19/11/2017
Bernie...
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Foi...
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Dans le ventre d’une femme enceinte, deux bébés jumeaux tapent la causette. Le premier demande à l’autre :
– Et toi, tu crois vraiment qu’il y a une vie après la naissance ?
– Oui, bien sûr. C’est évident qu’il y a quelque chose après la naissance. Pour le moment, nous sommes sans doute ici juste pour nous préparer à ce que nous serons plus tard.
– Balivernes ! Il n’y a pas de vie après la naissance. Et à quoi ressemblerait cette vie-là vraiment ?
– Je ne sais pas exactement, mais il y aura à coup sûr davantage de lumière qu’ici. Peut-être qu’on marchera avec nos pieds et on mangera avec notre bouche.
– N’importe quoi ! Marcher est impossible. Et manger avec la bouche ? C’est totalement ridicule ! C’est le cordon ombilical qui nous nourrit. Écoute-moi, c’est impossible qu’il y ait une vie après la naissance. Le cordon ombilical est très court.
– Vraiment, je suis sûr qu’il y a quelque chose. Tout sera simplement un peu différent de ce à quoi nous sommes habitués ici.
– Mais personne n’est jamais revenu ici après la naissance. Après l’accouchement, la vie est finie. Et qu’est-ce que la vie en fin de compte ? La vie n’est rien de plus que l’angoisse prolongée dans le noir.
– Eh bien, je ne sais pas exactement comment sera notre vie après la naissance, mais une chose est sûre, nous verrons maman et elle prendra soin de nous.
– Maman ? Tu y crois, à maman ? Et où est-elle censée être ?
– Où ? Mais elle est partout, autour de nous ! C’est en elle et grâce à elle que nous vivons. Et sans elle tout ceci n’existerait pas. Nous ne serions pas là.
– Je n’en crois rien ! Je n’ai jamais vu aucune maman. Et donc pour moi, c’est évident qu’elle n’existe pas !
– Eh bien, parfois lorsque tout est silencieux, on peut entendre quand elle chante. On peut sentir quand elle caresse notre monde. Sache-le, je suis certain que seulement alors la vraie vie nous attend et que, maintenant, nous sommes seulement en train de nous y préparer.
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18/11/2017
Enrichissement...
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15/11/2017
Un jeu de mensonge
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« L'exercice du suffrage universel en France est devenu un débordement de vice inouï. Exactement comme le nationalisme barbare, exactement comme l'antisémitisme barbare, exactement comme un certain antimilitarisme, comme un certain colonialisme, comme l'africanisme, comme le surmenage industriel, comme la prostitution, comme la syphilis, comme les courses, comme et autant que tous les parlementarismes, le parlementarisme électoral est une maladie. (...) L'exercice du suffrage universel en France est devenu, sauf de rares et nobles exceptions, un jeu de mensonge, un abus de force, un enseignement de vice, une maladie sociale, un enseignement d'injustice. »
Charles Péguy, Quatorzième Cahier de la troisième série — 22 avril 1902
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Des exécutions publiques
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« On multiplie partout les manifestations sportives, hein ? Vraiment, quel signe de décadence ! Le genre de spectacle qu’il faudrait montrer aux gens, on ne le leur fait jamais voir ; ce qu’il faudrait leur montrer, ce sont les exécutions capitales. Pourquoi ne sont-elles pas publiques ? »
Yukio Mishima, Le Pavillon d’Or
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Tremblez terroristes ! Tremblez !
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Si j'avais perdu un seul être cher durant la sordide attaque du Bataclan (pour ne donner que cet exemple)... je n'aurais absolument pas la moindre once d'envie que ces sinistres truffes lâchent des ballons colorés dans le ciel en prétendant honorer sa mémoire...
