21/11/2022
Extinction...
=--=Publié dans la Catégorie "Brèves"=--=
La 3 ème guerre mondiale a vraiment commencé (et la sixième extinction des espèces). Tout ça avant même le largage de la bombe...
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20/11/2022
Il est arrivé !!!
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Ocean Viking
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Type de Missile
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Beau Temps
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La Cop 27
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Winnie
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Et nos morts...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Vous avez tout détruit, tout souillé, tout humilié ! Tout mélangé, tout mercantilisé, tout transformé en fric ! Oh bien sûr que vous avez la loi avec vous... Vous avez toujours la loi avec vous ! C'est vous, la loi ! Mais nous, on a les oiseaux, la beauté, l'histoire et nos morts ! Et on ne se laissera pas faire ! »
Olivier Maulin, La fête est finie
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Sourire
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=--=Publié dans la Catégorie "Ô Mort... Ô Mort..."=--=
« Comme elle nous souriait, au dernier jour, cette bonne mère !
L'AMI.— Souviens-toi de ce sourire! C'est un reflet de la victoire sur la mort. Évangile libérateur ! pour t'annoncer, un dernier souffle de voix est plus puissant qu'une voix retentissante.
Toute belle vie demeure parmi nous comme un don de Dieu. Puisse le parfum en être gardé ! Ce qu'ils nous ont laissé, les chers envolés, reste à jamais notre trésor. Leur paix nous environne, apaise nos coeurs au sein des luttes, trempe notre courage aux heures difficiles. Vaillante patience, bonne humeur inaltérable, confiance en Dieu ; dans la figure de ta mère tout cela te sourit.
Et nous n'entrons pas seuls dans le mystère dernier. Ils sont tous là, les morts aimés. Leur présence nous soutient, leurs âmes nous accueillent et nous disent : Bon courage, amis, la tribulation augmente, mais le but est proche ; voici la grande paix, voici le port, voici la patrie !
*
Dans l'ombre planant sur nos sentiers, les regards des morts aimés se lèvent comme des étoiles. Sources d'espérance et de réconfort, ils nous aident à vivre et à souffrir, à marcher dans la certitude de l'invisible et dans l'affranchissement des éphémères vanités. »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
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L'Opinion Dominante...
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19/11/2022
Monothéisme du marché
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Le monothéisme du marché a tout conquis, tout envahi, tout gagné. Pendant que tu regardais du côté des prolos, c’est les financiers qui l’ont faite dans ton dos, la révolution !
Ils ont aboli les frontières sans guerre et sans armée. Ils ont imposé un mode de vie à la planète entière ! Partout les mêmes publicités, les mêmes godemichés, les mêmes supermarchés, les mêmes abrutis ! Ils ont brisé toute résistance, identité, tradition, poésie. Homogénéisé les goûts, formaté les esprits, imposé l’idée que le monde entier avait les mêmes intérêts qu’eux. »
Olivier Maulin, La fête est finie
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Oh ! la mort
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=--=Publié dans la Catégorie "Ô Mort... Ô Mort..."=--=
« — Oh ! la mort des aimés! Oh ! cette misère, avant ! ce pauvre corps sculpté par la douleur, ces yeux caves, cette parole qui s'éteint ! Puis ce silence, cette nuit, cette poussière! Avec quelle brutale insistance nous est fournie la preuve de notre néant ! Quelle fureur d'effacer jusqu'à nos traces ! Afin qu'il soit bien entendu qu'il ne reste rien de nous et de notre espérance. Même quand tout paraît fini, la démonstration continue et s'acharne. Aux vivants, tout crie : Tu es poussière ; aux morts, la tombe le ressasse. Après cela, que nous reste-t-il, si ce n'est les yeux pour pleurer ?
L'AMI. — Dans vos larmes vit l'espérance. Le désespoir même qui ne pleure plus est une forme de l'espérance qui ne peut mourir. Désespérer, c'est avoir vu son étoile se voiler. Au delà du voile, elle brille.
Vous avez l'espérance tenace. Les puissances de destruction ont beau faire abonder leurs témoignages ; leur victoire sur vous est de celles qui se crient si fort, parce qu'elles sont douteuses. Il est des morts qu'il faut tuer. Vous en êtes. Mais que peut-on contre eux ? Leur répéter qu'ils sont morts ? Cela ne prouverait-il pas au contraire qu'ils sont vivants ?
Elle est vieille comme le monde, la leçon de choses qui affirme et proclame votre incurable néant. Mais malgré tout ce qu'elle vous a fait souffrir, vous ne l'avez pas retenue. Votre néant, vous n'y croyez pas, puisque vous êtes toujours là. Si vous aviez ajouté foi à la révélation de mort écrite à travers la création, flamboyante dans les rougeurs d'incendie, hurlante dans la tempête, béante dans le gouffre, il vous serait arrivé selon votre foi. Convaincus de néant, vous seriez rentrés dans le néant. Mais que vous viviez encore, après avoir été consumés par mille fournaises mortelles, cela provient de votre foi à la vie. D'où vous vient-elle ? De cette grande mécanique universelle qui vous broie ? Non, Elle vous vient de Dieu. Elle est, en vous, son inef- façable signature. Ne la protestez pas vous- mêmes ! Dieu vit en vous, voilà votre secret. Vous êtes de sa race. Sa pensée s'agite sous votre poussière. Vous êtes une espérance de Dieu.
— Comment ce qui n'est plus serait-il encore ? Comment, dévorés et digérés par la tombe, subsisterions-nous ? Notre vie est effacée comme s'efface sous le coup d'épongé une écriture sur le tableau.
L'AMI. — On peut effacer l'écriture, mais non pas l'esprit, le sens de l'écriture. Que la matière fragile, où s'est incarnée pour un temps une pensée divine, s'oblitère et s'évanouisse sous le coup d'épongé du temps, l'espérance qui est en vous, la pensée divine qui anime votre poussière, demeure. De par l'esprit éternel besognant en vous, vous êtes esprit. En Dieu est votre vie, votre identité garantie. Son souvenir, où rien ne meurt, entretient votre souvenir. As-tu médité parfois la profondeur limpide et infinie de cette vieille parole de psaume ? Par sa lumière, nous voyons la lumière.
Si par notre aspect extérieur et visible nous vivons dans le temps et l'étendue, c'est-à-dire dans l'éphémère, par notre aspect intérieur, invisible, nous vivons en Dieu, dans l'éternel, par conséquent. A sa lumière, nous voyons la lumière. Aveugles et morts serions-nous, malgré la perfection de cet organisme, si rien de divin ne le pénétrait. Cette merveille ne serait qu'une lettre morte. Or, c'est un verbe vivant. Que la lettre s'efface, l'esprit subsiste. Ne t'embarrasse pas dans les ruines de ce qui est passé, comme passera la figure de ce monde ! Lève tes regards vers la lumière ! Ils ne sont pas là, dans l'ombre et la poussière, ceux que tu pleures. Ils sont en Dieu, comme toi aussi ; par l'esprit qui t'anime, tu es en Dieu. Le lien n'est pas rompu.
Ne consens pas à leur néant ! Ceux qu'on aime ne meurent point. La tendresse qui les suit, devient, pour notre espérance, le pont jeté de ces bords mortels vers le rivage impérissable. Tu reverras tous ceux que tu as aimés. Tu les reconnaîtras. Les as-tu connus ici dans l'argile sous laquelle palpitait leur âme ? Non. Tu les connaissais uniquement par la forme et la vie imprégnée à cette argile. Et parfois tu soupirais de je ne sais quel mur de séparation entre eux et toi, les cherchant, et tenu à distance par ce qui n'était pas eux, tout en faisant partie d'eux, matériellement. Au grand revoir l'obstacle sera tombé. Plus rien de passager ne nous séparera. La soif d'union qui tourmente ici toute âme ferme et pure sera enfin apaisée. Ne te confonds pas avec ce qui n'est pas toi ! Connais-toi mieux ! Cet univers mécanique et tout ce qu'il contient, comparé à toi n'est qu'un symbole, une fragile similitude, où s'enveloppe une pensée immortelle. Saisis-toi dans ce que tu signifies ! car en cela tu demeures vraiment. Pleure ! tout ce qui est simplement et sincèrement humain est bon. Les larmes sont la rosée de cette fleur des cieux, nommée l'espérance. Pleure, mon fils, mais espère ; ose espérer ! De tous les courages c'est le plus beau. Tu ne l'auras jamais assez. On ne saurait trop attendre de Dieu. Toute attente sera infiniment dépassée. La plus pure clarté qui, pour nos âmes, éclaire l'au-delà, le pressentiment du plus heureux revoir, ne sont qu'une pauvre image, un lointain et pâle crépuscule en compa- raison de l'immortel matin.
— Oh ! merci, répète-le-moi, encore, toujours ! je suis le voyageur couvert de poussière ; tu es l'oasis. Je suis la soif ; tu es la source. Ne taris pas ! Loin de toi je doute ; près de toi je crois, et l'antique parole s'accomplit : mes brebis entendent ma voix ! »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
07:00 Publié dans Lectures, Ô Mort... Ô Mort... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Paysan...
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18/11/2022
Eco-responsable
=--=Publié dans la Catégorie "Humeurs Littéraires..."=--=
Laisser crever les vieux et, même, les aider un peu.
Ne plus faire de mômes, au mieux... au pire n'en faire que très peu et, si possible, par PMA ou GPA.
Être responsable et se faire vasectomiser !
Se geler les couilles en hiver.
Adopter la doudoune et le col roulé.
Manger des insectes et des carottes.
Plus de Barbecue. VERBOTEN !
Pédaler ou surfer en trottinette.
Ne plus se laver qu'une seule fois par semaine.
Faire pipi et caca dehors et s'essuyer le fion avec des feuilles d'arbres.
Reprendre espoir avec des solutions éco-responsables pour un monde meilleur.
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Loupé !
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L'Oppression du jour...
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2022
23:17 Publié dans Brèves | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les deux sommeils
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
=--=Publié dans la Catégorie "Ô Mort... Ô Mort..."=--=
« Assieds-toi près des berceaux où sommeille l'enfance !
Assieds-toi près de la couchette où dorment les morts !
Dans le berceau, l'avenir est couché, comme aux sillons la semence.
Une promesse est dans chaque tête bouclée. Autour d'elle, c'est comme un battement d'ailes : l'essaim des espérances prend son vol, et les rêves y murmurent, pareils aux abeilles sur la bruyère.
Un jour, tout aboutira à l'autre sommeil.
As-tu regardé les morts dormir ? Qui donc attendent-ils ?
Car ils attendent, et sur leurs lèvres fermées cet appel voltige :
"Les jours sont accomplis. Nous avons marché, lutté, souffert.
Où donc est Celui qui nous dira pourquoi..."
Les morts attendent Dieu...
Et maintenant, Seigneur, la parole est à toi. Tu sais ce que l'homme ignore. Tu sais ce que promet le berceau, ce que recouvre la tombe. En toi est notre espérance.
Si nous n'avions pas cette sécurité, le sourire des petits nous étreindrait le coeur. Il faudrait pleurer sur les berceaux plus encore que sur les tombes. »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
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L'Esprit
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
=--=Publié dans la Catégorie "Ô Mort... Ô Mort..."=--=
« Vivre n'est pas tout ; mourir moins encore.
L'essentiel est que l'Esprit transparaisse à travers la vie comme à travers la mort. »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
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Intelligence...
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17/11/2022
Et Jésus regarda Pierre
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« Ce regard ! chargé d'ombre, au spectacle des douleurs, des souillures, des méchancetés, de tous les fardeaux que porte la pauvre huma- nité, de tous les liens écrasants ou honteux qu'elle traîne ! Nos âmes enténébrées lui apparaissaient comme les grands yeux vides et ceux de l'aveugle, ces pauvres cavernes pleines d'une obscurité morne, semblant porter le deuil du jour perdu. Et les disciples, par moments, y voyaient se dessiner quelque mystérieux Calvaire devant lequel leurs coeurs s'emplissaient d'épouvante !
Mais il était aussi, ce regard, comme un jour ouvert sur le monde supérieur dont le souvenir l'imprégnait. Il rayonnait de la certitude pai- sible que procure au coeur la présence divine. Et son calme disait : "Soyez tranquilles, j'ai vaincu le monde !"
Transparences du royaume de Justice, clartés d'aube éclairant un avenir transformé, paix, tendresse, pitié, pardon, dans ce regard vivait tout cela... Aucun chant inspiré, aucun verbe enflammé des prophètes, aucune forme de beauté créée par les arts pour représenter la splendeur de l'invisible, n'a jamais apporté aux hommes la clarté qui était dans ce regard. Nous vivons de sa lumière. Et lorsque en nous son éclat faiblit, l'ombre grandit, la joie disparait, les crépuscules effrayants envahissent nos sentiers, et le froid de la mort nous enveloppe, de l'autre mort, de celle qui ne connaît pas d'espérance.
Que ce regard te trouve, qui que tu sois ; tombé, te relève ; blessé, te guérisse ; égaré, te ramène ! Sens-le fixé sur toi, lorsque le tien se fermera ! Et mourir fera, pour toi, t'endormir sous le regard de Celui qui a dit : "Je suis la résurrection et la vie." »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
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Sobriété...
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16/11/2022
Repentir
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« L'AMI. — Que fais-tu là dans la poussière ?
— Je me voile la face et je pleure de honte. Comment est-il possible ? C'est moi qui ai fait cela. Le dégoût de moi-même s'empare de ma pensée. Je ne voudrais plus me montrer. Disparaître dans le repentir ; je serais heureux d'en avoir la faculté.
L'AMI. — Tu as tort. Le regret passif est une faute de plus. Un mauvais orgueil se cache dans cet étonnement d'avoir failli. Eh oui, c'est toi qui as fait cela ; tu feras bien de t'en souvenir, afin de ne pas mépriser les autres. Mais à quoi peut servir le dégoût de toi-même ? C'est du soin, du courage, de la clairvoyance et non du dégoût qu'il faut, pour guérir les malades.
Lève-toi, secoue-toi, essuie tes larmes pour y voir plus clair. Sois un homme, porte ta misère ! Dieu remet la faute ; toi répare, profite de la leçon, sème et laboure, veille et prie, marche et combats ! Malheur à ceux qui surissent dans les repentirs stériles et les molles tristesses ! Ils passent la moitié de leurs jours à se lamenter sur les fautes de l'autre moitié, et leur vie tombe inutile au gouffre du passé. »
Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs
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Un résumé de la Politique Française depuis 50 ans...
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15/11/2022
Beaux jours
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