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19/01/2016

Ceci n'est plus une femme...

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L'être humain...

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Statistics...

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Tous égaux...

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David Bowie : "Heroes" (1977) (Album Complet)

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Le silence de Dieu...

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18/01/2016

Ceci n'est plus une femme...

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Conquête

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Déni...

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Supranationalité...

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David Bowie : "Low" (1977) (Album Complet)

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Don't Tell me What to do...

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17/01/2016

La "Grande Guerre" fut déclenchée et conduite par des barbons très convenables

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« Le XXème siècle, nous le savons, est mort en 1989. Il aura duré soixante-dix ans. Il avait vu le jour entre 1914 et 1918, fils de l’horreur et de l’imposture. La "Grande Guerre", cette catastrophe européenne, fut déclenchée et conduite par des barbons très convenables au nom des "valeurs éternelles" de la personne humaine, du droit, de la patrie et de la civilisation. Des tueries sans nom, la liquidation de générations entières de jeunes hommes, la naissance à l’Est de la plus féroce et de la plus absurde des tyrannies, la destruction d’équilibres séculaires irremplaçables, le charcutage inique des nations d’Europe centrale pour complaire aux utopies ou aux ambitions de visionnaires égarés, sans oublier l’enfantement, vingt ans plus tard, d’un nouvel holocauste pire encore, voilà de quoi avait accouché l’ère bourgeoise triomphante, héritière satisfaite de 1789. »

Dominique Venner, Le cœur rebelle

 

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L’homme qui donne et qui prend dans la même éjaculation

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« Je me levai, tout entier. [...] Qu’est-ce qui soudain jaillissait ? Un chef. Non seulement un homme, un chef. Non seulement un homme qui se donne, mais un homme qui prend. Un chef, c’est un homme à son plein ; l’homme qui donne et qui prend dans la même éjaculation. J’étais un chef. Je voulais m’emparer de tous ces hommes autour de moi, m’en accroître, les accroître par moi et nous lancer tous en bloc, moi en pointe, à travers l’univers. »

Pierre Drieu la Rochelle, La comédie de Charleroi

 

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David Bowie : "Diamond Dogs" (1974 (Album Complet)

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16/01/2016

Leila Slimani : "Ces gens qui croient en un seul livre et qui pensent que ce livre ne se débat pas"

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Si c'était à nous d'obtenir que son règne arrive ?

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« Pendant combien de nuits ai-je repoussé l'idée que Dieu n'est au-dessus de nous qu'un tyran ou qu'un monarque incapable, et que l'athée qui le nie est le seul homme qui ne blasphème pas...Puis une lueur m'est venue ; la maladie est une ouverture. Si nous nous trompions en postulant sa toute-puissance et en voyant dans nos maux l'effet de sa volonté ? Si c'était à nous d'obtenir que son règne arrive ?

(...)

Peut-être n’est-Il dans nos mains qu’une petite flamme qu’il dépend de nous d’alimenter et de ne pas laisser éteindre ; peut-être sommes-nous la pointe la plus avancée à laquelle Il parvienne... Combien de malheureux qu'indigne la notion de son omnipotence accourraient du fond de leur détresse si on leur demandait de venir en aide à la faiblesse de Dieu ?

Sur cette terre où il a marché, comment l'avons-nous vu, si ce n'est comme un innocent sur la paille, tout pareil aux nourrissons gisant sur la neige dans nos villages de la campine dévastés par les troupes du Roi, comme un vagabond n'ayant pas une pierre où reposer sa tête, comme un supplicié pendu à un carrefour et se demandant, lui aussi, pourquoi Dieu l'a abandonné ?

Chacun de nous est bien faible, mais c'est une consolation de penser qu'Il est impuissant et plus découragé encore et que c'est à nous de L'engendrer et de Le sauver dans les créatures. »

Marguerite Yourcenar, L’Œuvre au noir

 

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Quand les dieux meurent, de nouveaux dieux prennent leur place

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« L’effacement du catholicisme et le triomphe de l’islam sont, dans le pays profondément déchristianisé qu’est la France, quasi inéluctables : dans cent ans (si la planète n’a pas explosé d’ici là) la plus part des églises catholiques françaises seront soit désaffectées, soit transformées en mosquées. Quand les dieux meurent, de nouveaux dieux prennent leur place, c’est une règle qui ne souffre aucune exception. Je me console en songeant que, lorsqu’on est un homme, la religion mahométane n’est pas désagréable à observer: nos descendants en apprécieront les charmes. Ce sont les demoiselles à venir qui ne seront pas à la fête, les pauvrettes. »

Gabriel Matzneff, Les nouveaux émiles de Gab la Rafale - Lundi 26 avril 2010, 18h22, à Alain de B.

 

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David Bowie : "Pinups" (1973) (Album Complet)

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15/01/2016

S'engraisser à l'auge

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« Les hommes, au fond, ça n'a pas été fait pour s'engraisser à l'auge, mais ça a été fait pour maigrir dans les chemins, traverser des arbres et des arbres, sans jamais revoir les mêmes, s'en aller dans sa curiosité, connaître.
C'est ça, connaître. »

Jean Giono, Que ma joie demeure

 

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On aime le bien, mais on ne déteste point le mal

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« Le respect humain, c’est la peur de paraître chrétien, de paraître bon, pieux, obéissant.

Ceux qui se laissent dominer par le respect humain sont de misérables petits lâches, qui sacrifient leur conscience à la peur d’une moquerie, d’un coup, quelquefois même d’un simple sourire. Ils ont peur de tout et de tous. Ils ont peur qu’on les voie faire leurs prières; ils ont peur qu’on les surprenne à genoux devant DIEU ; comme si prier n’était pas le premier devoir, le premier honneur d’un homme sur la terre ! Comme si la prière n’était pas ce qui distingue souverainement l’homme de la bête !

Ils n’osent pas faire maigre en public ; enfin ils n’osent pas dire qu’ils vont à confesse et qu’ils communient. Ils rougissent de Jésus-Christ, de la foi, de la pureté, de ce qu’il y a de plus grand et de plus excellent au monde. Que c’est misérable »

 

« Nous vivons dans un temps où l’Esprit de Crainte est comme oublié, même par beaucoup de personnes pieuses. Sous prétexte que l’amour vaut mieux que la crainte, on ne se met plus en peine de craindre le péché, le monde, les vanités et séductions mondaines. On aime le bien, mais on ne déteste point le mal ; on aime l’Église et la foi, mais on ne déteste pas l’hérésie, on ne déteste pas l’incrédulité. On n’assaisonne plus sa cuisine qu’au sucre ; et il en résulte une fade piété de contrebande, qui n’est pas du tout selon le Cœur de Jésus-Christ, ni selon l’esprit de l’Église. Le don de Crainte est le grand remède à ce grand mal. »

Mgr de Ségur, La confirmation

 

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David Bowie : Alladin Sane (1973) (Album Complet)

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14/01/2016

Unis par un esprit commun les individus forment un peuple

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« Cette forme particulière de conscience agissante, dont les êtres humains sont animés lorsqu’ils instaurent entre eux des rapports fraternels, c’est ce que Landauer appelle "l’esprit". Toutefois, le philosophe libertaire n’entend pas le terme "esprit" en un sens spiritualiste, car il est ici proche du monisme spinoziste de Constantin Brunner, il n’oppose donc jamais l’esprit à la matière, ou à l’étendue, mais les considère comme deux attributs de la substance infinie et incréée, qui les enveloppe en une unité indivise. L’esprit est ainsi la symétrie idéelle d’une forme très concrète de rapport individuel, dont il est indissociable et que l’on peut caractériser comme la fraternité. Unis par un esprit commun les individus forment un peuple, mais ce lien s’est distendu au XXè siècle, il n’y a donc plus à proprement parler de peuples, il n’y a que des masses atomisées. Le nationalisme est l’idéologie par excellence de ces masses atomisées, qui trouvent dans l’idolâtrie de l’État-nation un substitut à l’absence de communauté réelle, car là où règne l’atomisation, il n’y a ni communauté ni peuple, mais seulement des individus solitaires et des États. L’esprit exprime l’unité du peuple, l’État impose l’unité aux masses. »

Charles Daget, Présentation de "La communauté par le retrait et autres essais" de Gustav Landauer

 

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La Clémentinerie du moment...

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Il faudrait dire à Clémentine Autain que ce sont les soldats d'une armée COMMUNISTE qui ont commis ces saloperies...

 


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Plein Midi

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« Au milieu du jour,
sur la Mer étrusque,
pâle, verdissant
comme le bronze
exhumé des hypogées, pèse
la bonace. Nulle bave
de vent aux alentours
ne souffle. Nul roseau ne tremble
sur le rivage
solitaire, rêche de houx
et de genêts roussis. Nulle voix
ne résonne, à l’écoute.
Une ligne de voiles en panne
vers Livourne
blanchoie. Dans le clair
silence le cap Corvo,
l’île du Faro,
à ma vue ; et plus lointaines,
aériennes dans l’air,
les îles de ton courroux,
ô Dante, notre père,
la Capraia et la Gorgona.
Couronne marmoréenne
aux pointes menaçantes,
les grandes Alpes apuanes
règnent sur l’amer royaume,
par leur orgueil dressées.

L’estuaire est comme un étang
salé. De la couleur de la mer,
au milieu des cabanes,
à travers les filets
qui pendent des perches
croisées, il se tait.
Comme le bronze des tombeaux
pâle, qui verdit, paisible,
lui, qui souriait.
Quasi léthéen,
oublieux, étal,
il ne montre signe
de courant, ni ride
de brise. La fuite
des deux rives
se ferme comme dans un cercle
de roseaux que circonscrit
l’oubli silencieux ; et aux roseaux
nul murmure. Plus sombres
les bois de San Rossore
forment une obscure enceinte ;
mais les plus lointains,
vers le Gombo, vers le Serchio,
sont presque azurs.
Dorment les monts Pisans,
couverts d’inertes
cumulus de vapeur.

Bonace, touffeur,
silence alentour.
L’Été mûrit
sur ma tête comme un fruit
qui m’est promis,
que je dois cueillir
de la main,
que je dois aspirer
de mes seules lèvres.
Perdue est toute trace
de l’homme. Voix ne résonne
si j’écoute. Toute douleur
humaine m’abandonne.
Je n’ai plus de nom.
Et je sens que mon visage
se dore de l’or
méridien,
et que ma barbe
blonde brille
comme la paille marine,
je sens que le rivage plissé
par le si délicat
travail de la vague
et du vent est comme
mon palais, est comme
le creux de ma main
où le toucher s’affine.

Et ma force allongée
s’imprime sur l’arène,
se répand dans la mer ;
et le fleuve est ma veine,
la montagne est mon front,
le bois est mon pubis,
la nuée est ma sueur.
Et moi je suis dans la fleur
de la quenouille, dans l’écaille
de la pigne, dans la baie
du genévrier : je suis dans le fucus,
dans la paille marine,
dans toute chose exiguë,
dans toute chose immense,
dans le sable proche,
dans les cimes lointaines.
Je brûle, je brille.
Et je n’ai plus de nom.
Et les alpes et les îles et les golfes
et les caps et les phares et les bois
et les estuaires que je nommai
n’ont plus leur nom habituel
qui résonne sur les lèvres des hommes.
Je n’ai plus ni nom ni destin
parmi les hommes, mais mon nom
est Midi. En toute chose, je vis
taciturne comme la Mort.

Et ma vie est divine. »

Gabriele D’Annunzio, Plein Midi, in "Poèmes d’amour et de gloire"

 

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