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28/12/2010

Joe Jackson... Anthrax... : Got the time...

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Joe Jackson : Got the time

 

 

Les gars d'Anthrax connaissent leurs "classics"...

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Hélie de Saint Marc : L'Honneur de Vivre

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A mon jeune Cousin NIKOLA...

 

« QUE DIRE A UN JEUNE DE 20 ANS »

« Quand on a connu tout et le contraire de tout,
quand on a beaucoup vécu et qu’on est au soir de sa vie,
on est tenté de ne rien lui dire,
sachant qu’à chaque génération suffit sa peine,
sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause
font partie de la noblesse de l’existence.

Pourtant, je ne veux pas me dérober,
et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci,
en me souvenant de ce qu’écrivait un auteur contemporain :

"Il ne faut pas s’installer dans sa vérité
et vouloir l’asséner comme une certitude,
mais savoir l’offrir en tremblant comme un mystère".

A mon jeune interlocuteur,
je dirai donc que nous vivons une période difficile
où les bases de ce qu’on appelait la Morale
et qu’on appelle aujourd’hui l’Ethique,
sont remises constamment en cause,
en particulier dans les domaines du don de la vie,
de la manipulation de la vie,
de l’interruption de la vie.

Dans ces domaines,
de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir.
Oui, nous vivons une période difficile
où l’individualisme systématique,
le profit à n’importe quel prix,
le matérialisme,
l’emportent sur les forces de l’esprit.

Oui, nous vivons une période difficile
où il est toujours question de droit et jamais de devoir
et où la responsabilité qui est l’once de tout destin,
tend à être occultée.

Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela,
il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine.
Il faut savoir,
jusqu’au dernier jour,
jusqu’à la dernière heure,
rouler son propre rocher.
La vie est un combat
le métier d’homme est un rude métier.
Ceux qui vivent sont ceux qui se battent.

Il faut savoir
que rien n’est sûr,
que rien n’est facile,
que rien n’est donné,
que rien n’est gratuit.

Tout se conquiert, tout se mérite.
Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu.

Je dirai à mon jeune interlocuteur
que pour ma très modeste part,
je crois que la vie est un don de Dieu
et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît 
comme l’absurdité du monde,
une signification à notre existence.

Je lui dirai
qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves,
cette générosité,
cette noblesse,
cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde,
qu’il faut savoir découvrir ces étoiles,
qui nous guident où nous sommes plongés
au plus profond de la nuit
et le tremblement sacré des choses invisibles.

Je lui dirai
que tout homme est une exception,
qu’il a sa propre dignité
et qu’il faut savoir respecter cette dignité.

Je lui dirai
qu’envers et contre tous
il faut croire à son pays et en son avenir.

Enfin, je lui dirai
que de toutes les vertus,
la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres
et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres,
de toutes les vertus,
la plus importante me paraît être le courage, les courages,
et surtout celui dont on ne parle pas
et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse.

Et pratiquer ce courage, ces courages,
c’est peut-être cela

"L’Honneur de Vivre" »
 

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« Les adolescents d’aujourd’hui ont peur d’employer des mots comme la fidélité, l’honneur, l’idéal ou le courage. Sans doute ont-ils l’impression que l’on joue avec ces valeurs – et que l’on joue avec eux. Ils savent que leurs aînés se sont abîmé les ailes. Je voudrais leur expliquer comment les valeurs de l’engagement ont été la clef de voûte de mon existence, comment je me suis brûlé à elles, et comment elles m’ont porté. Il serait criminel de dérouler devant eux un tapis rouge et de leur faire croire qu’il est facile d’agir. La noblesse du destin. humain, c’est aussi l’inquiétude, l’interrogation, les choix douloureux qui ne font ni vainqueur ni vaincu.

    Que dire à un cadet ? Peut-être, avec pudeur, lui glisser dans la paume de la main deux ou trois conseils : mettre en accord ses actes et ses convictions ; pouvoir se regarder dans la glace sans avoir à rougir de lui-même ; ne pas tricher, sans doute la plus difficile, pratiquer et tâcher de concilier le courage et la générosité ; rester un homme libre.

    J’ai toujours essayé de récupérer les débris de mon existence pour faire tenir debout mon être intérieur. Même en prison et réprouvé, j’ai cherché à être heureux.  

