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26/09/2025

TED NUGENT : Double Live Gonzo (1978) - Full Album

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L'album du jour...

 

11:10 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (25) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

J’avais jamais écouté Ted Nugent. Je connais juste ses positions conservatrices et sa défense du port d’armes aux USA. Mais sa musique a l’air bien furieuse pour l’époque. Le Rock c’est pas juste un truc de gauchiste en fait. ^^

Écrit par : Joss | 26/09/2025

Le rock est un truc de blanc
Donc brut déco, et plus si affinités, voir le métal
Violent mais pas de façon explicite
Les gauchos, n'haigres mentaux, sont plutôt rap, qui n'est pas moins violent, mais encore moins subtil (si c'est possible)

Écrit par : L'avatar | 27/09/2025

Le Rock est une invention de noir réadaptée par les blancs. Ça s’appelait, en passant, avant, le rythme ‘n blues.

Écrit par : Robert | 28/09/2025

Robert…

C’est exact…

Écrit par : Nebo | 28/09/2025

Qui aurait l'idée d'associer rock et noir ?
Personne
Qui aurait l'idée d'associer rap et blanc ?
Jazz et blanc ?(là je sais que je vais m'attirer les foudres et les excommunications), valse et noir ?
Voilà
Question répondue

Écrit par : L'avatar | 28/09/2025

Le Rock existait bien avant les années 50, il était joué par les noirs américains sous le terme Rhythm and Blues qui, comme son nom l’indique, était du blues rythmé.

Les premiers artistes évoluant dans ce style étaient des gens comme Chuck Berry, Bo Diddley, Little Richard, Ike Turner, Fats Domino…

Afin de faire accepter cette musique par les blancs et leurs médias de l’époque, un disc-jockey blanc qui avait une émission de Radio très populaire où il passait ces artistes noirs eut l’idée de renommer le fameux Rhythm and Blues en Rock and Roll afin d’en exagérer la "nouveauté".


D’ailleurs, parmi les plus grands Hits et autres succès de l’époque chantés par des artistes blancs figuraient de très nombreux titres créés à l’origine par des artistes noirs connus ou moins connus. Le titre avec lequel Elvis Presley attira d’abord l’attention dans les états du sud dès 1954, aux premiers instants de sa carrière, était une reprise d’un noir, Arthur Crudup, «That’s alright Mama ».


Jusqu’aux Beatles, le Rock chanté par les blancs reprenait texto sensu les trois accords du blues (I-IV-V), les structures à 12 mesures et les rythmes issus des Gospels d’églises évangéliques. Il faut entendre pour s’en assurer les morceaux de Sister Rosetta Tharpe.

https://youtube.com/shorts/jzcOm4hM6NY?si=pJGdHM9mAT9YphJE


Ça n’est qu’à partir des Beatles que le Rock a reçu sa vibration britannique et un foisonnement d’accords et d’arrangements qui empruntaient plus à des traditions musicales européennes… puis même mondiales lorsque le Rock s’ouvrit aux intonations indiennes et arabisantes. Les Beatles à partir de 1965, par exemple pour l’Inde, Led Zeppelin dès 1971 avec leur chanson « Friends » ou leur sublime « Kashmir » (1975).

Juste quelques exemples…

https://youtu.be/B3sim5BOTl8

https://youtu.be/-dLYkIzQ554?si=zmRNtUp3sm_JwqAg

https://youtu.be/SsaFBNvhceA?si=YXkdxeqPTDlYlAv9

En fait les blancs ont une capacité d’adaptation et d’exploration foisonnante qui les engage dans la créativité harmonique et l’innovation musicale et artistique saisissante.

Cela étant dit, le Jazz est probablement l’invention musicale moderne la plus aboutie dans sa complexité (poly rhythmique, accords renversés, enrichissements harmoniques complexes, etc…) et les innovateurs dans ce domaine sont en très grande majorité des noirs…

Il faut également rendre à César ce qui lui revient, la guitare moderne électrique d’aujourd’hui ne serait pas ce qu’elle est sans un noir : Jimi Hendrix… après son passage ici-bas, cet instrument ne put plus jamais sonner comme il sonnait précédemment…

Écrit par : Nebo | 28/09/2025

Oui, et le Rythm and Blues, comme vous dites, était du Blues rythmé, sachant que le Blues venait lui-même des Worksongs, ou "chants ouvriers" que noirs et blancs chantaient à l'unisson le long des voix ferrées ou dans les champs.

Avant d'être une histoire strictement nègre, le Blues le Rock, le Jazz, sont des musiques fondamentalement américaines, a l'image du Melting Pot américain.

