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11/12/2017

A world free from religion

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Ceci n'est plus une femme...

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Tous les attachements sont à conserver comme des trésors trop rare et infiniment précieux

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« Aujourd'hui, en même temps que les Français ont retrouvé le sentiment que la France est une réalité, ils sont devenus bien plus conscients que jadis des différences locales. La séparation de la France en morceaux, la censure de la correspondance qui enferme les échanges de pensée dans un petit territoire, y est pour quelque chose, et, chose paradoxale, le brassage forcé de population y a aussi beaucoup contribué. On a aujourd'hui d'une manière beaucoup plus continuelle et plus aiguë qu’auparavant le sentiment qu'ont est Breton, Lorrain, Provençal, Parisien. Il y a dans ce sentiment une nuance d'hostilité qu'il faut essayé d'effacer ; d'ailleurs il est urgent aussi d'effacer la xénophobie. Mais ce sentiment en lui-même ne doit pas être découragé, au contraire. Il serait désastreux de le déclarer contraire au patriotisme. Dans la détresse, le désarroi, la solitude, le déracinement où se trouvent les Français, toutes les fidélités, tous les attachements sont à conserver comme des trésors trop rare et infiniment précieux, à arroser comme des plantes malades. »

Simone Weil, L'enracinement

 

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10/12/2017

Anonymisation de la mort

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« Le processus d’anonymisation de la mort se manifeste quand il s’agit de la donner. Dès 1802, Hegel constatait l’abstraction du meurtre rendue possible par l’arme à feu, l’invention de la mort universelle, indifférente, impersonnelle "par laquelle la mort advient à chaque individu dans l’indifférence" (Hegel, "Système de la vie éthique, GW 5, p. 331"). L’avènement, dans l’Etat, de la puissance de l’Universel a pour corollaire l’insignifiance de l’individu singulier, et si cet universel entreprend d’éliminer tout singulier, il ne doit pas le singulariser dans l’acte même de son meurtre : c’est pourquoi la Terreur révolutionnaire a mis en œuvre "la mort la plus plate, la plus froide, sans plus de signification que de trancher une tête de chou ou boire une gorgée d’eau" (Hegel, "Phénoménologie de l’esprit, GW 9, p. 320"), c’est-à-dire la guillotine, qui remplace la liturgie expiatoire qu’était l’exécution des condamnés sous l’Ancien Régime par leur pure et simple élimination, opérée par une machine. Enzo Traverso a analysé le "véritable tournant anthropologique" que fut l’introduction de la guillotine : avec la guillotine, "l’exécution mécanisée, sérialisée, cessera bientôt d’être un spectacle pour devenir un procédé technique de tuerie à la chaîne, impersonnel, efficace, silencieux et rapide. Le résultat final sera une déshumanisation de la mort". Le bourreau lui-même disparait, il n’est plus ce personnage doté d’une aura surnaturelle, bras armé du monarque et porteur d’un châtiment d’origine divine, il devient simple fonctionnaire, et en vérité ne tue plus. "C’est l’appareil qui tue, il se limite à surveiller. L’exécution est une opération technique et le servant de la machine n’est plus responsable que de son entretien : la tuerie se déroule sans sujet" (E. Traverso, "La violence nazie. Une généalogie européenne, Paris, La Fabrique, 2002, p. 29-35"). La mécanisation — et la sérialisation — de la mort se manifeste également quand il s’agit de tuer des animaux : c’est en 1810, par un décret de Napoléon, que sont crées les abattoirs de Paris : il s’agit, par là, d’une part de supprimer les tueries — nom par lequel au Moyen-âge étaient désignés les abattoirs privés — en centre-ville pour ainsi rendre la mort animale invisible, et d’autre part de rationaliser puis d’industrialiser l’abattage en l’intégrant à une véritable chaîne de production. La machinerie d’extermination nazie apparait alors comme la synthèse de ces deux produits du XIXè siècle, en donnant à l’appareil d’exécution la structure de l’abattoir. »

Jean Vioulac, La logique totalitaire. Essais sur la crise de l’Occident

 

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Auto-flagellation Occidentale

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09/12/2017

L’économie n’est pas une fin en soi

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« L’économie n’est pas une fin en soi. C’est un élément de la vie des sociétés, parmi les principaux, mais seulement un élément. Elle n’est pas la source ou l’explication des évolutions de l’humanité. Elle est un agent ou une conséquence. C’est dans la psychologie des peuples, dans leur énergie et leurs vertus politiques que se trouve l’explication de l’histoire. L’économie doit être soumise à la volonté politique. Que celle-ci disparaisse – ce qui est le propre des régimes libéraux – et les forces économiques débridées entraînent la société vers l’anarchie. Aussi le problème immense de l’économie s’inscrit-il naturellement dans la révolution Nationaliste. Ce serait revenir aux mortelles erreurs "nationales" que d’en nier l’importance ou de s’en débarrasser par un mot miracle aussi sujet à confusion et à contestation que celui de "corporatisme", par exemple. Le capitalisme a créé un monde artificiel où l’homme est inadapté. Par ailleurs, la communauté populaire est exploitée par une caste étroite qui monopolise tous les pouvoirs et tend à la suprématie internationale. Enfin, le capitalisme cache sous une débauche de mots nouveaux une conception anachronique dont l’économie supporte les conséquences. Ces critiques s’appliquent mot pour mot au communisme.

La solution à l’inadaptation de l’homme dans un monde qui n’est plus fait pour lui est, nous l’avons vu, un problème politique. Le développement technique et économique ne trouve pas en lui-même sa propre justification; elle est dépendante de son utilisation. Au nouvel Etat d’assujettir l’économie à ses desseins, d’en faire l’outil d’un nouveau printemps européens. Créer des valeurs civilisatrices, forger les armes d’une nécessaire puissance, élever la qualité du peuple seront alors ses buts. C’est dans une totale transformation de la structure de l’entreprise (nous ne parlons ici que de l’entreprise à capital financier au assimilé, non de la petite entreprise familiale qui doit être préservée et où le problème ne se pose pas) et de l’organisation générale de l’économie réside le moyen de détruire le pouvoir exorbitant de la caste technocratique, de supprimer l’exploitation des travailleurs, d’établir une justice réelle, de retrouver la vérité économique et un fonctionnement sain. En régime capitaliste comme en régime communiste, l’entreprise est la propriété exclusive du capital financier dans l’un, capital étatique dans l’autre. Pour les salariés, qu’ils soient cadres ou simples travailleurs, le résultat est le même : ils sont volés, les richesses produites par leur travail sont absorbées par le capital. Cette position favorisée donne au capital tous pouvoirs sur l’entreprise : direction, gestion, bien qu’ils soient extérieurs et tendent avant tout à réaliser un profit financier, parfois au détriment de la production et de l’entreprise elle-même. Le mot fameux de Proudhon trouve ici sa pleine signification: "la propriété, c’est le vol !". Supprimer l’appropriation est la solution juste qui donnera naissance à l’entreprise communautaire. Le capital prendra alors sa juste place d’élément de la production, à coté du travail. L’un et l’autre participeront, avec un pouvoir proportionnel à leur importance dans l’entreprise, à la désignation de la direction, à la gestion économique et au bénéfice des profits réels. Cette révolution dans l’entreprise s’inscrira dans une organisation nouvelle de l’économie ayant pour base la profession et le cadre géographique régional. Supprimant les parasites et le pouvoir des financiers, elle créera un ensemble de corps intermédiaires. Ces nouvelles structures, capables de s’intégrer aisément dans l’Europe, ne peuvent trouver meilleure définition que celle d’ "économie organique". »

Dominique Venner, Pour une critique positive

Dois-je préciser que je ne suis pas d’accord, ici, avec ce qui est formulé par Dominique Venner ? Il montre, dans ce passage, ce qui rapproche la Droite Nationale de la Gauche la plus libertaire et manque, probablement, de connaissance pour réaliser que le Capitalisme n’est pas forcément libéral et que dans une société libérale, rien ni personne n’empêcherait un groupe de personnes de s’organiser en communauté sur les bases qui leur conviennent en se réalisant comme bon leur semble.

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L’éthique de l’honneur

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« L’éthique de l’honneur s’oppose à la morale d’esclave du matérialisme libéral ou marxiste. Elle affirme que la vie est un combat. Elle exalte la valeur du sacrifice. Elle croit au pouvoir de la volonté sur les évènements. Elle fonde sur la loyauté et la solidarité les rapports des hommes d’une même communauté. Elle confère au travail une grandeur en soi indépendante du profit. Elle retrouve le sens de la véritable dignité de l’homme non pas octroyée mais conquise par l’effort permanent. Elle développe chez l’homme européen la conscience de ses responsabilités par rapport à l’humanité dont il est l’ordonnateur naturel. »

Dominique Venner, Pour une critique positive

 

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Processus de Paix...

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08/12/2017

Le lien et le lieu de ma personnalité

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« Qu'est-ce que c'est pour moi - personnellement - que la France ? J'ai parlé de peuple, d'orchestre, de musique, d'identité, d'histoire, etc…
Mais, pour moi, qu'est ce que c'est ?
Eh bien, j'éprouve d'abord la France et ma qualité de Français comme le lien et le lieu de ma personnalité.
Comme une volonté et un besoin. Comme une réalité et un idéal. Comme un socle et un tremplin…
Et enfin : comme une nature vécue, souvent avec indifférence, mais qui resurgit dés qu'on veut me l'ôter. Tant il est vrai que l'amputaion rend plus présent le membre tranché. »

Jean Cau, Pourquoi la France ?

 

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07/12/2017

En tout état de cause, les clercs d’Occident n’ont pas attendu les musulmans…

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« Par un curieux acharnement à travestir le vrai, nos livres pour l’enseignement, des petites classes au lycées, s’appliquent à faire croire que les auteurs de l’antiquité ont tous sombré dans un noir oubli dés la chute de Rome et ne furent à nouveau connus en Occident que par les Arabes qui, eux, prenaient soin de les traduire. Ce n’est qu’au temps de la Renaissance, au réveil d’un sommeil de plus de mille années, que les humanistes, en Italie puis en France puis en Angleterre auraient pris le relais et étudié les textes grecs et romains. Vérité sans appel que toute sorte de romanciers, de polygraphes et de journalistes pour revues d’histoire ou de culture acceptent encore sans chercher à y voir d’un peu plus prés. Pourtant, tout est à revoir. On nous dit : « Sans les arabes, vous n’auriez pas connu Aristote!» C’est inexact, archi faux. Les leçons et les principaux ouvrages des savants, philosophes, poètes, dramaturges de l’Antiquité ne furent jamais, à aucun moment, ignorés des lettrés en Occident. Parler d’ « arabes » n’est pas seulement une facilité de langage mais une grave impropriété qui cache sans doute une mauvaise action, à savoir la volonté de taire la véritable identité des auteurs musulmans les plus féconds et les mieux connus, ceux qui ont le plus écrit en toutes sortes de domaines. C’étaient pour la plupart des Syriens, des Egyptiens ou des Espagnols qui, soumis par la conquête, avaient adopté la langue et l’écriture des maîtres. Les Perses, eux, avaient gardé leur langue.

En tout état de cause, les clercs d’Occident n’ont pas attendu les musulmans. Aristote était connu et étudié à Ravenne au temps du roi des Goths Théodoric et du philosophe Boèce, dans les années 510-520, soit plus d’un siècle avant l’Hégire. Cet enseignement, celui de la logique notamment, n’a jamais cessé dans les écoles cathédrales puis dans les toutes premières universités et l’on se servait alors de traductions latines des textes grecs d’origine que les érudits, les philosophes et les hommes d’Eglise de Constantinople avaient pieusement gardés et largement diffusés. Les traductions du grec en langue arabe et de l’arabe en latin, que l’on attribue généralement à Avicenne, Averroès et à Avicébron, sont apparues relativement tard, pas avant les années 1200, alors que tous les enseignement étaient déjà en place en Occident et que cela faisait plus d’un siècle que la logique, directement inspirée d’Aristote, était reconnue comme l’un des sept arts libéraux du cursus universitaire. (…) Ces traducteurs auxquels nous devrions tant, n’étaient certainement pas des Arabes et, pour la plupart, pas même des musulmans. Les conquérants d’après l’hégire ne portèrent que peu d’intérêt à la philosophie des grecs de l’antiquité dont les populations soumises, en Mésopotamie, en Syrie ou en Chaldée, gardaient pieusement les textes et les enseignements. (…) Pendant plusieurs centaines d’années, les grands centres intellectuels de l’Orient, Ninive, Damas et Edesse, sont restés ceux d’avant la conquête musulmane. La transmission du savoir y était assurée de génération en génération et les nouveaux maîtres n’y pouvaient apporter quoi que ce soit de leur propre. En Espagne, la ville de Tolède et plusieurs autres cités épiscopales ainsi que les grands monastères étaient des centres intellectuels très actifs, tout particulièrement pour les traductions de l’antique, bien avant l’invasion musulmane et la chute des rois Wisigoths. L’école des traducteurs arabes de Tolède est une légende, rien de plus.

En réalité, ces travaux des Chrétiens sous occupation musulmane n’étaient, en aucune façon, l’essentiel. Ils ne présentaient que peu d’intérêt. Les Chrétiens d’Occident allaient aux sources mêmes, là ou ils étaient assurés de trouver des textes authentiques beaucoup plus variés, plus sincères et en bien plus grand nombre. Chacun savait que l’empire Romain vivait toujours, intact, vigoureux sur le plan intellectuel, en Orient. Métropole religieuse, siège du patriarche, Constantinople est demeurée jusqu’à sa chute et sa mort sous les coups des Ottomans de Mehmet II, en 1453, un centre de savoir inégalé partout ailleurs. On n’avait nul besoin d’aller chercher l’héritage grec et latin à Bagdad ou à Cordoue : il survivait, impérieux et impérissable dans cette ville chrétienne, dans ses écoles, ses académies et ses communautés monastiques. Les peintures murales et les sculptures des palais impériaux contaient les exploits d’Achille et d’Alexandre. Les hommes d’église et de pouvoir, les marchands même, fréquentaient régulièrement Constantinople et avaient tout à y apprendre. Nos livres de classe disent qu’ils ont attendu les années 1450 et la chute de Constantinople pour découvrir les savants et les lettrés grecs ! Mais c’est là encore pécher par ignorance ou par volonté de tromper. C’est écrire comme si l’on pouvait tout ignorer des innombrables séjours dans l’Orient, mais dans un Orient chrétien de ces Latins curieux d’un héritage qu’ils ne pouvaient oublier. En comparaison, les pays d’islam n’apportaient rien d’équivalent. »

Jacques Heers, L’histoire assassinée

 

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05/12/2017

Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur

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« La crise de l'histoire en France, est une crise du lien social, une crise de la citoyenneté. Un citoyen est l'héritier d'un passé plus ou moins mythifié, mais qu'il fait sien, quelle que soit sa généalogie personnelle. De nos jours, sous prétexte que le pays a subi de considérables changements, d'aucuns voudraient transformer le passé afin de l'adopter au nouveau visage de la France. Rien ne fera, cependant, que le passé soit autre chose que ce qu'il a été. Prétendre changer l'histoire est un projet totalitaire : Celui qui a le contrôle du passé a le contrôle du futur, celui qui a le contrôle du présent a le contrôle du passé, écrivait George Orwell dans 1984. »

Jean Sévillia, Historiquement incorrect

 

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Une race bâtarde d’avortons se roulant dans le mal

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« Tu sais, toi qui as vécu parmi nous, le fond de notre nature malheureuse. Nous sommes des feuilles dans le vent ; nous sommes les bourreaux de nous-mêmes ; une race bâtarde d’avortons se roulant dans le mal comme l’ivrogne dans son vomi ou le lépreux dans sa pourriture. Nous t’avons repoussé parce que tu étais trop pur pour nous. Nous t’avons condamné parce que tu étais la condamnation de notre vie. »

Giovanni Papini, Histoire du Christ

 

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Je suis miracle !

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« Je veux brûler avant le froid au plein brasier du miracle… je me jette en plein dedans, je m'ébroue, les flammes m'environnent, m'emportent, m'élèvent entre elles tout tendrement, tout tourbillon ! Je suis de feu !… Je suis tout lumière !… Je suis miracle !… »

Louis-Ferdinand Céline, Guignol’s Band

 

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Un peu de théologie de haut vol...

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Mesdames... on me souffle dans l'oreillette que cela ne fonctionne aucunement avec les carottes râpées... sachez-le...

 

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04/12/2017

La Bêtise

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« Le problème de la bêtise est peut-être le plus insondable de tous. On a rêvé des édens où les hommes seraient tous heureux, des édens où ils seraient tous bons. On n’a jamais rêvé d’édens où ils seraient tous intelligents : cela n’est même pas rêvable. »

Henry de Montherlant, Carnets

 

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I feel so dirty... I feel so clean...

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03/12/2017

Indignation

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Attention... c'est d'la féministe de l'Université de Genève, ça n'rigole pas du tout. L'indignation en marche. 

 


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Petit Rappel... 

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Les peuples démocratiques

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« La crainte du désordre et l'amour du bien-être [portent] insensiblement les peuples démocratiques à augmenter les attributions du gouvernement central, seul pouvoir qui leur paraisse de lui-même assez fort, assez intelligent, assez stable pour les protéger contre l'anarchie. [...] Un peuple n'est donc jamais si disposé à accroître les attributions du pouvoir central qu'au sortir d'une révolution longue et sanglante qui, après avoir arraché les biens des mains de leurs anciens possesseurs, a ébranlé toutes les croyances, rempli la nation de haines furieuses, d'intérêts opposés et de factions contraires. Le goût de la tranquillité publique devient alors une passion aveugle, et les citoyens sont sujets à s'éprendre d'un amour très désordonné pour l'ordre. »

Alexis de Tocqueville, Le déspotisme démocratique

 

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02/12/2017

Les situationnistes ne sont plus ce qu'ils étaient...

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La dissolution de l'homme

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« La barbarie éternelle c'est l'informe, le matériau brut, la désolation qui crie la victoire du désert. Les Anciens avaient rejeté le barbare aux confins de la civilisation, les Modernes ont choisi une stratégie plus subtile : pour la dissoudre, la raison a intégré la barbarie au fond d'elle-même.
En se coupant de la transcendance du sens, le sujet contemporain a engendré les formes de fragmentation psychologique et sociale les plus aberrantes. Les effets de barbarie se manifestent par la dissolution de l'homme, l'effondrement de l'éducation, la destruction de la culture et l'abolition du politique. Cette barbarie intérieure signe la faillite de l'universel dans l'avènement de "l'im-monde" moderne. Et s'il n'y a plus de déserts comme le regrettait Camus, c'est que le désert a délaissé les horizons lointains pour assécher la civilisation en ce qu'elle a de plus proche. Le désert est aujourd'hui au coeur de la cité parce que la barbarie est au coeur de la civilisation. »

Jean-François Mattéi, La barbarie intérieure

 

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01/12/2017

Dissuasion...

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Dragueurs invétérés, ne dites plus à votre charmante collègue de travail qu'elle a un ravissant décolleté ! Ils ne veulent plus rien laisser passer... 

 


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