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20/01/2015

Tous les germes de la destruction sociale...

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Pour que deux êtres puissent vivre heureusement ensemble, il faut que la disparité soit portée à la limite

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« Tout ce qui tend à entraver la différenciation des sexes est mauvais et nuisible à la civilisation, contraire à l’esthétique générale de la vie. Plus l’homme et la femme sont différents d’esprit, de goûts, de désirs, de besoins, plus leur rapprochement est harmonieux, plus leur union est solide et complète. Pour que deux êtres puissent vivre heureusement ensemble, il faut que la disparité soit portée à la limite. Sans étonnement, il n’y a pas d’amour ; il faudrait que l’homme et la femme fussent l’un pour l’autre une surprise perpétuelle. »

Remy de Gourmont, Epilogues

 

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19/01/2015

La beauté de la vie

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« Je m’intéresse à la beauté de la vie bien plus qu’au bonheur de l’humanité. »

Remy de Gourmont, Epilogues

 

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La mort avec les hommes libres

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« Et comme tout haut exemple nous convie à le suivre, je fis le serment devant cette tête, de préférer à jamais la solitude et la mort avec les hommes libres au triomphe parmi les esclaves. »

Ernst Jünger, Sur les falaises de marbre

 

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La lutte pour ne pas mourir et la lutte pour vivre

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« Il y a une profonde différence entre la lutte pour ne pas mourir, et la lutte pour vivre. Les hommes qui luttent pour ne pas mourir gardent leur dignité, la défendent jalousement, tous, hommes, femmes, enfants, avec une farouche obstination. Les hommes ne baissaient pas la tête. Ils s’enfuyaient sur les montagnes, dans les bois, ils vivaient dans les cavernes, luttaient comme des loups contre les envahisseurs. Ils luttaient pour ne pas mourir. C’était une lutte noble, digne, loyale. Les femmes ne vendaient pas leur corps au marché noir pour s’acheter du rouge à lèvres, des bas de soie, des cigarettes ou du pain. Elles enduraient la faim, mais ne se vendaient pas. Elles ne vendaient pas leurs hommes à l’ennemi. Elles préféraient voir leurs enfants mourir de faim, plutôt que de se vendre, plutôt que de vendre leurs hommes. Seules les prostituées se vendaient à l’ennemi. Avant la libération, les peuples d’Europe souffraient avec une merveilleuse dignité. Ils luttaient le front haut. Ils luttaient pour ne pas mourir. Et les hommes, quand ils luttent pour ne pas mourir, s’accrochent avec la force du désespoir à tout ce qui constitue la partie vivante, éternelle, de la vie humaine, l’essence, l’élément le plus noble et le plus pur de la vie: la dignité, la fierté, la liberté de leur conscience. Ils luttent pour sauver leur âme.
Mais, après la libération, les hommes avaient dû lutter pour vivre. C’est une chose humiliante, horrible, c’est une nécessité honteuse que de lutter pour vivre, pour sauver sa peau. Ce n’est plus la lutte contre l’esclavage, la lutte pour la liberté, pour la dignité humaine, pour l’honneur. C’est la lutte contre la faim. C’est la lutte pour un morceau de pain, pour un peu de feu, pour une guenille avec laquelle couvrir ses enfants, pour un peu de paille sur quoi s’étendre. Quand les hommes luttent pour vivre, tout, même un pot vide, un mégot, un écorce d’orange, une croûte de pain sec ramassée dans les ordures, un os rongé, tout a pour eux une valeur décisive. Les hommes sont capables de n’importe quelle lâcheté, pour vivre: de toutes les infamies, de tous les crimes, pour vivre. Pour une croûte de pain chacun de nous est prêt à vendre sa femme, ses filles, à souiller sa propre mère, à sacrifier ses frères et ses amis, à se prostituer à un autre homme. Il est prêt à s’agenouiller, à se traîner par terre, à lécher les souliers de celui qui peut lui donner à manger, à essuyer en souriant les crachats sur sa joue: et son sourire est humble, doux, son regard plein d’une espérance famélique et bestiale, d’une espérance merveilleuse. »

Curzio Malaparte, La peau

 

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Ceci n'est plus une femme...