Rappelons d'ailleurs qu'il n'existe pas de musique noire-américaines stricto sensus, puisque les esclaves noirs n'ont concervé aucune tradition musicale de leurs pays d'origines. Le folklore irlandais ayant certainement été la première source d'inspiration dans la formation des musiques américaines.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 28/09/2025

Tout ça ressemble à la cuisine fusion des bobos
La musique cajun vient du poitou mais avec un zeste de zozotage ( c'est du aux gencives deshabitees des pequenauds sous alimentes)
Celle de la côte est c'est effectivement Irlande, écosse
Pour les plaines et la rust belt c'est le violon nordique et le hurdy gurdi
Fusion

Écrit par : L'avatar | 28/09/2025

Je dois vous contredire, Mario, m'étant abondemment penché sur la question dans mon adolescence sur la question du Blues.

Les noirs ont emporté avec eux, fondamentalement, le principe des Griots présents en Mauritanie, Mali et Sénégal dont la musique n'est, ni plus ni moins, que du Blues Africain. Ry Cooder (grand spécialiste de la Guitare Slide) l'a très bien compris lorsqu'il est allé enregistrer avec Ali Farka Touré, un des derniers grand Griot africain, un album sur lequel il a juste laissé le Griot interpréter ses chansons traditionnelles et y a plaqué uniquement sa guitare Slide du Bayou américain. Et bien on obtient du Blues chanté dans une langue africaine.

On retrouve pleinement ce côté "primitif" et très basique dans la musique des bluesmen américains comme Son House, John Lee Hooker et autres...

https://www.youtube.com/watch?v=GZrHGJKIUE8&list=RDGZrHGJKIUE8

Les musiques irlandaises, bretonnes, anglaises, allemandes a eut une influence sur la musique jouée par les noirs américains sur le plan des structures en I-IV-V (MI/LA/SI... par exemple... ou SOL/DO/RE... etc...) déjà présente dans les musiques populaires européennes mais avec d'autres nombres de mesures. Ces musiques ont surtout eut une plus grande influence sur la Country Music américaine.

Écrit par : Nebo | 28/09/2025

@ Nebo


Je tiens d'abord à vous dire que je vous respecte beaucoup, mais que d'un autre côté je ne peux pas m'empêcher de réagir à vos propos.

C'est plus fort que moi. Surtout, n'y voyez pas de la méchanceté ou de l'orgueil mal placé.

Le Blues ne peut en aucun cas venir d'Afrique, pas même des bribes d'inspirations. Parce que les fameux Grillos appartenaient à la zone Sénégambienne, alors que les esclaves qui sont allés aux USA venaient de la GOLD COAST.

La zone Sénégambienne (Sénégal, Gambie, Mauritanie) fournissait déjà des esclaves aux arabes, pendant le Moyen-Âge. Avec la Renaissance et la Découverte de l'Amérique, ce sont essentiellement les portugais (et non les anglais) qui feront commerce en Sénégambie. Vos fameux grillos (précurseurs du Blues) sont donc partis au Brésil et à Cuba avant même d'apercevoir les rivages des futurs USA. 200 ans séparent la colonisation portugaise de la colonisation britannique...

Au XVIIe siècle, quand les britanniques se mettent enfin à coloniser le Nouveau Monde, la Sénégambie a perdu sa place de première plaque tournante de "Bois d'Ebene" au profit de la GOLD COAST ! Bénin, Ghana, Nigéria, Togo, Sierra Léone,... Où dominent les royaumes Ashantis, Dahomey, Bénin.

En tout et pour tout, soit en 350 ans de traite négrillère, 70% des esclaves envoyés aux amériques étaient originaires de la GOLD COAST, sachant que cette proportion a culminé à 90% au XVIIIe siècle quand cette région d'Afrique assurait l'essentiel du trafic. Les esclaves noirs ayant débarqués aux USA venaient donc massivement de la Gold Coast.

Pour terminer, c'est mal connaître l'esclavage que de croire que les noirs-américains auraient pu concerver des traits culturels spécifiquement africains. L'esclavage (transatlantique qui plus est) est certainement le moyen le plus radical et le plus efficace pour effacer la Mémoire d'un individu, en le faisant rompre avec son milieu.

Ces pauvres noirs étaient très souvent de jeunes hommes et de jeunes femmes par ailleurs, issus de tribus ne parlant pas forcément la même langue et n'observant pas les mêmes usages. Certains venaient du Bénin, d'autres du Nigéria, 1000 km les avaient séparés ! Il n'existait aucune cohésion entre eux et l'idée même d'appartenir à la même Nation, ou au même Continent, ne leur aurait pas effleuré l'esprit.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 29/09/2025

Comme griot, je ne connais que zao !
Zao et son tube inoubliable, "ancien combattant "
Un petit rappel, pour vous charmer les zoreilles ?
Ok, qui ne dit mot...

