28/05/2011
Inégalités scolaires
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Cette pitoyable posture franchouillarde qui consiste à voir de la stigmatisation en lieu et place de chaque vérité exposée simplement. Claude Guéant y est allé de sa déclaration concernant la scolarité de nos "Chances pour la France". Il faut bien, Sarkozy est déjà en campagne et l'UMP chie dans son froc car son électorat sourit de plus en plus à Marine Le Pen, les ouvriers ne sont pas les seuls.
Pourtant il a raison le Guéant... Les résultats de l’enquête PISA 2009 menée par l'OCDE aboutissent au même constat. PISA est une enquête menée tous les trois ans auprès de jeunes de 15 ans dans les 34 pays membres de l’OCDE et dans de nombreux pays partenaires.
Ici : Le Rapport PISA 2009.PDF, voir, concernant la déclaration de Claude Guéant, la page 72 du document.
L’écart de résultat quant à la réussite entre les élèves nés en France de parents français et ceux nés en France de parents étrangers reste très important. Il est de 60 points en France contre 43 en moyenne pour les autres pays de l’OCDE. Selon les critères de l'organisme un écart de 40 points équivaut à un retard d’une année scolaire complète. Ainsi en France, les élèves issus de l’immigration accumulent en moyenne un retard d’un an et demi.
La Gôche, une fois de plus, aime à pousser des cris d'orfraie dés que l'on tente d'aborder de front les problèmes qui minent notre société. Alors poursuivons un peu... ça en vaut la peine.
Les élèves issus de la première génération ont deux fois plus de risques, si ce n'est plus, de compter parmi les élèves peu performants en France. La situation s’améliore un peu pour les élèves de la deuxième génération, mais les écarts restent très élevés puisque 35% des élèves n’atteignent pas le niveau 2 de l’enquête PISA (seulement 17 % pour les autochtones et 42 % pour les élèves de la première génération). Le niveau 2 est considéré comme le seuil de compétence, selon l’ascendance autochtone ou allochtone. C’est le niveau à partir duquel les élèves commencent à démontrer qu’ils possèdent les compétences en compréhension de l’écrit qui leur permettront de participer à la vie de la société de manière efficace et productive, selon le fichier PDF dont je vous ai mis le lien.
Faisons quelques comparaisons, voulez-vous ?
Tous les pays membres de l’OCDE font face à des phénomènes d’immigration : en Nouvelle-Zélande, au Canada et en Suisse, entre 20 % et 25 % des élèves sont issus de l’immigration, 30% au Liechtenstein, 39% à Hong-Kong et 70% à Macao (Chine), tout comme à Dubaï, 70% de même. 40% au Luxembourg et 46% au Qatar. Cependant, on s'en serait douté, sauf la Gôche qui préfère vociférer, aucun de ces pays ne connaît le même taux d’échec scolaire que la France parmi les populations issues de l’immigration. Il convient probablement de considérer les natures différentes de ces immigrations sur le plan social et économique, en tout cas c'est à ça que nous invitent les résultats de l'enquête PISA. La Grande Bretagne, Le Portugal, l'Espagne, la Finlande, la Grèce, l'Italie, l'Irlande et la France ne pratiquent pas des politiques migratoires sélectives. Au contraire, les USA, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande favorisent les plus qualifiés. Il n'est guère étonnant que l'écart de résultat entre les élèves autochtones et ceux issus de l'immigration y soit beaucoup plus faible.
L’échec des enfants en question n’est pas systématiquement une fatalité, mais encore faudrait-il avoir le courage d’en faire le constat afin de pouvoir y apporter des solutions. En pratiquant la politique de l’autruche, les partis politiques, les syndicats et les associations de Gôche qui excellent dans ce sport ne contribuent qu'à se donner bonne conscience, mais ne viennent aucunement en aide aux élèves concernés.
Pour faire face à ce défi des solutions sont à chercher, à la fois, à travers une politique migratoire mieux encadrée (il faudrait diminuer les flux migratoires de manière drastique, voire les supprimer pour un temps donné), dans une politique d’assimilation radicale dans ses principes (mais ce pays devrait cesser de se renier), ainsi que dans un accompagnement éducatif renforcé sans qu'il sombre non plus dans l'Assistanat scolarisé à outrance. Si les enfants n'apprennent pas dés l'école qu'il leur faut fournir un effort individuel pour y arriver comment parviendront-ils à s'orienter, par la suite, dans la vie ?
Demeurent, ensuite, d'autres problèmes qui sont tellement délicats que le simple fait de les chuchoter provoque le hérissement de toutes les pensées en kits qui s'en retrouvent toutes chamboulées dans leurs protocoles de cogitations, si on peut parler ainsi. Mais personnellement je ne me gène pas pour les aborder dans la mesure où l'Europe est loin de remporter la Palme d'Or en matière de QI et, au sein de l'Europe, moi qui suis d'origine serbe encore moins. Vous verrez qu'un coup d'oeil sur la carte vous donnera l'explication de ces propos que je viens de tenir, avec une réelle ironie mais néanmoins très sérieusement.
Cliquez sur l'image : Répartition de l'échelle des Quotients Intellectuels sur notre jolie planète...
Le scientifique James Dewey Watson provoqua un scandale, en 2007, lorsqu'il publia un ouvrage dans lequel il argumente l’inégalité des races qui composent l’espèce humaine, mais peut-être devrais-je dire "ethnies" en lieu et place du mot "races" sinon on va se jeter sur moi et procéder à la lapidation qui convient. Mais je persiste, je ne vais pas baisser la tête devant nos dégarnis du bulbe sous prétexte qu'ils deviennent hystériques, mais que voulez-vous, je suis de sang serbe, j'ai donc un QI dans les chaussettes (dans les 85, selon l'étude) en comparaison à nos gauchistes franchouillards intelligents qui doivent atteindre les 100. Voyez la carte, surtout si vous êtes français, vous devriez être capables de situer la Serbie sans aller enquêter sur Wikipédia.
Car voilà, James Dewey Watson n'est pas n'importe quel scientifique. Biochimiste et généticien, il est le co-découvreur de la structure de l'ADN, pas moins, il a obtenu le prix Nobel de médecine en 1962 pour sa contribution à cette découverte fondamentale en compagnie de Maurice Wilkins et Francis Crick. Et entre 1962 et 2007 il a eu le temps d'approfondir la question, n'est-ce pas ? Ses travaux prolongent ceux de John Philippe Rushton, de Richard Lynn, ou ceux, communs, de Richard J. Herrnstein et Charles Murray dont ils ont publié les conclusions dans leur ouvrage controversé "The bell curve". Il faut comprendre que les controverses en question tiennent plus de l'idéologie que du constat scientifique. Pour vous donner une idée de la chose, je me souviens avoir entendu un jour Caroline Fourest dire, de mémoire, que "même s'il était prouvé scientifiquement que les races existaient, elle préférerait ne pas y souscrire par posture idéologique, ce afin d'oeuvrer à l'unité du genre humain plutôt qu'à sa division." Voilà qui est louable. Remercions-la. En comparaison, James Dewey Watson tient des propos tout autres, de ce genre : « Il n'y a aucune raison de s'attendre à ce que les capacités intellectuelles de peuples séparés géographiquement dans leur évolution aient évolué de manière identique. Notre volonté de distribuer des pouvoirs intellectuels égaux, comme une sorte de dotation universelle, cette volonté ne sera pas suffisante pour qu'il en soit ainsi. » ("Évitez les gens ennuyeux", 2007). Ce qui a plutôt tendance à l'inquiéter, James Dewey Watson, car l'idée selon laquelle nous nous vaudrions tous sur tous les plans, par la grâce de ce relativisme culturel qui s'est installé depuis les barbaries nazis de la seconde guerre mondiale afin de ne faire aucune vague, histoire de bien enfouir La Bête Immonde au lieu de lui faire face (et en oubliant, au passage, qu'elle peut réellement resurgir lorsqu'on s'y attend le moins... je suis yougoslave, que voulez-vous ?, j'ai un nez pour ces saloperies, ça n'est pas le Général Mladic qui me contredira), nous empêche de trouver des solutions pour venir véritablement en aide aux pays sous développés. James Dewey Watson a déclaré au "Sunday Times" qu'il était « fondamentalement pessimiste quant à l'avenir de l'Afrique » car « toutes nos politiques d'aide sont fondées sur le fait que l'intelligence des Africains est la même que la nôtre alors que tous les tests disent que ce n'est pas vraiment le cas ». Inutile de vous décrire la levée de bouclier générale ! Une armada de mielleux en colère, la bien-pensance sous cocaïne !
Par-delà les provocations salutaires de James Dewey Watson, quelques 52 grands scientifiques de très haut niveau ont défendu sur le plan scientifique l'ouvrage "The Bell Curve" qui rejoint les conclusions du Prix Nobel en publiant une tribune dans le Wall Street Journal.
Je vous propose donc quelques pistes de réflexion pour vous faire votre propre opinion et comprendre qu'il ne s'agit aucunement, ici, de faire de la stigmatisation envers qui que ce soit, mais bien plutôt de prendre en compte ce que nous dit la science qui, chacun devrait le savoir, est en constante évolution et en perpétuel déplacement. Si ontologiquement il y a une égalité parfaite entre tous les hommes, quelle que soit leurs origines raciales ou autres, il est évident qu'ils sont également conditionnés sur des générations et des générations par leurs lignées (Freud et Jung nous l'ont assez rappelé), leurs environnements, leurs Cultures, leurs milieux sociaux, leurs valeurs religieuses et éthiques, leurs gènes porteurs d'une profonde mémoire. Au lieu d'y voir de la discrimination haineuse, il faudrait plutôt y voir une possibilité de complémentarité hiérarchisée, car s'il n'y a pas de hiérarchisation (même relative), je propose à nos chers bobos gôchistes tellement assurés de leurs convictions de partir vivre auprès des papous, des aborigènes d'Australie, des indiens d'Amazonie ou des touaregs du désert histoire de mettre en pratique leurs conceptions égalitaristes. Je leur garantie quelques rires jaunes et beaucoup de désagréables surprises.
Mais je le répète, je fais de mon mieux, je n'ai qu'un petit QI de serbe. Voyez la carte, bon Dieu !
Consultez sur Scribd le livre RACE, ÉVOLUTION ET COMPORTEMENT, Une perspective sur l'histoire de vie par le Professeur J. Philippe Rushton
L'article de John Philip Rushton et Arthur Robert Jensen intitulé "La très dérangeante vérité de James Watson : réalisme racial et illusion moraliste".
En anglais, "RACE DIFFERENCES IN INTELLIGENCE" par Richard Lynn
En fichier PDF, à télécharger directement sur votre disque dur, la tribune dans le Wall Street Journal des 52 scientifiques de renom international qui ont pris la défense du livre, controversé par nos bisounours hystériques, "The Bell Curve"
Enfin... pour une autre piste... Un reportage qui est passé sur ARTE il y a un certain temps...
23:03 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (4) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Commentaires
Nebo,
Merci pour la démonstration et les références, difficilement contestables. Curieux tout de même que Guéant se soit perdu en conjectures et approximations quand il s'est agit de justifier les chiffres et statistiques utilisés... Qu'il n'ait pas pris le temps de fourbir ses armes, sachant qu'il se ferait tomber dessus comme la vérole sur le bas clergé, ça me dépasse.
Peut-être qu'en dépit de sa bonne volonté, Guéant reste un Jean-Foutre...
Écrit par : Eric | 29/05/2011
Guéant est une bille,au même titre que toute notre classe politique toutes tendances confondues.
1. Allemagne 107
2. Pays-Bas 107
3. Pologne 106
4. Suède 104
5. Italie 102
6. Autriche 101
7. Suisse 101
8. Iles britanniques 100
9. Norvège 100
10. Belgique 99
11. Danemark 99
12. Finlande 99
13. République Tchèque 98
14. Hongrie 98
15. Espagne 98
16. Irlande 97
17. Russie 96
18. Grèce 95
19. France 94
20. Bulgarie 94
21. Roumanie 94
22. Turquie 90
23. Serbie 89
D'après une étude menée par l'université d'UIster en Irlande du Nord, les Allemands sont les plus intelligents d'Europe, avec un QI moyen de 107. Les Français sont à la traîne, en 19e position, avec un QI moyen de 94, loin derrière la Pologne, 106, la Suède, 104, ou l'Italie, 102.
C'est une carte européenne bien étonnante que dresse l'université de l'Ulster. D'après l'étude partiellement publiée lundi dans le Times, les Allemands sont le peuple le plus intelligent d'Europe, avec un quotient intellectuel (QI) moyen de 107. Ils devancent de peu les Néerlandais (107) et les Polonais (106). Suédois (104) et Italiens (102) suivent au classement. La Turquie et la Serbie ferment la marche avec respectivement 90 et 89 points de QI.
La France mal classée
La France fait partie des mal classés (19e) avec un QI moyen de 94, à égalité avec la Bulgarie et la Roumanie, mais loin derrière les Britanniques et leur QI de 100. Cet écart de six points entre Français et Britanniques ravit d'ailleurs le Times, qui introduit son article par une pique traditionnelle dans la presse Outre-manche : "Britanniques et Français ont connu de longues périodes de conflits et de rivalités, mais nous pouvons désormais dire quel camp est victorieux : nous sommes plus intelligents que les Français".
Selon le professeur Richard Lynn, auteur de cette enquête, cette différence de QI entre Français et Britanniques serait en fait une des raisons des nombreuses victoires militaires de la Grande-Bretagne sur la France au cours des siècles: "C'est une loi non reconnue de l'histoire que le camp doté du plus grand QI l'emporte en général, sauf s'il présente une réelle infériorité numérique, comme ce fut le cas des Allemands après 1942". Toujours d'après son étude, les zones rurales, tous pays confondus auraient un QI moyen plus faible que les zones urbaines.
Climat et nutrition facteurs de développement du cerveau
Ces différences de QI entre pays européens seraient dues au fait que les populations soumises à des climats plus froids dans le nord de l'Europe auraient développé des cerveaux plus volumineux. Selon les calculs de l'université de l'Ulster, la taille moyenne du cerveau humain en Europe du nord et Europe centrale est de 1.320 centimètres cubes, contre 1.312 centimètres cubes en Europe du sud-est.
Certaines carences nutritives joueraient aussi un rôle capital dans le développement du cerveau et expliqueraient ces écarts. "Les populations du sud-est de l'Europe, qui ont eu moins accès aux protéines et aux vitamines contenues dans la viande au cours des siècles " subissent aujourd'hui les conséquences de cet héritage, souligne le professeur, qui a analysé pendant trois décennies le rôle de l'évolution dans le QI avant de publier ses recherches.
Autre constat, les étudiants universitaires américains seraient les plus intelligents, avec un QI moyen de 110, suivis de près par les étudiants Britanniques, 109. Richard Lynn avait déjà fait parler de lui en 2005. Il avait affirmé que les hommes avaient en moyenne un QI supérieur de 5 points à celui des femmes.
http://www.lefigaro.fr/people/20060327.WWW000000365_les_allemands_ont_le_plus_gr os_qi_deurope.html
Pour la France faut pas chercher à comprendre, so on faisait un "test" auprès de la population française de souche et des immigrés parfaitement intégrés et complètement occidentalisés, sans tenir comptes des débiles qui encombrent nos cités, ces fameuses "chances pour la France" comme on dit, on aurait de sacrées surprises quant au résultat final.
Il est des carcans culturels dont on a du mal à se débarrasser, suivez mon regard.
Écrit par : Léonidas | 29/05/2011
Pour les serbes, c'est normal : des péquenots encombrés par les turcs pendant 500 ans puis par les communistes pendant 50 ans, comment voulez-vous que les QI soient élevés ?
ça va s'arranger avec le temps. Et bien plus vite que l'Afrique qui est dans la merde et l'obscurantisme jusqu'au cou.
Écrit par : Flamand | 29/05/2011
Excellent article et très bonnes références.
Écrit par : Marc | 01/06/2011
Les commentaires sont fermés.