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11/04/2016

A political movement...

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09/04/2016

A quand la lutte contre les enfers fiscaux?

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C'est à nouveau une belle unanimité que l'on constate dans les milieux politiques pour fustiger sans nuances ceux qui ont eu recours à des structures offshore, dénoncées par les Panama Papers. La politiquement très correcte "lutte contre les paradis fiscaux" n'est remise en question par personne et les moyens donnés au fisc sont toujours jugés insuffisants.

 

On n'a pas de mots assez durs pour qualifier les "très riches" qui recourent à l'évasion fiscale, tout en relevant par ailleurs que la plupart des bénéficiaires économiques de ces sociétés ressemblent plutôt au boucher et au boulanger du coin...

Il est évidemment exact que nombre de comptes offshore appartenaient à des dictateurs présents ou passés, ou à des criminels. L'évolution rapide des législations internationales a toutefois eu comme conséquence que la plupart des banques sérieuses ont évincé depuis longtemps ce genre de clients, et d'ailleurs aussi ceux qui utilisent des sociétés de paradis fiscaux exclusivement dans un but de fraude.

Mais c'est un coupable amalgame que de présenter comme comparables ces situations et celles de nombreuses personnes ou familles qui n'ont enfreint aucune loi, fiscale ou autre.

Lorsque, plutôt que de jeter en pâture, sans distinction, des noms, comme le font certains journaux, des administrations approfondiront leurs recherches, elles constateront souvent qu'il n'y a rien à reprocher. Aujourd'hui, beaucoup de gens craignent, à tort ou à raison, que la situation politique ou économique instable en Europe constitue un danger pour leur patrimoine, et choisissent de l'investir ailleurs, ce qui rend parfois utile ou nécessaire l'utilisation de structures exotiques. D'autres ne font plus confiance au système financier européen et préfèrent investir une partie de leurs avoirs dans d'autres pays. Ces choix ne sont peut-être pas économiquement fondés, mais sont légitimes, et ils n'impliquent une obligation de déclarer au fisc belge les structures utilisées que depuis 2013.

D'autres recourent à ce type de sociétés uniquement en raison de conflits familiaux ou commerciaux ; s'ils les déclarent au fisc, ainsi que les revenus, il n'y a rien à leur reprocher.

Enfin, il est fort probable qu'après les opérations de DLU ("Déclaration Libératoire Unique") I, II et III, la plupart des structures litigieuses, et non déclarées dans le passé, ont été régularisées, avec le paiement des impôts et des pénalités requises par la loi. Les règles de l'OCDE en matière d'échange automatique d'informations bancaires impliquent de toute façon que le fisc belge connaîtra en 2017 la situation bancaire de tous les résidents belges pour les comptes dans plusieurs pays (tels le Luxembourg ou le Liechtenstein), et que pour la quasi-totalité des autres, y compris la Suisse, il en sera de même en 2018. Ceux qui n'ont pas encore régularisé leur situation auront donc tout intérêt à le faire en bénéficiant de la nouvelle DLU IV qui est annoncée.

Pour le reste, il est étonnant que tous les commentaires sur cette situation stigmatisent l'évasion, licite ou non, de capitaux, comme une espèce de nuisance universelle. Il semble qu'aux yeux de certains, les lois fiscales, de quelque pays que ce soit, soient parées de vertus morales indiscutables. Lorsqu'elles sont fiscales, les lois de la Chine communiste, de la dictature du Zimbabwe, du Venezuela totalitaire, et de nombre de tyrannies africaines, deviennent brusquement l'expression d'une morale planétaire, comme si les prisons, les chambres de torture, et les membres de polices politiques n'étaient pas payés au moyen d'impôts...

Les normes fiscales sont partout édictées par les groupes qui exercent le pouvoir (tyrans, oligarques, ou majorités parlementaires), et répondent aux intérêts de ceux qui soutiennent ce pouvoir. Dans les Etats démocratiques, elles doivent être respectées comme les autres lois, mais il faut les prendre pour ce qu'elles sont : l'expression d'un pouvoir, et non nécessairement celle de la justice.

Et dans ce contexte, il ne faut pas perdre de vue que les paradis fiscaux ne sont pas dirigés par des gouvernements moins légitimes que les autres. Il suffit de consulter leur liste pour constater qu'à de très rares exceptions près, ces Etats s'appuient sur des majorités démocratiquement élues et permettent à leur population de bénéficier d'un niveau de vie que nombre de pays très taxés devraient leur envier. On vit mieux et avec plus de liberté aux Bahamas ou à Saint- Vincent que dans les Dom-Tom français voisins des Caraïbes...

Ne serait-il pas temps de se demander pourquoi il en est ainsi, et de songer à lutter contre... les enfers fiscaux ?

THIERRY AFSCHRIFT

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SOURCE : TENDANCES TREND - LE VIF

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L’apologie du goulag et de Staline, on a le droit

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Lire Drieu, c'est toujours autant "douteux" qu'avant... mais ce brave Louis Aragon (grand écrivain, au demeurant), lui, a toujours la cote !

Alors que vous ne trouvez pas un seul lycée Céline, qui fut pourtant également un géant de la littérature, et peut-être bien plus qu’Aragon, vous trouvez une floppée de lycée Aragon. Aragon signait aussi des pétitions demandant une plus grande liberté sexuelle pour les enfants (donc pour les pédophiles), en compagnie d’une grande partie de la gauche. Nous reproduisons ci-après sa prose totalitaire, rassemblée pour le Livre noir de la gauche, pour rafraîchir un peu les mémoires.

Mais rappelons-nous...

Louis Aragon a fait l’apologie du goulag

« Je veux parler de la science prodigieuse de la rééducation de l’homme, qui fait du criminel un homme utile, de l’individu déformé par la société d’hier, par les forces des ténèbres, un homme du monde de demain, un homme selon l’Histoire. L’extraordinaire expérience du canal de la mer Blanche à la Baltique, où des milliers d’hommes et de femmes, les bas-fonds d’une société, ont compris, devant la tâche à accomplir, par l’effet de persuasion d’un petit nombre de tchékistes qui les dirigeaient, leur parlaient, les convainquaient que le temps est venu où un voleur, par exemple, doit se requalifier, dans une autre profession – Cette extraordinaire expérience joue par rapport à la nouvelle science le rôle de l’histoire de la pomme qui tombe devant Newton par rapport à la physique. Nous sommes à un moment de l’histoire de l’humanité qui ressemble en quelque chose à la période du passage du singe à l’homme. Nous sommes au moment où une classe nouvelle, le prolétariat, vient d’entreprendre cette tâche historique d’une grandeur sans précédent : la rééducation de l’homme par l’homme. »

Louis Aragon, Pour un réalisme socialiste (1935)

 

Louis Aragon fut un chantre de Staline

« Merci à Staline pour ces hommes qui se sont forgés à son exemple, selon sa pensée, la théorie et la pratique stalinienne ! Merci à Staline qui a rendu possible la formation de ces hommes, garants de l’indépendance française, de la volonté de paix de notre peuple, de l’avenir d’une classe ouvrière, la première dans le monde montée à l’assaut du ciel et que l’on ne détournera pas de sa destinée en lui faisant voir trente-six étoiles étrangères, quand elle a de tels hommes à sa tête. »

Louis Aragon, Les lettres françaises, mars 1953

Le 12 mars 1953, Les Lettres françaises publient en première page un portrait de Staline par Picasso qui provoque la polémique de Aragon et du PCF. Aragon : « On peut inventer des fleurs, des chèvres, des taureaux, et même des hommes, des femmes – mais notre Staline, on ne peut pas l’inventer. Parce que, pour Staline, l’invention – même si Picasso est l’inventeur – est forcément inférieure à la réalité. Incomplète et par conséquent infidèle. »

Pour Aragon, on ne touche pas à l'IMAGE DIVINE de Staline !

 

Un dernier petit poème pour la route... 