Moi engagé militaire, moi engagé militaire, s'en fout les galons
(Un demi ton plus bas) donnez moi du riz
.......
La guerre ça n'est pas beau, ça n'est pas beau, tu sais (bis)

Et tout à l'avenant


Ça remonte le moral, la première fois que je l'ai entendu, c'est sur France ku, il y a bien 4 décennies si ce n'est 5, l'instrumentation est fantastique, ça fait glinng glinng glinng, c'est superbe

Écrit par : L'avatar | 29/09/2025

Mario, les prélèvements génétiques chez les afro-américains vous contredisent. Les esclaves prélevés pour la traite transatlantique ne contenaient pas forcément des griots mais leurs formules déclamatoires ont été transmises. Donc certains provenaient bel et bien des régions que vous citez.

Les esclaves prélevés pour la traite arabo-islamique ont donnés entre autres les “Gnawas” au Maghreb. Un équivalent. Particulièrement au Maroc. Maîtres en musique traditionnelle et fortement noirs de peau.

Écrit par : Robert | 29/09/2025

En tout cas, l’exemple "RyCoider/Ali Farka" est très parlant.

Écrit par : Joss | 29/09/2025

Mario,

Il y avait des Griots jusqu’en Côte d’Ivoire actuelle. En Gambie. En Guinée.

L’Empire Mandingue (Mali/Senegal) à son apogée, incorpore des parties de la Mauritanie, du Mali, du Sénégal, de la Gambie, de la Guinée et Guinée-Bissau, du Burkina Faso, de la Côte d'Ivoire. Les Griots ont essaimé partout dans ces régions. Et il faut être de mauvaise foi et avoir du ciment dans les oreilles pour ne pas voir la filiation évidente… surtout avec le Blues très "primitif" à la John Lee Hooker. Je pense à ces morceaux des années 40/50 dont les enregistrements consistaient en des prises studio à trois micros :

— Voix
— Guitare
— Pied tapant la mesure sur une planche en bois

C’est carrément lumineux.

Écrit par : Nebo | 29/09/2025

Voix
Violon
Pied tappant

Les irlandais le faisaient tout aussi bien, et peut-être mieux encore vu les influences qu'ils ont exercées.

@ Robert

Votre commenaire est un non-sens complet, ou alors il y a une subtilité que je n'ai pas saisie. Parce que si je vous comprends bien, je cite, les "prélèvements génétiques chez les afro-américains" prouveraient que "leurs formules déclamatoires ont été transmises."

Donc, en gros, vous êtes en train de me dire que l'Art de la palabre est une affaire de génétique... Le Blues est génétique, en somme...

C'est énorme vous en conviendrez.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 30/09/2025

Mario, pardonnez moi mais vous êtes très con, ma parole. Les prélèvements génétiques indiquent une provenance géographique qui en très grosse partie affirment ce que Nebo a dit.

Écrit par : Robert | 30/09/2025

Vous êtes un cas d'école, là, Mario...

Quel rapport entre ça...

https://www.youtube.com/watch?v=xlIbA7a0SKw

et ça...

https://www.youtube.com/watch?v=kWsESwG4WIA

???

Il me semble que le Blues a plus de rapport avec ce qui suit qu'avec les plaines irlandaises...

https://www.youtube.com/watch?v=r4-uq8cTF7o

Mais vous pouvez rester dans vos crispations. ^_^

Écrit par : Nebo | 30/09/2025

Ok, ok, ok


J'ai choisi de me faire surnommer le Prince de Mautordu, en référence à la qualité déplorable de mon orthographe.

Vous êtes certainement un de mes proches parents aristocrottes. Robert le Hardi, Prince de Malphrase, ou un truc du genre.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 30/09/2025

Salut Nébo !


Il faut me pardonner mais le doute fait parti de ma nature.


Or, l'Histoire américaine est truffée de mensonges depuis que la Gauche est au commandes. Le sénateur Mac Carthy avait raison !!
J'ai donc tendance à mettre le Blues et le Jazz au même niveau que le fameux Génocde des Indiens,... Danse avec les Loups ? J'en suis revenu ! C'était bidon !

Alors danser le Jazz avec les loups, très peu pour moi. Ca me semble tout aussi farfelu de croire que des individius ayant appartenu aux peuplades les plus arriérées de la planète aient pu élaborer des musiques aussi sophistiquées sans l'aide de personne.

Faut pas exagérer les gars. L'emploi du solfège et d'instruments typiquement européens démontrent déjà que ces musiques n'avaient rien d'africaines.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 30/09/2025

Le sénateur Mac Carthy était un abruti paranoïaque et alcoolique qui voyait du communiste dans le moindre artiste qui posait des questions existentielles que les puritains américains fuyaient. Mais c'est un autre débat.

La guitare est arrivée en Afrique dans les soutes des navires portugais et britanniques dès les 15è et 16è siècles, même si elles ne s'est répandue de façon plus populaire qu'à partir du 19è siècle.