    Un ami m’a dit un jour : "tu as fait de mauvais choix, puisque tu as échoué". Je connais des réussites qui me font vomir. J’ai échoué, mais l’homme au fond de moi a été vivifié.  


    Je tiens le courage en haute estime car il me semble contenir toutes les autres vertus.  

    Je crains les êtres gonflés de certitudes. Ils me semblent tellement inconscients de la complexité des choses … Pour ma part, j’avance au milieu d’incertitudes. J’ai vécu trop d’épreuves pour me laisser prendre au miroir aux alouettes. 

Ai-je toujours été fidèle ? Ai-je toujours agi selon l’honneur ? J’ai essayé, sans jamais y parvenir entièrement, d’être digne des autres et de la vie. Je ne connais pas de vérité tranquille. Je veux ajouter de la vie aux années qui me restent, témoigner de tout ce qui dure, retrouver la vérité de l’enfant que j’ai été. Simplement essayer d’être un homme. »

Toute une vie

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« Il y a eu un avant : ce jeune homme bravache et courageux à sa manière, policé et ironique, tellement inconscient et adolescent que j’étais en ce matin de septembre où j’ai franchi les trois porches successifs du camp de Buchenwald. Il y a eu un après : ces peaux rasées, ces mains fouillant dans les poches à la recherche de miettes de pain absentes, ces petits pas hésitants, ces visages prématurément ridés, les regards de bêtes affolées… j’ai eu un moment de recul et d’effroi. »

 

« Avant mon séjour dans les camps de concentration, je pensais que le pire venait d’ailleurs. J’ai trouvé le pire chez les autres, mais aussi en moi. Ce n’est pas l’abandon des siens qui est le plus dure à vivre, mais la déchéance de l’homme en soi. C’est la tristesse des déportés. 

Nous n’avions plus de larmes. Les appels au secours dans la nuit restaient sans réponse. L’agonie et les cauchemars, le sifflement des poumons à bout de course, les excréments vidés dans les gamelles ou à même les châlits, tant certains étaient exténués, les corps purulents sans le moindre pansement faisaient partie de notre quotidien. Nous étions des sacs d’os prononçant à peine dix mots par jour.

La pendaison, dans l’imagerie SS, représentait l’exemplarité, l’ordre implacable. La sentence était toujours exécutée avec solennité, devant tous les pyjamas rayés. Plus les SS étaient démonstratifs et moins nous étions impressionnés. Cela ne me faisait même plus d’effet. Arrivé à un tel stade, on ne pense plus. "Je vis encore cet instant", me disais-je, et puis cet autre. Ne pas avoir peur de la mort était le premier commandement du déporté. Sinon, il trébuchait aussitôt tant elle planait autour de nous."Un pendu, me disais-je, et puis cet autre".

Un homme nu, battu, humilié, reste un homme s’il garde sa propre dignité. Vivre, ce n’est pas exister à n’importe quel prix. Personne ne peut voler l’âme d’autrui si la victime n’y consent pas. La déportation m’a appris ce que pouvait être le sens d’une vie humaine : combattre pour sauvegarder ce filet d’esprit que nous recevons en naissant et que nous rendons en mourant.

Toute une vie

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« L’Histoire est un orage de fer, qui hache les hommes comme du bois sec. Après, il faut recueillir les cendres, comprendre, raconter. Les hommes croient trop souvent qu’ils peuvent s’affranchir de ce devoir - oublier serait si facile ! -, mais le passé finit tôt ou tard par revenir à la surface. C’est un poids dans la conscience, un fantôme insaisissable, qui empêche de vivre : il étend, jour après jour, une ombre sur l’avenir. Chaque fois que j’ai dû rencontrer les enfants de mes camarades morts en terre lointaine, j’ai pu sentir leur désarroi. J’ai correspondu avec nombre d’entre eux. J’essaie de retrouver dans ma mémoire des traces de présence, des gestes, des attitudes, un regard. Mais je me sens impuissant et démuni. Les mots sont pauvres quand il faut combler l’absence. Lorsqu’un ami mourait à nos côtés, nous pensions que la vie s’arrêtait net, comme un moteur d’avion qui cale en plein vol ou une plante qu’on arrache de la terre. En fait, une cruche se brisait : des larmes et des parfums se répandaient sur le sol, dont je sais aujourd’hui qu’ils coulent longtemps encore à l’intérieur des enfants. »

