par l’Islam : zoroastriens, israélites et sabéens essentiellement. J’avais rencontré pour la première fois le terme "dhimma" dans les feuilles diffusées en Algérie nouvellement indépendante par ceux qu’on appellerait bientôt "intégristes" puis "islamistes" ou "djihadistes". Je me trouvais alors au service de l’administration algérienne en tant que "coopérant militaire", avant de devenir correspondant du "Monde" en Alger, où je suivis des cours d’Histoire islamique donnés par un universitaire musulman, selon lequel "on n’appliquait plus la dhimmitude nulle part au XXe siècle, sauf en Arabie"…

Je n’avais pas encore lu les ouvrages fondamentaux sur le sujet, dus à l’Egypto-levantin Jacques Tagher, au Libanais Antoine Fattal, au Palestinien de Suisse Sami Aldib, tous trois chrétiens d’Orient. Je n’avais pas non plus encore examiné in vivo la dhimmitude au quotidien. En Égypte, je fus peu aidé en cela par le mutisme des coptes, sans doute par honte vis-à-vis d’un chrétien "libre", et par crainte de représailles de la part de musulmans glosant haut et fort, eux, devant les Occidentaux, sur la "tolérance" de leur religion alors que nous, nous avions eu les Croisades, l’Inquisition, le Colonialisme, le Nazisme et tout le saint-frusquin… Aidés par une puissante cohorte d’intellos marxistes, huguenots, juifs, cathos de gauche, etc., ceux des mahométans songeant déjà à une Reconquista à l’envers de l’Europe latine, avaient vite compris qu’en culpabilisant leurs adversaires potentiels, ils les affaibliraient d’autant. La "cohorte", elle, comptait secrètement sur le pouvoir électoral des "masses musulmanes" — et ça continue sous nos yeux en France, Espagne, Belgique, etc. — pour installer durablement au gouvernement la gauche socialiste…

Ce furent, au Caire, au milieu de la décennie 1970, le père Georges Anaouati, fameux érudit dominicain égypto-levantin, conseilleur culturel de Jean Paul II, et un autre érudit oriental, Mirrit Boutros-Ghali, fondateur de la société d’archéologie copte, qui m’ouvrirent définitivement les yeux sur la terrible réalité de la dhimmitude. Désormais, en Orient, je passais une partie de mon temps à parcourir quartiers et villages mixtes où je touchai mille fois du doigt la condition de demi-citoyens des coptes et autre chrétiens, les discriminations quotidiennes dans la rue, aux champs, à l’école, dans l’administration, etc. C’est en outre parmi les coptes que je trouvai les pauvres des pauvres, même si la misère frappait aussi de nombreux musulmans. Comme je rapportais mes tristes constats à Anaouati, il me donna une sorte d’ordre : "Écrivez tout ça !". Et ce fut, en 1983, "Le Radeau de Mahomet", essai où je développais ce que j’avais déjà esquissé dans "Le Monde" sur la situation de la Chrétienté orientale. Si j’eus le soutien de mes supérieurs hiérarchiques type André Fontaine ou Michel Tatu, nombre de mes confrères, au "Monde" et ailleurs, au nom d’un “Islamo-progressisme” imaginaire, nièrent les faits que je rapportais…

En Égypte, bien sûr, mais là où me conduisaient aussi d’autres reportages : Libye, Soudan, Yémen, Pakistan, Brunei, et même dans les soi-disant États "laïques" de Syrie, Irak ou Turquie, je découvrais peu à peu, la condition dhimmie : pas de mariage ni même de flirt avec une "vraie croyante" alors que tout mâle musulman a le droit d’épouser juives ou chrétiennes dont les enfants seront obligatoirement islamisés ; pour celles de ces épouses ayant conservé leur foi native, en cas de veuvage, aucun héritage ni aucune garde des enfants ; impossibilité pour les dhimmis d’accéder à certaines professions "délicates", comme la gynécologie ou bien à des postes politiques réellement importants : le célèbre Boutros Boutros-Ghali, au rôle diplomatique mondial, ne dépassa jamais chez lui le rang de "ministre d’État" qui, au Caire, équivaut à "secrétaire d’État". Le "laïc" Nasser aggrava encore la dhimmitude en interdisant aux chrétiens d’enseigner l’arabe, "langue du coran" ; en contrepartie, si on peut dire, il interdisit à ses coreligionnaires les manifestations festives trop bruyantes lors des conversions de coptes à l’Islam. Subsistèrent les milles mesquineries paperassières, légales ou non, imposées aux constructeurs de la moindre chapelle tandis que le gouvernement continuait à encourager l’édification de nouvelles mosquées. Sous Sadate les attentats antichrétiens se multiplièrent tandis que le pape copte qui avait eu le toupet de se plaindre était assigné à résidence… Lors du renversement du président islamiste élu, Morsi, en 2013, par le maréchal Sissi, des musulmans passèrent leurs nerfs en détruisant en deux jours plus de cent édifices chrétiens dans la vallée du Nil, soit plus que durant toute la conquête arabe de cette région en 639… »

Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, La NRH, hors série n°12

Combattantes chrétiennes syriennes

 

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21/06/2016

Lorsqu’on est en plein dans la vie

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« Qui le dira ; surtout, qui le saura ? Il faut être posé comme moi au-dessus de l’humanité, il faut être à la fois parmi les êtres et disjoint d’eux, pour voir le sourire se changer en agonie, la joie devenir la satiété, et l’enlacement se décomposer. Car lorsqu’on est en plein dans la vie, on ne voit pas cela, et on n’en sait rien ; on passe aveuglément d’un extrême à un autre. Celui qui a crié ces deux cris que j’entends : "tout ! rien !" avait oublié le premier lorsqu’il a été emporté par le second. »

Henri Barbusse, L’enfer

 

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L’époque contemporaine est une agonie

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« Les groupements nationaux, unités de l’univers moderne, sont ce qu’ils sont, soit. Par la déformation grandissante, monstrueuse, du sentiment patriotique, l’humanité se tue, l’humanité se meurt, et l’époque contemporaine est une agonie. »

Henri Barbusse, L’enfer

 

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Je vieillis et je meurs, moi...

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« Vieillir, penser autrement, mourir. Je vieillis et je meurs, moi. J’ai mis longtemps à le comprendre, figure-toi. Je vieillis ; je ne suis pas vieille, mais je vieillis. J’ai déjà quelques cheveux blancs. Le premier cheveu blanc, quel coup ! Un jour, penchée à mon miroir, prête à sortir, j’ai vu sur ma tempe deux fils blancs. Ah ! c’est sérieux, cela ; c’est l’avertissement, net, en plein. »

Henri Barbusse, L’enfer

 

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20/06/2016

Moving Images...

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Change...

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Toute élévation du type "homme"...

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Don't Cry...

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19/06/2016

Ce que diront de nous les historiens futurs

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« Je rêve parfois de ce que diront de nous les historiens futurs. Une phrase leur suffira pour l’homme moderne : il forniquait et lisait des journaux. Après cette forte définition, le sujet sera, si j’ose dire, épuisé. »

Albert Camus, La Chute

 

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Convaincus de vos raisons, de votre sincérité, et de la gravité de vos peines

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« Les hommes ne sont convaincus de vos raisons, de votre sincérité, et de la gravité de vos peines, que par votre mort. Tant que vous êtes en vie, votre cas est douteux, vous n’avez droit qu’à leur scepticisme. »

Albert Camus, La Chute

 

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Ce monde moderne qui ne connaît pas le repos

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« En ce monde moderne, qui ne connaît pas le repos, en ce monde tumultueux, vous et moi nous avons pris tous les plaisirs du coeur et maintenant les voiles blanches de notre nef sont ployées et la charge de notre barque épuisée. »

Oscar Wilde, La maison de la courtisane

 

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