Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/10/2020

Fantaisie...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

01/10/2020

John Mayall & The Bluesbreakers (avec Gary Moore) - So Many Roads

=--=Publié dans la Catégorie "Blues"=--=

 

17:56 Publié dans Blues | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Il ne parle pas, si ce n’est pour dire toujours oui au monde qu’il a créé...

=--=Publié dans la Catégorie "Friedrich Nietzsche"=--=

 

« Mais soudain l’oreille de Zarathoustra s’effraya, car la caverne, qui avait été jusqu’à présent pleine de bruit et de rire, devint soudain d’un silence de mort ; le nez de Zarathoustra cependant sentit une odeur agréable de fumée et d’encens, comme si l’on brûlait des pommes de pin.

"Qu’arrive-t-il ? Que font-ils ?" se demanda Zarathoustra, en s’approchant de l’entrée pour regarder ses convives sans être vu. Mais, merveille des merveilles ! que vit-il alors de ses propres yeux !

"Ils sont tous redevenus pieux, ils prient, ils sont fous !" — dit-il en s’étonnant au delà de toute mesure. Et, en vérité, tous ces hommes supérieurs, les deux rois, le pape hors de service, le sinistre enchanteur, le mendiant volontaire, le voyageur et l’ombre, le vieux devin, le consciencieux de l’esprit et le plus laid des hommes : ils étaient tous prosternés sur leurs genoux, comme les enfants et les vieilles femmes fidèles, ils étaient prosternés en adorant l’âne. Et déjà le plus laid des hommes commençait à gargouiller et à souffler, comme si quelque chose d’inexprimable voulait sortir de lui ; cependant lorsqu’il finit enfin par parler réellement, voici, ce qu’il psalmodiait était une singulière litanie pieuse, en l’honneur de l’âne adoré et encensé. Et voici quelle fut cette litanie :

Amen ! Honneur et gloire et sagesse et reconnaissance et louanges et forces soient à notre Dieu, d’éternité en éternité !

— Et l’âne de braire I-A.

Il porte nos fardeaux, il s’est fait serviteur, il est patient de cœur et ne dit jamais non ; et celui qui aime son Dieu le châtie bien.

— Et l’âne de braire I-A.

Il ne parle pas, si ce n’est pour dire toujours oui au monde qu’il a créé ; ainsi il chante la louange de son monde. C’est sa ruse qui le pousse à ne point parler : ainsi il a rarement tort.

— Et l’âne de braire I-A.

Insignifiant il passe dans le monde. La couleur de son corps, dont il enveloppe sa vertu, est grise. S’il a de l’esprit, il le cache ; mais chacun croit à ses longues oreilles.

— Et l’âne de braire I-A.

Quelle sagesse cachée est cela qu’il ait de longues oreilles et qu’il dise toujours oui, et jamais non ! N’a-t-il pas créé le monde à son image, c’est-à-dire aussi bête que possible ?

— Et l’âne de braire I-A.

Tu suis des chemins droits et des chemins détournés ; ce que les hommes appellent droit ou détourné t’importe peu. Ton royaume est par delà le bien et le mal. C’est ton innocence de ne point savoir ce que c’est que l’innocence.

— Et l’âne de braire I-A.

Vois donc comme tu ne repousses personne loin de toi, ni les mendiants, ni les rois. Tu laisses venir à toi les petits enfants et si les pécheurs veulent te séduire tu leur dis simplement I-A.

— Et l’âne de braire : I-A.

Tu aimes les ânesses et les figues fraîches, tu n’es point difficile pour ta nourriture. Un chardon te chatouille le cœur lorsque tu as faim. C’est là qu’est ta sagesse de Dieu.

— Et l’âne de braire I-A. »

Friedrich Nietzsche, Le Réveil, in Ainsi Parlait Zarathoustra

 

« Car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c'est en lui qu'est le oui, c'est pourquoi encore l'Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu. »

Sainte Bible, 2 Corinthiens 1 : 20

 

 

Voir ou revoir, aussi, "OUI"

16:00 Publié dans Friedrich Nietzsche | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Le Covidisme...

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

09:21 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Sous l'uniforme en drap du lycée

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

 

« Le reste de l’année fut absorbé par la niaise préparation des examens, où ces jeunes gens réussirent. Bacheliers, ils quittèrent définitivement le lycée pour rentrer dans leurs familles. C’était la liberté, mais non un bonheur de leur goût.

Autour d’eux pourtant, il y avait l’été, puis l’automne, si beau dans ces pays de l’Est ! Mais, Gallant de Saint-Phlin excepté, ils ne sentaient pas la nature, ne savaient pas l’utiliser. En leur fermant l’horizon pendant une dizaine d’années, on les avait contraints de ne rien voir qu’en eux.

Si cette éducation leur a supprimé la conscience nationale, c’est-à-dire le sentiment qu’il y a un passé de leur canton natal et le goût de se rattacher à ce passé le plus proche, elle a développé en eux l’énergie. Elle l’a poussée toute en cérébralité et sans leur donner le sens des réalités, mais enfin elle l’a multipliée. De toute cette énergie multipliée, ces provinciaux crient : "À Paris !"

Paris !… Le rendez-vous des hommes, le rond-point de l’humanité ! C’est la patrie de leurs âmes, le lieu marqué pour qu’ils accomplissent leur destinée.

N’empêche qu’ils sont des petits garçons de leur village ; et ce caractère, dissimulé longtemps sous l’uniforme en drap du lycée, et aujourd’hui sous l’uniforme d’âme que leur a fait Bouteiller, pourra bien réapparaître à mesure que la vie usera ce vêtement superficiel.

Rœmerspacher, Sturel, Suret-Lefort, Saint-Phlin, Racadot, Mouchefrin et Renaudin, marqués par un philosophe kantien et gambettiste, sont des éléments significatifs de la France contemporaine, mais plus secrètement, ils valent aussi, au regard de l’historien, comme les produits de milieux historiques, géographiques et domestiques. Ils ont trouvé dans leurs foyers une idée maîtresse, qu’ils prisent moins haut que les idées reçues de l’État au lycée, mais qui tout de même est chevillée encore plus fortement dans leur âme. »

Maurice Barrès, Les déracinés

 

07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Caméras vieux modèles...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La sortie...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

01:51 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

30/09/2020

Eteignez votre télévision et allumez votre cerveau...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

22:49 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (4) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Il voulait asservir ces volontés, ces intelligences à l’État

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

 

« Que rêvent-ils, ces Lorrains-ci, jeunes gens de toute classe, grossiers et délicats mêlés ? M. Bouteiller est venu, l’ami de Gambetta, démocrate délégué par ceux qui se proposent d’organiser la démocratie, de fortifier et de créer le lien social. Il leur a prêché l’amour de l’humanité ; puis de la collectivité nationale. "L’individu, disait-il, vaut dans la mesure où il se sacrifie à la communauté…" Tel était son accent que leurs yeux se remplissaient de larmes ; mais c’est de voir un tel héros qu’ils s’émouvaient. Conséquence imprévue, trop certaine pourtant : il voulait asservir ces volontés, ces intelligences à l’État ; son contact fut plus fort et plus déterminant que ses paroles. Bouteiller a déposé en ces jeunes recrues des impressions qui contredisent sa doctrine en même temps qu’elles obligent leur intelligence et leur volonté. "Comme il est beau ! pensaient-ils, et qu’il fait bon aimer un maître !… Si nous pouvions l’égaler !… À Paris et tout jeune ! Par son mérite il est digne de commander à la France."