« Je me souviens d’une nuit en pays thaï, après un parachutage. L’ennemi avait décroché au bout d’une journée de combat. Nous étions éreintés. Je n’avais pas dormi plus de quatre heures en trois jours. Je suis tombé dans un sommeil sans rêve ni réveil. Quand je suis revenu à moi, le matin s’était levé. Une légère brume tapissait le sol, à la hauteur du mauvais bat-flanc sur lequel j’avais dormi. Immobile, j’ai ouvert les yeux. Des enfants, à demi nus, se sont approchés de moi. Ils m’ont dévisagé, avec de grands yeux étonnés, qui ne cillaient pas en rencontrant les miens. Ils m’apportaient un bol de soupe. Derrière eux, un énorme buffle, sorti tout droit de la préhistoire, avançait lentement, dodelinant de la tête, dédaigneux, comme s’il inspectait son domaine personnel. La joie déferlait en moi, en ondes puissantes. Je ne pouvais pas la contrôler. J’avais l’impression de naître à nouveau. C’était une joie d’une force animale - et pourtant tellement humaine. Un nouveau jour se levait. J’avais failli ne jamais le connaître. On avait voulu me tuer. J’avais sans doute tué d’autres hommes. De l’autre côté de la montagne, des soldats pleuraient leurs camarades, tués par ma faute. Des vies, peut-être admirables, s’étaient arrêtées. Des familles étaient endeuillées pour toujours. L’horreur de la guerre était passée, à laquelle ni moi ni eux ne pouvions rien. La vie suivait son cours éternel, sans se soucier de nous. »

Les sentinelles du Soir

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Hélie de Saint Marc

 

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23/12/2010

The Sparks : This Town Ain't Big Enough For Both Of Us

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Brillant !

 

Et plus de 30 piges après les Sparks brillent toujours...

 

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Assises internationales sur l’islamisation de nos pays - III

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Encore trois interventions brillantes lors des "Assises sur l'islamisation de nos pays".

Christine Tasin lisant la lettre d'Halim Akli, personnalité algérienne qui résiste au pouvoir corrompu de son pays. De petites vérités bien senties.

 

 

Jean-Paul Gourevitch, expert international sur l'immigration qui donne une brillante intervention sur le coût de celle-ci.

 

 

L'intervention d'Anne-Marie Delcambre...

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Les braves gens

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les révélations de Wikileaks continuent à se déployer... elles sont jolies les choses que nos dirigeants nous cachent. Par exemple ceci : en Grande-Bretagne, 40% des étudiants musulmans veulent l'établissement de la Sharia ! 40 % ! A part ça tout va bien. L'islam ça n'est pas l'Islamisme et 40 %, ouais c'est sûr, on peut toujours dire que c'est une minorité, n'est-ce pas ?

Tenez... lisez cet article du Dailymail

Les braves gens...

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21/12/2010

Ivan Rioufol, Assises sur l'islamisation

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"Je suis venu observer ce rassemblement, une partie de l’après-midi, avec de nombreux autres confrères. Je n’y ai vu ni excités, ni intolérants, ni fachos, ni racistes, mais des gens s’inquiétant des abandons de la République sur la laïcité."


podcast

 

 

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19/12/2010

Assises internationales sur l’islamisation de nos pays - II

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Les Assises internationales sur l'islamisation  ont eu lieu hier à Paris. Instant historique. Des gens de Gauche et des gens de Droite, côte à côte, pour dire "Non". Comme au temps du CNR  du Général de Gaulle. Je n'ai pas été en mesure de m'y rendre, malheureusement, et je le regrette. Cependant, grâce à INTERNET, nous pouvons avoir accès aux brillantes interventions des uns et des autres et je vous invite à les écouter sans hésitation aucune. Faites cet effort, si vous vous estimez libres. Si vous vous estimez libres, soyez le effectivement.

Interview de Christine Tasin, le 18 décembre 2010 à Paris, lors des "Assises internationales sur l'islamisation de nos pays" qui se sont tenues à l'Espace Charenton.

Les questions posées à Christine Tasin lors de cette interview :

- Pensez-vous que Allah ne soit pas un dieu mais juste une fiction grammaticale ?

- Wafa Sultan a déclaré dans une interview faite le 2 mai 2010 qu'il n'existe pas d'Islam radical ou d'Islam modéré mais simplement l'Islam. Souscrivez-vous à cela ?

- En Europe, de nombreux politiciens qui ont fait de l'hypocrisie leur instrument de travail prétendent que cela relève du mensonge et de la xénophobie que de dire que des Musulmans occupent les rues pour prier. Assistons-nous à une guerre déclarée contre la réalité et les fonctions cognitives ?

En arriveront-ils un jour à créer un jour un Ministère de lutte contre la réalité ?

- Croyez-vous à l'inégalité des cultures ?

- Pensez-vous que les cultures européennes sont supérieures à la culture musulmanes, et si oui pourquoi ?

- L'Islam a-t-il quelque chose à voir avec la culture européenne ?

- Estimez-vous que les Européens attachés à leur patrie et à leur culture devraient considérer l'Islam comme une force militaire destinée à une invasion planifiée de l'Europe ?

- Pensez-vous que la population musulmane en Europe pourrait constituer un vaste réservoir de soldats mobilisables localement pour la subversion ou le renversement politique et militaire des démocraties ?

- La laïcité a-t-elle plus ou moins de puissance que Jésus-Christ dans le combat des Européens contre le Prophète Mohamed/Mahomet ?

- Pensez-vous que l'islamisation de la France et de l'Europe est orchestrée et aussi financée par des puissances étrangères, et si oui lesquelles ?

- Ces puissances étrangères ont-elles des complices, des agents, au sein même des gouvernements européens ? Si oui, pouvez-vous les nommer ?

- Estimez-vous que dans le combat contre l'islamisation, Israël et les patriotes Juifs dans le monde sont des alliés expérimentés, opportunistes, authentiques, indispensables ou inappropriés ?



Christine Tasin, pour Résistance Républicaine 

 

 

 

Excellente intervention intervention du journaliste René Marchand.


René Marchand, Journaliste et écrivain 

 

 

 

Intervention de Fabrice Robert, représentant du Bloc Identitaire, qui explique le sens de la démarche de ces Assises...


Fabrice Robert, Bloc Identitaire 

 

 

 

Excellente intervention de l'écrivain Renaud Camus. La vidéo souffre de quelques "couacs" sonores mais vaut la peine d'être écoutée de bout en bout...


Renaud Camus, écrivain

 

 

 

 

Et pour terminer, la cerise sur le gâteau : Arrivée et discours d’Oskar Freysinger cet affreux "fâââscîîîîsteuh"  qui Fait l'éloge de la France de Voltaire, cite Pink Floyd, Asterix, Tintin, Nietzsche, prône la Démocratie Directe, refuse de se plier à l'Etat partant du principe que c'est au peuple de prendre les décisions et que c'est au gouvernement d'écouter et d'exécuter ce que le peuple décide. Et on vient nous le présenter comme un "fâââscîîîîsteuh" , alors qu'il n'est qu'un conservateur libéral (libéral au sens "classique" du terme). Je ne conseillerais que trop, à ses détracteurs en particulier, d'écouter son discours de bout en bout, entre autre parce qu'il démontre le lien mental entre le communisme et l'Islam.

En d'autres lieux, il fait l'éloge de Roman Polanski en tant que réalisateur et dit son admiration du film "Le Pianiste" qui, pour ceux qui l'ignoreraient, raconte la survie d'un musicien juif dans le Ghetto de Varsovie. Un affreux "fâââscîîîîsteuh"  vous dis-je...


Oskar Freysinger, UDC 

 

 

 

 

Enfin, un petit lien vers le Journal Le Monde  où le prix Nobel de Littérature 2010, l'écrivain péruvien Mario Vargas Llosa, affirme sans crainte que "le fondamentalisme islamique est le principal ennemi de la démocratie".

Réveillez-vous les dormeurs... sinon vous prendrez le train en marche... ou vous vous ferez écraser par lui.

"One Team, One Fight ! No Sharia in the Western World" 

18:35 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

18/12/2010

Assises internationales sur l’islamisation de nos pays

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Les français l'entendent de moins en moins de l'oreille de la bien-pensance lorsqu'on leur présente les résistants à l'islamisation de l'Occident comme des "racistes" et des "fascistes". Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays  ont bien eu lieu à Paris, malgré le caca nerveux des abrutis islamistes haineux au métro "Porte de Charenton ...

 

Quelques rappels salutaires sur la Gôche  qui a abandonné ses valeurs premières... par le professeur de philosophie, Jacques Philarchein, marxiste de son état et pourtant...

 

Que les plumes brillantes de la "réacosphère" qui vomissent la République ne s'y trompent pas... comme le précise l'intervenant américain sur la vidéo qui suit : "One Team one Fight ! No Sharia in the Western World !!!!" Ca n'est pas le moment de nous désunir mais bien de nous unir, comme le font à l'occasion les militants de Riposte Laïque  et les militants des Identitaires... s'ils ne sont pas du même monde idéologique... ils sont de la même Patrie et cela est suffisant. Laissez le temps à cette vidéo de se charger... elle dure presque 50 minutes... 

 

Notez l'arrivée triomphale d'Oskar Freysinger, de l'UDC suisse qui est à l'origine des référendums dans son pays sur l'interdiction des minarets et l'expulsion des criminels étrangers hors de Suisse. Il a donné des hauts-le-coeur à toute la bien-pensance zéropéenne. C'est un sale fâââscîîîîîsteuh, bien entendu, qui salut la France de Voltaire. Je ne mets cette vidéo que pour l'anecdote vu sa piètre qualité. C'est la seule que j'ai trouvée.

Bien entendu, la Propagande, car c'en est une, parle déjà d'extrémistes ayant organisé les assises en question, alors que des tendances de gauche comme de droite y sont représentées et en provenance de tous les pays occidentaux. Comme si le Bloc Identitaire avait rassemblé tout ce monde à lui tout seul.


Cliquez sur l'image pour mieux voir les participants


Remarquez l'incapacité totale des militants de Gôche protestant contre ces assises à faire preuve d'abstraction lorsqu'il s'agit d'analyser ce qui a lieu et ce qui se passe. Les nains !

20:07 Publié dans Franc-tireur | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

16/12/2010

La Gauche française et la Collaboration...

=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=

Alors que les propos de Marine Le Pen (islam = invasion) provoquent, encore une fois, le tollé dans un monde politique qui refuse de regarder la réalité en face au nom des sacros saintes valeurs humanitaristes qui font tellement bander nos "élites" mais plus vraiment le peuple français, il est bon de rappeler ce que faisait la plus grande partie de la Gauche française durant la seconde guerre mondiale. Outre que le parti communiste s'est tenu tranquille de 1939 à 1941 pour cause de traité germano-soviétique en appelant sans cesse à la paix des peuples (et reprenant par là la propagande de Hitler en personne qui, à quelques jours avant d'entrer en Pologne, parlait encore de "Paix") la gauche a contribué à nourrir par de nouveaux militants l'ordre pétainiste nouveau mais surtout, au nom du pacifisme, elle a donné son florilège de ministres ainsi que de soldats volontaires dans la SS afin, disait-on alors, de lutter contre le bolchévisme.

Savourez...

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15/12/2010

Qui se ressemble s'assemble...

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Qui se ressemble s'assemble... ici George Lincoln Rockwell, fondateur de l'American Nazi Party, assassiné en 1967 mais de son vivant il s'est rendu, comma la photo l'indique, le 25 Juin 1961 à un rassemblement de la Nation of Islam, et a ainsi pu partager la scène pour une série d'interventions avec pas moins que Elijah Muhammad et Malcolm X.

Non... aucune proximité mentale entre Nazisme et Islam... non... pas du tout... Rooooon pschiiii... Rooooon pschiiii... Rooooon pschiiii...

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Dans le Hallouf tout est bon !

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

 

Je suis en plein Carême avant Noël depuis le 15 Novembre, mais je le dis et le redis... Tout est bon dans le cochon...

 

En cliquant sur les Subtitles  vous pouvez choisir "French".

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13/12/2010

"La Finlande est un pays de 5 millions d’habitants totalement homogène."

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

L'enquête PISA place la France dans le fond de ses chaussettes en matière d'apprentissage scolaire...

Ce qui n'est pas surprenant pour un pays qui, désormais, donne le BAC, le distribue afin que toutes nos têtes blondes se prennent pour des intellectuels et fuient comme la peste le travail manuel. De toute façon, même le travail manuel n'est plus pour nos jeunes, car y'a encore 60 piges, au lendemain de la seconde guerre mondiale, un syndicaliste prolétaire avait lu Le Capital de Marx et savait de quoi il causait. De nos jours, Marx comme le reste n'a aucune importance. Le Savoir et la Culture n'intéressent presque plus personne... sauf les abrutis qui considèrent qu'écouter "Les Grandes gueules" sur RMC, suivre les débats propagandistes minables sur ARTE ou regarder les "reportages animaliers" à la télévision ce serait se cultiver. Les cons. Au mieux, ça aime utiliser les symboles transformés en marchandise, comme le CHE, qui était tout de même un meurtrier d'enfant, un raciste notoire supportant à peine les noirs africains et un des plus mauvais ministres de l'histoire humaine, tous les postes qu'il a occupés ont menés essentiellement à des catastrophes... alors chers fans du communiste cubain, arborez vos tee-shirts du CHE, quand le temps aura passé et que vous lirez l'histoire de sa vie en considérant son parcours vous pourrez avoir honte de votre connerie crasse.

C'est à se demander comment le pays qui fut celui des Lumières, de Montesquieu, de Baudelaire, de Montaigne, d'Albert Camus a pu obtenir ce classement lamentable.

Nos dirigeants nous donnent des pistes... par exemple lorsque notre bon ministre Luc Chatel affirme, probablement sans faire exprès quelques vérités dérangeantes comme celle-ci : "La Finlande est souvent citée en exemple, on oublie de dire que la Finlande est un pays de 5 millions d’habitants totalement homogène.

La preuve ici...

Même cette pauvre bille de Luc Ferry avoue que si on avait fait effectuer cette enquête dans les écoles des centres-villes (comprenez... là où l'immigration est vraiment moindre) les résultats auraient été différents... nous aurions peut-être été premiers !

Alors les immigrés ne peuvent pas apprendre ? C'est à se poser des questions... en tout cas Léopold Senghor, lui, avait accès à un enseignement élitiste, celui de la troisième République... Grec, Latin, Français de pointe. Senghor a forgé la notion de Négritude en lisant... Maurice Barrès, écrivain remarquable et homme politique Nationaliste et identitaire qui fait se révulser BHL & co de nos jours. Grande différence. L'enseignement n'était pas frileux... il était vaste... et seuls les bons s'en sortaient... les autres, qui n'étaient pas faits pour cela, allaient grossir les rangs des artisans, ouvriers, techniciens, ouvriers spécialisés... et c'est tout.

D'ailleurs le meilleur Lycée de France se trouve... en Ardèche... loin de tout, sans "chance pour la France", sans "zy-va" avec casquettes à l'envers et jogging sous les fesses.



Je sais... j'attaque fort... mais ça a le mérite d'être clair... et ça dérange, donc ça ne peut qu'être bon !

Portez-vous bien... et Keep on Rocking !

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12/12/2010

Voyage à Moscou

=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=

La Parole est à ma douce Irina...

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5 jours à Moscou. La Russie. Mère patrie de Dostoïevski et Boulgakov.

Voyage avant tout professionnel mais l’âme russe m’a vite gagnée et bouleversée. -25° pour mes premiers pas à Moscou. -30° le lendemain. Ce pays est rude et ces gens sont, pour une petite française que je suis, « génétiquement modifiés » pour supporter un climat pareil ! mais, étrangement, au bout de deux jours, je m’adapte, j’enfile plusieurs couches de tissus, je marche 30, 45mn et puis je rentre dans une église orthodoxe, il fait chaud, les bougies, les icônes, le silence, Dieu est presque présent. Mon corps a emmagasiné suffisamment de chaleur et de paix, je peux repartir, le froid n’est plus un obstacle.

Cette ville est étrange, pas très belle mais elle a une âme.

Cette ville est en mutation, s’y côtoient les extrêmes, une voiture de l’époque soviétique et une jaguar aux vitres fumées. L’anneau, comme les moscovites l’appellent, le centre, autour du Kremlin et de la Place Rouge, c’est le quartier de l’élite : magasins Chanel, Gucci, Dior, des voitures de luxe, des femmes belles et élégantes, des hommes d’affaire, tout cela est un peu étrange car à quelques rues de là, de l’autre côté de la Moskova, des quartiers plus populaires, avec des trolleybus, des gens simples, des petits commerçants sur les trottoirs, ce que j’ai préféré parce que ces gens-là représentent le réel, la vie à Moscou, difficile, le travail 6 jours sur 7, parfois 10h par jour pour certains. Des gens qui ne se plaignent pas parce qu’il faut vivre, se loger et se nourrir. Des gens étrangement méfiants pour une occidentale comme moi, des gens pudiques et pourtant tellement attachants. Ceux et celles avec qui j’ai pu parler étaient souriants, accueillants, fiers qu’une française soit venue jusqu’à eux. Beaucoup parlaient français, un français quasi parfait. C’est un peuple francophile, réellement. Un peuple infiniment touchant et de qui nous pourrions prendre des leçons.

Mardi, journée à l’ambassade, conférence et débats entre éditeurs russes et français.

Mercredi et jeudi, rendez-vous au Salon avec des éditeurs russes. De très riches échanges. L’édition russe se développe, à toute allure et est infiniment curieuse de ce que nous publions. Des contrats à venir, sans aucun doute.

Jeudi, fin de mes rendez-vous, après une pause à l’hôtel pour m’habiller un peu plus chaudement, je pars à l’aventure. Je traverse la Moskova pour me rendre vers le centre. J’aperçois le Kremlin. Il me faut traverser un second pont, plus long celui-là, mais la nuit commence à tomber et la température baisse rapidement, mon corps commence à s’engourdir, je renonce et fais demi tour, j’ai vraiment trop froid. Le Kremlin, ce sera pour demain.

Vendredi, visite d’une grande librairie moskovite, la direction nous reçoit et pendant presque deux heures, nous visitons la librairie et à l’aide de mon amie Anastasia (mon agent littéraire pour la Russie), nous apprenons comment tout est géré, de vrais pros, impressionnant à tous les niveaux (les vendeurs de la Fnac sont des petits joueurs !). Puis, accueil dans leur salle de réunion, thé, café, gâteaux et questions réponses sur comment ça fonctionne en France, comment ça fonctionne en Russie. Nous repartons avec des cadeaux et beaucoup d’émotion. Le groupe se sépare, je vais avec une collègue visiter la Place Rouge (défigurée hélas par une horrible patinoire), je découvre la cathédrale Saint Basile, magnifique, puis le Kremlin, nous marchons longuement dans le centre (la température était devenue plus clémente, -15°), nous passons devons le Bolchoï (en rénovation) et puis, tranquillement traversons deux fois la Moskova gelée pour rentrer nous réchauffer à l’hôtel.

Vendredi soir, soirée dans la résidence de l’ambassadeur. Des écrivains, des éditeurs, des politiques, un peu de champagne, quelques petits fours et nous nous esquivons pour finir la soirée et le séjour au célèbre Café Pouchkine. Un endroit mythique et envoûtant. Trois étages, de la pierre, du bois, des livres et une harpe. Une ambiance très feutrée, très chic et presque d’un autre temps. Il semble que se promènent là les vivants et les morts, comme si cet endroit était en permanence habité, difficile de l’exprimer avec des mots. Mais la soirée a été très joyeuse, un repas russe à la vodka, c’était divin. Une belle soirée pour terminer un beau séjour.

Samedi matin, je me réveille sous la neige, Moscou est blanche et presque silencieuse.

Un étrange sentiment lorsque l’avion quitte le sol.
Un étrange sentiment au moment de l’atterrissage à Roissy.

La Russie m’a marquée, sans aucun doute et j’y retournerai à coup sûr un jour.

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04/12/2010

ZZ TOP : SUCK MY BLUES !

=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=


Les bobos peuvent aller se faire foutre. Voici les républicains les plus COOLS de l'Univers. Personne, en matière de Coolitude  authentique ne leur arrive à la cheville. Sachez que je suis très sérieux quand je raconte mes conneries. Et j'emmerde les démocrâtes démocrassouillards obamaniaques.

Deux morceaux, ici, à la chaîne... "She's Just Killing Me"  ... et "Vincent Price  Blues" . Enjoy you Mofos !

23:02 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (2) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook