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09/06/2019

Révélations sur l'affaire Mamoudou Gassama : les scientifiques prennent la parole !

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

Un an après... Révélations sur l'affaire Mamoudou Gassama : les scientifiques prennent la parole !

 


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Émission spéciale "Mamoudou Gassama : Que s’est-il réellement passé ?" Est-ce possible qu'un enfant de 3 ans chute d'un étage et puisse se rattraper à la rambarde du balcon du dessous? Pourquoi n'y a t-il pas eu d'enquêtes ? Des scientifiques et avocats prennent la parole dans l'émission d'André Bercoff dans tous ses états sur Sud Radio.

Valéry Rousseau : "Un enfant qui chute d’un étage pèse 120Kgs selon les lois de Newton"

André Bercoff s'interroge sur ce qui s'est réellement passé il y a un an lorsque Mamoudou Gassama a sauvé la vie d'un enfant, rue Marx-Dormoy dans le XVIIIe arrondissement. Il s'étonne notamment qu'il n'y ait pas eu d'enquête ou si peu, et que le mot d'ordre ait été : "Circulez, y'a rien à voir !"

Le scientifique Valéry Rousseau, professeur à l'Université de Loyola aux USA a publié un calcul sur un site scientifique (https://arxiv.org/pdf/1807.05502.pdf...) qui démontre qu'il est, selon les lois de la physique, impossible qu'un enfant chute d'un étage et se rattrape à la rambarde du balcon de l'étage du dessous. André Bercoff lui donne la parole.

"Un enfant qui chute d’un étage pèse 120Kgs selon les lois de Newton"...

Florence Vivès : une chute d'un étage... ses mains auraient été pulvérisées

Un avis que partage Florence Vivès, docteur en physique, inspecteur nucléaire à l'ONU :

"Une chute d'un étage... ses mains auraient été pulvérisées (...) On ne va tout de même pas remettre en question les lois de la physique et donc celles qui régissent l'univers qui nous entoure, pour satisfaire au desiderata de la bien-pensance, nous explique t-elle."

Florence Rault : "Dans cette histoire, on est dans le miracle permanent, personne ne se pose de question, aucune expertise n'est demandée, ce qui est étonnant"...

Pour Me Florence Rault, avocate pénaliste au barreau de Paris, cette affaire pose des questions :

"Personne ne s'est demandé comment un tel miracle a pu se produire. Oui, on peut parler de miracle, on y croit ou on n'y croit pas, mais c'est vrai que lorsqu'on écoute les experts, ça paraît assez difficile d'imaginer que cet enfant ait pu, comme ça, dégringoler d'un étage, se rattraper comme un acrobate aguerri sans perdre ses tongs, ne présenter aucune blessure... Or si tant est que cela se soit déroulé comme on le dit, il aurait dû présenter des blessures aux mains et certainement aux pieds. Tout ça me semble très improbable."

Elle poursuit son explication :

"C'est un joli conte de fée. Un enfant a été miraculeusement sauvé, c'est formidable. Et on a un jeune garçon qui a escaladé la façade de cet immeuble de manière incroyable (...) Mais pour autant, une fois qu'on a tous donné dans l'émotion et qu'on a tous compati, c'est vrai que des questions se posent.

Il est surprenant qu'il n'y ait pas eu, au minimum, une information d'ouverte. On l'entend à longueur d'ondes. Dès qu'il se passe le moindre fait quelconque, une information est ouverte, le procureur s'exprime et réclame que justice soit faite (...). Là miraculeusement. Dans cette histoire, on est dans le miracle permanent, personne ne se pose de question, aucune expertise n'est demandée, ce qui est étonnant."

Selon André Bercoff, ce qui a été frappant, c'est que tout a été clos dans l'émotion. Mais est-ce que c'est comme cela que l'on opère, habituellement ? "Normalement non", répond Me Rault.

"Ce qui me choque aussi, au-delà du fait qu'il n'y ait pas eu la moindre question posée sur la chute elle-même, je me rends compte que, dans tout un tas d'autres circonstances, la moindre défaillance des parents entraîne l'intervention de l'aide sociale à l'enfance, des éducateurs, des juges pour enfants...".

"Oui, le père a été sanctionné vite fait bien fait et, en même temps, on ne lui a pas retiré son enfant ou fait en sorte que des mesures soient prises pour l'accompagner dans sa parentalité. L'enfant a été mis dans une situation de danger extrême, malgré tout. Il est tout de même resté accroché, risquant une mort certaine (...). On est vite passé sur le rôle du père et sa défaillance. On ne sait pas du tout, aujourd'hui, ce que fait cet enfant ni comment le père s'en débrouille."

 

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SOURCE : SUD Radio

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Cliquez ici pour écouter l’invité d’André Bercoff dans son intégralité en podcast.

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Un énorme rouage

=--=Publié dans la Catégorie "Friedrich Nietzsche"=--=

 

« Il y a nécessité à démontrer qu'une consommation toujours plus grande d'hommes et de quantités humaines, qu'une "machinerie" des intérêts et de productions toujours plus enchevêtrée se complètent par un mouvement de réaction. J'entends par ce mouvement une mise à part de l'excédent de luxe de l'humanité : c'est là que doit naître à la lumière une espèce plus forte, un type supérieur, qui est soumis à d'autres conditions de conservation et de formation que l'homme de la moyenne. Mon idée, mon symbole pour ce type est, comme on sait, le mot "surhumain".

Sur ce premier chemin que l'on peut maintenant embrasser complètement du regard naît l'assimilation, l'aplatissement, la chinoiserie supérieure, l'humilité des instincts, la satisfaction dans l'amoindrissement de l'homme, — une sorte d'immobilité dans le niveau de l'homme. Lorsque nous serons parvenus à cette administration générale et économique de la terre qui nous attend inévitablement, l'humanité, en tant que mécanisme, pourra trouver au service de celle-ci son sens le plus propre : — car elle sera alors un énorme rouage, composé de pièces toujours plus petites, d'une "adaptation" toujours plus subtile, qui rendra de plus en plus superflus tous les éléments qui commandent et dominent; étant devenue un ensemble d'une force énorme dont les différents facteurs représentent des forces minimales et des valeurs minimales.

En opposition à cet amoindrissement, à cette adaptation de l'homme, à cette utilité plus spécialisée, un mouvement contraire est nécessaire — la production de l'homme synthétique qui résume et justifie, de l'homme pour qui cette machinisation de l'humanité est une condition d'existence, car c'est sur cette base qu'il pourra inventer sa forme supérieure d'exister...

Il a besoin de l'antagonisme de la masse, il a besoin des hommes "nivelés" et du sentiment de distance à l'égard de ceux-ci ; il se place sur eux, il vit sur eux. Cette forme supérieure de l'aristocratisme est celle de l'avenir. — Au point de vue moral, cette machinerie générale, cette solidarité de tous les rouages représentent un maximum dans l'exploitation de l'homme : mais elles supposent qu'il y a des hommes en faveur de qui cette exploitation a un sens. Dans l'autre cas, elle ne serait effectivement qu'un amoindrissement général dans la valeur du type homme, — un phénomène de régression d'une grande allure.

— On voit que ce que je combats, c'est l'optimisme économique : comme si, avec les dépenses croissantes de tous, l'utilité de tous devait aussi croître nécessairement. Le contraire me semble être le cas : les dépenses de tous se résument en un déficit général : l'homme s'amoindrit — de sorte que l'on finit par ne plus savoir à quoi a bien pu servir cet énorme processus. Un pourquoi ? un nouveau pourquoi ? — c'est là ce dont l'humanité a besoin. »

Friedrich Nietzsche, "Livre quatrième : Discipline et sélection" in La Volonté de Puissance

 

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Sacré Yannick !

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Ce dessin date du début des années 80, au moment où Yannick Noah remporta le tournoi de Roland-Garros. Serait-il possible aujourd'hui ? J'en doute !

 


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Philippe Vuillemin

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Accomplissement...

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Un monde où une femme peut être un homme et un homme une femme est un monde accompli...