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La bizarre économie de Fiume occupée
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Gaspilleur, amoureux du luxe, auteur bien payé mais insatiable et endetté, plus porté sur la dilapidation que sur la parcimonie, D'Annunzio se montre réfractaire aux règles modernes de l'économie. Il rentre plutôt dans la catégorie des individus encore conditionnés par la mentalité économique archaïque, où l'échange de dons, le goût exhibitionniste de la munificence, sont plus appréciés que le marché. Ce n'est pas un hasard si D'Annunzio fera graver, à l'entrée du Vittoriale, la devise : "J'ai ce que j'ai donné". Son attitude relève d'un comportement anti-économique qui peut rentrer, par analogie, dans le phénomène que décrivit Marcel Mauss dans son "Essai sur le don", publié en 1923-1924, auquel se réfère aujourd'hui en France le MAUSS - Mouvement Anti-Utilitariste dans les Sciences Sociales.
La bizarre économie de Fiume occupée reflète les grandes lignes de l'anti-utilitarisme. En effet, les rentrées d'argent gouvernementales ne viennent pas de taxes ou d'impôts, comme dans tous les États "normaux", mais bien des vols accomplis par les Uscocchi, ainsi que des offrandes généreuses des partisans anonymes ou illustres. […]
Pour mieux pénétrer l'esprit de la piraterie fiumaine, nous pouvons nous appuyer sur les théories élaborées par les animateurs de la Revue du MAUSS, selon lesquelles le don, par-delà le marché et l'économie publique, serait au centre d'un troisième réseau de circulation de biens et de services, la socialité, où ce qui compte n'est pas tant la valeur d'usage ou d'échange, que ce que l'on pourrait appeler la "valeur de lien". On peut appliquer cette interprétation au cas de Fiume, soutenue par des donations et souscriptions, mais surtout par la pratique du coup de main, un vol qui — à la manière de Robin des Bois volant aux riches pour donner aux pauvres — se transforme en distribution pour la collectivité, acte généreux qui crée un lien fort, sur les plans émotionnel et social, entre les hommes. Comme le souligne Kochnitzky, les Uscocchi sont "des corsaires qui ne pillent que pour donner à manger aux affamés".
Le langage du don, disent ceux qui l'étudient, naît du besoin, non de tirer profit, mais d'être utile, pour obtenir en échange estime, admiration, reconnaissance, et tend à relier les individus dans des réseaux d'amitié et de considération réciproques. Placer ce lien au centre des rapports humains implique une vision du monde qui, parce qu'elle refuse d'accepter la société comme un engrenage uniquement réglé par le mobile du gain et de la production, s'ouvre au risque, à l'inattendu, à l'aléatoire, à l'aventure. On ne saurait certes nier que ces traits se retrouvent typiquement dans l'atmosphère fiumaine, où par-delà l'économie fondée sur la piraterie, les exemples de l'esprit du don ne manquent pas : la quotidienne offrande de mots que le Vate dispense depuis le balcon du palais du gouvernement n'est-elle pas un cadeau que l'artiste reçoit de sa Muse pour le restituer à son public ?
L'homme que la philosophie du don oppose à l'homo œconomicus ne poursuit pas un idéal paupériste, pas plus qu'il n'est pauvre en besoins. Au contraire, pour pouvoir donner, il doit avoir vécu passions et désirs. "Qui ne connaît pas le plaisir, la spontanéité ou l'intérêt matériel n'a pas grand chose à sacrifier et à donner aux autres, écrit Alain Caillé. Il faut bien qu'Abraham ait un fils pour pouvoir le sacrifier à Jéhovah. Il faut bien que le renonçant hindou, l'arhat, ait sacrifié la vie ici-bas pour pouvoir aspirer sérieusement à la mort. Et le Bouddha ou Saint François d'Assise pourraient-ils accepter de tout perdre s'ils n'avaient, d'abord, tout possédé ?" Ces exemples conviennent parfaitement au cas fiumain où les membres de l'association Yoga, méprisant l'argent et le capitalisme matérialiste, sont en harmonie avec l'enseignement du Bouddha sur la nécessité de se détacher des contingences. Ce n'est pas un hasard non plus si Guido Keller, lors de son vol au-dessus de Rome, rend hommage à Saint François et au souvenir de sa pauvreté en lançant un bouquet de fleurs sur le Vatican. »
Claudia Salaris, À la fête de la révolution — Artistes et libertaires avec D'Annunzio à Fiume
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13/11/2017
On me donnait de la morphine, et je lisais
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« Durant les combats de Bapaume, je promenais une petite édition de Tristram Shandy dans mon porte-carte, et je l’avais également sur moi lorsque nous fument engagés devant Favreuil. On nous garda en réserve au niveau des positions de l’artillerie depuis le matin jusque tard dans l’après-midi, et bientôt, nous nous ennuyâmes fort, bien que la position ne fut pas sans danger. Je me mis donc à feuilleter mon livre, et sa mélodie si diverse, semée de tant de scintillements, fut bientôt comme une voix discrète qui se mariait aux circonstances extérieures en une harmonie toute en demi-teintes. Après maintes interruptions, et comme j’avais lu quelques chapitres, nous reçûmes enfin l’ordre de marche ; je remis le livre en poche, et le soleil n’était pas encore couché que j’étais par terre avec une blessure.
A l’hôpital, je repris le fil de ma lecture, comme si tout l’intervalle n’avait été qu’un rêve, ou bien eut fait partie du livre lui-même, intercalant dans le texte un chapitre d’une force particulièrement convaincante. On me donnait de la morphine, et je lisais, tantôt éveillé, tantôt plongé dans un demi-assoupissement, de sorte qu’un grand nombre d’états d’âme divisaient et fragmentaient à nouveau le texte déjà mille fois fragmenté. Des accès de fièvre, combattus à l’aide de Bourgogne et de codéine, l’artillerie et l’aviation qui bombardaient notre localité, où les troupes en retraite commençaient à refluer et dans laquelle on nous oubliait presque, ajoutèrent encore à la confusion, si bien que je n’ai gardé de ces jours que le trouble souvenir d’une agitation où se mêlaient sentimentalité et sursauts farouches, d’un état ou rien n’eut pu nous étonner, pas même l’éruption d’un volcan, et où le pauvre Yorick et l’honnête oncle Toby étaient les plus familières parmi les figures qui nous faisaient visite. »
Ernst Jünger, Le cœur aventureux
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12/11/2017
Ces forces que vous monopolisez, ces corps que vous parasitez
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« Il y a une autre grève, mais elle est présente perpétuellement, et de plus en plus forte de jour en jour. Et elle n'a pas pour but de caillasser des gens. Son but ? Aucune revendication. Elle rend le mal par le mal, l'absence à l'encontre de votre violence. La seule réponse que vous pouvez y apporter, c'est l'accroissement des forces occultes que vous faîtes peser sur ceux qui sont restés, la poursuite de ceux qui sont partis.
La grève, d'un genre que vous n'avez jamais observé, prend corps en ce jour. Plus présente que jamais, et elle commence à se sentir. Elles s'en vont, ces forces que vous monopolisez, ces corps que vous parasitez. Ils s'en vont …
Nous sommes en grève contre l’auto-immolation. Nous sommes en grève contre le principe des récompenses imméritées et des obligations sans contrepartie. Nous sommes en grève contre la doctrine qui condamne la poursuite du bonheur personnel. Nous sommes en grève contre le dogme selon lequel toute vie est entachée de culpabilité.
Il y a une différence entre notre grève et toutes celles que vous avez menées pendant des siècles. Notre grève ne consiste pas à formuler des revendications, mais à les satisfaire. Nous sommes mauvais, selon vos principes : nous avons choisi de ne pas vous nuire plus longtemps. Nous sommes inutiles, d’après vos théories économiques : nous avons décidé de ne pas vous exploiter davantage. Nous sommes dangereux, il faut nous enfermer, selon vos idées politiques : nous avons choisi de ne plus vous mettre en danger et de ne pas encombrer vos prisons. Nous ne sommes qu’une illusion, à en croire votre philosophie : nous avons choisi de cesser de vous égarer en vous laissant libres de regarder la réalité en face. La réalité que vous vouliez, c’est le monde tel que vous le voyez maintenant, un monde privé de l’esprit humain. »
Ayn Rand, La Grève
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11/11/2017
Albert Camus et Maria Casarès : une passion
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Un court instant...