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18/01/2015

J’aime ce pays

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« J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. »

Guy de Maupassant, Le Horla

 

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Un monde que j’écarte de moi

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« Je suis indigné par le peu que je vois, le peu que je lis, le peu que j’entends du monde extérieur. Un monde que j’écarte de moi le plus possible, sinon je vivrais dans un dégoût perpétuel. »

Henry de Montherlant, Entretien au Journal "Matulu" - mars 1971

 

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L’émotion en Allemagne est guerrière et islamique

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« Nous ne savons pas si Hitler est sur le point de fonder un nouvel islam. Il est d’ores et déjà sur la voie ; il ressemble à Mahomet. L’émotion en Allemagne est islamique, guerrière et islamique. Ils sont tous ivres d’un dieu farouche. »

Carl Gustav Jung, La vie symbolique (1939)

 

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La religion d'Hitler

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« La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée. »

Carl Gustav Jung, Rencontres et interviews (1936)

 

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Le début de la tyrannie

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Plan anti-magouilles

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Ceci n'est plus une femme...

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Il répugne à se voir tel qu’il est

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« L’hypocrite est avant tout un malheureux qui convient imprudemment de son attitude envers autrui avant d’avoir eu le courage de se définir soi-même exactement, car il répugne à se voir tel qu’il est ; il se cherche une sincérité, sacrifie à cette impossible gageure des avantages certains, et finit par se duper. Pour mentir utilement, avec efficace et sécurité plénière, il faut connaître son mensonge et s’exercer à l’aimer. »

Georges Bernanos, L’Imposture

 

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La vraie valeur n’a jamais rien à craindre de ces mises à l’épreuve par le sarcasme et la parodie, par le défi et par l’acide

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« La seule obligation sacrée que j'attribue à l'art ou à la littérature, c'est la recherche des "vraies" valeurs. Je crois qu'il n'y a rien de plus important pour un écrivain, dans la mesure où il se soucie de la vérité. Or, seuls le manque de respect, L’ironie, la moquerie, la provocation même, peuvent mettre les valeurs à l’épreuve, les décrasser et dégager celles qui méritent d’être respectées. Une telle attitude -- et c'est peut-être ce qu'il y a de plus admirable dans l'histoire de la littérature -- est pour moi incompatible avec toute adhésion politique à part entière. La vraie valeur n’a jamais rien à craindre de ces mises à l’épreuve par le sarcasme et la parodie, par le défi et par l’acide, et toute personnalité politique qui a de la stature et de l’authenticité sort indemne de ces agressions. La vraie morale n’a rien à redouter de la pornographie –- pas plus que les hommes politiques, qui ne sont pas des faux-monnayeurs, de "Charlie hebdo", du "Canard Enchaîné", de Daumier ou de Jean Yanne. Bien au contraire : s’ils sont "vrais", cette mise à l’épreuve par l’acide leur est toujours favorable. La dignité n’est pas quelque chose qui interdit l’irrespect : elle a au contraire besoin de cet acide pour révéler son authenticité. »

Romain Gary, La Nuit sera Calme

 

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Des hommes décidés à marcher à quatre pattes...

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17/01/2015

Ceci n'est plus une femme...

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Individus objets

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16/01/2015

Ceci n'est plus une femme...

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Facho

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« A force d'être traité de fasciste, j'ai envie de me présenter ainsi : moi, Dominique de Roux, déjà pendu à Nuremberg. »

