14/08/2009
Le détournement de Nietzsche, par Michel Onfray
16:00 Publié dans Friedrich Nietzsche | Lien permanent | Commentaires (17) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
16:00 Publié dans Friedrich Nietzsche | Lien permanent | Commentaires (17) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Commentaires
Ah, en fait d'éloquence, votre commentaire est digne de retenue* !
* je m'amuse beaucoup du double sens, mais en fait il n'en est qu'un, ici... bon, on mettra ça sur le compte de la farniente car, après tout, on a bien droit à ses vacances.
Écrit par : sandgirl | 14/08/2009
???
Écrit par : Nebo | 14/08/2009
L'interrogation est à propos de quoi ? de la retenue ?
Car vous ne vous montrez pas très loquace au sujet du détournement que ferait Onfray.
Personnellement, tout le monde faisant dire ce qu'ils veulent à n'importe qui, de nos jours, j'ai choisi de tenter de discerner à partir de ce que l'on dit, en en attribuant la paternité à qui s'exprime, et si Onfray ici détourne les propos de Nietzsche, d'autres le font également dans d'autres sens, mais chacun dira qu'il le croit et est de bonne foi, et en cette occurrence, Friedrich n'est pas là pour trancher.
Autrement, j'ai peu lu encore et n'ai pas la bibliographie entière de FN à portée de main pour tenter de juger de la véracité de votre titre ou du propos de M'Onfray're, mais je serais intéressée à connaître votre point de vue.
Écrit par : sandgirl | 15/08/2009
Si j'ai très bien compris votre allusion, mais pour ma part je ne vous ai pas trop compris pour une raison simple. Il n'y a pas de commentaires de ma part, juste un titre avec une ponctuation française qui devrait parler par elle-même. Une virgule entre "Le détournement de Nietzsche" et "par Michel Onfray". Une virgule. Libre à vous, ensuite, d'y voir un double sens introduit de ma part. ^^Or, ça n'est pas le cas. Il s'agit juste de Michel Onfray traitant du "détournement de Nietzsche" dont ses propos parlent par eux-mêmes. De plus, il a l'honnêteté de dire ce qui lui lui sied dans la pensée du philosophe et ce qui ne lui convient pas. Il ne cherche pas, comme certains à faire de Nietzsche une figure de Droite ou une figure de Gauche. Il a très bien compris que la pensée de cet homme est allée ensemencer un très large panel d'interprétations et d'interrogations et, en cela, on peut dire qu'il fait honneur au penseur. Lui tente de puiser en Nietzsche une "mystique de gauche" pour une tentative d' "aristocratisation des masses", comme le disait Jaurès. Je n'y crois pas pour ma part. Mais je sais être sensible aux belles idées, c'est juste que ma conception de la réalité de l'homme ne parvient pas à rendre convaincants les propos d'Onfray à ce sujet. Cependant, contrairement à bien des gens de la réacosphère, son "Université Populaire" a ma sympathie et ses livres comme "L'Art de Jouir", "Théorie du Corps amoureux" ou l'excellent "La sculpture de soi" ont eu un impact sur moi. J'y ai puisé bien des choses agréables et des moments de grande force, des découvertes de figures de la philosophie oubliées et un sentiment d'intense liberté. Son "traité d'Athéologie", par contre, est un livre de petite envergure qui m'a effroyablement déçu.
Par contre, entre une gauche qui lisait Nietzsche (Palanque, Jaurès) et la gauche de la cruche Ségolène et sa horde de crétins en rangs serrés ou en bordel désynchronisé, on peut dire que c'est la nuit et le jour. Un gouffre que les abrutis gôchistes de nos tristes jours refusent de mesurer. Blum lisait Barrès aussi. Ce qui est impensable aujourd'hui. Après Camus, ne restaient plus que Deleuze et... pas grand monde d'autre. Sartre, avec sa gueule de tableau Picasso et ses névroses qui furent à l'image de sa tronche ont vaincu. Résultat ? Le désastre. Il y a eu Foucault aussi qui n'a pas dit que des conneries, mais qui s'est enthousiasmé pour la Révolution islamique iranienne. Il aurait pu s'abstenir.
La Gauche souffre de son creux, de son vide. Onfray pourrait lui donner beaucoup plus de saveur qu'il ne le fait. Il était bien parti, il se perd en route. C'est dommage.
Écrit par : Nebo | 15/08/2009
En fait de ponctuation, Nebo, afin que notre saisie de votre titre fusse ce que vous vouliez laisser entendre, il eût valu que sa 1ère partie, "Le détournement de Nietzsche", soit en italique, car la virgule était insuffisante à marquer le sens à elle seule. Ensuite, on lit si souvent des critiques voulant qu'Onfray commette des erreurs d'interprétations ou opère des raccourcis déformants que la vue de votre titre a induit le sens contraire en moi.
