16/05/2010
Ils sont tellement de Gauche - (Première partie)
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
Je suis tombé sur cette longue note chez et de Ygor Yanka. Elle est dense, précise, mais accessible, au pied léger, au sourire mi-figue mi-raisin et n'épargne guère nos chers gauchistes qui voient des salauds partout sauf chez eux. Je vous en conseille la lecture, quelles que soient vos opinions, ça vivifie.
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IL Y A CECI d’extraordinaire avec les gens de gauche qu’ils ne doutent jamais de leurs idées. Ils ne comprennent pas, parce qu’ils ne le peuvent pas, ne se remettant jamais en question, que l’on puisse être de droite sans être pour autant un abruti, un beauf et tout ce qu’on voudra dans le genre sous-développé. Ils n’ont que le mot tolérance à la bouche, mais ils ne tolèrent dans les faits que leurs amis politiques. Le reste, ce sont des chiens, des pédophiles ou des Nazis frustrés. Un grattage de rien du tout à la surface de leur très sensible épiderme prouve régulièrement qu’ils ne supportent le débat d’idées qu’entre eux, et sur des points de détail. Pour eux, l’immigration même massive est un bien et cela ne se discute pas. On voudrait bien savoir pourquoi c’est un bien, surtout quand cette immigration montre des signes de faible intégration, de violence ou de revendications sans contrepartie. On ne le saura pas. C’est un bien et basta ! Prétendre débattre d’un tel sujet, ô combien sensible pourtant, c’est se placer sur le terrain de l’extrême droite, c’est faire son lit. On évacue donc la discussion. Qui a l’outrecuidance d’insister sur la nécessité d’un débat se voit décorer des plus belles fleurs de la lancinante rhétorique de gauche : fascisme… nauséabond… heures sombres de notre histoire… Pétain, etc. Il y a comme ça des dizaines de sujets qu’il est préférable d’éviter si l’on ne tient pas à devenir le putois de la belle et parfumée assemblée : l’immigration, l’islam, les États-Unis, les homosexuels, le pape, l’autorité, la police, les Juifs…
À moins que d’être né dans une famille très ancrée à droite, qui n’a pas été, adolescent, jeune homme, naturellement de gauche ? Naturellement, parce que le jeune est tout entier tourné vers l’avenir, lui qui n’a pas encore de mémoire, à défaut de passé, de vécu. À 47 ans, je ne rêve pas d’en avoir 50. Ça viendra, mais je ne suis pas pressé. À 15 ans, on rêve d’en avoir 18 pour être majeur, donc libéré de la tutelle parentale, et pour passer le permis de conduire. À 18 ans, si on poursuit ses études au-delà du Bac, on a hâte de les achever pour entrer dans la vie active, décrocher le job de rêve, gagner confortablement sa vie, s’acheter une maison, fonder une famille, bref : s’installer, autrement dit durer. C’est alors que le temps vous rattrape, et la réalité. Vous avez 30 ans et vous voici devenu ce que vous exécriez au temps de l’acné : un bourgeois. Si vous êtes une mule de gauche, vous nierez bien entendu être un bourgeois. Ou si vous l’admettez du bout des lèvres, vous vous empresserez d’ajouter qu’en fait, si votre train de vie est celui d’un bourgeois totalement décomplexé, vous êtes un rebelle. Ouais, mon vieux. Un rebelle. Et vous l’êtes la plupart du temps à bas prix. Vous êtes un rebelle parce que vous avez l’indignation facile contre les mêmes crevures que toujours : Sarkozy, le CAC 40, le Vatican, la police, Israël, etc. Vous signez volontiers des pétitions en faveur des sans-papiers (vous n’aimez pas le mot clandestin), des sans-abris (vous n’aimez pas le mot vagabond), de Cesare Battisti (vous n’aimez pas le mot assassin), contre le Nabot (vous n’aimez pas l’expression le président de la République), contre la répression policière (vous n’aimez pas l’expression maintien de l’ordre public) ; vous êtes de toutes les manifestations « citoyennes », de toutes les marches blanches et de celles aux couleurs plus irisées de l’arc-en-ciel, et vous êtes de toutes les fêtes avec ballons multicolores, chars chamarrés, sono fracassante. Un rebelle pur et dur, quoi ! Autour de vous, sauf vos amis, que des moutons, quelques porcs, des beaufs, des cons, une armée de fachos. Vous ignorez à quel point vous êtes prévisible et conformiste.
Lorsqu’on rêve de s’émanciper de la tutelle familiale et éducative, on déteste évidemment l’autorité, dont la première de toutes, celle du père (vous ne savez pas encore que vous serez sans doute un père moins accommodant que le vôtre), ce père qui vous aime mais ne semble pas vouloir que vous grandissiez, du moins pas si vite, si bien qu’il vous humilie sans le vouloir, en vous regardant comme un enfant alors que vous avez quatre poils au menton depuis hier, que votre voix ressemble à celle d’un vilain canard, que vous vous êtes foulé le poignet à force de… hum. Et s’il vous humilie, même involontairement, c’est parce qu’il vous déteste, c’est parce qu’il se déteste en vous, c’est parce qu’il a sur vous du pouvoir (vous n’aimez pas le mot responsabilité) et forcément en abuse (vous reconnaitrez à 35 ans que votre père a été le meilleur père du monde). Vous haïssez aussi vos profs qui prétendent vous mettre dans le crâne des valeurs rétrogrades (vous n’aimez pas le mot savoir) dont vous n’aurez jamais besoin (mais à 40 ans, sur votre blog, vous publierez un émouvant billet sur M. Charlier, votre prof de français en sixième, un type bien, un peu sévère, mais juste, un poil autoritaire, mais rien d’excessif, et surtout, alors que ça vous faisait tellement chier à l’époque, il avait cet amour bizarre, parce que désuet, pour sa langue qu’il révérait et dont il s’échinait, le pauvre, à vous faire aimer les subtilités — vous préfériez alors le mot complication —, non pour vous tourmenter, par sadisme, mais pour former votre esprit à la critique, aux nuances langagières, à la sensibilité, toutes choses au final essentielles et grâce auxquelles vous êtes à présent un homme libre, au lieu d’être un citoyen vigilant, soit un délateur en puissance, un collabo tout entier requis par son obsession du monde tel qu’il le rêve, duquel serait banni tout qui ne pense pas comme lui dans le sens du Bon, du Bien, du Juste, de l’Équitable et autres fantasmes majusculaires). Oh ! je ne vous fais pas le reproche de vouloir bien faire, de désirer très fort réduire les injustices, de rétablir un peu d’humanité et de poésie dans ce monde de banquiers sans scrupules, de traders fous, de boursicoteurs frénétiques, de commerçants avides, de pollueurs, d’exploiteurs des ressources humaines et naturelles (sinon, je suis de votre côté, sauf que je vous déteste). Je vous fais le reproche de vouloir à toute force que la réalité épouse vos désirs, alors que, si, adulte, j’ai compris quelque chose de la vie, c’est que la dominait irréductiblement un principe duquel j’ai appris à tenir compte toujours, même quand cela me contrarie : la réalité, votre chère ennemie. Je compose avec la réalité, non contre elle. Elle peut certes m’agacer jusqu’au point d’ébullition, mais je ne la nie jamais. Je parle de la réalité dans les faits, et de l’homme dans sa nature. Il n’existe pas « d’homme bon par nature » et que la société aurait corrompu. La société a ses travers, mais c’est elle qui nous civilise. Un homme seul, sorti de la société, même né bon, c’est un sauvage ; il n’est pas méchant, mais cruel. Il ne connait pas la pitié, l’altruisme, la camaraderie ; s’il vous croise dans son bois, il n’aura de politesse à votre égard que celle de vous chasser (au mieux), de vous tuer (au pire) à des fins gastronomiques s’il n’a pas appris à chasser (et qui le lui aurait appris, avec un père fonctionnaire ?). Je plains les hommes, globalement médiocres, collectivement sots, voire mauvais — mais j’en suis un et je ne nie pas le fond de ma propre nature. Et si je rêve aussi parfois d’une humanité moins brutale et plus modeste, je ne pousse pas jusqu’au cauchemar de la vouloir sous la forme ailée des anges. Aux anges je préfère les barbares ; aux moutons, les loups ; aux poètes lyriques, les guerriers ; aux voyous, les flics ; à l’étranger, mon compatriote — sans que cela veuille dire que je sois xénophobe (je vis à l’étranger, et ma tant chère femme est du pays où je vis). Vous n’aimez dans l’humanité que son bon côté, quand elle opine comme vous. Je l’aime pour son ambivalence. L’ambivalence est une richesse, un tout. Vous n’acceptez pas l’homme tel qu’il est pourtant. Vous souhaitez l’appauvrir en l’amputant de ses gangrènes. Voilà ce qui nous différencie, et c’est ainsi que je ne puis être de gauche, bien que je sois progressiste socialement, et peut-être davantage que vous, puisque j’ai toujours su rester pauvre.
Notre adolescent, notre jeune homme déteste donc naturellement toute forme d’autorité, tout pouvoir (tout pouvoir est pour lui un abus de pouvoir). Les patrons ne sont pas des responsables ni des gérants d’entreprises, mais des exploiteurs éhontés. Les juges et le pouvoir politique marchent main dans la main, même quand ils s’opposent. Ne parlons pas du pouvoir spirituel, surtout s’il émane de Rome : un syndicat de défense des prêtres pédophiles, un lobby pour la propagation du sida. Les policiers ne sauraient prétendre à maintenir l’ordre public, vu qu’ils sont eux-mêmes des fauteurs de troubles ; et des racistes, toujours (sauf l’inspecteur N’Guma). Tous des Tontons Macoutes, au vrai. Ces hargnes mal articulées contre l’autorité (autorité n’est pas un gros mot, pas plus que père, professeur, patron, député, juge, prêtre ou policier) cachent en fait, plutôt mal, une souffrance : celle de n’être qu’un fils, un élève, un employé, un administré, un prévenu, etc., dans un monde où chacun rêve d’exercer son propre pouvoir, à petite ou grande échelle. Notre adolescent rage de n’avoir que bien peu de droits pour beaucoup de devoirs, mais dès qu’il est en mesure de commander à son tour, il ordonnera, et il faudra qu’on lui obéisse, sous peine de punition. La première victime de ce « martyr » devenant « bourreau » sera souvent son jeune frère, un plus faible que lui, une quelconque fille un peu rétive à son art malhabile de séduire ( «Viens me sucer, connasse ! »). S’il pousse son nouveau vice jusqu’à la tyrannie, il s’exonèrera de toute responsabilité (et donc, de tout pardon) en se désignant lui-même comme une victime (de son père, de son prof, du curé violeur de son enfance, de son patron, du flic qui, alors qu’il ne faisait que…, etc.). Une victime, n’est-ce pas, ça n’a que des droits. Venant d’une victime, tout mal est moindre, tout péché véniel. À ce tarif-là, il faut excuser Hitler et accabler ceux qui ne virent en lui qu’un peintre médiocre. Avoir souffert, souffrir, n’est en aucun cas une raison. C’est d’intelligence que le monde a besoin, non de compassion envers les sempiternels grincheux à qui la vie semble ne jamais sourire, parce qu’il est plus confortable d’être plaints que d’agir.
Nous sommes bien là dans une vision gauchie de la société : une société uniquement composée d’oppresseurs et d’opprimés, de riches et de pauvres, d’exploiteurs et d’exploités, de loups et d’agneaux, etc. Comme s’il n’y avait dans la vie que des géants et des nains ! Comme s’il n’existait pas d’hommes de taille moyenne, d’ouvriers épanouis, de patrons bienveillants, de juges intègres, de politiciens honnêtes, de policiers prévenants !
Le jeune homme, qui vient d’arriver sur Terre et dont la mémoire se borne à trois souvenirs vieux du mois passé, est pressé d’étreindre l’avenir ; il est optimiste et arrogant. Le passé, tout ce qui date d’avant lui, doit disparaitre. Les vieux (pour un gamin, je suis un vieux) doivent s’effacer, se taire ; au mieux ils radotent, au pire ils déconnent. Ils sont ringards et rétrogrades, nous gonflent avec leurs souvenirs du temps de Mathusalem et leurs constants rappels du « bon vieux temps », à quoi ils opposent une défiance à peu près totale de l’avenir et de la nouveauté. Pour un jeune homme (le mien est un peu caricatural, j’en conviens, mais il n’est de portrait vrai que légèrement forcé), le monde d’avant sa naissance ne fait pas partie de son histoire, et les leçons que ses parents en tirent ne sont pas pertinentes pour lui — inutile donc de le bassiner avec des « conneries » d’un autre âge. La nostalgie ne l’atteint pas, ni l’ennui. Un rien le divertit, il court au plus futile. Sa vie n’est tellement rien encore qu’il la risque volontiers, et risque parfois celles des autres, par ivresse juvénile.
Notre sémillant jeune homme est sympathique et tolérant. N’ayant connu d’époques que celle qu’il vit présentement, il ne peut comparer hier et aujourd’hui pour se livrer à la réflexion que, décidément, le monde a bien changé, en pire ; tout va plus vite, trop vite — tellement vite qu’on peine à suivre. On construisait jadis pour des centaines d’années ; on ne construit plus que de hideux et très éphémères bâtiments sans âme, purement fonctionnels. Les hommes jadis se saluaient ; ils se bousculent et s’invectivent, pour des queues de cerises. Les femmes jadis ne nous jetaient pas comme désormais leurs sexes à la figure ; elles étaient modestes et prudentes, on les respectait pour ça. Un téléphone ne vibrait pas toutes les trente secondes sur la table de notre voisin au restaurant, un restaurant où nous pouvions après le repas fumer cigarette, cigare ou pipe sans le tourment d’offrir ce faisant à nos voisins, pour les dix générations à venir, un bataillon de cancers et de mômes prématurés ; itou dans les trains, les bureaux, jusqu’aux couloirs des hôpitaux. Nous regardions les petites filles avec un peu de concupiscence parfois, au lieu d’éviter à tout prix, comme maintenant, de croiser leurs regards, des fois que la folie les prendrait de voir en nous un pédophile et de le crier bien fort, à cause d’un bref sourire que nous lui aurions adressé, tant nous la trouvons charmante, sous le rapport de l’enfance ET de la féminité déjà si présente. Nous avons même connu le temps des voitures sans ceintures de sécurité, c’est dire si nous datons ! La télévision existait, en noir et blanc, puis en couleurs ; les animateurs manquaient bien un peu de charisme, ils ne riaient guère, mais ils ne parlaient point pour ne rien dire et demeuraient courtois, sans se croire tenus d’agresser leurs interlocuteurs à coups de questions oiseuses, voire indiscrètes, voire indécentes ; ils étaient des employés du service public, non des stars à la tête, à 35 ans, de boites de production employant quarante personnes, avec des salaires à côté desquels ceux des ministres (le summum de la richesse, de mon temps) semblent aussi dérisoires que les cinq sous abandonnés par une vieille dame dans la sébile d’un nécessiteux du voisinage. Et tant de choses qui furent, qui nous furent familières, avec lesquelles nous avons grandi, et que le progrès nous a volées. Nous ne les regrettons pas forcément, mais elles nous manquent, comme les cheveux lorsque nous les avons perdus, sans lesquels nous pouvons vivre toutefois. Elles nous manquent, parce qu’elles étaient de notre temps et que nous étions du leur ; elles ne nous ont jamais paru étranges. Étranges à notre regard, et suspects, tous ces objets nouveaux que la publicité nous vante et qui encombrent le monde sans rien apporter à l’âme humaine, qui ne sont d’ailleurs nouveaux, la plupart du temps, que sur le plan des formes, et dont nous nous passerions sans peine, dont nous nous lassons vite, comme d’une cigarette après trois bouffées. Ce monde de formes et de couleurs sans cesse mouvantes est source d’angoisse pour qui cherche non plus l’agitation et la distraction, mais la tranquillité et la concentration, voire le recueillement.
Tout ça pour dire ceci, que s’il est naturel d’aimer à vingt ans le mouvement, le bruit, la distraction, la nouveauté, le progrès dans les mœurs (je n’associe que malaisément la notion de mœurs avec celle de progrès, mais enfin…), la technique omniprésente et tous ces bidules qui émerveillent la jeunesse et flattent sa vanité, s’il est naturel d’être à vingt ans de gauche, c’est-à-dire de croire en la perfectibilité des hommes, de penser dur comme fer que l’Histoire a un sens — il est naturel aussi, l’âge venant, de ne plus ajouter foi à ces calembredaines et de virer réactionnaire, par soudaine allergie à une modernité qui nous insulte chaque jour en nous faisant sentir à quel point nous sommes des caves. Nous suivons le mouvement, nous accrochons jusqu’à un certain point, avant de tout lâcher pour nous concentrer sur l’essentiel, parce que le temps nous file entre les pattes, parce que nous n’avons que trop perdu d’heures à bavasser de rien avec personne, à nous occuper des affaires d’autrui, à nous indigner en pure perte contre les mêmes salades que toujours, à courir aux culs de toutes les filles, à récolter les tempêtes dont nous avons semé les vents. Nous ne sommes pas fatigués de vivre, bien au contraire. Nous avons pleinement conscience que notre vie, qui vous parait si misérable (écouter Purcell deux heures durant, faut-il être ringard !), est une belle et précieuse — et unique ! — chose, si bien que nous ne la risquons plus stupidement pour épater les copains et copines ; nous sommes plus attentifs à notre santé, tant physique que morale et intellectuelle, au point d’écarter sans barguigner toute nuisance réelle ou supposée (la publicité, un mauvais livre, une piètre émission, une femme sans tête — dût son corps être le rêve d’un sculpteur antique —, les ragots et les gugusses, les gens qui tournent autour du pot pour finalement accoucher d’une rumeur, les bavards férus de psychologie lacanienne et ceux qui bandent en relisant Heidegger, les moucherons bonimenteurs, les costumiers d’opérette et les forains disgraciés, les démarcheurs à domicile, les enfants, les Belges et autres calamités à deux, trois ou quatre pattes). Nous voulions tout, à vingt ans ; nous ne voulons plus qu’une chose vingt ans plus tard : qu’on cesse de nous emmerder, qu’on nous foute la paix.
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Commentaires
Beau texte auquel j'adhère pleinement. Il faut laisser le temps au temps....
Écrit par : salon | 16/05/2010
tu vis hors de france,moi aussi...
tu es marie avec une femme du cru,moi aussi...
tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes,sauf que je bosse en france(SXM),prof de college(le mot honni,soit qui blablabla...),et ta vision des choses me fait penser a un mec qui dirait:"les gens dans la merde,enfoncer leur bien la tete dedans(ils l'ont cherchee),et si ils survivent,c'est chacun sa merde..."
j'ai donc l'impression que tu es nihiliste(mais pas chez toi!),voir gauchiste?
Droite:le bordel chez les autres?
Gauche:le bordel chez nous?
a plus!
vanvan...
Écrit par : vanvan | 16/05/2010
Quand je lis une intervention semblable, déstructurée, à laquelle on ne comprends rien ou pas grand-chose, je comprends pourquoi nos petites têtes blondes n'en n'ont pas grand chose à foutre du collège comme du reste. Syntaxe pitoyable, fautes d'orthographes, typographie et ponctuation aléatoires. Votre intervention à tous les symptômes de la névrose voire de l'hystérie... je vous rassure (si, éventuellement, cela peut vous rassurer) c'est le cas de toute votre famille politique (peut-être même d'une bonne partie de votre corps de métier) et vos protestations hypothétiques ne sont qu'une manière de faire l'autruche en vous enserrant la tête dans le sable pour ne pas voir la réalité que vous abhorrez.
Bien à vous...
Écrit par : Nebo | 16/05/2010
salut man...
en prendre plein la gueule,c'est mon truc(NormanSpinrad),t'es a droite,c'est ton truc!
maintenant!
chacun sa merde ,c'est du nih...
Écrit par : vanvan | 17/05/2010
NEBO,SXM,200km miami,8000km guimgamp,c'est quand ton prochain DANTEC???
Écrit par : vanvan | 17/05/2010
a par ca,a st-martin,meme les blancs t'accepte...
now is your problem...
Écrit par : vanvan | 17/05/2010
NEBO(,s'il te plait,c'est quoi CA...
yave syntaxe,un pot-a-moi
aie,aie,aie!
c'est la vie...
Écrit par : vanvan | 17/05/2010
@ Vanvan
J'espère tout de même que vous n'êtes pas prof. Cela m'inquièterais
Écrit par : Fabrice | 17/05/2010
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