Que vient foutre le Solfège avec la naissance du Blues ? De pauvres esclaves puis descendants d'esclaves qui vivaient dans des bicoques, souvent à l'écart dans le Bayou sudiste où ils se retrouvaient dans des bouges ("Joints") et y inventaient une musique exutoire de leurs souffrances et déracinements. Les plus dignes allaient à l'église où ils ont transformé les Work Songs en Negro-Spirituals. Tout à l'instinct. Avec un sens du rythme (même polyrythmique) incroyable et inexistant dans la musique d'origine européenne. Certes, ils ont bien entendu dû subir l'influence des Maîtres et de leurs musiques diverses, des premières stances de musique Country, comme je le disais dans un commentaire précédent, la fameuse structure en I-IV-V... plus précisément, Accord Fondamental, passage en Quarte, puis en Quinte. Si on part d'un MI ==>> on passe ensuite au LA puis au SI... Si on part d'un RE ==>> on passe ensuite au SOL puis au LA... d'un SOL==>> au DO et au RE.

Etc...

Accords Majeurs, mais gamme Pentatonique mineure. Comme dans la musique Africaine exécutée avec leurs instruments traditionnels.

Très basique et pauvre harmoniquement, mais d'une énorme richesse émotionnelle quand c'est de qualité. Aucun des grands bluesmen ne connaissait le solfège.

Ce n'est qu'à partir de la toute fin du 19è siècle, début du 20è siècle, que commence à émerger une classe moyenne noire qui donnera à ses enfants une éducation de meilleure qualité et fera accéder certains d'entre eux aux cours de musique classique, au Solfège. Le père de Miles Davis était dentiste. Le père de Charlie Parker était musicien lui-même et steward dans les trains américains Grands Lignes. Charlie Parker chantait à la Chorale de l'école où il a reçu une éducation en solfège. Le grand Duke Ellington avait un père Majordome et des parents qui lui firent prendre des cours de piano... etc...

Ils écoutaient les compositeurs classiques populaires de l'époque sur les premiers 78tours, Debussy, Ravel.

Ils ont transposé le Blues dans une musique plus sophistiquée grâce à l'apport de cette influence européenne, mais en lui conservant toute la force de sa "Négritude" et cela a donné naissance au JAZZ, musique difficile, harmoniquement complexe, aux ramifications nombreuses du Ragtime banale et joyeux au Free-Jazz déjanté, à la Fusion, en passant par le Swing, le Be-Bop, le Cool Bop... etc...

D'ailleurs lorsque je veux emmerder les pleurnicheurs victimaires qui viennent me les briser avec la culpabilité de l'Occident, je leur dit que l'esclavage transatlantique américain a eut un aspect positif : une saisissante contribution à la naissance de toute la musique moderne américaine, du Blues au Rap en passant par toutes les autres strates. Sans l'esclavage, rien de tout ça n'existerait selon la même forme.

Écrit par : Nebo | 30/09/2025

Sur l'album de Ted Nugent j'ai noté la présence d'un vieux blues, mais j'ai pas le titre en tête.

Écrit par : Joss | 30/09/2025

Oui, Joss, il s'agit de "Baby Please don't go", enregistré par Big Joe Williams pour la première fois en 1935. Ted Nugent lui insuffle une furieuse énergie, la version d'origine est beaucoup plus primitive mais néanmoins géniale...

https://www.youtube.com/watch?v=y7jz5Po1ka4

Le groupe AC/DC en a fait une furieuse version également sur leur tout premier album australien en 1975...

https://www.youtube.com/watch?v=ClvRgZjBCvo

L'origine du morceau remonte à l'époque esclavagiste avec un autre thème mais une mélodie vocale identique. Big Joe Williams n'a fait qu'adapter la mélodie sur un nouveau texte. Son morceau a été adapté et réadapté continuellement par une multitude d'artistes de Muddy Waters à Aerosmith...

https://www.youtube.com/watch?v=9r25eLFBAc4

Écrit par : Nebo | 30/09/2025

@Mario

Les Gnawas ne sont pas seulement des musiciens mais des sorciers/chamanes et leur musique n'est pas la composante la plus importante de leurs pratiques.

Écrit par : realist | 30/09/2025

Très très cher Nébo,
Mon frère,

Là où votre commentaire devient intéressant, c'est quand vous abordez la "Négritude", que l'on pourrait résumer par une singularité qui reposerait sur une manière de faire, ou une manière de voir. Parce je crois que c'est exactement de cela dont il s'agit : les noirs américains ont effectivement une manière de faire les choses, une singularité, tant est qu'ils expriment une sensibilité qui leur est propre, et qui se retrouve dans leurs productions artistiques.

Écrit par : Mario le prince de Mautordu | 30/09/2025

Avec vous Nebo j'apprends plein de choses.

Écrit par : Joss | 30/09/2025

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