Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/10/2016

Un descendant d'esclavagistes et de pillards...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

20:19 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Discours de haine raciste...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

20:18 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Couic...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

20:17 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Bill lives with Hillary

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

et

 

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 


Cliquez sur la photo...

 

Et pour ceux qui ignorent qui est Sammy Hagar, voici une vidéo en Live avec un de ses Projets de Groupes, Chickenfoot, ici en 2012... il avait donc 64 ans... en pleine forme, au chant... dans une reprise du groupe Deep Purple, "Highway Star"... 

 

20:14 Publié dans Brèves, Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

26/09/2016

A Trend...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

16:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Not Yet Offended ? Be Patient !

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

14:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Préliminaires...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

12:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Méchoui...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

Je précise que je n'en mangerais en aucune manière...

 


Cliquez sur la photo...

09:30 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

...ça va trop loin...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

 


Cliquez sur la photo...

07:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Voir quelqu'un travailler...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

25/09/2016

Le Temps sacré

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Le Temps sacré est par sa nature même réversible, dans le sens qu’il est, à proprement parler, un Temps mythique primordial rendu présent. Toute fête religieuse, tout Temps liturgique, consiste dans la réactualisation d’un événement sacré qui a eu lieu dans un passé mythique, "au commencement". Participer religieusement à une fête implique que l’on sort de la durée temporelle "ordinaire" pour réintégrer le Temps mythique réactualisé par la fête même. Le Temps sacré est par suite indéfiniment récupérable, indéfiniment répétable. D’un certain point de vue, on pourrait dire de lui qu’il ne "coule" pas, qu’il ne constitue pas une "durée" irréversible. C’est un Temps ontologique par excellence, "parménidien" : toujours égal à lui-même, il ne change ni ne s’épuise. »

Mircea Eliade, Le sacré et le profane

 

 

19:31 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Waswas

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

19:12 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

13/09/2016

Schizophrénie...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

14:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Corbeille...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

12/09/2016

Les pôles opposés de l'être et du néant

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« La nature de cet humanisme qui, en d'autres temps, se présentait si pur et si élevé, est mise à nu et démasquée. Si Dieu n'est pas, alors l'homme n'est pas non plus, voilà ce que notre temps découvre de façon expérimentale. La nature du socialisme est mise à nu et démasquée, ses limites dernières sont manifestes ; de même, est mis à nu et démasqué le fait que l’irréligion, la neutralité religieuse n'existent pas, qu'à la religion du Dieu Vivant est seulement opposée la religion du diable, qu'à la religion du Christ est seulement opposée la religion de l'Antéchrist, le royaume de l'humanisme neutre qui voulait s'installer dans la sphère moyenne, entre ciel et enfer, se décompose, et alors se découvre l'abîme supérieur et inférieur. Au Dieu-Homme est opposé non pas l'homme du royaume neutre et moyen, mais l'homme-dieu, l'homme qui s'est mis lui-même à la place de Dieu. Les pôles opposés de l'être et du néant se découvrent. »

Nicolas Berdiaev, Un nouveau Moyen Âge

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Jeux...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

14:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Genoux...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

12:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Summer Reading...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

10:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Relâcher et briser tous les liens qui attachent l’homme à sa terre

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« On s’attache comme à plaisir à relâcher, à briser tous les liens qui attachent aujourd’hui l’enfant, et demain l’homme, à sa terre. Leur langue maternelle, ils ne la parlent plus. On leur apprend à la mépriser. Ce faisant, on ne s’aperçoit pas que ce ne sont pas les mots qu’on détruit, mais des affections vivaces et des manières profondes de sentir. »

Maurice Barrès, La colline inspirée

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ridicule

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

"En France, le ridicule ne tue pas. On en vit." (Henri Jeanson in "Lady Paname")


Cliquez sur la photo...

05:00 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

11/09/2016

On a tout fait à l’envers pour tout remettre à l’endroit

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Laisse moi te dire, Patrice, qu’à l’époque du punk on se prenait pour les meilleurs en fréquentant les pires. On a tenté par tous les moyens d’immortaliser notre adolescence au point d’en sacrifier notre enfance comme notre vieillesse. Après la mort de nos pères, mais avant la naissance de nos fils, on a tout donné dans une poignée d’années immortelles et historiques. Le punk n’est rien d’autre qu’une hypertrophie de l’instant jubilatoire au service de l’éphémère inoubliable. Nous avons tellement aimé notre adolescence qu’on en a graffité tous les murs. A force d’échecs, on a fini par obtenir du style. A force de ne pas faire comme les autres, on s’est détaché de la masse. Au lieu de nous marier, on a chahuté les mondanités. Au lieu de faire des gosses, on a entraîné ceux du quartier. Plutôt que de signer un emploi sécurisé, on a décidé de ne pas collaborer en pourrissant la situation. Au lieu de nous cacher pour vivre heureux, on est sorti de chez nous pour tartiner notre malheur. Nous savions que pour devenir nos propres maîtres, il fallait accepter notre esclavage. On a tout fait à l’envers pour tout remettre à l’endroit. Nous avons commencé par crever avant de donner la vie. On est resté tout seul tous ensemble. On s’est suicidé pour s’encourager à vivre. On s’est détesté pour apprendre à s’aimer. On a jeté la gratuité par la fenêtre pour ne pas se faire acheter. »

Voto, dessinateur Punk, cité par Patrice Herr Sang in Vivre pas survivre

 

22:08 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Ici Radio-Libre-Adonaï

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Ici Radio-Subterranea, station troglodyte de l’abattoir 17, ici tout ce qui se déchire d’un seul coup comme la chair d’une enfant violentée, ici tout ce qui pénètre dans le corps et les esprits telle une seringue remplie de venin, ici tout ce qui appelle à l’aide dans le silence mordoré des astres nocturnes, ici tout ce qui aiguise son couteau pour le sacrifice, ici Radio-Libre-Adonaï, ici l’homme seul, avec sa femme et son enfant, au pied du volcan ruminant sa prochaine éruption, ici l’homme qui marchait sur les cendres. »

Maurice G. Dantec, American Black Box. Le Théâtre des opérations 3 : journal métaphysique et polémique

 

16:40 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

15 Years...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

« Le 11 Septembre a été l’actualisation d’une schize - sans doute terminale - dans l’histoire humaine. Voici la première guerre mondiale CIVILE. Des appareils civils frappent des tours civiles, des civils détournent des avions remplis de civils pour accomplir leur "mission" purement "symbolique". C’est l’évacuation du militaire hors de la sphère de la guerre, c’est non pas le choc des civilisations, mais leur disjonction absolue, car "synthétique", "globale". »

Maurice G. Dantec - 15 novembre 2007

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

16:27 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

08/09/2016

Jetant sur toute chose un voile de crêpe noir

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Paris aujourd'hui n'est plus ce qu'il était jadis. Un nuage menaçant plane sur ses tours, et assombrit la physionomie de cette ville somptueuse. Le luxe qui y régnait autrefois a quitté ce séjour préféré, en jetant sur toute chose un voile de crêpe noir, et ne laissant à sa place qu'un reflet incertain de sa splendeur passée. Les horreurs de la révolution ont chassé de Paris ses plus riches habitants ; la haute noblesse a émigré, et ceux qui sont restés vivent pour la plupart très-retirés, dans le cercle restreint de leurs amis et de leurs proches parents.

"Ici, me disait l'abbé X., en suivant avec moi la rue Saint-Honoré et en désignant avec sa canne de grandes maisons inhabitées, ici, chez le marquis D., se réunissaient le dimanche les femmes à la mode, les hommes de haut parage, les beaux esprits les plus renommés ; les uns jouaient, les autres dissertaient sur la philosophie, sur les sentiments, sur le goût, sur le beau idéal. Là, chez la comtesse A., venaient tous les jeudis les plus profonds politiques des deux sexes ; on y comparait les idées de Mably à celles de Jean-Jacques, on les discutait et l'on posait les bases d'une nouvelle utopie. Là encore, chez la baronne F., M. lisait chaque samedi ses commentaires sur la Genèse, peignant à de jeunes femmes l'antique et informe chaos sous des dehors si épouvantables, qu'elles s'en trouvaient mal de frayeur et d'angoisse. Vous arrivez à Paris trop tard, mon cher monsieur, les beaux jours sont loin de nous ; on ne soupe plus, la bonne compagnie s'est éparpillée dans tous les coins du monde. Un homme 'comme il faut' ne sait plus aujourd'hui que faire, que devenir ni où passer sa soirée."

Toutefois l'abbé avouait lui-même que les Français avaient depuis longtemps désappris l'art de s'amuser en société, comme ils le possédaient au siècle de Louis XIV, alors qu'ils fréquentaient les salons de la fameuse Marion Delorme, de la comtesse de la Suze, de Ninon Lenclos, où Voltaire lisait ses premiers vers, où Voiture, Saint- Evremond, Ménage, faisaient briller leur bel esprit et dictaient les lois du goût et de la sociabilité.
"C'est John Law, continua l'abbé, c'est cet aventurier, avec sa malheureuse banque, qui a mis à néant la richesse et l'amabilité des Parisiens, en faisant de nos joyeux marquis des marchands de papier et des usuriers. Dans ces mêmes lieux où les délicatesses d'un esprit enjoué se plaisaient à revêtir les formes d'une conversation fine et élégante, on ne parla plus que du prix courant des billets de banque, et les salons se transformèrent en bourses ou en marchés. Cela n'a pas duré sans doute : Law fut forcé de fuir. Mais la vraie gaieté française ne revint pas, ou ne revint qu'exceptionnellement, à de rares intervalles, dans les salons de Paris. On se mit à jouer aux cartes avec frénésie. De jeunes femmes se donnaient des soirées pour se ruiner entre amies, à tour de rôle, ne songeant plus à plaire ni à charmer les hommes par leur esprit. Ensuite, la mode tourna aux perroquets et aux économistes, aux intrigues académiques, à l'Encyclopédie, aux calembours, au magnétisme, à la politique. Nos belles dames se firent auteurs, et trouvèrent ainsi le moyen... d'endormir leurs amants. Tout le monde se mêlait de philosophie, se donnait de l'importance ; on forgeait des mots nouveaux, étranges et bizarres, que Racine et Boileau n'eussent pu ni comprendre ni accepter, et je ne sais vraiment où nous en serions arrivés de malaise et d'ennui, si les foudres de la Révolution ne fussent venues soudain éclater sur nos têtes..."

Ceci dit, l'abbé me serra la main et me quitta. »

Nikolaï Karamzine, Lettres d'un voyageur russe, en France, en Allemagne et en Suisse

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Tout ici-bas naît et s'élève, et tout passe, les peuples comme les fleurs

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

« Des plaines fertiles s'étendent au loin sur les deux bords de la rivière ; on voit ça et là des collines et des monticules ; partout de jolis hameaux, des vergers, des maisons de campagne, des châteaux avec leurs tours et tourelles ; une culture très avancée, l'industrie et ses bienfaisants résultats. Je voyais en imagination l'état primitif de ces beaux rivages : la Saône roulant ses vagues dans le désert, au sein de ténébreuses forêts ; des hommes presque sauvages se cachant dans de profondes cavernes ou sous les branchages de chaînes séculaires. Quelle métamorphose !... Que de temps il a fallu pour faire effacer les traces de cet état primordial !
 Cependant il pourrait se faire, mes amis, qu'un jour ces mêmes lieux redevinssent déserts et sauvages. Un jour, à la place de ces jolies filles que j'aperçois sur le rivage occupées à peigner leurs chèvres au poil blanc, peut-être verra-t-on rôder des animaux féroces et rugissants comme dans les solitudes de l'Afrique ! Observez un peu les variations de la nature ; lisez l'histoire des nations ; allez en Syrie, en Egypte, en Grèce, et dites-moi si mon hypothèse est dénuée de vraisemblance ! Tout ici-bas naît et s'élève, et tout passe, les peuples comme les fleurs. Dés lors, qu'y aurait-il d'absurde à supposer que ce beau pays de France, si beau par son climat, par ses produits, par le génie de ses habitants, par ses arts et son industrie, puisse devenir dans la suite des siècles semblable à l'Egypte, telle que nous la voyons aujourd'hui ?
 Une chose me console. Si les nations périssent, le genre humain ne meurt pas. Un peuple est remplacé par un autre, et si l'Europe est condamnée à déchoir, eh bien ! on verra de nouvelles sociétés civiles surgir dans le nouveau monde ou ailleurs, et les sciences, les arts, l'industrie refleurir de plus belle dans ces lointains pays. Là où vécurent Homère et Phidias végètent aujourd'hui des ignorants et des barbares. D'autre part, le nord de l'Europe applaudit aux accents inspirés du chantre de la Messiade , et l'on voit Bonnet au pied du Jura, Kant à Koenigsberg, disputer à Platon la palme de la philosophie...»

Nikolaï Karamzine, Lettres d'un voyageur russe, en France, en Allemagne et en Suisse

 

12:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook