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07/02/2019

Répliques : Le mystère Houellebecq

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Emission du 2 Février 2019... Que signifie être houellebecquien ? Alain Finkielkraut s'entoure d'Agathe Novak-Lechevalier et Frédéric Beigbeder pour l'éclairer.

 

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Croire au Père Noël...

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06/02/2019

Répliques : Demeurer ou partir

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Emission du 24/11/2018... Alain Finkielkraut recevait François-Xavier Bellamy et Sylvain Tesson

 

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Socialist Economy...

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05/02/2019

Michèle Tribalat : « Débattre de l'immigration c'est bien, se donner les moyens d'agir c'est mieux ! »

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FIGAROVOX/ENTRETIEN - Un grand débat sur l'immigration ? Michèle Tribalat reste sceptique : elle rappelle que l'État a les mains liées, notamment par ses engagements internationaux et l'interprétation qu'en font les juges français. La démographe pointe aussi les difficultés à mesurer avec précision l'immigration.

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Michèle Tribalat a mené des recherches sur les questions de l'immigration en France, entendue au sens large, et aux problèmes liés à l'intégration et à l'assimilation des immigrés et de leurs enfants. Elle est notamment l'auteur de Statistiques ethniques, une querelle bien française (éd. L'Artilleur, 2016).

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FIGAROVOX.- L'immigration sera finalement bel et bien au menu du «grand débat» proposé par Emmanuel Macron. Cette perspective vous réjouit-elle? Qu'attendez-vous d'un débat sur ce sujet ?

Michèle TRIBALAT.- L'appellation «grand débat» me gêne. En fait, il s'agit soit d'une manière pour l'État de faire baisser la température et tenter de changer l'image d'un président jugé arrogant, méprisant et ne s'intéressant guère à ce que pensent, veulent et souhaitent les Français, soit d'une consultation des Français visant à remédier à l'éloignement du pouvoir afin de recueillir leurs propositions et, éventuellement, d'en tenir compte. Mais, le mode de consultation des Français pour le Président en cours de mandat, c'est, normalement, le référendum.

Par principe, ce n'est pas à l'État d'animer la société, de lui dire quand, comment et sur quoi elle est autorisée à débattre. Les palinodies autour de «fallait-il que l'immigration soit au programme?» en disent long sur la conception qu'a l'État du débat et sur la difficulté pour lui de s'affranchir des normes antiracistes qui gendarment la manière dont on peut s'exprimer sur le sujet. Je suis pour ma part assez perplexe sur ce qui pourra en sortir, particulièrement sur la question de l'immigration.

Le Président pose en particulier la question de l'instauration de quotas, fixés par le Parlement. Est-ce souhaitable selon vous? Pourquoi ?

Quotas ou pas, ce qui est souhaitable est que la question migratoire redevienne une question politique, contrairement à ce que veulent faire croire ceux qui la décrivent comme un phénomène naturel, sur lequel nous ne pouvons pas avoir plus de prise que sur le fait de vieillir. Cette naturalisation du phénomène présente l'immigration comme une fatalité démographique qu'il serait vain et moralement condamnable de vouloir maîtriser, contre laquelle, au fond, on ne peut rien. Elle nourrit ce contre quoi elle a l'air de batailler constamment: la théorie du grand remplacement. Elle délégitime profondément le sentiment de perte ressenti à la perspective de changements démographiques présentés comme à la fois irréversibles et bénéfiques.

Nous sommes dans la situation où les politiques, même ceux qui le voudraient, sont incapables de répondre à la demande des citoyens qui veulent que l'immigration ralentisse. Il est donc périlleux de poser une question sur la maîtrise des flux sur lesquels le pouvoir exécutif n'a pratiquement aucun levier pour agir. Que fera Emmanuel Macron si l'idée de fixer un objectif annuel d'entrées recueille un assentiment massif ?

Ce qu'on attend des politiques c'est qu'ils nous expliquent comment et pourquoi ils se sont laissés dépouiller de leurs prérogatives. S'ils s'en contentent, qu'ils se justifient autrement que par des mensonges de circonstance. Ou qu'ils nous expliquent s'ils sont en mesure de recouvrer des marges de manœuvre et comment ils pourraient s'y prendre.