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Un court instant j'ai pensé que l'Arabie Saoudite s'était ouverte au mariage Gay... et puis je me suis ressaisi...
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06/11/2017
Un peu de théologie de haut vol...
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05/11/2017
Il y a encore quelque instant miraculeux sur cette pauvre terre...
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04/11/2017
Occident 2017
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03/11/2017
Moyen de transport...
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02/11/2017
Pompier, Massif et Totalitaire...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
La Berlin que planifiait Hitler afin de montrer sa Puissance au monde... autant le dire, l'Enfer sur terre... Pompier, massif, totalitaire et pas une once de nature dans la cité.
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Que le Diable les emporte...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
Le grand prédicateur a quelques soucis, en ce moment...
Cliquez sur la photo...
Qui se ressemble s'assemble... Que le Diable les emporte...
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26/10/2017
Bad Guys...
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25/10/2017
Pression Fiscale...
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24/10/2017
Coeur à Gauche...
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23/10/2017
Des mots de circonstance
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
« -- Que pensez-vous des gens qui vous accusent de ne pas toujours être politiquement correct dans vos récits ?
-- Je m'en fous. Ce n'est pas parce que j'écris "pédé" ou "noir" dans un livre que j'ai envie d'en abattre un. Je suis un auteur et il y a des mots de circonstance. »
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17/10/2017
Et alors Cantat chanta...
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16/10/2017
Gard : la nationalité française refusée après 25 ans de vie sur le territoire
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
Peut-être parce qu'elle ne s'appelle pas "Aïcha" et qu'elle ne vit pas des subsides de l'argent public... ne me jetez pas vos tomates pourries... je ne fais que des suppositions... rien d'autre...
Ce pays est en-dessous de TOUT...
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Antje Whichmann voudrait devenir Française.
Antje Wichmann vit en France depuis 25 ans et travaille à l'office de tourisme.
Résidant en France depuis 25 ans, fonctionnaire territoriale stagiaire, on lui refuse la nationalité française. Antje Wichmann est Allemande, en couple avec un Français, et son fils est Franco-Allemand.
Par choix personnel, elle a souhaité acquérir la nationalité française après avoir pris connaissance d'un accord franco-allemand facilitant les naturalisations entre les deux pays et dont a bénéficié Daniel Cohn-Bendit.
Sa demande ajournée
Elle a formulé sa demande en 2016, car elle se sent plus proche de ce pays que de l'Allemagne. Antje travaille, elle a passé dix ans à l'office du tourisme des Saintes-Maries-de-la-Mer, a fondé une société qui a retenu l'attention d'Arte, puis est devenue fonctionnaire territoriale stagiaire à l'office du tourisme de Roquemaure lorsqu'il a été repris par le Grand Avignon, stage d'un an obligatoire qui devrait voir, à terme, sa titularisation en janvier.
Elle pensait mériter de devenir française, mais l'administration en a décidé autrement et a ajourné sa demande de deux ans car “l'examen de votre parcours professionnel, apprécié dans sa globalité, ne permet pas de considérer que vous avez réalisé pleinement votre insertion professionnelle”.
Antje ne comprend pas cette décision : “Ma démarche est purement personnelle et ne m'apporte aucun avantage particulier. La France et l'Allemagne sont mes deux pays. Dans le contexte des événements actuels, je me sens même plus proche de la France, c'est pour cela que cette décision me touche autant.”
Sans remettre en question la décision de la préfecture, son désarroi interpelle, car qui peut alors prétendre acquérir la nationalité française si des candidatures comme la sienne sont rejetées ?
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Le grand miracle moderne...
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15/10/2017
Smith & Dupont...
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