25/12/2016
La plus grande chose dans l'histoire de l'humanité...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
"La plus grande chose dans l'histoire de l'humanité, ce n'est pas l'homme qui a marché sur la lune, mais c'est Dieu qui a marché sur la terre en la personne de Jésus-Christ." (James IRWIN, Astronaute américain, l'un des 12 hommes qui ont marché sur la lune)
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Kings Kaleidoscope : All Glory Be to Christ
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Should nothing of our efforts stand, no legacy survive
Unless the Lord does raise the house, in vain its builders strive
To you who boast tomorrow’s gain, tell me what is your life
A mist that vanishes at dawn, all glory be to Christ!
All glory be to Christ our king! All glory be to Christ!
His rule and reign we’ll ever sing, all glory be to Christ!
His will be done, His kingdom come, on earth as is above
Who is Himself our daily bread, praise Him the Lord of love
Let living water satisfy the thirsty without price
We’ll take a cup of kindness yet, all glory be to Christ!
All glory be to Christ our king! All glory be to Christ!
His rule and reign we’ll ever sing, all glory be to Christ!
When on the day the great I Am, the faithful and the true
The Lamb who was for sinners slain, is making all things new.
Behold our God shall live with us and be our steadfast light
And we shall ere his people be, all glory be to Christ!
All glory be to Christ our king! All glory be to Christ!
His rule and reign we’ll ever sing, all glory be to Christ!
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Le Dieu d'avant les siècles
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Ta naissance, ô Christ notre Dieu, a fait resplendir dans le monde la lumière de l'intelligence.
Ceux qui servaient les astres sont instruis par l'astre de t'adorer Soleil de justice,
et te contempler, Orient venant des hauteurs : Seigneur, gloire à toi !
La Vierge aujourd'hui enfante celui qui surpasse tous les êtres
et la terre offre une grotte à l'inacessible.
Les anges le glorifient avec les bergers
et les mages font route avec l'étoile, car il est né petit enfant pour nous,
le Dieu d'avant les siècles.
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24/12/2016
Lies...
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23/12/2016
Tournée Générale...
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Alain Soral entre dans un bistrot , au bout du bar il avise un mec avec une Kippa sur la tête. Alors il annonce très fort à la cantonade : "Tournée générale... sauf pour le Juif !"
Quand tout le monde a reçu sa consommation le Juif le regarde avec un grand sourire et lui dit : "Merci beaucoup !"
Cette réaction a pour effet d’énerver Alain Soral qui répète plus fort encore : "Re-tournée générale sauf pour le Juif !"
On sert tout le monde à nouveau et le Juif remercie avec encore plus d’ostentation.
Alain Soral se penche alors vers le barman et lui demande : "Il est con ou quoi ce mec ? Chaque fois il me remercie !
-- Normal, répond le barman, c’est lui le patron !!!"
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Le Vivre Ensemble...
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Russophobie Globale...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
...et pendant ce temps-là, les chrétiens d'Alep célèbrent leur Libération...
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Tolérant...
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22/12/2016
Le Débat...
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21/12/2016
Kings Kaleidoscope : A Prayer (Explicit Version)
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
Will I fall or will I misstep?
Will I fall or will I misstep?
Will I call you with my last breathe?
Will you be there for me after?
Will I waste inside this silence?
Where the fear is fucking violent
Wicked sinner thrown to Lions
With no hope on the horizon
Will I fall or will I misstep?
If I fall or if I misstep?
If I fall or if I misstep?
Will I call you with my last breathe?
Will you be there for me after?
Cuz I'm wasting in this silence
And my fear is fucking violent
I'm a child thrown to lions
Is there hope on the horizon?
If I fall or if I misstep?
Jesus, where are you?
Am I still beside you?
I’m right beside you
I feel what you feel
And I’m here to hold you
When death is too real
You know I died too
I was terrified
I gave myself for you
I was crucified
Because I love you
I love you, child
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Cette occidentale haine de soi...
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20/12/2016
Alep
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Ich bin ein Berliner
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Combien je hais ce "bande-mou" qui nous gouverne... et combien je méprise les sous-fifres qui le vénèrent...
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Communisme...
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19/12/2016
Un autre sexe
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Rien ne prouve mieux le défaut de besoins esthétiques de notre époque, que le fait qu'Alger ne soit pas plus renommée, pour la beauté de ses filles, que Madrid ou Rome, par exemple, ne le sont pour la joliesse des leurs. À Alger, j'en ai vu de divines, et les hommes, à la même table qu'elles, ne posaient jamais leurs yeux sur elles, quand moi j'aurais frappé mon front contre terre si elles m'avaient seulement regardé une fois.
Alger, c'est la France sans doute, à quelques heures de la France. Et cependant, de ce point de vue là comme de tant d'autres, c'est une autre planète.
À Alger, on reconnaît les Françaises de France :
À leurs talons hauts ;
À leur façon de s'habiller mal ;
À la médiocrité de leurs visages et surtout de leurs corps ;
Chez les Algéroises, au contraire, une race jeune, pleine de vitalité et de vigueur. La puissance de leurs épaules, cette sorte de beauté si rare en France. Leurs cheveux de nuit et de tempête. Leurs genoux pareils au soleil levant. Et "faites au tour". Une autre race que les Parisiennes. J'allais écrire : un autre sexe.
Les Arabes, et, à leur suite, les Algériens, classent les représentants du sexe fort en deux catégories : ceux qui sont, à leurs yeux, "des hommes", et ceux qui ne sont "pas des hommes".
Ce jugement simple et tranchant est le premier qui leur vienne à la bouche, quand on leur parle de quelqu'un. "Celui-là, c'est un homme. Celui-là, c'est pas un homme". Eh bien, les femmes [françaises] d'Alger peuvent être définies en deux syllabes : ce sont "des femmes".
Il y a deux étés, les jeunes filles d'Alger allaient les jambes nues, la chaussette roulée sur la cheville. Cet été, elles ont les pieds nus dans des sandalettes en cuir clair, sans talon, qui leur donne la marche des primitifs. Parfois à la cheville est enroulé un bandage, protégeant une blessure fictive : il s'agit de faire croire qu'elles ont été happées par des poulpes.
Leurs dents blanches, quand elles rient, leurs remplissent la bouche. Les petits poils blonds de leurs bras et de leurs mollets scintillent, clairs sur la peau sombre, comme les friselis d'écume sur la surface calme de la Méditerranée. Mais elles n'oçnt pas compris ce qu'il y a de sublime, pour une jolie fille, à avoir les bras, les poignets, les mains nus, – nus comme le sable adolescent, nus comme une plante marine : elles portent aux poignets toute une ferblanterie croassante, dont rient les délicats Gros-Becs [N.d.A : En langage algérois, les Gros-Becs sont les Parisiens. Il paraît que nous avons de grands pifs]. Enfin il sort d'elles je ne sais quelle chaleur, qui me rappelle une coutume familière aux Romains : ils mettaient un corps de femme pour dix corps d'hommes, dans leurs fosses communes, afin d'attiser la combustion, parce que le corps de la femme est plus chaud que celui de l'homme. Certaines jeunes filles, si je les suis un peu, j'avance sans plus toucher terre, d'émotion ; combien de fois, ainsi pareil à une bulle d'air, ai-je ballonné le long de la rue d'Isly ! D'autres me donnent un tel enthousiasme que je saute sur place, et au sommet du saut fais un piaffement, en criant d'une voix forte : "Je la mange !..." Maintenant vous savez ce que c'est qu'un poète lyrique.
Tout ce qui précède est la "vérité vraie", comme on dit ici (ou encore : la "franche vérité"). Expression profonde, qui si gentiment, sans y toucher, mange le morceau ! C'est, je crois, l'unique contribution de l'esprit algérien à une philosophie de grande allure, mais il faut reconnaître qu'elle est considérable.
En face les Facultés, et le Lycée de jeunes filles, on a placé un arrêt de tram, afin que les gens qui attendent une jeune fille puissent avoir l'air d'attendre le tram. Et un banc, pour qu'il vous donne, lui aussi, une contenance. Et un fleuriste, destiné à vous mettre au ton convenable, qui doit être un ton résolument poétique, tel, par exemple, que celui que nous employons ici. Alentour, les arbres, brûlés par le rayonnement des jeunes filles, sont roussis en toute saison. Un photographe, qui voulait photographier pour ce livre la sortie des jeunes filles, eut plaque sur plaque voilée par ce rayonnement ; il fallut renoncer. Les jeunes filles du Lycée à onze heures. À onze et quart tout est fini. Les portes ferment leurs deux battants, et c'est un instant pathétique : on dirait qu'il y a quelque chose qui meurt, et que ces portes se sont refermées pour l'éternité sur la grâce et la jeunesse du monde. C'est là un désespoir que nous pouvons savourer avec d'autant de finesse, que nous savons que ces portae aeternales, qui se sont fermées pour l'éternité à onze heures et quart, seront rouvertes à deux heures moins vingt. »
Henry de Montherlant, Jeunes filles d'Alger, in "Il y a encore des paradis"
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La Concurrence...
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