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20/07/2009

Le Saule Pleureur...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=


La parole est à ma douce Irina...

 

Dans l'esprit de la chronique de Simon Leys, sachez que le lundi 29 juin 2009, on mettait à mort le célèbre saule pleureur de l'Île de la Cité, à Paris. Tout a commencé semble-t-il avec une branche tombée dans la Seine, et en peu de temps il a été décidé (sous le prétexte que cet arbre était malade) de le supprimer.
Un ami et collègue qui chaque matin et chaque soir avait l'habitude de passer à proximité et qui aimait à le contempler arrive un matin totalement anéanti et en colère et m'annonce la nouvelle, je n'en croyais pas mes oreilles. Ce saule majestueux de l'île de la Cité vous le connaissez tous, pas besoin d'être parisien pour cela, on l'a tous vu sur une carte postale ou dans un reportage télé, ou lors d'une ballade en bateau-mouche avec ses branches qui venaient caresser la Seine, il semblait protéger Notre-Dame. A la manière des Indiens de la côte Pacifique ou des Maoris, beaucoup le respectaient.
Cet acte honteux s'est bien sûr fait dans la plus grande discrétion et si on avait demandé leur avis aux parisiens, soyez sûrs que le gardien de l'île serait encore là.

 

 

Les photos ont été prises par l'auteur de ce blog (Emmanuel Delarue)

08:50 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (18) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Commentaires

Quand la réacosphère nous chie une pendule pour un simple arbre elle en devient risible dans un pays où ça licencie à tout va.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

En plus on la voit mieux votre cathédrale,ça devrait vous rendre joyeux.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

et vlan ! encore un qui a cette facheuse tendance à étiquetter à tout va ! on défend un saule et on est réac ! C'est vous Orgel qui êtes risible !

Écrit par : Irina | 20/07/2009

Arrete de nous les hacher menue avec ton saule qui chiale, on est bientôt en 2010 va te faloir te réveiller avec ton pauvre mec.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

Cher Orgel,
Il serait interréssant pour vous d'aller laisser courir vos yeux sur le précedent post de Nébo, intitulé : L'Empire Du Laid.
De façon implicite, tout est déjà dit et annonçé non seulement au sujet du type d'incident dont parle Irina (L'abattage sans vergogne, ni noblesse ni céremonie d'un Saule séculaire et historique) mais également à propos de cette façon qu'on les rustres et les malades de la vie quand ils se jettent sur la moindre parcelle de beauté afin de l'étouffer au plus vite.
Voyez-vous cher Orgel, réac ou pas réac, une femme qui pleure ses larmes à la mort d'un saule, cela est tout simplement une marque de beauté et aussi une preuve d'HUMANITÉ. Mais effectivement comme vous le dites nous sommes en 2010, et l'Humanité pour les malades que nous sommes, ça donne des hauts-le-coeur.

Écrit par : orpheus64 | 20/07/2009

Enfin un défenseur de l'Humanité ! Merci E., je me sens moins seule tout à coup ...

Écrit par : Irina | 20/07/2009

En plus t'es qu'une merde, nebo, t'envois tes potes venir te défendre au lieu de répondre par toi meme.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

non seulement nebo vient pourrir l'ambiance sur le forum de Louis avec ses idées arriérées de facho frustré,mais maintenant ses potes théorisent des envolés farfelues. la réalité de ce monde c'est ça :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/07/20/01011-20090720FILWWW00313-allier110-licenciements-dans-une-fonderie.php

vos histoires d'arbres coupés en comparaison c'est minable. y'a que les pauvres cloches arriérés metaux de votre genre qui pensent détenir la vérité, alors que c'est rien du tout ce que vous racontez.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

c'est la négation du réel ou plutôt l'absence de croyance au réel qui pousse les bo[no]bos de la ville de paris et leurs alliés khmers avides de sang à détruire des paysages urbains !
Après eux, le déluge !
C'est qui cet Orgel les fesses ?

Écrit par : Vrons | 20/07/2009

les facheux fachos se rassemblent chez nebo, Rien de plus normal.

Mes fesses elle t'emmerdent.

Écrit par : Orgel | 20/07/2009

Au coin Orgel !
Et pour ta pénitence tu me reciteras 800 fois le haïku de Basho :

"Mouvements
du coeur
dans le frisson du saule."

Écrit par : orpheus64 | 20/07/2009

Après ça tu répéteras encore et encore jusqu'à en devenir complètement guéri et nettoyé :

"Orgel les fesses, Orgel les fesses, Orgel les fesses.."

Si ça ne marche pas tu recommence la même chose devant un miroir.

Écrit par : orpheus64 | 20/07/2009

mais je n'ai encore quasiment rien écrit, comment cet(te?) orgel wc sait-il t-elle) que j'en suis ?

Écrit par : Vrons | 20/07/2009

mais ta simple présence ici ! tu défends l'indéfendable : les réacs, les fachos, les défenseurs de saules !

Écrit par : Irina | 20/07/2009

Alors je défends et je cite :
"Pour que le caractère d'un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l'idée qui la dirige est d'une générosité sans exemple, s'il est absolument certain qu'elle n'a cherché de récompense nulle part et qu'au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d'erreurs, devant un caractère inoubliable."
"Quand je réfléchis qu'un homme seul, réduit à ses simples ressources physiques et morales, a suffi pour faire surgir du désert ce pays de Canaan, je trouve que, malgré tout, la condition humaine est admirable. Mais, quand je fais le compte de tout ce qu'il a fallu de constance dans la grandeur d'âme et d'acharnement dans la générosité pour obtenir ce résultat, je suis pris d'un immense respect pour ce vieux paysan sans culture qui a su mener à bien cette oeuvre digne de Dieu."
(début et fin de L'homme qui plantait des arbres de Jean Giono)

Écrit par : Vrons | 20/07/2009

tu m'en avais parlé de ce livre, plusieurs fois, il va vraiment falloir que je le lise. (on se le passera sous le manteau, encore un livre réac !)

Écrit par : Irina | 20/07/2009

Sûr. Giono réac, ne suis pas certain. Mais c'est vrai que lorsque l'on parle de terre, d'arbres, de terroir, d'abnégation, de geste gratuit, c'est sans doute très pays réel et très réactionnaire. Que gel à la menthe se rassure, le réel n'existe plus (comme sa fonderie fermée), donc plus de réacs a priori.
Giono ! M'enfin Un roi sans diverstissement, Le hussard sur le toit (ne jamais regarder le navet filmique qui s'en est inspiré), ça déchire sa [race] différence plurielle d'origine !
L'homme qui plantait des arbres n'est même pas un livre (56 pages), plutôt un vademecum, un viatique.

Écrit par : Vrons | 20/07/2009

Orpheus64, Irina et Vrons... merci.

Orgel... face de cul mal essuyé. Je suis prêt à parier mes couilles sur un plateau que tu signes "Orgel" pour te donner de l'épaisseur, mais à lire ton français mal léché, tes fautes et ta lourdeur syntaxique, je suis certain que tu n'as certainement pas lu "Le bal du comte d' Orgel" de Raymond Radiguet. Pas de panique, je ne l'ai pas lu non plus. Mais Radiguet, le miraculeux écrivain de 20 ans m'a ému avec son "Diable au Corps". Ta plume à toi... et tes insultes... ne m'émeuvent pas. Je me dis juste : "Tiens, encore un coulis de chiasse puante, mi jaune, mi verdâtre ! Vite nettoyons !" Et voilà... bannissement ! Hop ! Plus de temps à perdre avec les raclures de bidet... les résidus de fausse couche... les sacs à foutre desséchés... les larves nauséabondes qui se sont fait enculer par leur papa et sucer par leur maman. Marquées à vie les larves ??? Probablement. Mais mon empathie et ma charité ont des limites. Je ne suis pas un saint. Ras la couenne des pollueurs de ton genre. Deux mots à leur vocabulaire, aucune envergure, profondeur plate, et une pensée digne d'un mollusque. Et alors, le summum de l'esprit chez les esclaves chancelants comme toi c'est de lâcher leur jugement suprême en me qualifiant de "fasciste". Quelle sens de la critique ! Cela me fait songer aux islamistes qui rentrent dans une colère noire lorsqu'un pacifique philosophe comme Redeker leur dit qu'ils sont violents et qu'ils ne trouvent rien d'autre à faire que... lui coller une fatwa qui le condamne à mort. Les masques tombent. Alors, ma foi, vas-y, minable asticot, traite-moi de fasciste, traite-nous de fascistes, c'est tout ce qui te reste quand tu as fait le tour de tes idées limitées en nombre.

Du balai...

Écrit par : Nebo | 20/07/2009

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