Nicolas Sarkozy l'avait déjà proposé en 2009, mais l'idée avait été jugée inutile et/ou inefficace… est-ce aussi votre avis ?

En 2008, la commission Mazeaud, à laquelle Brice Hortefeux, avait confié, notamment, la mission de réfléchir à la possibilité d'introduire des quotas, avait jugé ceux-ci impossibles à mettre en œuvre et sans intérêt. Mon avis est que, politiquement, il serait normal de répondre à la demande des électeurs de ralentir les flux, mais que l'exécutif, en l'état, n'en a tout simplement pas les moyens, le pouvoir législatif étant considérablement réduit par l'action des juges. La France est liée par ses engagements européens et ligotée par la place démesurée qu'ont pris les juges dans l'interprétation de ces engagements ou du droit interne.

La question se pose aussi de la compatibilité avec nos principes constitutionnels et nos engagements internationaux…

Je ne suis pas juriste, mais il ne me semble pas que les Cours nationales (Conseil constitutionnel, Conseil d'État et Cour de Cassation) soient tellement en retard aujourd'hui sur les Cours internationales auxquelles nos décisions politiques sont soumises, qu'il s'agisse de la Cour de justice européenne chargée d'interpréter la législation européenne et d'en garantir l'application uniforme dans toute l'UE ou de la Cour européenne des droits de l'homme. Michel Bouleau, magistrat administratif, a publié un article dans le recueil Dalloz dont le titre dit à peu près tout: «La loi n° 2016-274 du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en France ou les illusions du législateur».

Dans sa formulation, Emmanuel Macron laisse entendre que l'octroi d'un droit d'asile est une «obligation»: les citoyens n'ont donc aucun pouvoir de contrôle sur le droit d'asile ? Auriez-vous souhaité que la question du regroupement familial soit également posée ?

Mais les citoyens n'ont aucun pouvoir de contrôle sur la quasi-totalité des flux migratoires, pas seulement l'asile. L'asile a été complètement dévoyé, à la fois par son extension et par le fait qu'il est devenu la filière par excellence d'entrée illégale en Europe. Les déboutés du droit d'asile n'étant que rarement renvoyés dans leur pays, mettre un pied en Europe donne à peu près la garantie de pouvoir y rester. En vertu de l'article 19 de la charte des droits fondamentaux de l'UE, nul ne peut être expulsé ou extradé vers un État où il existe un risque sérieux qu'il soit soumis à la peine de mort, à la torture ou à d'autres peines ou traitements dégradants. L'immigration illégale a noyé notre système juridique, dont il serait présomptueux de dire qu'il reflète une politique migratoire. La «baisse de température» qui a suivi l'accord négocié par Merkel est-il durable ? Quelles couleuvres devrons-nous avaler pour que l'autocrate Erdogan retienne les passeurs ? Que valent les accords avec les Libyens ? Quid du ‘front' espagnol ?

Quant aux flux familiaux, qui ne se limitent pas à la procédure de regroupement familial, ils découlent de droits accordés et garantis par le droit français et le droit européen, tels qu'interprétés par les juges français et européens. Il n'est pas nécessaire d'en dire plus !

Débattre de l'immigration suppose aussi d'avoir une connaissance précise du problème: vous dites régulièrement que les flux migratoires sont difficilement prévisibles ? Souhaitez-vous également davantage d'outils pour mesurer l'importance et l'impact de l'immigration en France ?

Difficilement prévisibles, ils le sont certainement. Mais ils ne sont pas facilement mesurables non plus.

Les estimations du nombre de premiers titres de séjour délivrés en 2018 qui viennent d'être mises en ligne par le ministère de l'Intérieur ne disent pas tout. Par exemple, les demandeurs d'asile qui ont obtenu le statut de réfugié ou une protection subsidiaire entrent bien dans les statistiques diffusées, à l'occasion de l'attribution d'un titre de séjour. Mais les demandeurs d'asile déboutés n'y figurent pas. Ils y entreront au fil des ans lorsqu'ils obtiendront un titre de séjour, s'ils en obtiennent un. Les mineurs n'apparaissent pas non plus, sauf lorsqu'ils ont l'âge d'être en possession d'un titre de séjour et ne sont pas devenus Français avant leur majorité. Sans parler des mineurs non accompagnés confiés à l'aide sociale, lorsque leur minorité est confirmée. L'IGAS a dénombré, en 2017, 54 000 évaluations de minorité (dont certaines sont doublonnées) et le nombre de mineurs pris en charge par les services d'aide sociale à l'enfance à la fin 2017 était de 21 000. Les statistiques de délivrance de titres de séjour du ministère de l'Intérieur donnent donc une idée de l'évolution des flux (doublement depuis le milieu des années 1990), mais se trouvent de plus en plus déphasées par rapport à la réalité en raison de l'immigration illégale.

On a cru pouvoir compter sur les estimations faites par l'Insee à partir des enquêtes annuelles de recensement. Mais la réintroduction d'un ajustement pour tenir compte des effets des modifications du questionnaire en 2018, dont on a pris connaissance dans le bilan démographique publié il y a quelques jours, me plonge dans un abîme de perplexité. Le solde migratoire qu'il publie ne correspond pas à la définition qu'en donne l'Insee dans sa publication (entrées moins sorties du territoire). Il n'est que le résidu de l'équation démographique de l'année, une fois décompté le solde naturel. Ce résidu encaisse toutes les variations de la qualité de la collecte. Il aurait été négatif sans l'ajustement introduit par l'Insee.

Une alternative consiste à juger de l'intensité de l'immigration étrangère à partir de l'évolution du nombre d'immigrés recensés. C'est ce que je privilégie. Les données montrent que la France connaît, depuis la fin du siècle, une vague migratoire d'ampleur comparable à celle des Trente Glorieuses.

On aimerait faire aussi bien que les pays du nord de l'Europe qui disposent de registres de population, mais nous en sommes loin. Les imperfections du système statistique français et la faible transparence de l'Insee sur ses pratiques participent à la méfiance qu'ont les Français de la statistique dite «officielle».

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SOURCE : Le Figaro

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Discrimination...

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04/02/2019

Dites-moi, Père François Brune...

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Le père François Brune, né le 18 août 1931 à Vernon dans l'Eure et mort le 16 janvier 2019, est un ancien prêtre catholique français devenu orthodoxe à la fin de sa vie.

Il est l'auteur de nombreux ouvrages concernant la théologie, la spiritualité, la vie après la mort et le paranormal...

Cet entretien date, ici de l'année 2000...

 

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Ô Vegans...

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03/02/2019

Un livre appartenant à Adolf Hitler fait allusion aux projets des nazis pour les Etats-Unis et le Canada

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Un livre de 1944 ayant appartenu à Adolf Hitler permet d'obtenir une nouvelle perspective sur la Seconde guerre mondiale. L'organisme Bibliothèque et Archives Canada a annoncé cette semaine avoir acquis un livre rare issu de la collection personnelle d'Hitler.

Cet ouvrage de 137 pages et rédigé en Allemand fait froid dans le dos. Ce rapport a été écrit par un chercheur nazi, Heinz Kloss, qui avait séjourné aux Etats-Unis avant le début du conflit. Ce chercheur nazi a vécu aux Etats-Unis entre 1936 et 1937. Ses recherches sur les Juifs américains et canadiens ont probablement été aidées par des sympathisants nazis vivant en Amérique du Nord.

Ce livre Statistik, Presse und Organisationen des Judentums in den Vereinigten Staaten und Kanada (Statistiques, médias et organisations juives aux Etats-Unis et au Canada) contient des informations sur la population juive des grandes villes comme New York ou Montréal, ainsi que des petites communautés juives à travers l'Amérique du Nord.

Les données contenues dans ce livre pouvaient faire craindre le pire à la communauté juive en Amérique du Nord. Ce livre faisait partie d'une série confidentielle et était réservé à l'usage officiel.

Dans le cadre d'un entretien avec CBC, Michael Kent, le conservateur de l'institution Bibliothèque et Archives Canada a abordé le dilemme moral de l'achat d'un livre qui appartenait autrefois à Hitler. Il a indiqué que cette acquisition permettait de "préserver la mémoire de l'Holocauste" et était un outil contre le négationnisme.

Le livre a été acquis par la Bibliothèque et les Archives du Canada. Il appartenait autrefois à un survivant de l'Holocauste. Selon les autorités canadiennes, le livre a pu être importé aux Etats-Unis comme souvenir de guerre par un soldat qui aurait fait un raid sur la retraite alpine d'Hitler, à l'extérieur de Berchtesgaden en 1945.

Les autorités candiennes ont précisé que l'ouvrage était authentique. Sur le revers de la couverture figure un aigle, une croix gammée et les mots "Ex Libris Adolf Hitler". Cela démontre bien que le livre provient de la bibliothèque personnelle d'Adolf Hitler. Une dizaine de ce livre existent dans le monde. Celui qui a été acheté par le Canada est unique. Cet exemplaire en question a appartenu à Adolf Hitler, qui disposait d'une bibliothèque de 6.000 à 16.000 livres.

Selon l'historien de l'Université d'Ottawa Pierre Anctil, l'ouvrage démontre que le IIIe Reich était "soucieux d'agir en Amérique du Nord" même si le régime nazi n'avait pas les moyens d'envoyer des troupes.

La bibliothèque fédérale soutient que le livre "laisse imaginer ce qui aurait pu advenir au Canada si les Alliés avaient perdu la Seconde guerre mondiale".

"Sa lecture nous laisse imaginer ce qui aurait pu advenir au Canada si les Alliés avaient perdu la Deuxième Guerre mondiale. Il montre que l'Holocauste n'était pas un phénomène exclusivement européen, mais plutôt une opération interrompue avant qu'elle n'atteigne l'Amérique du Nord".

Les nazis ont tué près de 6 millions de Juifs pendant l'Holocauste dans le cadre de la solution finale.

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SOURCE : ATLANTICO

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BILAL est le ROI (des c***)

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Pourquoi travailler ?

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02/02/2019

Communisme...

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01/02/2019

Before all the pussies took over...

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31/01/2019

Je crois aux nuits...

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« Obscurité d’où je naquis,
je t’aime plus que cette flamme
qui limite le monde
en éclairant
quelque orbe
hors duquel nul ne la connaît.

Mais l’obscurité retient tout :
les formes et les flammes, les bêtes et moi-même,
tels qu’elle s’en saisit,
les êtres, les puissances…

Et il se peut que quelque grande force
Se meuve à mes côtés.

Je crois aux nuits.

***

Ma vie n’est pas cette heure abrupte
vers quoi tu me vois me hâter.
Je suis arbre devant mon décor,
ne suis que l’une de mes bouches,
celle qui se clôt la première.

Je suis la pause entre deux notes
qui s’harmonisent mal :
la note de la mort veut monter à l’aigu.

Mais dans la nuit de l’intervalle
toutes deux frémissantes
s’accordent.
Et le chant reste beau. »

Rainer Maria Rilke, Œuvres 2 Poésie

 

 

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Droit Fondamental...

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La FraÔnce en mââârche !

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Censure au pays de Montaigne et Voltaire...

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CRS = Tendresse

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Venice : Le Voyage vénitien d'Orphée

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Orphée accomplit mon destin
Par la magie des lions de St Marc

Aucun enfer ne me retient
Je guéris la peste et m’embarque

Les animaux savants en vain me supplient
Dans ce voyage au fond du vide
Quand s’ouvrent les portes je marche avec lui
Souverain nu en exil

J’allais mendier en tueur déguisé
J’allais de diable en diable m’aiguiser
Pour une seconde d’elle maquillant ses lèvres

Etrange histoire
Une fiancée condamnée au soir
Je servais par amour
Initié dans l’arrière-cour

J’ai calmé le feu de la « vecchia »
Renoncé aux chansons-miracles
Orphée a senti le danger
La peste blanche dernier des dangers

Je pillais nos cales en marin grisé
J’allais de vagues en lames nous briser
Pour une seconde d’elle maquillant ses lèvres

Etrange décor
Un voyant prisonnier du sort
Vénitien par amour
Eternel soit son retour
Eternel soit son retour …

Je reviendrai jouer les cloches
A Santa Maria della Salute
Je finirai sous les porches
A deux pas du Mont-de-Piété

C’est arrivé je suis au sommet
Sans un effort mon dé en poche
C’est dans le vol de l’aigle muet
Je l’ai suivi ma fin est proche
Va bene …

 

Paroles : Eric James Guillemain

Musique : Philippe Calabria, Eric James Guillemain

Eric James Guillemain : Chant
Mourad Baali : Basses
Franck Schaack : Batterie
Nebojša "NEBO" Ćirić : Guitares

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History...

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30/01/2019

Ces bons à rien sont la cause de tous les Hitler et les Mussolini

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« 16 février 1939

Mon adorable Nick, mon enfant,

Je t’écris depuis mon lit d’Hôpital américain. […]

En plus de cette maudite maladie, je n’ai vraiment pas eu de chance depuis que je suis ici. D’abord, l’exposition est un sacré bazar. Quand je suis arrivée, les tableaux étaient encore à la douane, parce que ce fils de pute de Breton n’avait pas pris la peine de les en sortir. Il n’a jamais reçu les photos que tu lui as envoyées il y a des lustres, ou du moins c’est ce qu’il prétend ; la galerie à lui. Bref, j’ai dû attendre des jours et des jours comme une idiote, jusqu’à ce que je fasse la connaissance de Marcel Duchamp (un peintre merveilleux), le seul qui ait les pieds sur terre parmi ce tas de fils de pute lunatiques et tarés que sont les surréalistes. Lui, il a tout de suite récupéré mes tableaux et essayé de trouver une galerie. Finalement, une galerie qui s’appelle "Pierre Colle" a accepté cette maudite exposition. Et voilà que maintenant Breton veut exposer, à côté de mes tableaux, quatorze portraits du XIXe siècle (mexicains), ainsi que trente-deux photos d’Alvarez Bravo et plein d’objets populaires qu’il a achetés sur les marchés du Mexique, un bric-à-brac de vieilleries, qu’est-ce que tu dis de ça ? La galerie est censée être prête pour le 15 mars. Sauf qu’il faut restaurer les quatorze huiles du XIXe et cette maudite restauration va prendre tout un mois. J’ai dû prêter à Breton 200 biffetons (dollars) pour la restauration, parce qu’il n’a pas un sou. (J’ai envoyé un télégramme à Diego pour lui décrire la situation et je lui ai annoncé que j’avais prêté cette somme à Breton. Ça l’a mis en rage, mais ce qui est fait est fait et je ne peux pas revenir en arrière.) J’ai encore de quoi rester ici jusqu’à début mars, donc je ne m’inquiète pas trop.

Bon il y a quelques jours, une fois que tout était plus ou moins réglé, comme je te l’ai expliqué, j’ai appris par Breton que l’associé de Pierre Colle, un vieux bâtard et fils de pute, avait vu mes tableaux et considéré qu’il ne pourrait en exposer que deux parce que les autres sont trop "choquants" pour le public !! J’aurais voulu tuer ce gars et le bouffer ensuite, mais je suis tellement malade et fatiguée de toute cette affaire que j’ai décidé de toute envoyer au diable et de me tirer de ce foutu Paris avant de perdre la boule. Tu n’as pas idée du genre de salauds que sont ces gens. Ils me donnent envie de vomir. Je ne peux plus supporter ces maudits "intellectuels" de mes deux. C’est vraiment au-dessus de mes forces. Je préférerais m’asseoir par terre pour vendre des tortillas au marché de Toluca plutôt que de devoir m’associer à ces putains d’ "artistes" parisiens. Ils passent des heures à réchauffer leurs précieuses fesses aux tables des "cafés", parlent sans discontinuité de la "culture", de l’ "art", de la "révolution" et ainsi de suite, en se prenant pour les dieux du monde, en rêvant de choses plus absurdes les unes que les autres et en infectant l’atmosphère avec des théories et encore des théories qui ne deviennent jamais réalité.

Le lendemain matin, ils n’ont rien à manger à la maison vu que pas un seul d’entre eux ne travaille. Ils vivent comme des parasites, aux crochets d’un tas de vieilles peaux pleines aux as qui admirent le "génie" de ces "artistes". De la merde, rien que de la merde, voilà ce qu’ils sont. Je ne vous ai jamais vu, ni Diego ni toi, gaspiller votre temps en commérages idiots et en discussions "intellectuelles" ; voilà pourquoi vous êtes des hommes, des vrais, et pas des "artistes" à la noix. Bordel ! Ça valait le coup de venir, rien que pour voir pourquoi l’Europe est en train de pourrir sur pied et pourquoi ces gens — ces bons à rien sont la cause de tous les Hitler et les Mussolini. Je te parie que je vais haïr cet endroit et ses habitants pendant le restant de mes jours. Il y a quelque chose de tellement faux et irréel chez eux que ça me rend dingue.

Tout ce que j’espère, c’est guérir au plus vite et ficher le camp.

Mon billet est encore valable longtemps, mais j’ai quand même réservé une place sur l’Isle-de-France pour le 8 mars. J’espère pouvoir embarquer sur ce bateau. Quoi qu’il arrive, je ne resterai pas au-delà du 15 mars. Au diable l’exposition et ce pays à la noix. Je veux être avec toi. Tout me manque, chacun des mouvements de ton être, ta voix, tes yeux, ta jolie bouche, ton rire si clair et sincère, TOI. Je t’aime mon Nick. Je suis si heureuse de penser que je t’aime — de penser que tu m’attends — et que tu m’aimes.

Mon chéri, embrasse Mam de ma part. Je ne l’oublie surtout pas. Embrasse aussi Aria et Lea. Et pour toi, mon coeur plein de tendresse et de caresses, un baiser tout spécialement dans ton cou, ta

Xochitl. »

Frida Kahlo, Frida Kahlo par Frida Kahlo - Lettres 1922 - 1954

 

 

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Venice : Acqua Alta (Instrumental) (1999)

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Musique : Nebojša Ćirić, Mourad Baali, Franck Schaack, Eric James Guillemain

Mourad Baali : Basses
Franck Schaack : Batterie
Nebojša "NEBO" Ćirić : Guitares

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Concept...

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Ne jugez pas trop vite...

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29/01/2019

Que faire des étrangers délinquants ?

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Justice. Les délinquants étrangers contribuent puissamment à la surpopulation carcérale française. La justice traite le problème en empêchant leur expulsion… Car ces étrangers sont moins des délinquants que des “migrants”, sujets humanitaires ressortissant à une autre logique que le bien commun national.

 

Nous savons qu’au 1er février 2017, il y avait presque 15 000 ressortissants étrangers détenus dans les prisons françaises, c’est-à-dire un peu moins du quart des détenus. Parmi eux, quatre pays d’origine rassemblent 42% de l’ensemble des ressortissants étrangers. Il s’agit dans l’ordre de l’Algérie, du Maroc, de la Roumanie et de la Tunisie.

15 000 détenus, c’est aussi pratiquement le nombre de prisonniers actuellement en surnombre dans les établissements pénitentiaires français, comparativement au nombre de places disponibles.

Parmi ces détenus, certains sont d’une grande dangerosité, soit condamnés pour des crimes de droit commun très graves, soit condamnés pour des activités terroristes. Par ailleurs, lorsqu’il est en liberté, le délinquant de carrière commet habituellement plusieurs dizaines de délits par an, de l’ordre de 20 ou 30 en moyenne.

Par conséquent, n’importe qui ayant un tant soit peu de bon sens ne peut manquer de poser la question suivante : « mais pourquoi encombrons-nous nos tribunaux et nos prisons avec ces gens-là ? Le plus simple et le plus efficace ne serait-il pas de les expulser, avant même de les envoyer en prison, ou après qu’ils ont effectué leur peine ? » La question est pertinente, mais la réponse est un peu compliquée, et surtout très décevante. Laissez-moi vous expliquer la chose.

Il est théoriquement tout à fait possible pour la France de se débarrasser des délinquants étrangers présents sur son territoire. Tout d’abord, le juge pénal peut assortir une peine principale d’une interdiction du territoire français. C’est ce que l’on a appelé abusivement « la double peine » et qui, contrairement à une légende tenace, n’a jamais été supprimée. Cette peine complémentaire vient en général sanctionner une infraction grave ou bien une infraction à la législation sur les étrangers. Par ailleurs, l’État peut expulser un étranger lorsque la présence de celui-ci constitue une menace grave à l’ordre public. Cette décision est prise par le préfet sous le contrôle du juge administratif.

La CEDH, maniaque du dégradant

Il y a un peu plus d’un an, Gérard Collomb, l’ancien ministre de l’Intérieur, avait envoyé à ses services une circulaire leur demandant de « mettre résolument en œuvre les expulsions d’étrangers délinquants. L’éloignement des étrangers en fin d’une peine d’emprisonnement doit être une priorité, qu’ils soient en situation irrégulière ou qu’ils représentent une menace pour l’ordre public », écrivait le ministre.

Si Gérard Collomb avait pris la peine de rappeler ce qui pourrait sembler une évidence, c’est tout simplement parce que, année après année, le taux d’exécution des mesures d’éloignement reste dérisoire. Sur les six premiers mois de l’année 2018, par exemple, seulement 12,6% des décisions d’éloignement ont été exécutées. Ce taux n’a rien d’inhabituel.

Comment l’expliquer ?

Tout d’abord, pour chasser de France un étranger, vous devez trouver un pays qui veuille bien l’accueillir. En général le pays dont il a la nationalité, bien sûr. En langage administratif, cela signifie que vous devez obtenir du pays concerné un laissez-passer consulaire (LPC). Mais les demandes françaises tombent en général dans l’oreille d’un sourd. Du 1er janvier au 31 juillet de cette année, l’Intérieur a récupéré seulement 790 LPC pour près de 4000 demandes (19,75%). Un taux ordinaire. Les pays dont sont originaires les délinquants ne sont pas pressés de récupérer ces derniers. On les comprend.

Ensuite il y a les tribunaux. Au premier rang d’entre eux, la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH). L’effet général de sa jurisprudence a été de complexifier de plus en plus les procédures d’expulsion et de rendre inexpulsables des catégories de plus en plus étendues d’étrangers, même délinquants.

Au nom de l’article 3, qui prohibe les « traitements inhumains et dégradants », la CEDH va interdire l’expulsion de nombre d’étrangers au motif qu’ils risqueraient de tels traitements dans leur pays. Par exemple, la France a récemment été condamnée pour avoir expulsé vers l’Algérie un islamiste notoire, qui avait combattu les autorités algériennes durant la guerre civile et qui avait été condamné en 2006 à sept ans d’emprisonnement en France pour son implication dans le réseau terroriste dit de la « filière tchétchène ».

Les tribunaux, adeptes de la complexité incapacitante

L’article 8 de la CEDH dispose que « toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance ». Au nom de cet article, la CEDH a rendu progressivement inexpulsables de plus en plus d’étrangers, y compris bien sûr des délinquants notoires, au motif que les renvoyer dans leur pays d’origine porterait une atteinte « disproportionnée » à leur « droit à une vie familiale » ou bien à leur « vie privée ».

Peu à peu, les juridictions nationales ont emboîté le pas à la CEDH, en appliquant sa jurisprudence et en rivalisant elles-mêmes d’ingéniosité pour micro-manager les pouvoirs publics dans l’usage de leurs prérogatives régaliennes.

Ce n’est pas tant que les tribunaux interdisent l’expulsion des étrangers délinquants, c’est plutôt qu’ils ralentissent, qu’ils compliquent, qu’ils gênent de tout côté l’action du gouvernement en la soumettant à une jurisprudence fondamentalement arbitraire (et donc imprévisible) mais dont la direction est très nette : du côté des flux entrants les portes doivent être largement ouvertes, mais du côté des flux sortants les portes ne doivent être ouvertes qu’avec mille précautions.

Si nous nous élevons au niveau des principes, nous pouvons dire que la direction générale prise par nos cours de justice est de traiter l’immigration comme un droit naturel. Autrement dit, nos gouvernants en robe d’hermine paraissent considérer qu’un individu a un droit naturel à être admis dans le pays de son choix, et qu’il n’est possible de le priver de l’exercice de ce droit que pour des motifs très graves et au terme d’un procès équitable. De la même manière que, par exemple, un gouvernement respectueux des droits de l’homme ne pourra, théoriquement, porter atteinte à nos droits naturels à la vie, à la liberté et à la propriété que pour protéger ces droits chez autrui ou pour préserver l’ordre social lui-même ; et ceci seulement après nous avoir mis en état de nous défendre effectivement, au terme donc d’une procédure judiciaire complexe comprenant certains éléments invariables, tels que la présomption d’innocence, la possibilité de recourir à un avocat, l’accès aux preuves et aux témoins, etc.

Du côté des flux sortants, les portes ne doivent être ouvertes qu’avec mille précautions.

C’est ainsi que, de plus en plus, pour refuser d’accorder à un immigré qui se présente à nos frontières un titre de séjour ou pour expulser un étranger qui s’y trouve, nos pouvoirs publics sont obligés de passer par des procédures qui s’apparentent à un procès fait à l’étranger : procédures très lourdes et qui laissent aux avocats dudit étranger quantité d’occasions de gripper la machine et d’obliger l’administration à lui accorder finalement le titre de séjour convoité.

Face à ce constat, que pouvons-nous faire ? Nous avons deux grandes possibilités.

Nous pouvons soit rester dans le cadre conceptuel existant tout en essayant d’augmenter l’efficacité des procédures permises par ce cadre. C’est à peu près ce qu’on fait depuis plus de trente ans tous les gouvernements qui ont prétendu « réguler les flux migratoires ». Avec les résultats que l’on sait.

Ou bien nous pouvons sortir du cadre. Sortir du cadre cela veut dire, d’une part, quitter la CEDH et, d’autre part, réviser de fond en comble notre législation relative au séjour des étrangers sur la base d’un principe simple : il n’existe aucun droit naturel à séjourner dans un pays dont vous n’êtes pas le national (et il n’existe aucun droit naturel à acquérir la nationalité d’un pays). Un peuple qui accueille un étranger en son sein fait toujours à ce dernier une faveur, faveur qui peut lui être retirée à la convenance du pays hôte. Toute communauté politique est libre d’accepter qui elle le veut et selon les critères de son choix.

Un étranger condamné à de la prison ferme pour crimes ou délits devrait donc pouvoir passer directement de sa cellule à l’avion qui le reconduira dans son pays d’origine, sans autre forme de procès. Ce qui suppose, bien sûr, que la France ait auparavant actionné les leviers diplomatiques et financiers dont elle dispose pour obtenir des principaux pays d’immigration la conclusion d’accords de réadmission dispensant d’obtenir des LCP au cas par cas.

Par ailleurs, nous devrions faire en sorte de rendre la perspective de vivre en France comme clandestin aussi peu attractive que possible. Aujourd’hui, si vous pouvez échapper suffisamment longtemps à l’expulsion (et la réglementation vous donne plein de possibilités d’y échapper, si vous êtes un peu malin et bien conseillé), vous finirez par être régularisé. Entre-temps, vous aurez bénéficié de l’aide efficace d’associations généreusement financées par le contribuable et de « prestations sociales » proprement délirantes, comme par exemple l’AME, qui a bénéficié en 2017 à plus de 300 000 clandestins et dont le coût annuel avoisine le milliard d’euros.

Tout cela devrait disparaître. Être en infraction à la législation sur le séjour des étrangers devrait rendre strictement impossible toute régularisation tant que vous vous trouvez sur le territoire national et, bien entendu, le séjour irrégulier devrait redevenir un délit, ce qu’il n’est plus depuis la loi Valls du 31 décembre 2012, à cause d’une jurisprudence de la CEDH. Comme l’écrit justement Renaud Camus :

L’immigration, achetée jadis en tant que lézard décoratif, est devenue entre-temps crocodile. Il occupe la moitié du salon, l’œil mi-clos. De temps en temps, quand l’humeur taquine lui en prend, il dévore un bras ou une jambe, pour passer le temps.

Toute la question est de savoir si nous allons continuer à faire comme si de rien n’était ou bien si nous allons au moins essayer de faire en sorte de ne pas être dévorés par le crocodile.

 

Par Aristide Renou

 


La France ne pourra indéfiniment se passer d’une claire volonté politique dans ce domaine ultra-sensible.

 

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Source : Politique Magazine

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Celui qui est droit...

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