Dominique de Roux, Immédiatement

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Kevin et Enzo

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« Mais à partir des années 1970, lorsque les premiers enfants de l’immigration maghrébine débarquèrent en France ou naquirent dans l’Hexagone, l’esprit public avait beaucoup changé. L’heure était à l’épanouissement individuel, à la liberté personnelle qui se niche dans les moindre détails et ne supporte plus la moindre contrainte ; à l’ouverture vers le monde ; à la haine ou au moins au mépris pour tout ce qui incarne la France. Le choix du prénom devint un signe politique ou en tout cas militant. Les Bretons bretonnisèrent sans honte, les Juifs plongèrent à pleines brassées dans le Torah, bientôt ; certains d’entre eux abandonnèrent même les textes sacrés pour se plonger dans les registres de l’état-civil israélien, révélant ainsi une "Alyah" dans les têtes qui précédait parfois une installation en Terre promise ; les passionnés de séries télévisées s’américanisèrent ; au retour d’un séjour enchanteur au Maroc ou en Thaïlande , on donnait à son enfant un prénom arabe ou asiatique sans rien comprendre de la symbolique culturelle de ces patronymes. Mais ces choix individuels – qui se croyaient libres de toute influence – se révélèrent encombrés d’arrière-pensées sociales et identitaires. Kevin et Enzo devinrent les prénoms des classes sociales défrancisées tandis que Louis, Pierre et Paul, les anciens prénoms traditionnels, s’embourgeoisèrent. »

Eric Zemmour, Le suicide français

 

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C'était une revanche inouïe sur le sexe fort

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« L’égalitarisme avait répandu son venin. Le culturalisme absolu avait fait son œuvre. Puisque les femmes n’avaient pas réussi à devenir des hommes comme les autres, il fallait que les hommes devinssent des femmes comme les autres. La libido virile, reposant sur la brutale pulsion et la mise à distance, goguenarde ou farouche, par le caractère ou par l’argent, du monde des sentiments, fut criminalisée. On déclara la guerre à la sexualité masculine faite de violence ou de domination. On confondit les violences faites aux femmes – qui relèvent du Code pénal- et les complexités de la vie intime. On négligea, contesta, méprisa l’avertissement pourtant si pertinent de Stendhal : "Au premier grain de passion, il y a le premier grain de fiasco." L’homosexualité féminine devint à la mode ; Mylène Farmer chanta la gloire des amours saphiques ; les journaux féminins déculpabilisèrent leurs lectrices rétives.
C’était une revanche inouïe contre le sexe fort, mais aussi contre les premières féministes qui auraient détesté cet univers mièvre, sentimental, féminin qu’elles abhorraient, auquel elles s’étaient arrachées, et qu’elles croyaient avoir éradiqué. Les précieuses ridicules avaient vaincu les femmes savantes. »

Eric Zemmour, Le suicide français

 

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15/01/2015

Ceci n'est plus une femme...

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La forme perdue des siècles

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« L’Église a, seule, recueilli l’art, la forme perdue des siècles ; elle a immobilisé, jusque dans la vile reproduction moderne, le contour des orfèvreries, gardé le charme des calices élancés comme des pétunias, des ciboires aux flancs purs ; préservé, même dans l’aluminium, dans les faux émaux, dans les verres colorés, la grâce des façons d’antan. En somme, la plupart des objets précieux, classés au musée de Cluny, et échappés par miracle à l’immonde sauvagerie des sans−culottes, proviennent des anciennes abbayes de France ; de même que l’Église a préservé de la barbarie, au moyen âge, la philosophie, l’histoire et les lettres, de même elle a sauvé l’art plastique, amené jusqu’à nos jours ces merveilleux modèles de tissus, de joailleries que les fabricants de choses saintes gâtent le plus qu’ils peuvent, sans en pouvoir toutefois altérer la forme initiale. »

Joris-Karl Huysmans, A rebours

 

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Les horreurs que nous venons de voir

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« Les horreurs que nous venons de voir, et celles pires que nous verrons bientôt, ne sont nullement le signe que le nombre des révoltés, des insoumis, des indomptables, augmente dans le monde, mais bien plutôt que croît sans cesse, avec une rapidité stupéfiante, le nombre des obéissants, des dociles, des hommes, qui, selon l’expression fameuse de l’avant-dernière guerre, "ne cherchaient pas à comprendre." [...] "Le Gouvernement m’a donné une situation, et je ne peux naturellement pas risquer de perdre cette situation, sans parler de ma petite retraite future. Allons ! ouste ! Il ne faut pas chercher à comprendre." »

Georges Bernanos, La France contre les robots

 

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