Son image seule, sa domination de César les a groupés et spontanément les forme à sa ressemblance, ces jeunes Césarions. Déliés du sol, de toute société, de leurs familles, d’où sentiraient-ils la convenance d’agir pour l’intérêt général ? ils ne valent que pour être des grands hommes, comme le maître dont l’admiration est leur seul sentiment social.

Après que, sous le titre de devoirs, on leur a révélé les ambitions, aucun de ces jeunes gens ne veut plus demeurer sur sa terre natale, et c’est presque avec un égal dédain qu’ils accueillent ses invitations à choisir un milieu corporatif. Quoi d’assez beau, d’assez neuf pour leur imagination ? Leur métier ne sera qu’un gagne-pain subi maussadement. Ils veulent être des individus.

… Rien de plus fort que le vent du matin qui s’engouffre au manteau du nomade, quand, sa tente pliée, il fuit dans le désert. Quitter les lieux où l’on a vécu, aimé, souffert ! Recommencer une vie nouvelle ! Parfois, c’est délivrance… Mais ceux-ci, au seuil de la vie, déjà leur amour est pour tous les inconnus : pour le pays qu’ils ignorent, pour la société qui leur est fermée, pour le métier étranger aux leurs. Ces trop jeunes destructeurs de soi-même aspirent à se délivrer de leur vraie nature, à se déraciner. »

Maurice Barrès, Les déracinés

 

16:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Professeur Raoult : Où en est-on à Marseille ?

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

14:57 Publié dans Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Laurent Obertone : "c'est aux citoyens de se réapproprier leur destin contre l'Etat"

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

&

 

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

14:03 Publié dans Lectures, Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Téléchargé...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Du verbalisme administratif

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

 

« Alors cet homme admirable descendit de sa chaire, et, se promenant le long des bancs, commença de dire une façon de bonne aventure à chacun de ces enfants, tremblants de gêne et d’orgueil. C’était exactement le sorcier de jadis, mais d’aspect moderne. Il disposait des mêmes forces, — autorité dans le regard, intonation prophétique, et psychologie pénétrante. — L’âme un peu basse de cet homme, qui leur faisait l’illusion d’un philosophe et qui n’était qu’un administrateur, se trahissait en ceci qu’il les avertissait sur leur emploi et non sur leur être. Il voyait partout des instruments à utiliser, jamais des individus à développer.

(...)

Ses phrases, durant une demi-année, avaient conseillé la soumission aux besoins de la patrie, le culte de la loi, mais son image triomphante dominait ces enfants, les faisait à sa ressemblance et obligeait leur volonté.

(...)

Agitant son chapeau et serrant sa serviette sous le bras, toute la classe debout, il fit à ces enfants une chaude allocution sur sa confiance qu’ils se conduiraient toujours en serviteurs de l’État et en braves Français.

Ah ! oui ! c’étaient bien des Français, ces adolescents excitables ! Il suffit de les voir, avec leurs doigts tachés d’encre, leurs humbles vêtements de travail, leurs mentons à poils mal soignés, tout émus, électrisés par l’éloquence aimée et par la grande autorité du jeune maître :

— Vive la France ! Vive la République ! crient-ils d’une voix unanime.

La France ! la République ! Ah ! comme ils crient !… Il ne sert de rien qu’on prêche l’État, la France, la République. C’est du verbalisme administratif. Mais précisément, un bon administrateur cherche à attacher l’animal au rocher qui lui convient ; il lui propose d’abord une raison suffisante de demeurer dans sa tradition et dans son milieu ; il le met ensuite, s’il y a lieu, dans une telle situation qu’il ait plaisir à s’agréger dans un groupe et que son intérêt propre se soumette à la collectivité. On élève les jeunes Français comme s’ils devaient un jour se passer de la patrie. On craint qu’elle leur soit indispensable. Tout jeunes, on brise leurs attaches locales ; M. Bouteiller n’a pas su dire à ses élèves : "Prenez votre rang dans les séries nationales. Quelques-uns d’entre vous pour être plus sûrs de leur direction, ne veulent-ils pas mettre leurs pas dans les pas de leurs morts ?… Vous, Suret-Lefort et Gallant de Saint-Phlin, faites attention que le Barrois décline ; Bar a cessé d’être une capitale, mais il vous appartient d’en faire une cité où vous jouerez un noble rôle… Avez-vous remarqué, Mouchefrin, comment l’initiative d’un seul homme, M. Lorin, a transformé en magnifique bassin minier la région de Longwy ?… Rœmerspacher, on dit que les Salines de la Seille sont en décadence."

