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03/08/2014

Poulet...

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Ne rigolez pas... Estrosi est un élu de la République, c'est du sérieux et c'est vous qui le payez ! Le mec il veille ! Le mec il taffe ! 


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Ceci n'est plus une femme...

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So, if you were ukrainian...

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Capitalism...

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La race, le sang, la pureté héréditaire du sang sont une simple "matière"

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« Devant l'insuffisance de ces éléments d'explication [sur la décadence des civilisations], on défend parfois l'idée de race. L'unité et la pureté du sang seraient au fondement de la vie et de la force d'une civilisation ; le mélange du sang serait la cause initiale de sa décadence. Mais il s'agit, la encore, d'une illusion : une illusion qui rabaisse en outre l'idée de civilisation sur le plan naturaliste et biologique, puisque tel est le plan où l'on envisage aujourd'hui, plus ou moins, la race. La race, le sang, la pureté héréditaire du sang sont une simple "matière". Une civilisation au sens vrai, c'est-à-dire une civilisation traditionnelle, ne naît que lorsqu'agit sur cette matière une force d'ordre supérieur, surnaturelle et non plus naturelle : une force à laquelle correspondent précisément une fonction "pontificale", la composante du rite, le principe de la spiritualité comme base de la différenciation hiérarchique. A l'origine de toute civilisation véritable, il y a un phénomène "divin" (chaque grande civilisation a connu le mythe de fondateurs divins) : c'est pourquoi aucun facteur humain ou naturaliste ne pourra jamais rendre vraiment compte d'elle. C'est à un fait du même ordre, mais en sens opposé, de dégénérescence, qu'on doit l'altération et le déclin des civilisations. Lorsqu'une race a perdu le contact avec ce qui seul possède et peut donner la stabilité, avec le monde de l’ "être" ; lorsque, en elle, ce qui en est l'élément le plus subtil mais, en même temps, le plus essentiel, à savoir la race intérieure, la race de l'esprit, a connu une déchéance (la race du corps et celle de l'âme n'étant que des manifestations et des moyens d'expression de la race de l'esprit) -, les organismes collectifs qu'elle a formés, quelles que soient leur grandeur et leur puissance, descendent fatalement dans le monde de la contingence : ils sont alors à la merci de l'irrationnel, du changeant, de l’ "historique", de ce qui reçoit ses conditions du bas et de l'extérieur.

Le sang, la pureté ethnique, sont des facteurs dont l'importance est également reconnue dans les civilisations traditionnelles. Mais cette importance n'est pas telle qu'elle permettrait d'appliquer aux hommes les critères en vertu desquels le "sang pur" décide de manière péremptoire pour les qualités d'un chien ou d'un cheval - ce qu'ont fait, à peu de choses près, certaines idéologies racistes modernes. Le facteur "sang" ou "race" a son importance, parce qu'il ne relève pas du "psychologique" - du cerveau ou des opinions de l'individu -, mais réside dans les forces de vie les plus profondes, celles sur lesquelles les traditions agissent en tant qu'énergies formatrices typiques. Le sang enregistre les effets de cette action et offre par conséquent, à travers l'hérédité, une matière déjà affinée et préformée, telle que, tout au long des générations, des réalisations semblables à celles des origines soient préparées et puissent s'y développer de manière naturelle, quasi spontanée. C'est sur cette base et sur elle seulement - que le monde traditionnel, nous le verrons, institua souvent le caractère héréditaire des castes et voulut la loi endogamique. Mais si l'on prend précisément la tradition où le régime des castes fut le plus rigoureux, à savoir dans la société indo-aryenne, le seul fait de la naissance, bien que nécessaire, n'apparaissait pas suffisant : il fallait que la qualité virtuellement conférée par la naissance fût actualisée par l'initiation, et nous avons déjà rappelé que le Mânavadharmaçâstra en arrive à affirmer que, tant qu'il n'est pas passé par l'initiation ou "seconde naissance", l'ârya lui-même n'est pas supérieur au çûdra ; trois différenciations spéciales du feu divin servaient d'âme aux trois pishtra iraniens hiérarchiquement les plus élevés, l'appartenance définitive à ces pishtra étant pareillement sanctionnée par l'initiation ; etc. Ainsi, dans ces cas également il ne faut pas perdre de vue la dualité des facteurs, il ne faut jamais confondre l'élément formateur avec l'élément formé, la condition avec le conditionné. Les castes supérieures et les aristocraties traditionnelles, et, plus généralement, les civilisations et les races supérieures (celles qui, par rapport aux autres races, se tiennent dans la même position que les castes consacrées face aux castes plébéiennes, aux "fils de la Terre"), ne s'expliquent pas par le sang, mais à travers le sang, grâce à quelque chose qui va au-delà du sang et qui présente un caractère métabiologique.

Et lorsque ce "quelque chose", est vraiment puissant, lorsqu'il constitue le noyau le plus profond et le plus solide d'une société traditionnelle, alors une civilisation peut se maintenir et se réaffirmer même face à des mélanges et altérations typiques, pourvu que ceux-ci n'aient pas un caractère ouvertement destructeur. Il peut même y avoir réaction sur des éléments hétérogènes, ceux-ci étant formés, réduits peu à peu au type propre ou re-greffés à titre, pour ainsi dire, de nouvelle unité explosive. Des exemples de ce genre ne manquent pas dans les temps historiques : Chine, Grèce, Rome, Islam. Le déclin d'une civilisation ne commence que lorsque sa racine génératrice d'en haut n'est plus vivante, que lorsque sa "race de l'esprit" est prostrée ou brisée - parallèlement à sa sécularisation et à son humanisation. Quand elle est réduite à cela les seules forces sur lesquelles peut encore compter une civilisation, sont celles d'un sang qui porte en soi ataviquement, par race et instinct, l'écho et l'empreinte de l'élément supérieur désormais disparu. Ce n'est que dans cette optique que la thèse "raciste" de la défense de la pureté du sang peut avoir une raison d'être - sinon pour empêcher, du moins pour retarder l'issue fatale du procès de dégénérescence. Mais prévenir vraiment cette issue est impossible sans un réveil intérieur. »

Julius Evola, Révolte contre le monde moderne

 

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Trop de gens se placent au dessus de l'humanité...

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Il n'existe aucun rapport entre le sens de la vie et le bien être économique

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« Concluons en répétant qu'il n'existe aucun rapport – sinon peut-être, un rapport inverse – entre le sens de la vie et le bien être économique. Exemple insigne, et qui n'est pas d'aujourd'hui, mais appartient au monde traditionnel : celui qui, sur le plan métaphysique, dénonça le vide de l'existence et les tromperies du "dieu de la vie", et indiqua la voie du réveil spirituel, le Bouddha Çâkyamuni, n'était ni un opprimé, ni un affamé, ni un représentant de couches sociales semblables à cette plèbe de l'empire romain à laquelle s'adressa en premier lieu la prédication chrétienne révolutionnaire ; Ce fut, au contraire, un prince de race, dans toute la splendeur de sa puissance et toute la plénitude de sa jeunesse. La vraie signification du mythe économico-social, quelles qu'en soient les variétés, est donc celle d'un moyen d'anesthésie intérieure ou de prophylaxie visant non seulement à éluder le problème d'une existence privée de tout sens, mais même à consolider de toutes les façons cette fondamentale absence de sens de la vie de l'homme moderne. Nous pouvons donc parler, soit d'un opium bien plus réel que celui qui, selon les marxistes aurait été administré à une humanité non encore illuminée ni évoluée, mystifiée par les croyances religieuses, soit, d'un point de vue plus élevé, de l'organisation méthodique d'un nihilisme actif. Les perspectives qu'offrent une certaine partie du monde actuel pourraient bien être celle qu'entrevoit Zarathoustra pour "le dernier homme". »

Julius Evola, Chevaucher le tigre

 

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"Je veux avoir à Paris cent familles, toutes s’étant élevées avec le trône et demeurant seules considérables..."

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« Bonaparte savait parler famille non comme d’une entité mais comme d’une réalité quand cela lui était utile. Il suffit de l’écouter lui-même. La fameuse lettre du 5 juin 1806 au roi de Naples, Joseph, son frère, ne va pas chercher le père, la mère, l’enfant, il part tout à trac de la réelle entité domestique de la famille, mot et chose, et en tire tout ce qu’il faut pour un ordre politique et social favorable à son intérêt et à celui de sa dynastie. Ecoutez, ou plutôt lisez comme il écrivait :

"Je veux avoir à Paris cent familles, toutes s’étant élevées avec le trône et demeurant seules considérables, puisque ce ne sont que des fidéicommis et que, ce qui ne sera pas à elles va se disséminer par l’effet du Code Civil. Etablissez le Code civil à Naples, il consolidera votre puissance, puisque, par lui tout ce qui n’est pas fidéicommis tombe, et qu’il ne reste de grandes maisons que celles que vous érigez en fiefs…".

Il n’est pas douteux que les dispositions du Code civil ont été lourdement aggravées par la suite. Le Code civil avait liquidé l’héritage : la démocratie populaire succédant à la démocratie consulaire s’arrangea pour dissoudre entre les héritiers les biens juridiques et moraux qu’on avait maintenus : c’est dans la logique du système individualiste et révolutionnaire. Mais c’est une autre question qui laisse intacte la première : "Je veux avoir à Paris cent familles... Etablissez le Code civil à Naples... par lui tout ce qui n’est pas fidéicommis tombe". Cent majorats d’une part, le reste tombant en poussière, d’autre part ! Ce n’est pas seulement un programme pour la ruine d’un pays, c’était la prophétie de son exécution.

Le "réalisme" impérial s’était brillamment exercé dans l’intérêt de son Etat révolutionnaire, mais à rebours de l’intérêt national. »

Charles Maurras, L'Action Française, 4 novembre 1943

 

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Garder son peuple pauvre...

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Là où les parents ne sont pas

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« Ne pas avoir de parents est la condition première de la liberté [...] Mais comprenez bien, il ne s’agit pas de perdre ses parents. La mère de Gérard De Nerval est morte quand il était nouveau-né et pourtant il a vécu pendant toute sa vie sous le regard hypnotique de ses yeux admirables.

La liberté ne commence pas là où les parents sont rejetés ou enterrés, mais là où ils ne sont pas :

Là où l’homme vient au monde sans savoir de qui.

Là où l’homme vient au monde à partir d’un oeuf jeté dans une forêt.

Là où l’homme est craché sur la terre par le ciel et pose le pied sur le monde sans le moindre sentiment de gratitude. »

Milan Kundera, La vie est ailleurs

 

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