 


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Diagnostic Prophétique

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« Pourquoi les faibles sont victorieux

En somme les malades et les faibles sont plus compatissants, plus "humains" — ; les malades et les faibles ont plus d'esprit, ils sont plus changeants, plus multiples, plus divertissants, — plus méchants; ce sont les malades qui ont inventé la méchanceté. (Une précocité maladive se rencontre souvent chez les rachitiques, les scrofuleux et les tuberculeux). L'esprit est le propre des races tardives : les juifs, les Français, les Chinois. (Les antisémites ne peuvent pas pardonner aux juifs d'avoir de l'esprit — et de l'argent. Les antisémites — c'est un nom que se donnent les "déshérités").

Les malades et les faibles ont eu pour eux la fascination, ils sont plus intéressants que les bien portants ; le fou et le saint — les deux espèces d'homme les plus intéressantes... ayant quelque parenté avec le "génie". Les grands "aventuriers et criminels" et tous les hommes, avant tout les mieux portants, sont malades à certaines époques de leur vie ; — les grands mouvements de l'âme, les passions de la puissance, l'amour, la vengeance, sont accompagnés de troubles profonds... Et pour ce qui est de la décadence, tout homme qui ne meurt pas trop tôt la représente presque à tous les points de vue — il connaît donc aussi, par expérience, les instincts qui en font partie. Pour la moitié de presque toute vie humaine l'homme est décadent.

Il y a aussi la femme ! Une moitié de l'humanité est faible, essentiellement malade, changeante, inconstante, — la femme a besoin de la force pour s'y cramponner, il lui faut une religion de la faiblesse qui la glorifie, comme s'il était divin d'être faible, d'aimer et d'être humble, — la femme règne si elle parvient à subjuguer les forts. La femme a toujours conspiré avec les types de la décadence, avec les prêtres, contre les "puissants", les "forts", les hommes —. La femme met à part les enfants pour le culte de la piété, de la compassion, de l'amour ; — la mère représente l'altruisme d'une façon convaincante...

Il y a encore la civilisation qui va en augmentant. Elle apporte nécessairement avec elle l'augmentation des éléments morbides, la psycho-névrose et la criminalité. Il se forme une espèce intermédiaire, l'artiste, séparé de la criminalité en action, par la faiblesse de volonté et la crainte sociale, il n'est pas encore mûr pour la maison d'aliénés, mais il étend avec curiosité ses antennes dans les deux sphères. C'est un curieux produit de la culture, cet artiste moderne, peintre, musicien, avant tout romancier, qui emploie pour caractériser sa façon d'être le terme très impropre de ce "naturalisme"...
Le nombre des déments, des criminels et des "naturalistes" augmente : c'est le signe d'une culture grandissante qui s'avance à pas de géant, — c'est-à-dire que le rebut, les déchets, les excréments prennent de l'importance — le courant descendant tient le pas.

Il y a enfin le brouillamini social, conséquence de la Révolution, de l'établissement des droits égaux, de la superstition de "l'égalité entre les hommes". On voit se confondre les représentants des instincts de décomposition (du ressentiment, du mécontentement, de la destruction, de l'anarchisme, du nihilisme), avec ceux d'esclavage, de lâcheté, de ruse, les instincts canailles des couches longtemps maintenues en bas ; tout cela se mêle au sang de toutes les classes : après deux ou trois générations la race est méconnaissable, — tout est encanaillé. De tout cela résulte un instinct général qui se dirige contre le choix, contre les privilèges de tout ordre, et cet instinct agit avec tant de puissance et de sûreté, il est si dur et si cruel dans la pratique, que les privilégiés eux-mêmes finissent par se soumettre de fait. Ce qui veut se maintenir dans la puissance flatte la populace, travaille avec la populace, est forcé d'avoir la populace de son côté, — les "génies" avant tout : ils deviennent les hérauts des sentiments, qui servent à enthousiasmer la masse, — le ton de pitié, la vénération même en face de tout ce qui souffre, de tout ce qui a vécu bas, méprisé, persécuté, ce ton s'élève au-dessus de tous les autres tons (types : Victor Hugo et Richard Wagner). — La montée de la populace signifie encore une fois la montée des valeurs anciennes... »

Friedrich Nietzsche, "Livre quatrième : Discipline et sélection" in La Volonté de Puissance

 

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Racket

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Pauvreté et abondance...

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