Ensuite, pour vous avoir lu chez ILYS à propos de la Question et de Nietzsche (je songe à ce commentaire débutant par "(Soupir)… Nietzsche vomit le bouddhisme et le perçoit comme un nihilisme qui a cependant ceci d’intéressant" (on ne peut renvoyer à un commentaire là-bas avec un url, étrangement si on clique sur la date et l'heure, ça nous renvoie à une autre note qui lui est étrangère), pour vous avoir lu là, donc, c'est un lecteur de Nietzsche capable d'une critique d'Onfray -et de Nietzsche- que j'ai aperçu là.
Voilà triplement pourquoi il était possible à mes yeux que votre titre soit à comprendre autrement.
Onfray non plus, je ne l'ai pas encore beaucoup lu. Plus entendu (ses cours, des émissions, des articles...) qu'autrement. Beaucoup d'estime. Ai débuté son Traité d'athéologie l'an dernier mais trop mal en point, ne l'ai pas encore achevé. Compte m'y remettre cet automne (ma vie reprenant du poil de la bête depuis le début de l'année, mais lentement malgré tout). Je ne suis pas surprise qu'il vous ait déçu puisque, quoique agnostique, vous manifestez plus de "sympathie" (pour faire court) à propos de la question Dieu que lui (il va sans dire).
Enfin, à chaque fois que je lis ou entend des critiques d'Onfray et prends ensuite connaissance de ce qui est critiqué, je me demande ce qu'avaient ses contempteurs entre les deux oreilles. Sa parole est d'une clarté, documentée et nuancée (sauf occasionnellement car il y a parfois des éléments que je discuterais, mais ayant de la sympathie pour sa démarche et ses objectifs, je m'en suis plutôt abstenue jusqu'à maintenant parce que voulant le faire correctement, et parce que, oui, parfois je m'emballe (on ne peut pas toujours se contenir, n'est-ce pas, et encore le doit-on d'autant plus dépendamment des gens et des lieux...) et alors mon ton se fait moins mesuré et donc je m'exerce à le discipliner et ai choisi d'attendre d'être en meilleure forme pour éventuellement y venir.
Quelques questions, si je puis me permettre ? Je suis curieuse de savoir ce qui fait hiatus, à vos yeux, entre cette "aristocratisation des masses" et "la réalité de l'homme" ? Par ailleurs, vous parlez de cette gôche qui ne lit pas et des abrutis gôchistes (ce en quoi vous n'avez pas beaucoup tort et qui est vrai pour une part au Québec également), mais si la réacosphère est allergique à Onfray, cela ne dénote-t-il pas que la droite aussi souffre d'un manque de lecture et/ou d'abrutissement ? En quoi trouvez-vous qu'Onfray se perd ? Et, une petite dernière : ce serait indiscret de connaître votre formation académique ?
Écrit par : sandgirl | 15/08/2009
Ma formation académique ??? !!! Je n'ai même pas mon Bac, chère Sandgirl. Pas un seul semblant de diplôme.
Une aristocratisation des masses ? Mais je n'y crois pas simplement parce que la Vie elle-même ne désire aucunement un aplanissement général avec tout le monde au même niveau. C'est bien beau de vouloir que tout le monde soit Libre, beau, intelligent, égal de son voisin ou de sa voisine, cultivé, etc... Mais la Liberté, l'Egalité et la Fraternité ce sont ce que Deleuze appelait des "concepts creux", qui n'ont aucun lien avec la réalité de l'existence. Et puis chaque fois que quelqu'un a tenté de transformer la réalité à grande échelle, avec une ampleur considérable (Robespierre, Lénine, Hitler, Mussolini, Staline, Mao...) on sait ce que ça a donné. Les Utopies furent l'Horreur absolue du 20 ème siècle. La Nouvelle Utopie qui arrive, et ça n'est guère surprenant qu'à la fois les rouges et les bruns daignent collaborer avec elle s'appelle Islam, ce "communisme du désert" comme l'appelle Dantec, et elle arrive précisément au moment de la mondialisation en cours, comme une ombre parallèle qui suit cette autre Utopie qui elle semble installée avec un peu plus de conviction car douceâtre.
La Vie exige une hiérarchie, un ordre, avec chacun faisant sa route à la mesure de ses capacités. Que l'enseignement soit accessible au plus grand nombre, cela me semble indispensable, et qu'il soit de la meilleure des qualités. Mais qu'il puisse générer essentiellement des écarts entre les uns et les autres, qu'il ait une dynamique sélective, parce qu'un Bac avec 85% de réussite c'est vraiment nous prendre pour des cons.
