13/09/2020
La peur... et a crainte...
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Blog...
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12/09/2020
T'étais où ?
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Râpe à fromage...
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Décret
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Ceci n’est point du temps qui se mesure. Acclamons la vertu du passé, le portant comme une chaîne : mais qui soit d’or.
Ceci n’est pas geste qu’on incruste. Acceptons les hauts faits accomplis : mais saluons l’avènement libre des autres qui viendront peut-être.
Cette femme exhale les dix genres de beautés ; chaque maintien d’elle appelle un trait fameux, l’ombre délicate d’une héroïne :
Mais donnons un poème à celle "On ne peut dire qui elle est" ni pourquoi elle est belle ; et parmi les Noms Dynastiques, enclavant le vide d’un qui n’eut pas d’aube et n’aura pas de deuil :
Honorez du titre souverain l’Empereur qui aurait pu l’être, et qui ne daigne point promulguer d’autre édit. »
Victor Segalen, Décret in Stèles
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Police en Action - 2
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Police en Action
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11/09/2020
Hannah Arendt
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10/09/2020
Seule Loi...
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09/09/2020
Pas d'exception...
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Questionnement du temps...
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08/09/2020
Féminisme 2020...
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Rentrée scolaire 2021
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"Désolé"...
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07/09/2020
Offense...
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06/09/2020
Vous n'aurez pas ma haine...
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05/09/2020
Just do it... qu'ils disent...
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04/09/2020
Une méconnaissance totale des droits de l’individu
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Avec quiétude, il faisait reposer toute sa conduite comme son enseignement sur le principe kantien qu’il formulait ainsi : "Je dois toujours agir de telle sorte que je puisse vouloir que mon action serve de règle universelle." — Dans les cas particuliers que nous citons, il avait jugé qu’il n’appartient pas à un brouillon qui se pique de générosité de maintenir quelque chose de pourri dans une collectivité.
Il y a dans cette règle morale un élément de stoïcisme, et aussi un élément de grand orgueil, — car elle équivaut à dire que l’on peut connaître la règle applicable à tous les hommes, — et puis encore un germe d’intolérance fanatique, — car concevoir une règle commune à tous les hommes, c’est être fort tenté de les y asservir pour leur bien ;
— enfin il y a une méconnaissance totale des droits de l’individu, de tout ce que la vie comporte de varié, de peu analogue, de spontané dans mille directions diverses. »
Maurice Barrès, Les déracinés
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La théorie réglée en haut lieu
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« M. Bouteiller sait qu’un individu n’a pas de droits contre la société et il connaît ce qui convient le mieux à la société. En conséquence, il lui appartient de la servir en l’administrant, comme à ce troupeau d’enfants de la servir en se pliant à une sage administration. Il ressemble en plusieurs points essentiels — bien qu’il s’en distingue par ailleurs, fortement — à M. Burdeau. M. Burdeau a écrit : "Nous n’avons le droit de distraire du service de l’État aucune fraction de notre fortune, aucun effort de notre bras, aucune pensée de notre intelligence, aucune goutte de notre sang, aucun battement de notre cœur." Désireux d’utiliser son passage à Nancy pour connaître les circonscriptions de Meurthe-et-Moselle, leur esprit et leurs ressources, le jeune professeur a rassemblé sur cette population un ensemble de renseignements plus nombreux que n’en prend sur la race chevaline un officier chargé de la remonte. Mais l’éducateur ne respectera pas des particularités que l’homme politique prétend effacer.
Au résumé, il serait absurde de supposer qu’un Bouteiller, qui a pris sur Kant son point d’appui et qui désormais, ne le vérifie pas plus que ne fait un croyant pour la vérité révélée, qui est le délégué parfait d’une espèce psychologique et d’un parti social, peut s’attarder à peser les conséquences de son enseignement et les risques d’égarer les caractères d’une douzaine de jeunes gens. Il tient son rôle strictement, comme une consigne reçue de l’État. C’est le sergent instructeur qui communique à des recrues la théorie réglée en haut lieu. »
Maurice Barrès, Les déracinés
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Dans une cage...
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03/09/2020
Rien n’est absolu
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Rien n’est absolu
Corollaire du précédent. La plupart des hommes de ma génération ont entendu cela toute leur enfance. Chaque fois qu’ivres de dégoût nous cherchâmes un tremplin pour nous évader en bondissant et en vomissant, le Bourgeois nous apparut, armé de ce foudre.
Nécessairement, alors, il nous fallait réintégrer le profitable Relatif et la sage Ordure.
Presque tous, il est vrai, s’y acclimatèrent, par bonheur, devenant, à leur tour, des Olympiens.