Le Barrois, le pays de la Seille, la région de Longwy, les Vosges, donnent à la Lorraine des caractères particuliers qu’il ne faut pas craindre d’exagérer, loin que cette province se doive effacer. Mais l’université méprise ou ignore les réalités les plus aisément tangibles de la vie française. Ses élèves grandis dans une clôture monacale et dans une vision décharnée des faits officiels et de quelques grands hommes à l’usage du baccalauréat, ne comprennent guère que la race de leur pays existe, que la terre de leur pays est une réalité et que, plus existant, plus réel encore que la terre ou la race, l’esprit de chaque petite patrie est pour ses fils instrument de libération.

Avec un grand tort, Bouteiller a hésité à se passionner de préférence pour les formes de la pensée française. On saurait bien découvrir chez nous quelques éléments des bonnes choses qu’on loue dans le caractère des autres peuples et qui chez eux sont mêlés de poison pour notre tempérament. On met le désordre dans notre pays par des importations de vérités exotiques, quand il n’y a pour nous de vérités utiles que tirées de notre fonds. On va jusqu’à inciter des jeunes gens, par des voies détournées, à sourire de la frivolité française. Non point qu’on leur dise : "Souriez", mais on les accoutume à ne considérer le type français que dans ses expressions médiocres, dont ils se détournent.

Enfin Bouteiller, quand il passait en revue et classifiait les systèmes, ne se plaçait pas au point de vue français, mais chaque fois au milieu du système qu’il commentait. Aussi fit-il de ses élèves des citoyens de l’humanité, des affranchis, des initiés de la raison pure. C’est un état dont quelques hommes par siècle sont dignes. Gœthe fut cela, mais auparavant il s’était très solidement installé Allemand. Quel point d’appui dans leur race Bouteiller leur a-t-il donné ?

En vérité, l’affirmation puérile que la France est une "glorieuse vaincue" ne suffira pas à maintenir un sentiment national auquel on enlève ses assises terriennes et géniales.

Cet excitateur qui prétendait pour le plus grand bien de l’État effacer les caractères individuels, quitte Nancy ayant créé des individus dont il fait seul le centre et le lien. Ces lycéens frémissants dans sa main, on peut les comparer à ces ballons captifs de couleurs éclatantes et variées, que le marchand par un fil léger retient, mais qui aspirent à s’envoler, à s’élever, à se disperser sans but. »

Maurice Barrès, Les déracinés

 

01:26 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

29/09/2020

So Offensive...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

28/09/2020

Quoi demander de plus ?

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

13:19 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Albert et Charlie...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

27/09/2020

Tout est dans la modération...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

L' Eloge de la force avec Laurent Obertone - Le Samedi Politique (TV LIbertés)

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

&

 

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

00:38 Publié dans Lectures, Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

26/09/2020

"Eloge de la Force", Laurent Obertone au micro d'André Bercoff

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

&

 

=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=

 

23:39 Publié dans Lectures, Parenthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La première fois dans toute l'Histoire de l'humanité...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (8) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

25/09/2020

Paris... Ville Lumière...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

24/09/2020

Par constantes vagues successives...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

23/09/2020

Paix... Justice... Tolérance... tout ça...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

22/09/2020

Coexister...

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

21/09/2020

Angoisse

=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=

 


Cliquez sur la photo...

05:05 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook