04/07/2007
Indigènes des bas-fonds
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Je ne suis pas un fan de Le Pen. Lorsqu’il fait ses jeux de mots déplacés sur les « points de détails de l’histoire » ou la capacité des noirs à mieux courir que les blancs et des blancs à mieux nager que les noirs, je songe à Nietzsche qui écrivait : « NE FREQUENTER PERSONNE QUI SOIT IMPLIQUÉ DANS CETTE FUMISTERIE EFFRONTÉE DES RACES ! »
Mais là où je veux en venir c’est que notre beau pays qui a le nez dans ses couilles, au chaud, et hésite à se poser les bonnes questions, va finir par donner raison à ses ennemis.
Que Le Pen faisant jaillir quelques unes de ses purulences verbales fasse frémir la France entière, personne ne trouvera rien à y redire. Seulement voilà, je ne reste pas scotché devant ma télévision à suivre les programmes dits culturels et je peux passer à côté de certaines stances nauséeuses qui peuvent avoir lieu ici ou là. Mais ce n’est qu’aujourd’hui, et par un heureux hasard, que j’ai pris connaissance de ce que je vais vous narrer à présent, à moins que vous ne soyez déjà au courant.
Le Pen, donc, y va d’un jeu de mot déplacé et la France entière gesticule aussitôt. Par contre, sur France 3, le 21 Juin dernier, pendant l’émission de Frédéric Taddéi, « Ce soir ou jamais », nous avons eu droit à quelques insultes bien racistes du nouveau héraut des banlieues déshéritées, la nommée Houria Bouteldja.
Á 32 ans, Houria Bouteldja passe son temps à dénoncer l’attitude française lors de la colonisation en Algérie ainsi que les discriminations au quotidien dont seraient victimes, aujourd’hui encore, tous les immigrés originaires des colonies d’Afrique du Nord. Lorsqu’elle apparaît en plus à la télévision, on se demande si elle ne devrait pas être déflorée analement histoire de décrocher enfin un sourire. On devrait en souffler deux mots à son mec… si elle en a un ! Car elle a le minois fort joli, la Houria, mais une gueule tellement haineuse et le regard tellement injecté de ressentiments divers (bien étayés par ses propos… toujours d’un niveau intellectuel très minable) qu’on imagine le pire si une créature de son espèce en venait à avoir du pouvoir. Car du pouvoir elle en a sûrement un peu. Mais encore à un niveau très restreint. D’abord militante dans le « Collectif une Ecole Pour Toutes et Tous (CEPT) », elle co-fonde « Les Blédardes », pour faire de l’ombre au mouvement « Ni Putes ni Soumises ». Pure réaction de jouvencelle mal affirmée. Comme quoi les réactionnaires se cachent là où on ne les voit pas. Et les « Blédardes », laissez-moi vous dire qu’un nom pareil ça vous annonce la couleur en comparaison de « Ni Putes ni Soumises ». Elle a ensuite participé à la création du mouvement « Les Indigènes de la République », dont elle est la porte-parole. Et les propos qu’elle a tenus, elle les a tenus avec la condescendance de toute la presse française qui n’a pas osé faire de vagues, le journal « Marianne » mis à part qui y fait allusion dans son numéro du 30 Juin, soit 9 jours plus tard.
Au cours de cette émission, avec sa logique habituelle, Houria Bouteldja après avoir déversé son fiel sur les français de souche, tous racistes, xénophobes,colonialistes en puissance (puisque, d’après elle, ils pratiquent le colonialisme en banlieue) et, bien entendu, islamophobes, les opposant systématiquement aux français d’origine immigrée, a eu les propos hallucinants suivants :« Il faut rééduquer le reste de la société, la société occidentale. Nous, on les appelle les sous-chiens, parce qu’il faut bien leur donner un nom : les Blancs ! ».
Bien entendu, la porte-parole des « Indigènes de la République » pourra affirmer qu’elle a parlé de « souchiens » et non de « Sous-chiens », désirant signifier « Français de souche », et elle parviendra à jongler , tel un Le Pen dans ses jeux de mots les plus douteux, avec l’ambiguïté dont les médias sont friands pour s’innocenter.
« Les Indigènes de la République » n’existaient pas encore, en septembre 2003 Houria Bouteldja avait déjà qualifié Pascal Mohamed Hilout, coupable à ses yeux de défendre la laïcité, la République et l’intégration en s’opposant au voile, de « bougnoule de service », lors d’une réunion parisienne.
La dérive évidente de ce mouvement, « Les Indigènes de la République », fortement soutenu par l’autre raclure intellectuelle de service, Tariq Ramadan, encourage et nourrit, en miroir, positif/négatif, négatif/positif, un racisme contre les Blancs qui est le pendant de celui des extrémistes de droite les plus durs contre les gens de couleur.
« Sous-chiens/souchiens », « bougnoule de service ». Ce ne sont pas là les seules dérives de cette pauvre fille. Mustafa Al Ayyubi, correspondant de Respublica rapporte d’autres propos ambigus tenus par cette hystérique au cœur vengeur à Paris, le 14 Avril 2007 :« Nous ne sommes pas tous des Fadela Amara, des Malek Boutih, des Fodé Sylla, des Azouz Begag. »
Ou celui-là très beau :
« Nous sommes pour la résistance palestinienne, qu'elle s'appelle Hamas ou pas, Hezbollah ou pas ».
Jolie résistance, n’est-ce pas ?
Mustafa Al Ayyubi signalait aussi que pendant la prise de parole d’ Houria Bouteldja, un négationniste de la Vieille Taupe distribuait tranquillement sa propagande. Quand je vous dis que le Fascislamisme existe bel et bien et que les Nazislamistes sont de plus en plus nombreux, fondant leur vision du monde sur des critères intellectuels aussi profonds que ceux de ce sordide petit caporal qu’était Hitler. Ces liens entre la Droite la plus extrême, la Gauche la plus Radical et l’Islamisme le plus moyenâgeux est le prochain stade auquel la civilisation devra faire face si elle veut pérenniser son souffle. Après le Rouge et le Brun, puis le Rouge/Brun, voici le Rouge/Brun/Vert. Ce qui me fait songer à la « Vache bariolée » de Nietzsche, encore, et au « dernier homme » clignant les yeux, ébahi, devant elle, devant cette mascarade.
En 2004, nos chers « Indigènes de la République » ont même produit un film contre la laïcité : « Un racisme à peine voilé ».
Ce film, et les propos tenus régulièrement par Houria Bouteldja et sa horde sont bien plus dangereux quant à leurs conséquences que les écarts de langage d’un Jean-Pierre Chevènement qui s’était fait remonter les bretelles par tous les médias de gauche et les bien-pensants de ce pays à la dérive parce qu’il avait, à très juste titre, qualifié les voyous des banlieues de « sauvageons » !
Le Racisme est peut être une opinion, mais il est surtout un délit dans ce pays. Enfin… un délit quand ça arrange.
00:10 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : Racisme, Nietzsche, Islam | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Commentaires
Hum, cher Nebo, tu pointes là une perversion honteuse de nos pauvres médias, leur tolérance vis-à-vis d’un racisme politiquement correct, presque, et c’est toujours et encore la mauvaise conscience de l’homme blanc qui lâchement s’exprime là, à l’égard des « victimes ».
Est-ce qu’un Sarkozy y mettra bon ordre dans les années à venir ? je l’ignore.
Pour l’heure je voudrais mettre en exergue une réflexion venue à la suite des attentats à Londres, qui pointent un triple drame.
Des musulmans (islamistes, certes) ont préparé des attentats terroristes, ce qui n’est pas nouveau ni rare ces temps-ci.
Des immigrés soi-disant intégrés haïssent l’occident (idem).
Des médecins arabes et indiens ont voulu faire couler le sang (j’ignore s’ils avaient prêté le serment d’Hippocrate, mais est-ce à leur décharge ? ).
Nous avons donc dans leur cas la faillite de la transmission de l’Islam (d’aucuns me répondraient que Bush lui n’a pas très bien compris le christianisme, ce qui n’est pas faux, mais risque de nous égarer).
Faillite de la société occidentale qui ne parvient à se faire aimer… même dans un milieu médical qui devrait par excellence encore porter des valeurs humanistes.
A cela une réponse bien-pensante, généreuse, de gauche, voudrait être : il faut que l’intégration soit impeccable, il faut réussir le multi-culturalisme.
I.e. il faudrait que chaque Blanc soit exemplaire, beau et bon, que la société soit belle et généreuse, fraternelle, de sorte à émouvoir les malheureux, transformer les méchants. Mais attention, pas seulement en Angleterre, mais ceci à l’échelle de tout l’Occident, jusque dans la politique internationale, et donc en Irak, en Palestine …
Imaginons un sursaut prodigieux (dont nous n’avons aucun signe annonciateur) de volonté, de courage, d’intelligence en ce sens … il y a maintenant tant de crimes accumulés dans les histoires individuelles et collectives qu’il y aurait encore longtemps des attentats, qui rendraient intenable cette politique « généreuse » auprès de l’électorat. Même en Angleterre.
J’en conclus qu’il faut donc avancer dans la logique du pire, celle de la guerre, pendant une période intermédiaire du moins, mettre des caméras de surveillance partout, conforter la société policière qui se met en place, … sanctionner les discours du type Houria Bouteldja. L’ennuyeux est que cela nécessiterait une doctrine, pour organiser la défense, une révision et une réaffirmation de nos valeurs, et je ne vois pas vraiment nos maîtres-penseurs en prendre le chemin.
J’attends avec angoisse une voiture-bélier sur la pyramide du Louvre.
Écrit par : Hermann | 04/07/2007
Comme j’aimerais être en mesure de tenir un blog qui apportât la Cure essentielle, cher Hermann, mais je suis à l’image de notre temps le dépositaire d’une médiocrité générale dont je cherche à me défaire selon mes modestes moyens et mes notes ne sont, j’en conviens, pas capables de guérir ni même de soulager les maux qui sont les nôtres. Cependant je veux croire qu’en parvenant à nommer les faits on peut contribuer à alerter quelque âme solitaire sortant de l’ordinaire plutôt que la masse qui, elle, se réveillera avec la gueule de bois de toute façon. « Avec des grincements de dents » dit la Bible.
Mes notes et réflexions excèdent souvent l’intention volontaire de départ, car elles sont portées par le choc d’un certain 11 Septembre 2001 qui, aux dires de nos chers analystes médiocres et médiatiques ampoulés de tics et de tocs intellectuels divers, n’est pas uniquement le fait d’une attaque barbare contre notre belle civilisation. Notre monde occidental, orgueilleux par sa richesse, sa science et sa technique a été aussi victime de sa tolérance démocrassouillarde et de son œcuménisme impératif. Ce fameux 11 Septembre 2001, lorsque les deux tours du World Trade Center se sont effondrées sur elle-même, elles contenaient quelques 30 nationalités différentes.
Je n’ai pas la prétention pompeuse de vouloir expliquer à moi tout seul la haine et le terrorisme et cela me semble difficile même pour les grands penseurs qui sont d’un tout autre calibre intellectuel que moi pour la simple et bonne raison que les terroristes d’aujourd’hui se sont exclus de l’articulation philosophique qui incarnait encore jusqu’il y a peu notre culture. Si Nietzsche pouvait analyser encore au scalpel le ressentiment des nihilistes de son temps, déjà en 1945 notre monde occidental frémissait à la vue des avions japonais Kamikazes. Marguerite Yourcenar tentait une analyse du geste suicidaire de Yukio Mishima dans son livre consacré à l’auteur, « Mishima ou la vision du vide ». Mais Les Kamikazes étaient les descendants des Samouraïs pour l’esprit de corps et de sacrifice et ils ne s’en seraient jamais pris à quelqu’un de désarmé, avec une colère noire et aveugle. Et, après tout, Mishima, superbe écrivain, nationaliste confirmé, ne faisait que s’ouvrir son propre ventre pour marquer les esprits secs de son pays un certain 25 Novembre 1970.
Le psychisme du terroriste actuel demeure étranger à notre entendement. D’abord on a pu croire que les désœuvrés pouvaient facilement se laisser séduire par ce nihilisme nec plus ultra : « Comme je ne suis rien et que je n’ai rien à perdre… autant aller me faire sauter ! » Finalement on réalise que des médecins, cultivés, socialement irréprochables, par leur seule haine de l’occident, et bien qu’a priori parfaitement intégrés dans l’occident en question, étaient aptes à commettre les actions cruelles les plus incroyables. Ce phénomène s’attaque en premier lieu à nos capacités d’analyse, comme si les mots nous manquant nous ne soyons plus aptes qu’à une seule chose : nous inquiéter de ne pouvoir dire les choses, de ne pouvoir placer les phénomènes post-modernes dans l’optique discursive du langage logique. À croire que le terrorisme cherche à détruire aussi l’Être qui sait s’inquiéter et s’inquiétant sans mots à mettre sur les maux qui nous assiègent en vienne à se soumettre sans interrogation. La Passion du Christ était de mourir pour nous. La Passion du terroriste est la Passion de la Mort dont aucun savoir n’est susceptible de rendre compte avec un discernement qui ferait s’ouvrir nos yeux sur le dehors en même temps que sur notre intériorité de manière salvatrice. Nous demeurons par cette fermeture ontologique capable d’une seule chose : participer à l’avènement de la Bête de l’Apocalypse, le Très Vaste Mal, le Mal en soi et pour soi. Nos caméras de surveillance sont un pis-aller. Tout comme le fut l’élection de Sarkozy. Car si le terrorisme Islamiste d’aujourd’hui est difficile à appréhender il n’est nullement inopiné et imprévu. Il surgit précisément au moment où le bourgeois occidental, festif, confiant, acculturé et intellectuellement endormi se croit à la « Fin de l’Histoire » et se laisse porter par la mécanique qui le protège, pense-t-il, dans les bras de Morphée pour un sommeil soutenu à grands coups de tranquillisants et autres neurodépresseurs. Dans la nuit de ce sommeil paisible de larve satisfaite le terrorisme surgit, illisible, irrationnel et, malheureusement, parfaitement nécessaire pour remuer la graisse mentale avachie du citoyen producteur-consommateur moyen s’illusionnant de distractions débiles et vulgaires.
Content de son éloquence pathologique sans débordements dangereux, l’intellectuel type d’aujourd’hui persiste à patauger dans sa fange verbeuse, refusant de voir que le terrorisme qui se lève et cherche à nous enserrer dans ses tenailles sanglantes par les massacres et destructions de masse n’est que l’image inversée et paroxystique de notre propre nihilisme de « derniers hommes ». Houria Bouteldja nous montre bien, à un premier stade, cet équilibre qui s’opère entre deux racismes qui semblent opposés mais ne sont, au final, que les deux bouts d’une même folie générale.
Il nous faudrait maintenant nous sortir les doigts du cul et arrêter d’élaborer des montages conceptuels qui ne satisfont que quelques egos mal léchés et mettre notre volonté à tirer du fatras d’abstractions qui comblent et assouvissent pleinement les éditorialistes, les présentateurs d’informations, les faiseurs d’articles puants, les semblants de philosophards à deux sous, ainsi que les lecteurs tremblants qui se donnent l’illusion de comprendre le monde, la véritable forme du Mal qui nous guette, sa matrice, en perçant à jour son utérus originel, l’œuf glauque où il s’engendre. Tout le reste n’est que prétexte, fausse justification. Alibi. Bonne conscience pour des journalistes qui s’auto flagellent et refusent de mettre à jour des nihilismes tels les déclarations de cette Houria Bouteldja. Pour se faire, inutile de discutailler durant des heures avec quelques bavards sur des forums ou sur des blogs à l’allure bancale. Il convient de bien regarder en soi, en nous, en sondant sans aucune prévenance ni indulgence nos ruines intérieures et nos déserts intérieurs. Jean Biès, dans « Art, Gnose et Alchimie » remarquait que le monde avait faim, mais pas seulement de pain et d’eau, déjà, disait-il, les images atroces d’un tiers monde crevant la gueule ouverte étaient les images inversées de nos propres famines spirituelles, intellectuelles, nos propres famines intérieures tout aussi mortelles.
Car ce que Houria Bouteldja, Tariq Ramadan, ou les terroristes Islamistes ont si ce n’est compris pleinement, tout du moins l’ont-ils saisi instinctivement, c’est que l’occidental tellement apte au discours a désappris ce qu’est un authentique déploiement de la pensée par le biais du langage maîtrisé et efficient. Si l’Homme est un animal social, il est aussi, parce que doté d’une conscience et d’un inconscient, un animal emblématique, métaphorique, symbolique et qu’aucune civilisation n’a jamais assuré sa pérennité par de la production, de la consommation, la substitution de diverses formules pour prix d’autres formules, l’échange de biens et de services. Une société ne peut perdurer que parce que ses citoyens affirment l’exigence de partager ensemble l’idée d’un avenir commun indéfectible. Les sbires cités plus haut se gavent de notre amnésie, se nourrissent de l’état de nos sexes qui bandent mollement ou sont desséchés.
Dans le bruit général, qui est, à bien y réfléchir, un immense silence, le 11 Septembre 2001, les propos nauséabonds d’une Houria et d’un Tariq viennent combler les trous vides de nos mornes existences et notre incompétence à pouvoir penser notre Devenir et notre Civilisation selon des valeurs transcendantes sensées nous assurer une verticalité solide et pleinement épanouissante.
Écrit par : Nebo | 04/07/2007
Dans le genre langue d'agneau , tout le monde il est beau tout le monde il est gentil!
Juin 2007: Devedjian “Cette salope”.(en parlant d'Anne-Marie Comparini).
Ce vil mécréant est couvert d'opprobre par l'aréopage
1992, Bernard Tapie « si M. Le Pen est un salaud, ceux qui votent pour lui sont des salauds”, en précisant qu’il « continuerait jusqu’à la fin de ses jours à traiter Le Pen de salaud ».
Silence radio!
Écrit par : Isabelle | 05/07/2007
C'est amusant ces racistes qui voit l'Autre comme un raciste sempiternel...Votre texte pue le racisme à plein nez, n'ayez crainte casser du crouille, c'est le sport national du français de base, on est sur de ne jamais être inquièté... c'est ça la belle France des souchiens!
Écrit par : Bob | 14/07/2007
Salut Bob. Ben mon vieux, ça a l'air d'aller. Il doit faire beau en Belgique pour vous rendre si joyeux. Bonne journée Bob.
Écrit par : Nebo | 14/07/2007
Très bon article.
Écrit par : Stephane | 15/07/2007
Bonjour Nebo,
Cette histoire a circulé dans la blogosphère. Pour être franc, cette fille est tellement odieuse que je n'ai pas pu regarder la vidéo en entier, je n'ai donc en fait même pas vu le passage des "sous-chiens" ou "souchiens".
Je suis évidemment d'accord avec votre texte. J'ai l'impression d'une politique des petits pas à notre égard.
Elle est née en Algérie, qu'est-ce qu'elle fout encore chez nous ?
Écrit par : Le Proton Jovial | 19/07/2007
Houria Bouteldja ne fait rien d'autre que répondre à ceux qui parlent des Français de souche, ou se gargarisent du mot République en la définissant sans aucun complexe comme "blanche, chrétienne et gréco-romaine".
Monsieur Finkielkraut, intellectuel fort admiré par M. Sarkozy, par exemple, préfere avoir des prises de bec avec Houria Bouteldja, c'est facile, mais on ne sait toujours pas ce que ce monsieur a à dire la définition de la France, "pays de race blanche et de tradition chrétienne et gréco-romaine" - reprise en boucle par certains médiatiques, qui ne font que donner raison à Houria Bouteldja. Lorsque quelque chose pousse, il faut se demander qui a semé la graine.
Écrit par : bill | 08/12/2007
Salut Bill,
en tout cas... pour ce que j'en sais... la France n'est pas un pays de basanés, se tournant 5 fois par jours vers la Macque pour prier, où les femmes se voilent et où la Charia est appliquée littéralement. Mais je gage que grâce à des personnes comme vous elle ne va pas tarder à le devenir... pour votre plus grande satisfaction vengeresse.
Bien à Vous...
@)>-->--->---
Écrit par : Nebo | 08/12/2007
si,vous en voulez un peu plus sur cette tique vinaigrée d'Houria -à apparence pseudo féminine- :
http://www.dailymotion.com/popular-week/tag/sarkozy/video/x3oitp_alain-soral-chez-taddei-44_politics
(Avec Soral, Jammet, Touraine : la piste aux étoiles!
Écrit par : Restif | 08/12/2007
A propos de Le Pen, la petite harpie anti-blanc faisait ce soir la équipe avec le nouveau maître à penser du FN, à savoir ce pauvre A.Soral....Entre antisémite...Beurk!
http://ilikeyourstyle.net/index.php/2007/12/08/encore-la-vieille-droite-a-la-con/
Écrit par : XP | 08/12/2007
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