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30/11/2013

Bio pur et dur... Décroissance...

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Communism doesn't work

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Imposition en France...

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Free Stuff

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Se sauver de la mort, c’est mourir

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« Tout était gris, de ce gris poussiéreux, minable, de ce gris de fin du monde qui est la couleur de l’hiver. Mais ce gris avait en plus la couleur morale de l’arrière. Je sentais partout cette quiétude sournoise, hypocrite, furtive, cette médiocrité qui se savoure. Cela commençait si près des premières lignes et ne finissait qu’à Brest. Sous cette couleur funèbre, il me semblait que depuis deux ans mon âme était morte lentement. Trop tard ; j’entrerais dans la paix avec une âme morte, car l’armistice allait venir. Encore quelques jours à attendre qu’on pouvait sans doute compter sur ses doigts et le tour serait joué. Se sauver de la mort, c’est mourir. »

Pierre Drieu la Rochelle, La Fin d’une guerre

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Faites confiance à l'état...

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29/11/2013

Ce ne sont plus des femmes...

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Les bêtes sont le Christ, pensais-je, et mes lèvres trem­blent, mes mains en trem­blent...

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« Les autres officiers, les cama­rades de Frédéric, sont jeunes aussi : vingt, vingt-cinq, trente ans. Mais tous por­tent sur leur fig­ure jaune et ridée des signes de vieil­lesse, de décompo­si­tion, de mort. Tous ont l’œil hum­ble et dés­espéré du renne. Ce sont des bêtes, pensé-je; ce sont des bêtes sauvages, pensé-je avec hor­reur. Tous ont, sur leur vis­age et dans leurs yeux, la belle, la mer­veilleuse et la triste mansuétude des bêtes sauvages, tous ont cette folie con­cen­trée et mélan­col­ique des bêtes, leur mys­térieuse inno­cence, leur ter­ri­ble pitié. Cette ter­ri­ble pitié chré­ti­enne qu’ont les bêtes. Les bêtes sont le Christ, pensais-je, et mes lèvres trem­blent, mes mains en trem­blent. Je regarde Frédéric, je regarde ses cama­rades; tous ont le même vis­age flapi et ridé, le même front dénudé, le même sourire édenté, tous ont le même regard de renne. Même la cru­auté, la cru­auté alle­mande est éteinte sur leurs vis­ages. Ils ont l’œil du Christ, l’œil d’une bête. Et, brusque­ment, me revient à l’esprit ce que j’ai entendu racon­ter dès le pre­mier moment où je suis arrivé en Laponie, et dont cha­cun parle à voix basse, comme d’une chose mys­térieuse (c’est chose véri­ta­ble­ment mys­térieuse), ce dont il est inter­dit de par­ler. Il me revient à l’esprit ce que j’ai entendu racon­ter dès le pre­mier moment où je suis arrivé en Laponie au sujet de ces jeunes sol­dats alle­mands, de ces Alpen­jäger du général Dielt qui se pen­dent aux arbres dans l’épaisseur des forêts ou s’asseyent des jours et des jours au bord d’un lac, en regar­dant l’horizon, puis se tirent un coup de revolver dans la tempe, ou bien, poussés par une extra­or­di­naire folie, sorte de fan­taisie amoureuse, vagabon­dent dans les bois comme des bêtes sauvages, se jet­tent dans l’eau immo­bile des lacs, ou s’étendent sur un tapis de lichens, au-dessous des pins que le vent fait gron­der, et atten­dent la mort, se lais­sent tout douce­ment mourir dans la soli­tude glaciale et dis­traite de la forêt. »

Curzio Mala­parte, Kaputt

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J'imagine que les secours en argent iront surtout à quelques millionnaires

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[Après la destruction, le 8 mai 1902, de Saint-Pierre de la Martinique par l'éruption de la montagne Pelée]

« On a récolté près d'un million, pour la Martinique. Les malheureux en recevront-ils seulement un quarantième ? J'imagine que les secours en argent iront surtout à quelques millionnaires dont l'opulence a été plus ou moins entamée par le volcan et qui ont besoin de se refaire. Pour ce qui est des mourants de faim, on leur expédiera de la morue invendable, des farines avariées, des conserves en putréfaction, tous les rebuts et déchets des entrepôts de la France ou de l'Angleterre. Les fournisseurs nageront dans l'allégresse et les tenanciers de la Compassion publique achèteront des immeubles situés à d'énormes distances de tout cratère. »

Léon Bloy, Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne

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Ils s'en allaient, mornes, sans joie, et sans expression

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« Les gens n'avaient pas de figures, ou plutôt ils avaient tous la même figure. Ces hommes paraissaient enchaînés. Ils ne semblaient être conscients ni de l'espace, ni de l'ampleur. Ils s'en allaient, mornes, sans joie, et sans expression, presque comme des machines, des machines bien graissées, assouvies, au souffle rapide et frémissantes de vitalité, mais nullement vivantes. »

Ernst von Salomon, Les Réprouvés

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La haine envers soi équivaut à l’égoïsme

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« Pour ce qui est des autres, du monde environnant, il faisait continuellement et héroïquement effort pour les aimer, leur rendre justice, ne point leur faire de mal, car “aimer son prochain” était inscrit en lui aussi profondément que se haïr lui-même : ainsi, toute sa vie n’a-t-elle pas démontré qu’il est impossible d’aimer son prochain sans s’aimer soi-même, que la haine envers soi équivaut à l’égoïsme et engendre le même isolement sinistre, le même désespoir ? »

Hermann Hesse, Extrait de "La préface de l’éditeur" ( à propos de Harry Haller) en ouverture de Le Loup des steppes

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Ceci n'est plus une femme...

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28/11/2013

Douleur d’ignorer ce qu’est le mystère du monde

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« Douleur d’ignorer ce qu’est le mystère du monde, douleur de ne pas être aimé des autres, douleur de subir leur injustice, douleur de sentir la vie peser sur nous, nous étouffant, nous emprisonnant, douleur des rages de dents, des pieds pris dans des chaussures trop étroites - qui saurait dire laquelle de toutes ces douleurs est la plus forte, en nous-mêmes, à plus forte raison chez les autres, ou chez les être vivants en général ? »

« Cruauté de la souffrance - savourer la douleur même, car nous savourons alors notre propre personnalité, consubstantielle à la souffrance. C’est le dernier refuge sincère pour la faim de vivre et la soif de jouir. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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Sentir sans posséder, c’est conserver, parce que c’est extraire de chaque chose son essence

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« L’amour, le sommeil, la drogue et les stupéfiants sont des formes d’art élémentaires, ou plutôt, des façons élémentaires de produire le même effet que les siens. Mais amour, sommeil ou drogues apportent tous une désillusion particulière. L’amour lasse ou déçoit. Après le sommeil, on s’éveille, et tant qu’on a dormi, on n’a pas vécu. Les drogues ont pour prix la ruine de l’organisme même qu’elles ont servi à stimuler. Mais, en art, il n’y a pas de désillusion, car l’illusion a été admise dès le début. En art il n’est pas de réveil, car avec lui on ne dort pas — même si l’on rêve. En art, nul prix ou tribut à payer pour en avoir joui. Le plaisir que l’art nous offre ne nous appartient pas, à proprement parler : nous n’avons donc à le payer ni par des souffrances, ni par des remords. Par le mot art, il faut entendre tout ce qui est cause de plaisir sans pour autant nous appartenir : la trace d’un passage, le sourire offert à quelqu’un d’autre, le soleil couchant, le poème, l’univers objectif. Posséder, c’est perdre. Sentir sans posséder, c’est conserver, parce que c’est extraire de chaque chose son essence. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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27/11/2013

La vie que nous vivons est un désaccord fluide

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« La vie que nous vivons est un désaccord fluide, une moyenne enjouée. Nous sommes satisfaits parce que nous sommes capables – alors même que nous pensons, que nous sentons – de ne pas croire à l’existence de l’âme. Dans ce bal masqué où se passe notre vie, l’agrément des costumes nous suffit, car le costume est tout. Nous sommes esclaves des couleurs et des lumières, nous entrons dans la ronde comme dans la vérité, et nous ignorons tout du froid glacial de la nuit extérieure, de notre corps mortel sous les oripeaux qui lui survivront, de tout ce que, seuls avec nous-mêmes, nous croyons constituer notre être essentiel, mais qui n’est en fin de compte que l’intime parodie de ce que nous croyons être notre vérité. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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J’ai perdu le monde

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« Réfléchissant à tout cela, si je regarde autour de moi, pour voir si la réalité apaise ma soif, ce que je vois, ce sont des maisons sans expression, des figures sans expression, des gestes sans expression. Pierres, corps ou idées – tout cela est mort. Tous les mouvements sont arrêtés – en un même arrêt dans lequel ils se figent tous. Rien ne me dit rien. Rien ne m’est connu, non que je le trouve bizarre, mais parce que je ne sais ce que c’est. J’ai perdu le monde. Et tout au fond de mon âme – seule réalité de cet instant – il y a une douleur intense et invisible, une tristesse semblable au bruit d’un homme pleurant dans une pièce obscure. »

« L’art est une esquive de l’action, ou de la vie. L’art est l’expression intellectuelle de l’émotion, distincte de la vie qui est elle-même l’expression volitive de l’émotion. Tout ce qu’il nous est impossible d’avoir, d’oser ou d’obtenir, nous pouvons le posséder en rêve, et c’est avec ce rêve que nous faisons de l’art. Parfois l’émotion est si forte que, même réduite à l’action, cette action ne peut la satisfaire ; du surplus de cette émotion, privé d’expression dans la vie réelle, naît alors l’oeuvre d’art. Il y ainsi deux sortes d’artistes : celui qui exprime de ce qu’il ne possède pas, et celui qui exprime le surplus de ce qu’il a possédé. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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26/11/2013

Un dégoût anonyme de tous les sentiments

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« Mais ce qui nous en reste, sans nul doute, c’est un dégoût de la vie et de toutes ses actions, une lassitude anticipée de tous les désirs et de toutes leurs manifestations, un dégoût anonyme de tous les sentiments. Dans ces heures de subtile mélancolie, il nous devient impossible, même en rêve, d’être amoureux, d’être héroïque, d’être heureux. Tout cela est vide, jusque dans l’idée de ce qu’il est. Tout cela nous est dit dans une autre langue, incompréhensible, suite sonore de syllabes qui ne prennent aucune forme dans notre esprit. La vie est creuse, notre âme est creuse, le monde entier est creux. Tous les dieux meurent, d’une mort plus profonde que la mort. Tout est plus vide que le vide. Tout se réduit à un chaos de choses inexistantes. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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Je ne sais si ces sentiments trahissent une lente folie

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« Je ne sais si ces sentiments trahissent une lente folie, née de la détresse, ou s’ils sont les réminiscences de quelque autre monde où nous aurions déjà vécu – réminiscences croisées et entremêlées comme les choses vues en rêve, dont l’aspect nous semble absurde, mais dont l’origine ne le serait pas – si seulement nous la connaissons. Je me demande s’il n’a pas existé d’autres êtres – nous-mêmes autrefois – dont nous percevons aujourd’hui, ombres de ce qu’ils furent, la plus grande complétude, mais de manière incomplète, une fois perdue leur consistance que nous pouvons tout juste imaginer, réduits aux deux dimensions de cette ombre que nous vivons. »

« Je sais que ces pensées de l’émotion font rage dans notre âme. Notre incapacité à imaginer à quoi elles peuvent correspondre, ou à trouver quoi que ce soit pour remplacer ce qu’elles étreignent en vision – tout cela nous pèse comme une condamnation, infligée nous ne savons ni où, ni par qui, ni pourquoi. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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25/11/2013

Libertarien...

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Jamais entièrement en paix

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« Ne jamais trouver Dieu, ne pas même savoir si Dieu existe ! Passer de monde en monde, d’incarnation en incarnation, toujours perdus dans la chimère qui nous cajole, dans l’erreur qui nous flatte. »

« Mais jamais la vérité, jamais l’arrêt définitif ! Jamais l’union avec Dieu ! Jamais entièrement en paix, mais seulement un peu de la paix, et toujours le désir de cette paix ! »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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Lautner est mort...

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Lautner est mort...

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Nous peuplons des songes

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« L’acte même de vivre équivaut à mourir, puisque nous ne vivons pas un jour de plus dans notre vie sans qu’il devienne, de ce fait même, un jour de moins. »

« Nous peuplons des songes, nous sommes des ombres errantes dans les forêts de l’impossible, dont les arbres sont demeures, coutumes, idées, idéals et philosophies. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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24/11/2013

La plus grande des injustices...

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Les émotions qui nous étreignent le plus douloureusement sont aussi les plus absurdes 

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« Les sentiments qui nous font le plus souffrir, les émotions qui nous étreignent le plus douloureusement, sont aussi les plus absurdes : l’envie de choses impossibles, justement parce qu’elles sont impossibles, la nostalgie de ce qui n’a jamais été, le désir de ce qui aurait pu être, la douleur de ne pas être différent, l’insatisfaction de voir le monde exister. Tous ces demi-tons de la conscience créent en nous un paysage douloureux, un éternel soleil couchant de ce que nous sommes. La sensation que nous avons de nous-mêmes est alors celle d’une campagne déserte qui va s’assombrissant ; tristesse des roseaux au bord d’un fleuve où nul bateau ne passe, coulant clairement des eaux noires entre des rives lointaines. »

Fernando Pessoa, Le Livre de l'intranquillité

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Une génération d'idiots...

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De la petite enfance à l'âge adulte... seul ou bien en groupe...

 

« L'imbécile est d'abord un être d'habitude et de parti pris. Arraché à son milieu il garde, entre ses deux valves étroitement closes, l'eau du lagon qui l'a nourri. Mais la vie moderne ne transporte pas seulement les imbéciles d'un lieu à un autre, elle les brasse avec une sorte de fureur. »

Georges Bernanos, Les Grands Cimetières sous la lune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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