Savent-ils, pourtant, ces buveurs d’un sale nectar, qu’il n’y a rien de si audacieux que de contremander l’Irrévocable, et que cela implique l’obligation d’être soi même quelque chose comme le Créateur d’une nouvelle terre et de nouveaux cieux ?
Évidemment, si on donne sa parole d’honneur que "rien n’est absolu", l’arithmétique, du même coup, devient exorable et l’incertitude plane sur les axiomes les plus incontestés de la géométrie rectiligne. Aussitôt, c’est une question de savoir s’il est meilleur d’égorger ou de ne pas égorger son père, de posséder vingt-cinq centimes ou soixante-quatorze millions, de recevoir des coups de pied dans le derrière ou de fonder une dynastie.
Enfin, toutes les identités succombent. Il n’est pas "absolu" que cet horloger qui est né en 1869, pour l’orgueil de sa famille, n’ait aujourd’hui que quarante-trois ans et qu’il ne soit pas le grand-père de ce doyen de nos emballeurs qui fut enfanté pendant les Cent Jours, — de même qu’il serait téméraire de soutenir qu’une punaise est exclusivement une punaise et ne doit pas prétendre aux panonceaux.
En de telles circonstances, on en conviendra, le devoir de créer le monde s’impose. »
Léon Bloy, Exégèse des lieux communs
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Chouette ! C'est la rentrée...
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Peu de visages...
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Dieu n’en demande pas tant !
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Dieu n’en demande pas tant !
Quelle épigraphe pour un commentaire du Code civil ! Plaisanterie trop facile et qu’il faut laisser charitablement à MM. les journalistes ou clercs d’huissiers. Le cas est grave.
N’est-ce pas une occasion de stupeur de songer que cette chose est dite, plusieurs millions de fois par jour, à la face conspuée d’un Dieu qui "demande" surtout à être mangé ! Le marchandage perpétuel impliqué par ce Lieu Commun a ceci de troublant qu’il rend manifeste le manque d’appétit d’un monde affligé cependant par les famines et réduit à se nourrir de son ordure.
Il serait puéril de faire observer qu’en cette formule, bien plus mystérieuse qu’on ne croirait, tout porte sur le mot tant, dont l’abstraite valeur est toujours à la merci d’un étalon facultatif qui n’est jamais divulgué. Cela dépend naturellement de l’étage des âmes.
Mais, comme la pente de toute négation est vers le néant, il n’est pas téméraire de conclure que l’imprécise demande de Dieu équivaut à rien, et que ce Dieu n’ayant plus rien à demander, en fin de compte, à des adorateurs qui peuvent indéfiniment rétrécir leur zèle, il n’a que faire désormais de son Être ou de sa Substance et doit nécessairement s’évanouir. Il importe, en effet, aussi peu que possible, qu’on ait telle ou telle notion de Dieu. Lui-même n’en demande pas tant, et voilà le point essentiel.
Quand j’exhorte ma blanchisseuse, Mme Alaric, à ne pas prostituer sa dernière fille comme elle a prostitué les quatre aînées ou que, timidement, je propose à mon propriétaire, M. Dubaiser, l’exemple de quelques Saints qui ne crurent pas indispensable à l’équilibre social de condamner à mort les petits enfants, et que ces dignes personnes me répondent : — Nous sommes aussi religieux que vous, mais Dieu n’en demande pas tant…, je dois reconnaître qu’elles sont fort aimables de ne pas ajouter : au contraire ! bien que ce soit évidemment, nécessairement, le fond de leur pensée.
Elles ont raison, sans doute, car la logique des Lieux Communs ne pardonne pas. Si Dieu n’en demande pas tant, il est forcé, par une conséquence invincible, d’en demander de moins en moins, je le répète, et finalement de tout refuser. Que dis-je ? En supposant qu’il lui reste alors un peu d’existence, il se trouvera bientôt dans la plus pressante nécessité de vouloir enfin qu’on vive comme des cochons et de lancer le reliquat de son tonnerre sur les purs et sur les martyrs.
Les bourgeois, d’ailleurs, sont trop adorables pour n’être pas devenus eux-mêmes des Dieux. C’est à eux qu’il convient de demander, à eux seuls. Tous les impératifs leur appartiennent et on peut être certain que le jour où ils demanderont trop sera précisément le jour même où ils commenceront à s’apercevoir qu’ils ne demandent pas tout à fait assez…
— Moi, je demande vos peaux, sales canailles ! leur dira Quelqu’un. »
Léon Bloy, Exégèse des lieux communs
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