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06/11/2011

Race supérieure

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Durant le règne d'Adolf Hitler, les allemands qui osaient faire preuve de liberté et de cynisme disaient : « Nous serons bientôt tous sveltes comme Goering, sportifs comme Goebbels et blonds comme Hitler. »

 

 

 

Ha ha ha ha ha !

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05/11/2011

I AM FREE

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Golda Meir

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« Nous pouvons pardonner aux palestiniens de tuer nos enfants, mais nous ne pourrons jamais leur pardonner de nous obliger à tuer leurs enfants. La Paix viendra quand les Arabes aimeront leurs enfants plus qu'ils ne nous haïssent. »

Golda Meir

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04/11/2011

Fruit défendu...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 

 


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Tout journal est comme une boutique

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« Le Journal au lieu d’être un sacerdoce est devenu un moyen pour les partis ; de moyen, il s’est fait commerce ; et comme tous les commerces, il est sans foi ni loi. Tout journal est, comme […] une boutique où l’on vend au public des paroles de la couleur dont il les veut. S’il existait un journal des bossus, il prouverait soir et matin la beauté, la bonté, la nécessité des bossus. Un journal n’est plus fait pour éclairer, mais pour flatter les opinions. Ainsi, tous les journaux seront dans un temps donné, lâches, hypocrites, infâmes, menteurs, assassins ; ils tueront les idées, les systèmes, les hommes, et fleuriront par cela même. Ils auront le bénéfice de tous les êtres de raison : le mal sera fait sans que personne en soit coupable. »

Honoré de BALZAC, Les illusions perdues

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03/11/2011

Damnation...

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Mesdames, vous me perdrez...

 

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"J’ai travaillé pas mal. On travaille ou bien on regarde."

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« J’ai travaillé pas mal. On travaille ou bien on regarde. C’est l’un ou l’autre. Mais si vous travaillez, vous ne faites pas autre chose. Maintenant on ne sait plus ce que c’est, le travail. C’est encore un truc que j’ai comme ça, parce que je ne suis pas d’une génération où l’on rigolait. Ca n’existait pas. Les distractions, c’était des choses de gens riches. Quand on était pauvre, on travaillait jusqu’à crever. C’était le destin. Mais je vois maintenant qu’ils ne travaillent plus. Alors ils ne savent rien. Oh, ils ont tous une petite envie, comme ça, de s’exprimer. Mais quand vous les mettez devant une feuille de papier, devant un pinceau ou un instrument, on voit surtout la débilité, l’insignifiance. Du jour où l’on s’est mis à apprendre sans douleur, le latin sans thème, le grec en dormant, on ne sait plus rien. C’est la facilité qui tue tout. La facilité et la publicité. C’est fini. Il n’y a plus rien. Il manque quelque chose : l’effort. »

Louis-Ferdinantd Céline, entretien avec Jacques d’Arribehaude

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02/11/2011

Move yo' ass

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Art Contemporain

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« Il n’y eut sans doute jamais d’époque où, comme de nos jours, tant de choses et tant de choses confuses furent dites et écrites à propos de l’art et où l’usage du mot fut si peu soumis à l’examen.

Cet état de fait doit avoir ses raisons ; Nous en découvrons une dès l’instant où nous remarquons qu’au temps de l’art grec, il n’y eut rien de tel qu’une littérature sur l’art. Les œuvres d’Homère et de Pindare, d’Eschyle et de Sophocle, les éditeurs et les sculptures des grands maitres parlaient d’elles-mêmes. Elles parlaient, c’est-à-dire montraient où l’homme prenait place, elles laissaient percevoir d’où l’homme recevait sa détermination. Leurs œuvres n’étaient pas l’expression de situation existantes et surtout pas la description de vécus psychiques. [...]. L’art du sculpteur par exemple n’exigeait ni galerie ni exposition, l’art des Romains lui-même n’avait pas besoin de documenta [enseignements, explications]. »

Martin HEIDEGGER, Remarques sur art – sculpture – espace

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