Excusez-moi, mais c'est bien à Droite que se trouve la Culture, diverse et variée et sans oeillères. A gauche, à quelques très rares exceptions près, je n'ai rencontré que des "homo festivus" qui se crispent sur des positions mitterrandiennes et croient que "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil". Ils lisent Dan Brown et en concluent que le catholicisme nous cache quelque chose et que l'oppression se poursuit. Ils entendent parler "d'immigration" et en concluent que décidément le racisme avance et que la "Lepénisation" des esprits est intolérable. Bref, ils prennent la pose. Qu'ils viennent vivre 1 mois dans ma cité pour ressentir ce que l'honnête homme ressens. Qu'ils viennent voir une famille comme la nôtre se sacrifier pour mettre leur enfant en école privée simplement parce que le climat à l'école est INSUPPORTABLE. Alors lorsque vous disiez, dans je ne sais plus lequel de vos commentaires que j'étais un "bobo" vous êtes très loin de ma réalité. La Droite a ses crispations aussi, qui ne sont pas les miennes, comme le racialisme par exemple, mais la Culture, c'est chez elle qu'on la trouve, comme disait le père Audiard. Parce que la Droite regarde la réalité en face et ne fait pas de distinction entre l'homme de l'antiquité et celui du 21 ème siècle. A part les progrès techno-scientifiques, l'homme est le même, capable du meilleur comme du pire, et d'ailleurs les maximes antiques fonctionnent toujours aussi bien avec l'homme post-moderne, alors que les slogans de Mai 68 ou SOS RACISME tombent à l'eau aussitôt qu'ils sont dits.
Onfray se perd parce qu'il croit que le Libertinage et l'Athéisme peuvent être généralisés, alors que ce sont là affaires individuelles dédiées aux Forts, à ceux qui veulent ce qu'ils font et font ce qu'ils pensent. Le peuple, lui, il veut lire Marc Lévy, croire absolument à quelque chose pour se rassurer et consommer.
Écrit par : Nebo | 15/08/2009
Bon.
Je vais tenter de prendre les choses autrement alors.
Vous êtes le descendant d'une famille dont la lignée était de droite ?
(Par ailleurs, merci pour votre réponse, et quant à votre formation, je me demandais si vous n'étiez pas un autodidacte, eh bien voilà...)
Écrit par : sandgirl | 15/08/2009
Une famille de Droite ? Une famille de paysans à 200%, pauvres comme seule la misère peut l'être, maison en torchis et sol en terre battue. Ni eau courante, ni électricité. Ma grand-mère maternelle a accouché à la maison, dans ces conditions. Côté paternel, "bourgeoisie rouge titiste", mais passés mes quatre ans plus de nouvelle avant mes 38 piges. Tout le reste : chemin de vie. Ma mère qui m'a élevé seule a le coeur plutôt à gauche mais ça ne m'a convaincu en rien. Jusqu'à mes 15 piges j'étais plutôt de gauche, parce que les copains et les copines l'étaient aussi et parce que je grandissais dans une cité, déjà difficile, et qu'être de gauche fait partie du paysage. Puis, à partir de mes 15 ans je découvre, à peu près en même temps que les poètes Rimbaud, Baudelaire, Verlaine... grâce à Léo Ferré qui les mettait en musique... Kropotkine, Proudhon, Bakounine. Je n'en lis que des extraits, je fréquente la rue Amelot, à Paris, le milieu anarchiste, mais de loin, timidement. A 16 ans je découvre Max Stirner et je lis son bouquin, "L'Unique et sa Propriété". Après deux ou trois réunions avec la Fédération Anarchiste de Fresnes-Antony, au cours desquelles je découvre la platitude des propos, et la bouillabaisse des réflexions, je décide que la voie individualiste me va mieux que la voie collectiviste. C'est déjà beaucoup. Pendant 1 an je fais de "L'Unique et sa Propriété" mon bréviaire. Puis, pour l'école, à 17 ans, je découvre "L'Antéchrist" de Friedrich Nietzsche. La suite coule de source, si je puis dire. Nerval. Hermann Hesse. La Bible. Le Taoïsme. L'Esotérisme. Et blah blah blah. Saint-Exupéry. Huysmans. Et à 44 piges je n'ai pas fini. Plein de lacunes. Mais une soif d'être au monde. Le reste, voter à droite, sans conviction particulière mais parce que les rêveurs naïfs s'avèrent de plus en plus criminels et qu'une Liberté ne se vit, finalement avec efficience que si un Ordre fort demeure, une référence contre laquelle on puisse se dresser. Ajoutez à cela l'Amour d'un Pays qui m'a accueilli, de son Histoire, de sa Langue, de ses penseurs, Montaigne, La Boétie, les moralistes français et même certaines fulgurances du XVIIIème Siècle. Et voir combien la Catholicité a jouer un RÔLE ESSENTIEL dans tout ça. C'est sûr, ça ne me fera pas voter à gauche. Quand on aime quelque chose, on veut le conserver.
http://incarnation.blogspirit.com/archive/2007/01/16/conservateur.html
Écrit par : Nebo | 15/08/2009
La portée de vos réponses, ou de vos billets, imposent souvent un délai. Le temps de décanter un peu.
Je vous remercie donc pour cette narration coup-de-poing de votre parcours. Coup-de-poing non comme émanant d'une intention de l'être, mais de par tout ce que vous y avez intensément mis de vous-même. Je ne suis pas en mesure de tout apprécier comme il se doit n'ayant pas eu toutes vos lectures (il en va de même d'évidence quant à votre parcours), mais je prends bonne note.
Une question, peut-être : vous ne considérez tout de même pas que Chirac était de gauche ?? Ses douze ans de présidence ont été garants du bon Ordre que vous recherchez ?
Écrit par : sandgirl | 24/08/2009
Lorsque l'on voit le rapprochement rouge/brun/vert de l'islam, on est presque tenté de déclarer comme Dantec l'a fait que Le Pen est un Gauchiste. Alors Chirac...
Sandgirl, la Chiraquie qui a régné a été ridicule, de bout en bout. Et je n'ai rien à en dire. Il ne s'est rien passé... là où avec Mitterand ça a été la dégringolade. Une Politique digne de ce nom, dans ce pays, n'existe plus depuis le Général de Gaulle. Et je ne suis pourtant pas gaulliste.
Tout est à réinventer, une voie complètement nouvelle et vierge, mais sachant prendre en considération le passé, le présent et l'avenir. Bref, avoir une vision... un sens historique. Et avoir des couilles.
Écrit par : Nebo | 24/08/2009
Avoir des couilles, c'est bien, mais penser avec, l'est moins.
Non mais, comment pouvez-vous vous satisfaire de Nicolas de la Talonette, je me le demande...
Écrit par : sandgirl | 24/08/2009
Mais je ne m'en satisfait pas particulièrement. Et je trouve votre coup de la talonette un peu déplacé. Imaginez que je me moque d'un inconnu sur sa taille, sa couleur de peau, ou autre. Vous me trouveriez aussitôt un peu douteux.
Comme je l'ai déjà écrit quelque part, je préfère être dirigé par une tête d'enclume que par une cruche... et en matière de cruche, Ségolène, c'est quand même quelque chose, elle sème tout le monde derrière elle. Et puis la gauche est insignifiante.
Écrit par : Nebo | 25/08/2009
Ah mais, permettez, mais la racaille et casse-toi pôvre con, ce n'est pas moi qui l'ai dit, non plus que la photo montrant qu'il avait ajouté des talonnettes pour figurer au côté de W., alors on a bien le doit d'appeler un chat un chat, si ? En plus ça caractérise fort bien sa propension à décider impérialement.
Écrit par : sandgirl | 25/08/2009
Ce sont de tristes réduction dont ses adversaires vont devoir se défaire s'ils espèrent, un jour, reconquérir le pouvoir.
Je vis dans une cité et j'espère que la racaille se fera nettoyer au Karcher, ça permettrait à ma fille de se promener tranquille et de rentrer à 3h00 du matin sans encombres. Car si elle ne se fait pas nettoyer au Karcher, ma cité de merde, elle risque de se faire nettoyer au lance-flamme.
Quand un con vient excéder mes derniers relents de patience, vous savez quoi ? Je lui dis : "Casse-toi pauvre con !"
Bon, la différence c'est que je mesure 1m80.
Écrit par : Nebo | 25/08/2009
1m80 ?!? Ben vous les faites pas, m'sieu' l'président ! (uh uh, j'cré ben que je m'emmêle dans les fils des compliments)
Écrit par : sandgirl | 25/08/2009
Euh, qu'est-ce qu'on fait ? On va boire un godet ou quoi ?
Écrit par : Thiebault | 27/12/2010
Tient j'ai emprunté la berlue onfraynne de Fanny Lestrangle elle se dit croyante non pratiquante et très portée sur le sexe joyeux et explique que Nietzsche serait horifié de se voir ainsi attelé au char de l'hédonisme"
"Ce n'est pas la morale chrétienne en soi que rejette Nitzsche c'est ce qu'on en fait des générations de chrétiens attachés davantage à la lettre de l'Eglise qu'à l'esprit du Christ."
Au fait nebo c'est georges Palante un anarchiste individualiste oui proche de N par ses écrits.
Moi aussi j'ai été un lecteur de Onfray à ses débuts comme La Sculpture de soi mais maintenant je trouve qu'il veut être un donneur de leçons, il a un côté qui m'énerve.
Onfray n'a pas l'air d'apprécier les situs d'après ce podcast Debord aurait tout piqué chez Lefebvre. Et alors on est tous influencé par d'autres éveilleurs.
Écrit par : Fabrice | 30/12/2010
Les commentaires sont fermés.