Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/06/2020

Bien-pensance Inquisitoriale...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

19/06/2020

The Jelly Jam - "Water"

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

06:30 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Principe idéologique de base...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Quand les archives de l'INA nous rappellent l'effondrement de la langue française

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 



 

Par Antoine Desjardins
Professeur de Lettres, membre du collectif "Sauver les lettres", co-auteur de "Sauver les lettres - Des professeurs accusent" (Textuel).

Antoine Desjardins déplore la dégradation du niveau de langage, facilement constatable à partir des vidéos de l'INA des années 1960.

 

Nous vivons l'époque du "je like ou je nique" explique Michel Onfray dans la première livraison de Front populaire. Il évoque un cerveau reptilien qui tient lieu désormais de cortex où les émotions primitives (on sait depuis peu, grâce à M. Castaner, que "l'émotion mondiale dépasse les règles juridiques") et l'instinct ont remplacé la capacité à réfléchir, à analyser, à argumenter. Le pathos remplace le logos. Mais ne serait-il pas question ici de langage articulé ? De capacité à mette en mots des émotions ? Ne serait-il pas question aussi de vocabulaire et de syntaxe ? De ressources langagière. Il fut des temps barbares et gothiques, pourtant, où l'école apprenait à tous, sans exception, un français riche et même porteur de références culturelles.

Les exclus de la langue, on le sait, sont amenés à se conduire comme les exclus tout court, prêts à s'engager dans le cycle de la révolte active. Le ghetto linguistique emprisonne ses victimes dans le ghetto social : ici naissent et naîtront les extrémismes, les intégrismes, les idéologies simplistes. A cerveau reptilien, réaction binaire, comme dit toujours Onfray. Un mot décrit l'incapacité à mettre des mots sur les émotions : l'alexithymie. Et c'est justement le grec qui aide à comprendre : a (privatif), lexi (λέζις, la parole, le mot) thymos (θυμός, état d’esprit, humeur). Nul doute que cette alexithymie a de beaux jours devant elle car, c'est bien de perte du logos dont il est question. L'incapacité à traduire des émotions fines et complexe, à nuancer, à s'exprimer clairement et distinctement, trouve sa solution dans le slogan mimétique ou pire, l'aboiement et la vie en meutes idéologiques.

RÉGRESSION DU LANGAGE

Je me me suis plongé dans les archives de l'INA pendant le confinement et une chose m'a frappé qui devrait faire s'interroger nos amis "progressistes" qui pensent que s'opposer à une régression c'est être conservateur et réactionnaire, et qu'on ne peut jamais dire que quelque chose de bon s'est perdu. Qu'une régression, voire un désastre, a bel et bien eu lieu : en l’occurrence ce qu'on pourrait appeler un effondrement syntaxique.

Les gens interviewés dans les années 60 et suivantes (Archives de l'INA, donc), au hasard, dans la rue, utilisaient un français beaucoup plus riche et soutenu qu'aujourd'hui, un français exempt de vulgarité, simple, mais solidement charpenté par une syntaxe correcte. Sans doute parce que l'école fonctionnait mal et n'avait pas été démocratisée. On y entend des commerçants, des ouvriers, des employés, des agriculteurs (qui ne sont pas des "clients" de journalistes, mais bien des quidams ) et on demeure frappé par la bonne maîtrise de la langue et l'abondance, souvent pittoresque, du vocabulaire. C'était avant que les pédagogues ne considérassent, à juste titre, la langue comme fasciste : un dispositif arbitraire de maintien de l'ordre social, un moyen de se distinguer et d'exclure l'autre. Un carcan à "déconstruire" (ce mot commence à donner la nausée à des gens passéistes qui n'ont rien compris aux avant-gardes) pour libérer la classe ouvrière. Heureusement, la grammaire fut mise en examen et traînée devant des juges progressistes, dès le milieu des années soixante-dix.

Désormais l’oppression a cessé presque partout et les écrivains académiques de la tradition scolaire ne viennent plus parasiter ou plomber les propos des uns et des autres pour entraver la libre expression, brider la spontanéité et la sincérité, et prescrire un soi-disant bon usage. J'ai entendu une jeune employée de boulangerie interviewée et citant, au détour d'une phrase, un propos de... Victor Hugo (un auteur blanc colonialiste soit dit au passage). Une apprentie boulangère, autant dire, le prolétariat. Rétrospectivement, j'ai un peu honte pour elle : quel genre de conditionnement cette pauvre femme a-t-elle pu subir durant une scolarité pourtant courte ?

Circonstance indéniablement aggravante, cette citation venait de façon très pertinente orner des paroles fort justes, syntaxiquement élaborées, prononcées distinctement, avec aisance et naturel, sans le moindre empêchement ! Brisée par la violence symbolique d'une école primaire réactionnaire, la jeune femme, colonisée et assujettie, singeant la voix de son maître, m'est apparue comme la victime inconsciente de normes évidemment discriminatoires qu'heureusement l'école moderne a su depuis longtemps déconstruire ! Ce monde en noir et blanc de la télévision du passé me fait horreur : il m'a fait voir en vérité dans quel Enfer de réaction nous fussions demeurés si le progrès n'avait pas continué sa marche tranquille vers toujours plus d'égalité en vue de l'extinction progressive des Lumières, matrice du paternalisme de l'homme blanc européen et du colonialisme.

Tout le monde parlerait en bon français, y compris dans nos banlieues, au grand dam de la pluralité linguistique, des cultures et de la diversité ! Si l'école était demeurée comme lieu de l’apprentissage de la maîtrise des passions-pulsions c'est à dire lieu de répression, on n'aurait pas assisté à la libération de tous. Merveilleuse libération dont on voit les effets. Comme dit Dany-Robert Dufour, le credo pédagogique fut : "Libérez-moi de tout ce qui m’aliène (les institutions, la culture, la civilisation, la langue, les signifiants, le nom du père, les savoirs, les pouvoirs, etc.) et vous allez voir ce que vous allez voir !" Et on a vu. Et on voit.

 

-----------------------------

Source : Marianne

-----------------------------

 

01:38 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

« Assa Traoré ne fait qu’imiter les mouvements noirs américains des années 60 »

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 



 

FIGAROVOX/TRIBUNE - L’évolution du discours de la soeur d’Adama Traoré témoigne de l’importation en France d’un indigénisme noir tout droit venu des États-Unis et qui n‘existe que grâce aux alliances hasardeuses de ceux qui contestent l’État, analyse l’essayiste Anne-Sophie Nogaret.

Par Anne-Sophie Nogaret

Anne-Sophie Nogaret est auteur notamment d’un essai intitulé Du mammouth au Titanic, de la déséducation nationale, et de Français malgré eux, racialistes, décolonialistes, indigénistes, ceux qui veulent déconstruire la France, co-écrit avec Sami Biasoni.

----------------------------

Assa Traoré est un personnage très intéressant. Non, comme le dit France Culture, pour sa « puissance », son charisme, ou son combat politique. Non, Assa Traoré n’est intéressante qu’en tant qu’elle témoigne du fonctionnement de la mouvance indigéniste qui l’a créée de toutes pièces.

L’existence médiatique de la jeune femme commence à la mort tragique de son frère Adama. Dans le portrait qu’en fait « Libération » en septembre 2016, elle évoque la mort de celui-ci: une bavure dit-elle à l’époque, récusant les rumeurs de crime raciste. Elle réitère par ailleurs sa foi en Allah, précise qu’elle est mariée religieusement et dénonce la stigmatisation du burkini. Bref, le discours penche du côté d’un islam politique soft. Le portrait illustrant l’article la montre portant turban, une voilette de tulle noir devant le visage.

Depuis, sous l’influence de son mentor et coach Youcef Brakni, dont le virulent discours anti-police ne doit pas faire oublier l’engagement passé auprès du Mouvement Islamique de Libération, le positionnement de l’icône s’est subtilement décalé vers les États-unis et la cause noire américaine. Assa Traoré, coupe afro et poing levé, est la nouvelle Angela Davis. Une rencontre entre le modèle et la copie a d’ailleurs été organisée en 2018, marquant l’adoubement de la mouvance indigéniste française par l’activisme noir américain. Pas question ici de filiation historique, qu’on serait d’ailleurs bien en peine de trouver. Pas question de filiation théorique, la pensée d’Assa Traoré se résumant aux slogans que lui écrit Youcef Brakni et qu’elle récite en public. Il ne s’agit en réalité que d’imiter les signifiants visuels du mouvement noir américain des années 60 et 70. Les médias adorent, les vieux retrouvent leur jeunesse, les jeunes, s’ils ne comprennent pas nécessairement la référence, trouvent ça cool.

Corollaire nécessaire à l’iconographie « révolutionnaire », le story telling est en place : Assa ne parle plus de bavure pour expliquer la mort de son frère, mais d’assassinat délibéré commis par des policiers aux ordres d’un état raciste. Comme sa coupe de cheveux, la mort de son frère s’inscrit désormais dans un référentiel américain.

Assa Traoré est donc devenue un personnage fondamentalement mimétique, singeant les gestes d’une histoire exogène. En cela, elle participe de l’essence de la mouvance indigéniste. Comme elle, la mouvance indigéniste ne peut exister de façon autonome. Comme elle, elle ne vit que par phagocytage et mimétisme. Pour sortir de sa dimension groupusculaire en effet, la mouvance indigéniste n’a d’autre choix que de s’allier aux mécontents tous azimuts. C’est la méthode Alinsky, que pratique l’extrême gauche qui se traduit par une quête perpétuelle d’alliances qui mobilise toute son énergie et ratisse large : antifas, parents d’élèves, soignants, insoumis, gilets jaunes, écolos... jusqu’aux militants basques ! Cette nécessité vitale de raccrocher leurs wagons à une locomotive dont ils espèrent pouvoir un jour éjecter le conducteur à leur profit témoigne d’une seule réalité: l’indigénisme français n’a pas de substance propre. Ceci constitue d’ailleurs sa tache originelle, le discours des fondateurs du PIR étant lui-même une copie fidèle de la rhétorique FLN. Revanchisme anhistorique et obsessionnel, l’indigénisme français est un nihilisme qui ne laisse qu’un champ de ruines chez ses anciens alliés, contre lesquels il se retourne systématiquement. L’indigénisme français ne sait pas se battre seul, contraint faute de fondamentaux d’enfourcher tout ce qui autour de lui s’agite. Il est probable que les Tchétchènes qui ont fait irruption à Dijon les relèguent rapidement à l’arrière plan de la scène médiatique. Reste, une fois de plus, à comprendre pourquoi les médias se laissent à ce point leurrer par une imagerie et un story telling grossiers, se mettant au service du nihilisme racialiste.

----------------------------

SOURCE : Le Figaro

----------------------------

01:22 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Au revoir Sibeth, tu vas nous manquer !

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 



 

L’ADIEU AUX ARMES
Au revoir Sibeth, tu vas nous manquer !
Ton départ est – quasiment – acquis. Mais c’est contrainte et forcée par ton employeur que tu vas sans doute rendre ton tablier.

Par Benoît Rayski

 

Je te dis « tu » car, comme Eluard, je dis tu à tous ceux que j’aime. Oui, Sibeth, nous t’avons aimée. Sur la mer plate et ennuyeuse de la macronie tu faisais des vagues belles et tumultueuses. Sans toi ce quinquennat, dont il est à craindre que tu ne vois pas la fin, n’aurait été que ce qu’il est : une étendue d’eau croupissante.

Nous avons aimé tes robes multicolores qui auraient fait pâlir de jalousie un kaléidoscope. Nous avons adoré que tu aies apporté une tache vivifiante de couleur au sein d’une équipe de mâles blancs. Oui, tu as fait preuve d’une fougue juvénile qui tranchait avec la langue empoulée de ton boss.

Nous avons été subjugués par tes sorties et saillies rafraîchissantes. Seule toi, oui toi seule, avais eu le courage de dire que tu mentirais pour protéger ton employeur. On s’est alors moqué de toi alors qu’il aurait fallu saluer ton dévouement sans failles. Tu étais un soldat fidèle et ton chef en a profité pour s’abriter derrière toi. Aujourd’hui, cet ingrat, ce goujat, ce misogyne, ce raciste a préféré écouter les conseils de Gilles Le Gendre, un autre suprémaciste blanc, qui t’a rayé de la liste des candidats pour un remaniement ministériel.

Nous étions tristes et tu as réussi à nous redonner le sourire. Nous avons frémi de joie quand tu as dit que tu étais de tout cœur avec les Parisiens qui souffraient de la grève du métro et que toi tu étais obligée de prendre ta voiture de fonction. Nous avons été éblouis quand tu as déclaré que les enseignants qui ne foutaient rien pouvaient aller travailler à la campagne. Nous avons été subjugués par ta franchise quand tu as dit que tu ne savais pas mettre un masque. Et nous avons écrasé de notre mépris les connards qui ont ricané en prétendant que, eux, n’avaient pas de masques.

Tu vas, nous le craignons, nous laisser seuls avec ton chef. Nous lui ferons chèrement payer son ingratitude à ton égard. Mais tu pars avec panache. A peine le boss avait-il dit qu’aucun nom ne serait effacé de l’histoire de France, tu t’es dressée contre cet outrage fait aux minorités dont tu es si proche.

Ainsi tu as demandé que la plaque avec le nom du maréchal Bugeaud soit enlevée. Une façon de dire à celui que tu avais si loyalement servi « va te faire f… ». Toutes nos banlieues ont alors vibré pour toi, avec toi.

Dans le temps, sous la IVe République, quand un ministre sentait venir l’heure de partir il s’arrangeait pour « tomber à gauche ». C’était chic, bien vu et prometteur pour l’avenir. Toi, tu as décidé, l’époque ayant changé, de « tomber du côté du 93 ».

On te comprend, Sibeth. Mais quand même, qu’est- ce qu’une jeune femme de bonne famille sénégalaise irait faire dans des territoires contrôlés par les imams et les dealers ? Sais-tu que là-bas tu ne pourras plus mettre les robes qui font tout ton charme. Non, Sibeth, nous ne voulons pas te voir en burqa !

Ps : Nous allions oublier l’essentiel. Tu as demandé à ce que les statistiques ethniques soient légalisées en France. Bien sûr que ce n’était pas pour compter le nombre de Noirs dans les prisons. Mais pour corriger à la hausse le nombre scandaleusement insuffisant de Noirs au gouvernement, à l’Assemblée nationale, à l’Académie française. Ca n’a pas plu à ton patron. Et il a envoyé Le Maire et Darmanin dire que ta suggestion était idiote. Ainsi tu mourus avec courage.

 

----------------------------

SOURCE : Atlantico

----------------------------

 

00:56 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

18/06/2020

Ty Tabor - "Freight Train"

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

06:30 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Du style

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

17/06/2020

Thin Lizzy - Johnny the Fox (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

22:15 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Deep Purple - Machine Head (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

21:25 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Supertramp - Breakfast in America (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

19:50 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Rickie Lee Jones - "Rickie Lee Jones" (1979) (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

 

 

17:45 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Rickie Lee Jones - Pirates (Les 8 chansons de l'album original)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

Tu te souviens ? On a usé notre vinyle de cet album jusqu'à l'ultime craquement vers 1985... 1986... 1987... 1988... Il était sans cesse sur notre platine.

 

 

 

 

 

 

 

 

15:35 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Кatе Вush - The Drеаming (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

13:31 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Yngwie J. Malmsteen - Rising Force (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

11:10 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Van Halen - 1984 (Album complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

09:30 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Wagner ~ Tannhäuser Ouverture

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

07:19 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Arnold Schoenberg - La nuit transfigurée Opus 4 (Boulez)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

06:15 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Beethoven - "Symphony No 9" (Herbert Von Karajan)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

05:01 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Rammstein - Rammstein (2019) (Album Complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

03:55 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Rammstein - Mutter (Album Complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

00:53 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

16/06/2020

Un an...

=--=Publié dans la Catégorie "Ô Mort... Ô Mort..."=--=

 



Irina... Cette complicité acquise après bien des épreuves qui auraient fait éclater n'importe quel autre couple... Un jour tu m'avais dit : "Ensemble pour le meilleur et pour le pire, nous on l'a vécu, on y a survécu même, nous sommes passés au travers des gouttes... Nous étions trempés jusqu'aux os... mais on s'est essuyé mutuellement et nous avons appris à nous aimer vraiment"...

Oui... avec la bonne distanciation, le respect, un désir jamais éteint, toujours présent, mais inondé de tendresse...

Une année de ton absence m'a vidé de presque tout...

23:19 Publié dans Ô Mort... Ô Mort... | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Thin Lizzy - The Sun Goes Down

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

21:55 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (6) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Metallica - Black Album (Album Complet)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

19:00 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Requiem de Mozart (Sir Colin Davis)

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=

 

Pour toi, mon Irina...

 

18:10 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook