27/10/2014
Une nouvelle socialoprie...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
J'étais passé à côté de celle-ci... elle est très belle ! Ne rigolez pas, c'est votre Ministre de l'Intérieur et c'est vous qui le payez avec vos impôts...
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Ceci n'est plus une femme...
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Aggressionnistes...
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Un jeu d'enfant...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Dites à une femme deux ou trois mots qu'elle ne comprenne pas, d'aspect profond. Ils la déroutent, l'inquiètent, la rendent anxieuse, la forcent à réfléchir et vous la ramènent consciente de son infériorité, sans défense. Car le reste est un jeu d'enfant.
Il n’est, bien entendu, pas nécessaire que vous les compreniez vous-même. »
Jules Renard, Journal, à la date du 18 juillet 1887
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Pensifs, sur de ténébreux trônes
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Au loin sous une brume aux épaisseurs profondes,
L’œil, dans l’obscurité, plus bas que tous les mondes,
Voit vaguement des fronts énormes s’agiter.
Tâchant encore d’aider l’homme et de l’assister,
Ils sont tous là, pensifs, sur de ténébreux trônes. »
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« Un vivant n’est plus là qu’un rêve dans un gouffre.
Entrer là, c’est entrer dans de l’oubli. L’on souffre,
On rampe, on saigne, on râle, on crie ; on ne sait pas.
Le captif va, vient, tremble ; il fait de vagues pas,
Sent à son pied sa chaîne et s’arrête farouche,
Boit à sa cruche, mord à son pain noir, se couche,
Se lève, se rendort, tressaille, et, réveillé,
Dit: Où suis-je? que suis-je? et tâte un mur mouillé. »
Victor Hugo, La fin de Satan
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On dévorera l'avenir...
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26/10/2014
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Un dieu qui commande la haine...
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R.I.P. : Jack Bruce - 14 Mai 1943 – 25 Octobre 2014
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Une monstruosité...
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Pauvres, inscolarisés et illettrés ?
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25/10/2014
Ceci n'est plus une femme...
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La Liberté...
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Régenter...
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Pour le solitaire, l'ami est toujours le troisieme
=--=Publié dans la Catégorie "Friedrich Nietzsche"=--=
Nietzsche, trinitaire... malgré lui ?
« "Un seul est toujours de trop autour de moi," - ainsi pense le
solitaire. "Toujours une fois un - cela finit par faire deux!"
Je et Moi sont toujours en conversation trop assidue : comment
supporterait-on cela s'il n'y avait pas un ami ?
Pour le solitaire, l'ami est toujours le troisième : le troisième est le
liege qui empeche le colloque des deux autres de s'abimer dans les
profondeurs. Helas ! il y a trop de profondeurs pour tous les solitaires. C'est
pourquoi ils aspirent a un ami et a la hauteur d'un ami. »
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, "De l'ami"
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La distance et la solitude azuréenne
=--=Publié dans la Catégorie "Friedrich Nietzsche"=--=
Nietzsche à propos de son oeuvre "Ainsi parlait Zarathoustra"...
« Cette œuvre est complètement à part. Ne parlons pas ici des poètes : peut-être n'y a-t-il jamais rien eu qui soit d'une telle surabondance de force. Ma notion du "dionysiaque" s'est faite ici action d'éclat ; comparé à elle, tout autre agir humain apparaît misérable et limité. Qu'un Goethe, qu'un Shakespeare ne sauraient respirer un seul instant dans cette atmosphère de passion et d'altitude, que Dante, auprès de Zarathoustra, ne soit qu'un croyant, et non quelqu'un qui commence par créer la vérité, un esprit qui gouverne le monde, un destin -, que les poètes du Véda soient des prêtres et pas même dignes de dénouer les chaussures de Zarathoustra, voilà qui n'est encore qu'une litote et ne donne aucune idée de la distance, de la solitude azuréenne où vit cette œuvre. »
Friedrich Nietzsche, Ecce Homo, "Pourquoi j'écris de si bons livres"
00:41 Publié dans Friedrich Nietzsche | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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24/10/2014
Ceci n'est plus une femme...
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Chiraquisme...
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George Washington, politicien radical aux cheveux longs, défenseur des armes et cultivateur de cannabis...
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Illegal...
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Bon service armé, apte à l'infanterie
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Les majors à barbiches blanches et les édiles sourient. 1 m. 75, 63 kilos. Coeur et poumons excellents. Un peu mince, mais l'exercice l'étoffera vite. Bon service armé, apte à l'infanterie. Comme prévu. Cocasse que ce soient ces braves vieux toubibs débonnaires, costumés en officiers, qui choisissent la viande à mitraille, décident : "Celui-là se porte assez bien pour faire un mort." »
Lucien Rebatet, Les épis mûrs
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23/10/2014
Les habitants des côtes...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Les habitants des côtes doivent avoir l’esprit moins étroit que les habitants de l’intérieur. La mer, qui renferme l’idée de l’infini est sous leurs yeux. Ils parlent sans cesse des dangers qu’elle fait naître, du courage avec lequel on les surmonte et des fortunes rapides qu’on fait par le commerce maritime. La conversation du matelot fatigué et rentré au port est moins bête que celle du notaire de Bourges. »
Stendhal, Mémoires d’un touriste
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Je n'aurais jamais attendu qu'un normalien fût à ce point dépourvu de tout pédantisme et qu'un "intellectuel" s'amusât...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« J'étais émerveillé. Je n'aurais jamais attendu qu'un normalien fût à ce point dépourvu de tout pédantisme et qu'un "intellectuel" s'amusât, avec tant de goût et d'expérience du "monde", à tracer le portrait des Parisiennes frivoles que nous nous trouvâmes connaître tous deux. Brasillach riait beaucoup, et comme j'aime, de tout coeur. Son rire l'ouvrait jusqu'à l'âme et cette âme, entrevue, rassurait, réconfortait, éblouissait. Mais, à mesure que mon nouvel ami parlait, m'enrichissant de dons insoupçonnables, je sentais que je ne pouvais rien lui offrir en retour. Brasillach ne pouvait que donner. Il était cet ami frotté d'huile "qui vous possède et que l'on ne possède pas" dont parle Sénèque à Lazare le ressuscité, en désignant Jésus (dans Le Jardin de Bérénice). Dès notre première rencontre, si frivole, je compris que les sources auxquelles celui qui devait devenir un martyr et un saint puisait sa force étaient d'origine extra-humaine. Un mystérieux noli me tangere flottait autour de ce garçon chaleureux qui ne s'occupait que de moi, le protégeant de toute indiscrétion même amicale, comme les hublots de ses lunettes protégeaient la raison sombre et velouté de ses prunelles. Nous nous levâmes ensemble ; nous entreprîmes une promenade côte à côte, sous le soleil de mai 1937. »
André Fraigneau, En bonne compagnie - Chroniques
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Ceci n'est plus une femme...
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Legalize it...
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