« Pliez les réverbères comme des fétus de pailles
Faites valser les kiosques les bancs les fontaines Wallace
Descendez les flics
Camarades
Descendez les flics
Plus loin plus loin vers l’ouest où dorment
les enfants riches et les putains de première classe
Dépasse la Madeleine Prolétariat
Que ta fureur balaye l’Élysée
Tu as bien droit au Bois de Boulogne en semaine
Un jour tu feras sauter l’Arc de triomphe
Prolétariat connais ta force
connais ta force et déchaîne-la
II prépare son jour il attend son heure sa minute la seconde
où le coup porté sera mortel et la balle à ce point sûre
que tous les médecins social-fascistes
Penchés sur le corps de la victime
Auront beau promener leur doigts chercheurs sous la chemise de dentelle
ausculter avec les appareils de précision son cœur déjà pourrissant
ils ne trouveront pas le remède habituel
et tomberont aux mains des émeutiers qui les colleront au mur
Feu sur Léon Blum
Feu sur Boncour Frossard Déat
Feu sur les ours savants de la social-démocratie
Feu feu j’entends passer
la mort qui se jette sur Garchery Feu vous dis-je
Sous la conduite du parti communiste SFIC
Vous attendez le feu sous la gâchette
Que ce ne soit plus moi qui vous crie
Feu
Mais Lénine
Le Lénine du juste moment »

Louis Aragon, Le Front Rouge (1931)

 

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SOURCE : ENQUÊTE & DEBAT

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Une affaire de famille

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La grande avancée : nous héritons bien des traumatismes des générations passées et ce sont les gènes qui les transmettent...

Une étude récemment menée par une équipe de chercheurs américains sur des souris a montré que des événements traumatisants pouvaient avoir une influence sur leurs gènes, et avoir une influence sur le cerveau et le comportement de leur descendance.

Atlantico : Des expériences menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l'université d'Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l'ADN observé dans leur sperme, et avoir des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes (voir ici). D'après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes. Notre ADN peut-il effectivement être modifié par des traumatismes ?

Pierre Roubertoux : Notons tout d'abord que cette étude est bien construite, et que pour une fois on ne se contente pas d'observer le pelage de la souris, mais le système nerveux (neurone et comportement).

Précisons également que ce n'est pas véritablement l'ADN qui est modifié, mais la transcription des gènes. Car ce qui impacte le fonctionnement de la cellule, c'est la protéine. On sait qu’un grand nombre de phénomènes qui se situent au niveau du génome interviennent sur la transcription. De telle sorte que le génome fera dire au gène reçu de vos parents des choses différentes de celles qu'on attendait du gène des géniteurs. C'est ce qu'on appelle l'épigénèse. Ces facteurs génétiques qui modifient d'autres gènes peuvent être modifiés, à long terme, par notre environnement. Le plus connu des mécanismes de l’épigenèse est la méthylation : la chromatine qui contient l'ADN sera compactée, et maintenue dans cet état par cette même méthylation. Pour qu'elle se "décompacte", un autre mécanisme intervient, celui de l'acétylation. Ces mécanismes peuvent être modulés par l'environnement.

Atlantico : Cette étude vient donc confirmer ce qu'on supposait déjà ?

Pierre Roubertoux : En effet. Par exemple, lorsqu'on effectue une transgénèse, on insère généralement le transgène dans le noyau mâle. Mais on s'aperçoit que parfois des transgènes ne s'expriment pas. On a découvert il y a une vingtaine d'années ce qui se produisait : le génome femelle empêchait le gène venant du père de se transcrire, c’est-à-dire d'aller jusqu'à la protéine. C'est ainsi que l'information parentale n'est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

D'autres travaux menés depuis ont montré de tels phénomènes sur la couleur du pelage chez les souris. On a supposé que cela pouvait intervenir dans la genèse des cancers, et aussi jouer sur la morphologie et le fonctionnement du système nerveux central. Grâce à cette étude, c'est la première fois que l'effet de l'épigénèse est montré d'une façon aussi évidente sur le système nerveux central.

Atlantico : Quels sont les effets observables sur nous, humains ?

Pierre Roubertoux : Dans le syndrome d'Angelman (maladie neurogénétique caractérisée par un déficit intellectuel sévère et des traits dysmorphiques, ndlr), le trouble résulte (3 % des cas) d’une disomie uniparentale paternelle.

Atlantico : Les phobies, manifestations d'anxiété et troubles liés au stress peuvent-il en partie s'expliquer au travers de l'épigénèse ?

Pierre Roubertoux : On est encore loin de pouvoir répondre à cette question. On montre ici pour la première fois une manifestation de l’épigenèse au plan du gène, du cerveau et de certains comportements. Reste à savoir si cela peut jouer sur les pathologies mentales. Il existe quelques déficits intellectuels pour lesquels un mécanisme épigénétique a été invoqué. Il ne faut pas pour autant crier à l’hérédité des caractères acquis.

Dans quelle mesure les résultats de cette étude viennent-ils alimenter les débats sur le déterminisme ? A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ? Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue. Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture. De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations. Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres.

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SOURCE : ATLANTICO

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A lire, chez ATLANTICO, sur un thème similaire : Psychogénéalogie : L'impact sur ma vie de ma place dans la famille, Juliette Allais (Atlantico éditions), 2013

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07/04/2016

L'homme de la catastrophe

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« Nous vivons à l'ère de la catastrophe, chaque homme est un porteur de la catastrophe, c'est pourquoi il faut un art de vivre particulier si on veut survivre, dit-il. L'homme de la catastrophe n'a pas de destin, pas de qualités, pas de caractère. Son environnement social effroyable — L’Etat, la dictature — appelle cela comme tu veux, l'attire avec la force d'un tourbillon vertigineux jusqu'à ce qu'il cesse de résister et que le chaos jaillisse en lui comme un geyser brûlant — et que le chaos devienne son élément naturel. Pour lui, il n'y a plus de retour possible vers un centre du Moi, vers une certitude inébranlable et indéniable du Moi : il est au sens le plus propre du terme, perdu. L'être sans Moi, c'est la catastrophe, le Mal véritable dit Bé, et sans être mauvais lui-même, il est capable de tous les méfaits. Les paroles de la Bible sont à nouveau d'actualité : résiste à la tentation, garde -toi de connaître, sinon tu seras damné, dit-il. »

Imre Kertész, Liquidation

 

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Jérusalem, Athènes et Rome

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« Ce que la civilisation occidentale doit à la catholicité : presque tout. S’il laisse tarir cette source, l’Occident ne sera à brève échéance qu’un somptueux musée tandis que des laborantins, des animateurs, des trafiquants, des technocrates ou des idéologues manipuleront le destin à venir de l’humanité. L’hypothèse, hélas, n’est pas extravagante.
A cet égard la bigoterie prétendument “laïque” des politiques européens, qui ont refusé d’inscrire le mot “christianisme” dans les textes institutionnels, est de mauvaise augure. Elle évoque le reniement de saint Pierre, pour ne pas dire la trahison de Judas. Le mauvais exemple vient de Paris, où l’on se calfeutre derrière de mauvaises raisons. Si l’Europe récuse ou occulte ses fondements chrétiens, elle n’a tout simplement pas de raison d’être. C’est le christianisme qui délimite les frontières spirituelles de l’Europe, l’agnostique Le Goff l’a démontré pertinemment. Et c’est l’Eglise romaine qui a fondé, charpenté, impulsé, orné la civilisation européenne sur les ruines de l’Empire romain. L’orthodoxie puis le protestantisme y ont naturellement pris leur part ; le judaïsme aussi, d’une autre manière. 
L’Europe, c’est Jérusalem, Athènes et Rome ; une croix en plan incliné depuis l’Orient jusqu’au Septentrion.
L’hébreu, le grec, le latin : trois langues dans lesquelles, selon saint Jean l’Evangéliste, Pilate fit rédiger l’écriteau durant la Passion. »

Denis Tillinac, Le Dieu de nos pères, Défense du catholicisme

 

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06/04/2016

2017

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Nos barbus à nous...

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Torture...

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Je suis Panama

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La Mère Michelle...

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Bescherelle

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60 mètres sous terre...

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05/04/2016

Un peuple de moutons...

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Même la racaille c'était mieux avant...

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César ! Reviens !

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Rome

 


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Oppression Patriarcale/Féminisme...

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