07/03/2020
Pénurie de masques ?
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Le nouveau fascisme
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« Il ne s’agit plus, comme à l’époque mussolinienne, d’un enrégimentement superficiel, scénographique, mais d’un enrégimentement réel, qui a volé et changé leur âme. Ce qui signifie, en définitive, que cette "civilisation de consommation" est une civilisation dictatoriale. En somme, si le mot de "fascisme" signifie violence du pouvoir, la "société de consommation" a bien réalisé le fascisme. »
« Le fascisme, je tiens à le répéter, n’a pas même, au fond, été capable d’égratigner l’âme du peuple italien, tandis que le nouveau fascisme, grâce aux nouveaux moyens de communication et d’information (surtout, justement, la télévision), l’a non seulement égratignée, mais encore lacérée, violée, souillée à jamais. »
Pier Paolo Pasolini, Écrits Corsaires
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Vive la France !
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Un récent décret autorise-t-il un "fichage politique" par la gendarmerie ?
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La gendarmerie nationale va se doter d'une application numérique de prise de notes, "GendNotes", qui suscite des inquiétudes. Consultée, la Cnil a donné son feu vert.
Par Anaïs Condomines
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Un récent décret autorise-t-il un "fichage politique" par la gendarmerie ?
Question posée par Marc le 25/02/2020
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Bonjour,
Votre question fait référence au décret n°2020 151 publié le 22 février dernier au Journal officiel. Signé par le Premier ministre, Edouard Philippe, et le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, il autorise la mise en place d’un « traitement de données à caractère personnel dénommé "application mobile de prise de notes" ». En clair : une sorte de bureau mobile, qui s’appelle "GendNotes" et qui permet de dématérialiser la prise de notes des gendarmes. Dans le but, précise le décret, de « faciliter le recueil et la conservation […] d’informations collectées par les militaires de la gendarmerie nationale à l’occasion d’actions de prévention, d’investigations nécessaires à l’exercice des missions de polices judiciaire et administrative» et de «faciliter la transmission de comptes rendus aux autorités judiciaires ».
Mais depuis l’entrée en vigueur de ce texte, des inquiétudes se font entendre. Le journal Initiative communiste dénonce par exemple « une nouvelle escalade dans la fascisation et la construction d’un régime autoritaire ». Et d’affirmer que le gouvernement permet « à la gendarmerie non seulement de constituer un fichier de police politique de l’ensemble de la population, mais également de le partager directement avec les autorités politiques, préfets et maires ! »
Qu’en est-il vraiment ? Tout l’enjeu se cristallise autour de l’article 2 du décret, qui précise le type de données pouvant être enregistrées dans cette application. Est donc désormais autorisé l’enregistrement d’informations dites « sensibles ». Dans une zone de commentaires libres – et uniquement à cet endroit –, pourront ainsi être consignées des données relatives « à la prétendue origine raciale ou ethnique, aux opinions politiques, philosophiques ou religieuses, à l’appartenance syndicale, à la santé ou à la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle ». L’article 4 précise qui pourra avoir ensuite accès aux informations récoltées : à savoir le gendarme qui rédige la note et ceux de son unité, « sauf s’il s’y oppose », les gendarmes d’une autre unité qu’il peut désigner. Les autorités judiciaires, le préfet, le sous-préfet, le haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, et enfin le maire de la commune concernée.
D’emblée, le décret précise dans quelles conditions ces informations pourront être recueillies. On peut lire que la collecte et le traitement de ces données sensibles « ne sont possibles qu’en cas de nécessité absolue pour les seules fins et dans le strict respect des conditions définies au présent décret, dans les limites des nécessités de la mission au titre de laquelle elles sont collectées ». Le texte souligne aussi qu’il est par ailleurs « interdit de sélectionner une catégorie particulière de personnes à partir de ces seules informations ».
Feu vert de la CNIL
Ce qui, à première vue, semble convenir à la CNIL. La Commission nationale de l’informatique et des libertés a en effet été consultée, comme le veut la loi dans ces circonstances. Dans sa délibération du 3 octobre, elle s’attarde sur ces fameux « champs libres », zone de commentaires où pourront figurer donc les données sensibles. La CNIL rappelle à leur égard que « les données traitées doivent être pertinentes, adéquates et non excessives au regard de la finalité poursuivie ». Elle précise aussi ce que le ministère a déjà noté dans le décret : c’est-à-dire que « le traitement de telles données n’est possible qu’en cas de nécessité absolue, sous réserve des garanties appropriées pour les droits et libertés de la personne concernée ». Pour le reste, la CNIL prend acte des garanties apportées par le gouvernement, « à savoir que les informations enregistrées dans ces champs libres ne pourront pas alimenter d’autres traitements et qu’elles seront uniquement accessibles via l’application ».
La gendarmerie nationale, contactée par CheckNews, se veut rassurante sur ce point : selon un porte-parole, les informations sensibles, portant sur la prétendue origine raciale, les opinions politiques, religieuses ou syndicales, la santé, la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle « ne sont transférées dans aucun autre fichier» et «ne peuvent être automatiquement transposées ailleurs », contrairement aux autres données portant sur l’identité complète de la personne concernée (nom, prénom, filiation…), qui elles sont transmises automatiquement sur le logiciel de rédaction des procédures (LRPGN). Du point de vue de la gendarmerie, cette section de commentaires libres fait office de «pense-bête» pour la rédaction d’éventuels procès-verbaux par la suite.
Une autre inquiétude est soulevée, cette fois par l’association de la Quadrature du Net. Dans un article, on peut ainsi lire que GendNotes facilite la collecte de photos, leur « transfert dans des fichiers extérieurs » et, in fine, la reconnaissance faciale. Outre les informations dites sensibles citées plus haut, GendNotes permet effectivement la collecte de photographies de la personne. La CNIL rappelle que ce nouveau calepin virtuel n’est pas en mesure d’effectuer une reconnaissance faciale. L’option est-elle pour autant complètement balayée ? Pas tout à fait. La gendarmerie nationale nous indique en effet que ces clichés, intégrés dans GendNotes, ne font pas partie des éléments automatiquement transférés dans le logiciel de rédaction des procédures. « Mais si le gendarme en a besoin dans sa procédure, il peut effectivement la transférer. » Dans un second temps, une ouverture de procédure pourra permettre de relier ce logiciel au fichier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ) qui, lui, procède à de la reconnaissance faciale.
« Effets potentiellement délétères »
Des précisions qui ne sont pas de nature à rassurer la pénaliste Virginie Gautron. Pour elle, « l’un des problèmes est la fusion dans un même fichier de finalités judiciaires et administratives, de sorte que le champ d’application vise toutes les missions de la gendarmerie, explique-t-elle à CheckNews. Habituellement, chaque fichier de police définit ses cibles. Par exemple, les personnes au sujet desquelles existent des indices graves ou concordants, des témoins, des personnes susceptibles de présenter une menace etc. Certes, le texte limite l’enregistrement aux informations "nécessaires, adéquates et proportionnées", mais comme aucune cible n’est précisée, les gendarmes sont totalement maîtres de la décision et de l’interprétation des critères de nécessité. »
Elle poursuit : « Un cadre plus précis éviterait les collectes de précaution, "au cas où cela pourrait servir", une tentation qu’on retrouve dans toutes les institutions. » Plus généralement, la pénaliste estime que « le sujet est totalement dépolitisé sans prise en compte d’effets potentiellement délétères ».
De son côté, la gendarmerie nationale rejette toute idée de "fichage" : « Il n’y a aucun fichage de la population, qu’il soit politique, religieux, syndical ou sur les orientations sexuelles. GendNotes est un outil qui permet la prise de notes dématérialisées (elle était jusqu’à présent manuscrite) des gendarmes dans le cadre de leurs interventions. Dans certains cas, la prétendue origine raciale, les croyances religieuses, etc. sont directement liées à l’intervention, les gendarmes doivent être spécifiquement autorisés à collecter ce type de données. »
Cordialement,
Anaïs Condomines
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Soulagé...
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Joseph, Marie et Jésus étaient-ils des migrants ?
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06/03/2020
Un ancien...
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Antifascisme archéologique...
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« Il existe aujourd’hui une forme d’antifascisme archéologique qui est en somme un bon prétexte pour se décerner un brevet d’antifascisme réel. Il s’agit d’un antifascisme facile, qui a pour objet et objectif un fascisme archaïque qui n’existe plus et qui n’existera plus jamais. […] Voilà pourquoi une bonne partie de l’antifascisme d’aujourd’hui ou, du moins, de ce que l’on appelle antifascisme, est soit naïf et stupide, soit prétextuel et de mauvaise foi ; en effet, elle combat, ou fait semblant de combattre, un phénomène mort et enterré, archéologique, qui ne peut plus faire peur à personne. C’est, en somme, un antifascisme de tout confort et de tout repos. »
Pier Paolo Pasolini, Écrits Corsaires
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Générations futures...
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Prophétie de Saint Païssios l’Athonite à propos d’une guerre entre la Turquie et la Russie
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« Nous reprendrons Constantinople. Nous ne le ferons pas nous-mêmes. Dieu en a disposé de façon telle que d’autres prendront la ville et nous la donneront. Une guerre surviendra entre la Turquie et la Russie. Au début, les Turcs paraîtront l’emporter, mais cela tournera en catastrophe pour eux. Les Russes remporteront la victoire et prendront Constantinople. »
« La Turquie se divisera, et les États qui jouent un rôle décisif dans la politique mondiale nous restitueront Constantinople. Ils ne feront pas cela parce qu’ils nous aiment, mais parce que Dieu organisera les choses de façon telle qu’il leur sera avantageux que Constantinople soit grecque. Ce sont les lois spirituelles qui entreront en action. Les Turcs vont devoir payer pour ce qu’ils ont fait. Ils périront car ils ont pris cette terre sans la bénédiction divine. Leur fin est proche. »
« Les Russes occuperont la Turquie. Celle-ci ne disparaîtra pas de la carte, car un tiers des Turcs embrassera la foi chrétienne, un tiers périra et un tiers rejoindra la Mésopotamie. »
« La Turquie sera démembrée. Constantinople sera à nouveau grecque. Et les offices orthodoxes seront de nouveau célébrés en l’église Sainte Sophie. »
« Sachez que la Turquie sera démembrée. En trois ou quatre parties. Les terres enlevées à la Grèce lui reviendront, de même que leurs terres seront rendues aux Arméniens et aux Kurdes. La guerre durera deux ans et demi. Nous serons vainqueurs car nous sommes orthodoxes. Nous ne subirons pas de perte. Tout au plus une ou deux îles seront prises, mais on nous rendra Constantinople. Vous verrez ! Vous verrez ! »
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Confirmation...
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Mieux vaut une bonne photo qu'un long discours...
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05/03/2020
L’esclavagisme abject enseigné dans le Coran et la Sunna de Mahomet
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
par Zohra Nedaa-Amal
Voir sur : islam-questions.com plus de documentation sur le mariage des enfants, le djihad et l’esclavage sexuel dans la charia et les textes fondateurs de l’islam.
Suite à mon dernier article sur les préceptes du Coran qui donne une légitimité divine à l’esclavage sous sa forme la plus abjecte, c’est-à-dire l’esclavage sexuel, j’ai reçu beaucoup de commentaires des islamophiles qui justifient cette barbarie par la barbarie des autres. Alors que j’avais rappelé que les autres peuples qui ont pratiqué l’esclavage ont reconnu cette faute comme un crime contre l’humanité et ont demandé pardon aux descendants des victimes.
Les commentaires des islamo-esclavagistes montrent qu’il n’est pas possible pour l’islam d’adopter une même attitude. Les adeptes de l’islam ne reconnaîtront jamais le crime contre l’humanité qu’ils ont commis pendant 1 400 ans, jusqu’à nos jours. Alors ils justifient ce crime monstrueux en accusant les autres d’avoir commis, dans le passé, le même crime. Mais ils ne condamneront jamais l’esclavagisme musulman, pour la simple raison que cela reviendrait à condamner Mahomet lui-même et sa divinité sanguinaire qui lui a révélé le Coran. C’est une parfaite démonstration que l’islam ne pourra jamais se réformer, pour la simple raison que son fondateur, Mahomet lui-même, a pratiqué l’esclavage sexuel, les pillages, les viols de masse et les exécutions barbares :
1 -- À Médine, il a décapité tous les mâles des Banu Qoreidhats, depuis les enfants pubères jusqu’aux vieillards, et il a réduit à l’esclavage sexuel les femmes, les filles et même les fillettes de cette tribu. Il a gardé pour lui-même la princesse de cette tribu : Rayhana. Il lui a proposé de la prendre pour épouse si elle se convertissait à l’islam, mais elle lui a répondu qu’elle préférait vivre comme esclave que de se marier avec lui. Elle préférait être une esclave prise par la force que d’être son épouse consentante.
2 -- À Khaybar, Mahomet a agi de la même manière monstrueuse. Il a gardé pour lui-même la princesse Safiyat. Il l’a obligée à avoir des relations sexuelles avec lui, le jour même où il a torturé et décapité son mari.
L’autre élément accablant pour l’islam, c’est qu’il continue à enseigner son idéologie raciste et esclavagiste. Il enseigne dès la toute petite enfance les versets esclavagistes comme étant la volonté d’Allah pour l’éternité, comme le montre cet enseignement donné à Al Azhar, l’institut le plus prestigieux du monde sunnite :
Et il ne faut pas penser que l’islam chiite est différent de l’islam sunnite. Il suffit de regarder cet ayatollah expliquer qu’il est licite de massacrer les hommes et de réduire les femmes à l’esclavage sexuel :
Malheureusement, cette barbarie se poursuit de nos jours, comme on peut le voir dans cette confession d’un musulman de l’État islamique : « J’ai tué environ 900 personnes et j’ai violé environ 200 filles et femmes. »
Dans ce reportage, on a du mal à entendre les propos glaçants de ce tueur.
Sur cette vidéo, la journaliste Stacey accompagne Shireen, une ancienne esclave sexuelle de l’État islamique âgée de 23 ans, alors qu’elle retourne à l’endroit où elle a été emprisonnée à Mossoul, avant de rencontrer dans un face-à-face ce commandant de l’État islamique emprisonné, qui reconnaît avoir tué 900 personnes et violé plus de 200 femmes.
Confronté à la journaliste de la BBC, l’islamiste a déclaré qu’il avait rejoint l’État islamique parce qu’il « était pauvre » :
« Je n’ai personne, je suis pauvre. Je n’ai qu’Allah. C’était une question d’argent pour moi », a-t-il déclaré devant la caméra lors de l’interview de la BBC.
Parlant des crimes commis, il a affirmé qu’il avait tué environ 900 personnes et violé plus de 200 femmes, dont 50 adolescentes.
Ce tueur qui combattait dans le « chemin d’Allah », a déclaré que l’État islamique menait souvent des raids en se faisant passer pour la police.
« Nous installions de faux postes de contrôle de sécurité, comme si nous étions la police », a-t-il déclaré. « On mettait 30 à 40 personnes dans un camion. Puis, on les tuait. »
Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il avait violé tant de femmes, l’islamiste a répondu avec désinvolture :
« Quand il s’agit d’avoir des rapports sexuels, personne ne peut le contrôler. C’est un désir très fort. »
Et il a ajouté que son cœur se brisait une fois qu’il voyait ces filles pleurer, après l’acte.
Le site Les Observateurs souligne que ce reportage de la BBC datant de 2018 est toujours d’actualité puisque ces individus sont de retour en Europe et vont pouvoir profiter de notre justice laxiste, les éléments de preuves étant souvent absents pour les condamner.
Notre administration et notre police refusent de nous informer sur la situation actuelle avec les islamistes qui sont revenus en Suisse. Tout juste sait-on que certains ne se trouvent déjà plus en détention.
D’autre part, notre justice ne poursuit pas les mineurs alors que nombreux d’entre eux sont justement entraînés pour commettre des attaques. Pire, certains enfants ont déjà commis des meurtres, vidéos de propagande à l’appui.
Les islamistes savent très bien que selon notre conception de l’humanité, nous percevons un enfant comme « innocent ». Ainsi nos propres valeurs, notre propre humanisme sont utilisés contre nous par la biais de notre naïveté. (extraits du site : https://lesobservateurs.ch )
Malgré ces monstruosités, on continue dans nos mosquées de France, de Suisse et des autres pays européens, à enseigner dès la toute petite enfance ces versets qui rendent licite l’esclavage sexuel aussi bien à Mahomet qu’aux autres musulmans :
-- (Sourate 33, Verset 50) : « ô Prophète ! Nous t’avons rendus licites les rapports sexuels avec celles que tu as possédées parmi les captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, – celles qui avaient émigré en ta compagnie, – ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à avoir des rapports avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » (à la révélation de ce verset, même Aïcha, la femme-enfant de Mahomet, s’est écriée : « Je vois que ton Dieu n’est là que pour satisfaire tes désirs ! »)
-- Même quand Allah lui ordonne d’arrêter ses mariages, il lui laisse la liberté totale de prendre comme esclaves sexuelles les captives qu’il faisait pendant ses razzias :
-- (Sourate 33, Verset 52) : « Il ne t’est plus permis désormais de prendre [d’autres] femmes, ni de changer d’épouses, même si leur beauté te plaît, à l’exception des esclaves que tu possèdes. Et Allah observe toute chose. »
Pour tous les musulmans, Allah précise que l’esclavage sexuel est licite :
-- (Sourate 70, Versets 29-30) : « Ceux qui se maintiennent dans la chasteté et n’ont pas de rapports qu’avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent car dans ce cas, ils ne sont pas blâmables. »
-- (Sourate 4,Verset 24) : « Et parmi les femmes, vous sont interdites les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. Prescription d’Allah sur vous ! » (Ce verset a permis le viol de masse des captives, y compris celles qui étaient mariées, après la victoire sur les tribus de Awtass.)
-- (Sourate 4,Verset 3) : « Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille). »
Ainsi, le Dieu du Coran donne une légitimité divine à cette monstruosité que constitue la réduction à l’esclavage sexuel des femmes, des filles et des fillettes dont on vient de massacrer les pères, les frères et les maris. Et Allah explique que l’esclavage résulte d’une volonté divine pour l’éternité.
Le Coran précise que l’esclavage est voulu par Allah, et qu’on ne peut pas le remettre en cause :
-- (Sourate 16, Verset 75) : « Allah propose en parabole un esclave appartenant [à son maître], dépourvu de tout pouvoir, et un homme à qui Nous avons accordé de Notre part une bonne attribution dont il dépense en secret et en public. [Ces deux hommes] sont-ils égaux ? Louange à Allah ! Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. »
-- (Sourate 30, Verset 28) : « Il vous a cité une parabole de vous-mêmes : Avez-vous associé vos esclaves à ce que Nous vous avons attribué en sorte que vous soyez tous égaux [en droit de propriété] et que vous les craignez [autant] que vous vous craignez mutuellement ? C’est ainsi que Nous exposons Nos versets pour des gens qui raisonnent. »
-- (Sourate 16, Verset 71) : « Allah a favorisé les uns d’entre vous par rapport aux autres dans [la répartition] de Ses dons. Ceux qui ont été favorisés ne sont nullement disposés à donner leur propriété à ceux que « leur main droite a possédés » [les esclaves] au point qu’ils y deviennent associés à part égale. Iront-ils jusqu’à nier les bienfaits d’Allah ? »
Et pourtant, nos dirigeants politiques, nos universitaires et nos médias dominants continuent à nous matraquer quotidiennement que tout cela n’a rien à voir avec l’islam.
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Le débat démocratique avant toute chose...
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Roman Salute : zero bacterial transfer
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VLADIMIR et françois
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"Cesse donc de crier aussi fort, François", lui dira Vladimir en lui tendant son casque de scooter ainsi que son biberon...
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Zones de non-droit : « La menace d’embrasement est encore plus forte »
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Ancien préfet et Directeur pour l’intégration, Michel Aubouin a travaillé au cœur de l’Etat. Pendant 40 ans, il a vu petit à petit des quartiers entiers rompre avec la République. Près de 10 % de la population française vit aujourd’hui dans de telles enclaves. Il a quitté ses fonctions pour dénoncer cette situation. L’équilibre national est au bord de la rupture, dit-il. Un entretien choc.
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04/03/2020
Fascisme !
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Lang
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Le mensonge d’al-Andalus
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et
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Al-Andalus est généralement présenté comme un paradis perdu, une société multiculturelle idéale, empreinte de raffinement et de tolérance dont l’éclat contrastait avec les supposés « âges sombres européens », marqués par la barbarie et l’obscurantisme médiéval. Cette vision toute manichéenne, érigée en dogme par « l’Histoire officielle », est peu à peu remise en cause par des historiens courageux.
Après le livre de Sérafin Fanjul Al-Andalus, l’invention d’un mythe (Editions du Toucan), la récente publication du livre de Dario Fernandez-Morero, professeur au département d’espagnol et de portugais de l’Université Nortwestern (Illinois), Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus, mythes et réalités (éditions Jean-Cyrille Godefroy) remet lui aussi l’histoire à l’endroit en dénonçant la falsification d’al-Andalus. Clair et passionnant, largement accessible aux non-spécialistes, cet ouvrage a l’immense mérite de replacer l’occupation musulmane de l’Espagne dans le long conflit civilisationnel opposant l’islam à l’Europe.
Une terrible régression culturelle
L’Espagne à la veille de l’invasion musulmane de 711 était une terre de haute et ancienne culture. Province romaine depuis les Guerres puniques, elle a fourni nombre d’écrivains latins et d’empereurs romains. Les Wisigoths, latinisés, installés depuis trois siècles, se considéraient comme les héritiers de plein droit de Rome. Pour Dario Fernandez-Morero, « la culture hispano-wisigothique existait déjà en Espagne lorsque l’islam naquit en Arabie parmi les tentes, les moutons et les chameaux bédouins ». De fait, au VIIIe siècle, le niveau de civilisation était bien plus élevé que celui des envahisseurs musulmans. Les chroniques musulmanes décriront d’ailleurs l’Espagne comme « un pays rempli de trésors de toute sorte » qui stupéfia les bédouins arabo-berbères incultes.
L’Hispanie wisigothique bénéficiait également de l’influence culturelle directe de l’Empire chrétien gréco-romain, que l’expansion musulmane interrompit brutalement. Reprenant la thèse d’Henri Pirenne, Dario Fernandez-Morero considère en effet qu’en s’interposant à travers la Méditerranée, l’islam aurait ralenti la transmission culturelle entre les Grecs et l’Occident. Il fait d’ailleurs sienne la thèse de Sylvain Gouguenhein qui dénonçait la fable d’une prétendue transmission du savoir antique à l’Occident par les Arabes (Aristote au Mont Saint-Michel, Seuil, 2008). Selon l’auteur, les musulmans n’ont jamais assimilé les civilisations précédentes : ils ont su en tirer profit et procéder à leur remplacement. Ainsi l’éclat du califat de Cordoue, si souvent vanté, se nourrissait de la romanitas et de l’islamisation d’une partie des élites wisigothiques, réemployant les techniques romaines, comme l’arc outrepassé ou l’alternance de brique et pierre. La musique, qui représentait une science quasi-inconnue des Arabes avant leurs conquêtes, fut proscrite de « l’éclairée al-Andalus ». « S’il n’y avait pas eu de bataille de Poitiers, pas de Reconquista, et pas de bataille de las Navas de Tolosa, (…) il n’y aurait peut-être pas eu de chants grégoriens, pas de polyphonie, pas d’orgues, pas de messes chantées ou instrumentales, pas de Bach, Mozart ou Beethoven. Les symphonies, les opéras, les grands compositeurs et le jazz n’auraient jamais existé », estime ainsi Dario Fernandez-Morero.
L’horizon des femmes d’al-Andalus : voilées ou esclaves sexuelles
La place de la femme dans la société cristallise la différence entre l’islam et l’Europe. Le livre de Dario Fernandez-Morero consacre d’importants développements à ce sujet. Le sort des femmes d’al-Andalus ne fut pas différent des autres pays musulmans : l’excision était généralisée et la lapidation pour adultère de règle. L’horizon des femmes musulmanes se limitait à la sphère domestique et nulle place ne leur était accordée dans la vie publique. Situation peu enviable au regard du statut accordé aux femmes dès l’époque wisigothique dans l’Europe chrétienne, grecque ou romaine, avec les exemples d’Anna Comnène à Constantinople, Christine de Pisan ou Marie de France en Europe occidentale. Quant aux poétesses d’al-Andalus, présentées comme une preuve d’émancipation féminine, elles ne pouvaient pratiquer leur art que dans le confinement, éloignées du regard des hommes. De surcroît, l’abondante poésie amoureuse d’al-Andalus évoquait des concubines, c’est-à-dire des esclaves sexuelles, jamais des femmes musulmanes.
La question de l’esclavage représente un aspect central d’al-Andalus, important centre de commerce d’esclaves alimentant ses trafics tant en Afrique qu’en Europe. Dario Fernandez-Morero souligne que les musulmans ont été les pionniers de la mise en esclavage des Noirs africains, considérés comme des êtres inférieurs, mais aussi des Européens, dont on estime que plus d’un million furent réduits en esclavage au profit du monde musulman à l’époque moderne (alors qu’al-Andalus n’existait plus). Les princes musulmans disposaient d’immenses harems motivant un très important esclavage sexuel, de femmes et d’enfants de race blanche, les femmes blondes ou rousses étant les plus recherchées. Sur cet aspect, Dario Fernandez-Morero nous enseigne que de nombreuses mères de dirigeants omeyyades étaient des esclaves sexuelles de souche franque ou galicienne, donnant une ascendance et un type physique caucasien à de nombreux princes musulmans espagnols.
D’al-Andalus à l’Etat islamique, une même terreur…
Loin d’une installation pacifique, l’invasion du royaume wisigoth a été conduite au nom du jihad, qui s’inscrivait dans le cadre historique de la grande poussée musulmane contre l’Europe, stoppée à Poitiers quelques années plus tard. C’est par la guerre et la terreur que l’islam s’imposera en Espagne. Bibliothèques livrées aux flammes des autodafés, destructions de monuments et d’églises (Dario Fernandez-Morero souligne qu’il n’existe plus aucune église antérieure à la Reconquista en Espagne), villes passées au fil de l’épée, mise en esclavage, arabisation systématique des noms de lieux… La conquête de l’Espagne procédera ainsi à l’anéantissement complet de la prometteuse civilisation hispano-wisigothique.
Sitôt les conquérants installés, la sharia devient la loi commune dans l’Hispanie occupée et sera rigoureusement appliquée par les ulémas, juges religieux disposant des pouvoirs politiques, juridiques et administratifs, légiférant sur les aspects les plus insignifiants de la vie humaine.
Contrairement à la légende de la « conviviencia », symbole d’une cohabitation heureuse, Dario Fernandez-Morero considère plutôt que les non-musulmans subirent une « coexistence précaire ». Soumis à la dhimma, ils n’avaient d’autre choix que d’acheter leur protection par un impôt spécial (que l’auteur assimile à un véritable racket), toute présence visible leur étant interdite dans l’espace public, chacun étant confiné dans un strict apartheid ethnico-religieux établi par une société très hiérarchisée dominée par les élites arabes, puis les masses berbères. Les mulédas (convertis) se retrouvaient au bas de l’échelle sociale, juste au-dessus des dhimmis. La pseudo-tolérance d’al-Andalus fonctionne tellement bien qu’au XIIe siècle, il n’existe plus de communautés chrétiennes dans l’Espagne musulmane…
La dynastie des Omeyyades, souvent présentée par les historiens occidentaux comme un exemple de convivienca et de tolérance, fait l’objet d’un chapitre édifiant, qui rappelle que les persécutions politiques et religieuses se multiplièrent avec force empalements, crucifixions, décapitations.
D’après Dario Fernandez-Morero, le caractère multiculturel d’al-Andalus motivait cette politique de terreur, seule capable de maintenir une société menacée en permanence de désintégration.
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Des destructions d’édifices pré-islamiques à l’esclavage sexuel, de l’établissement de la sharia aux décapitations, al-Andalus n’est pas sans rappeler les exactions de l’Etat islamique en Irak et au Levant. Et pourtant le califat islamique espagnol continue à nous être présenté comme un modèle d’islam éclairé. Comme l’écrit Rémi Brague dans sa préface, « l’évocation d’al-Andalus doit démontrer la possibilité d’une renaissance dans le futur de ce qui est censé avoir eu lieu dans le passé ». Autrement dit, cette falsification historique est une arme idéologique que nous vendent des universitaires complices ou complaisants, afin d’inciter les Européens à accepter l’immigration et l’islamisation, mais aussi pour les culpabiliser d’avoir brisé un modèle de civilisation multiculturelle qui était censé leur être supérieur.
Dario Fernandez-Morero cite dans son épilogue l’historien médiéviste Enrique Ruiz-Doménec, qui écrivait que « selon certains spécialistes, la frontière entre l’Espagne et le Maroc est la frontière dans le monde où existe la différence la plus visible entre deux mondes. » Cette citation édifiante n’est pas sans rappeler la formule de René Marchand, reprise par Dominique Venner, qui considérait que « les grandes civilisations ne sont pas des régions différentes sur une même planète, ce sont des planètes différentes ». Au-delà de la dénonciation du mythe d’al-Andalus, ce livre nous permet de juger de l’importance des frontières civilisationnelles entre l’islam et l’Europe. Et, au-delà, entre Nous et les Autres.
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03/03/2020
Barbara Lefebvre : « Rien à charge contre Ladj Ly, tout à charge contre Polanski »
=--=Publié dans la Catégorie "Franc-tireur"=--=
FIGAROVOX/TRIBUNE - Récompensé notamment par le César du meilleur film vendredi soir, le réalisateur des Misérables cultive des rapports ambigus avec la délinquance de banlieue et même l’islamisme, rappelle Barbara Lefebvre.
Par Barbara Lefebvre
Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, est l’auteur de Génération j’ai le droit (éd. Albin Michel 2018).
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La cérémonie des Césars qui s’est déroulée vendredi soir ressemblait à des obsèques. Celle d’un cinéma français moribond sous l’effet sclérosant d’un entre-soi vieillissant, celui d’une gauche de salon paternaliste prise à son propre piège: la bien-pensance différentialiste. L’industrie du cinéma français incarné par une académie des Césars «trop blanche, trop vieille, trop hétéro, trop bourgeoise» fut dévorée sous nos yeux par des cyniques qu’elle a engendrés : le cinéma des minorités, des offensés, des humiliés. La victime détrônait le bourreau qui l’avait pourtant financée, subventionnée, primée, célébrée. Le bourreau peut parfois être naïf malgré son arrogance…
On pourrait se rassurer en se disant qu’après tout, une nouvelle bien-pensance en remplacera une autre: ainsi une comédienne revendiquant son droit (légitime) à ne pas être réduite à sa couleur de peau décide pourtant de « compter les Noirs » présents dans la salle, une cinéaste militante réclamant la parité dans les instances du cinéma réalise un film 100 % féminin, ode à l’homosexualité féminine, un réalisateur « issu de la jeunesse abandonnée de banlieue » nous assène sa leçon de morale sur la misère, seul ferment des violences et frustrations. Heureusement que Roschdy Zem fut à la hauteur de sa récompense : un grand acteur qui a montré une fois encore qu’il était un grand Monsieur dans ses remerciements et ses hommages, un artiste qui ne s’est jamais laissé réduire à une image, une identité, une case.
Mais il y a ceux qui veulent « courir vite pour rattraper ceux qui sont devant au lieu de courir longtemps » pour reprendre les mots de Roschdy Zem, la tortue victorieuse. Cette nouvelle génération du haut de son magistère victimaire ne rassure pas quand on y regarde de plus près. Roman Polanski était certes indéfendable en raison des crimes pédophiles commis - prescrits ou non - et parce qu’il osa justifier son film en se comparant au capitaine Dreyfus, un authentique innocent, lui. Pourtant, il fallait que Polanski, hier icône transgressive de la gauche caviar, soit sacrifié pour que la nouvelle génération des inquisiteurs s’installe. Un clou chasse l’autre. Les nouveaux inquisiteurs ont des dizaines de films à produire (beaucoup sont déjà dans les instances du CNC pour les avances sur recettes), à réaliser, pour continuer à faire du cinéma français « intelligent » une machine à propagande. Désormais la machine devra être au service et aux mains des minorités qui savent s’ériger en victimes professionnelles. Mais attention, dans le petit monde des artistes donneurs de leçon depuis leur loft dans le 6ème arrondissement ou leur pavillon bourgeois de la proche banlieue en bords de Seine, tout le monde n’a pas la chance d’être une victime pouvant capter la lumière. Un exemple : la tragédie du monde paysan décrite dans Au nom de la terre, magnifique film d’Edouard Bergeon n’a pas sa place dans le palmarès des César. Certes, en 2018, Petit paysan avait reçu le César de la meilleure première œuvre, mais cette année un premier film se voit directement primé meilleur film. Les Misérables et sa litanie de clichés sur la banlieue mérite davantage les hourra que le sort d’un éleveur…
Rien ne devait être retenu à décharge pour Polanski, rien ne peut être à charge contre Ladj Ly. C’est pourtant un personnage intéressant, pétri de contradictions comme tout être humain. Le portrait officiel que la presse a répété docilement est d’un bloc : un jeune vidéaste de talent des banlieues, surgissant des émeutes de 2005 à Montfermeil qui s’est fait tout seul, ou presque. En décembre dernier, on rappela le passé judiciaire de l’artiste donnant à voir un autre aspect de sa personnalité. En 2012, en appel, il avait été condamné à trois ans de prison dont un an avec sursis pour enlèvement et séquestration (faits commis en 2009) dans le cadre d’une sorte de représailles aux allures de crime d’honneur contre l’amant de la sœur d’un copain. Lorsqu’à la sortie du film, quelques journalistes avaient voulu rappeler ces faits, Ladj Ly et ses amis avaient vigoureusement démenti: il y avait erreur sur la personne, il n’était pas le « Ladji Ly » condamné en 2011-2012. En décembre dernier, il fut contraint d’assumer, mais arguant d’une erreur de l’article publié relative à l’incrimination, Ladj Ly avait annoncé une plainte en diffamation, plainte qui n’est toujours pas parvenue aux organes de presse concernés.
Autre élément intéressant, Ladj Ly est un cinéaste qui revendique son désintérêt pour l’art cinématographique, ce qui n’est pas commun. Il n’en a jamais appris la technique, préférant utiliser la caméra de son téléphone portable pour filmer les policiers de sa ville lors de leurs interventions. Des interventions policières qui étaient souvent provoquées par les délinquants de Montfermeil, notamment de la cité des Bosquets où vivait la famille Ly, haut-lieu des trafics à l’époque, haut-lieu de la déshérence éducative vouant les jeunes à vivre dehors, livrés à eux-mêmes (probablement ce que Ladj Ly nomme « la misère des banlieue »). Des guet-apens anti-flics que Ladj Ly venait opportunément filmer, durant lesquels il traquait le geste policier de trop, et pour ce faire il n’hésitait pas à les provoquer verbalement, à les harceler comme en témoigne la vidéo du 28 août 2009 toujours en ligne. Vidéo qui lui vaudra une condamnation en 2011 pour outrages: douze policiers, filmés pendant près de quinze minutes en plan serré alors qu’ils reculent sous les caillassages de jeunes mineurs déchaînés qui leur avaient tendu un énième guet-apens, banal en cette fin d’été. Douze policiers insultés par Ladj Ly, qui se dit « journaliste » à plusieurs reprises dans la vidéo, qui les traite de voyous et de délinquants, leur dit qu’ils sont la honte de la France car « ils viennent attaquer des femmes et des enfants en plein Ramadan ». Douze policiers qui firent condamner l’apprenti cinéaste qui, à ce jour, n’a toujours pas versé aux plaignants l’amende imposée par la justice : 400 euros, ce n’est pas grand-chose pour un réalisateur à succès. À moins que pour Ladj Ly, le policier ne saurait être une victime méritant réparation.
Quand Ladj Ly n’est pas cornaqué par ses amis Romain Gavras, JR ou Kim Chapiron de Kourtrajmé ou surveillé par ses amis de Canal +, il révèle un visage moins lisse que celui qu’il a donné à voir à Cannes ou salle Pleyel vendredi. Son récent dérapage du Blog du cinéma ne l’aura finalement pas envoyé dans le décor, quand d’autres auraient fini dans les douves: le 23 novembre dernier l’article, mis en ligne trois jours avant, est vite effacé quand Twitter s’enflamme. Tout est pardonné, tout est oublié. Heureusement, il nous reste les captures d’écran de ceux que ses propos ont scandalisés... Ladj Ly pense qu’en France une « grosse partie [de la population] est devenue raciste et islamophobe assumée », un pays où « une guerre est déclarée contre l’islam, et j’ai envie de dire contre les banlieues ». En effet, pour ceux qui ont vraiment analysé les Misérables, l’islam semble être, pour Ladj Ly, l’incarnation identitaire des banlieues, le seul acteur pacificateur. Et pas n’importe quel islam : Salah, le Frère musulman salafiste ex-délinquant qui tient un kebab est le vrai héros positif du film, garant de l’ordre, sage médiateur entre les jeunes et la police. Cet entrisme islamiste dans les cités, jamais dans le film ou ses interviews, Ladj Ly ne le remet en question, ni ne le critique. Pourtant il doit savoir faire la différence entre islam et islamisme puisqu’il se dit coréalisateur d’un documentaire au plus près des djihadistes intitulé 365 jours au Mali. En effet, dès sa libération anticipée de prison en 2012, il s’envole pour le pays d’origine de sa famille et y filme différents groupes djihadistes dans le nord du pays, en plein conflit. Performance qui interroge pour quelqu’un qui n’a aucune expérience de journalisme de guerre, ni de réalisation documentaire… (coréalisateurs Saïd Belktibia et Benkoro Sangare).
L’article censuré du Blog du cinéma éclaire sur la capacité de Ladj Ly à dissimuler sa vision violente de la situation française. Quand il est sans filet, Ladj Ly en vient vite aux insultes, aux menaces même quand il vise une femme qu’il sait contrainte à vivre sous protection policière depuis des années : « l’autre connasse de Zineb [el Rhazoui] qui incite les policiers à tirer sur "la racaille de cité". Va te faire enculer ! Comme s’il y avait pas déjà assez d’assassinats de policiers sur les jeunes de cité ». C’est moins chic qu’une conférence de presse à Cannes, une interview au Monde ou un dîner des nominés aux Césars. Outre les attaques contre la journaliste, la dernière partie du propos nous ramène au film de Ladj Ly: un habile pamphlet anti-police. Ces propos au Blog du cinéma le prouvent: il y propage le mensonge colporté par le collectif Adama, le NPA et autres associatifs décoloniaux selon lequel la police tue impunément de jeunes innocents par pur racisme. L’objectif de ces influenceurs de banlieue, qui fascinent la bobocratie culpabilisée parisienne, est de faire monter la haine contre les policiers, derniers représentants de l’État républicain dans certains quartiers. Cette haine est le prélude nécessaire à l’exécution physique de policiers. Ladj Ly qui prétend filmer la vérité de la banlieue pour éviter « la guerre civile » ne pourrait-il pas à présent occuper son talent à raconter, du point de vue des victimes, l’exécution par des jeunes délinquants-criminels de quatre policiers, deux hommes et deux femmes, dans leur voiture de service à Viry-Châtillon en octobre 2016, où celle du couple de fonctionnaires de police de Magnanville massacrés devant leur enfant quatre mois plus tôt ?
Ladj Ly est ombrageux. L’état de la France l’inquiète, il l’a redit d’une voix doucereuse en venant chercher son prix vendredi soir. Mais en novembre 2019, il était plus précis sur la nature de son inquiétude sur le danger qui monte : « il y a une classe, une minorité, qui tient les médias et les politiques jusqu’à en devenir dangereux ». Et comme cette minorité qui tient tout « pousse les gens à s’entretuer », Ladj Ly en conclue : « c’est eux les premiers terroristes »… On est loin de Victor Hugo, mais on est loin aussi des djihadistes d’Aqmi qu’il dit être allé filmer en 2012-2013 au Mali. « La minorité qui tient les médias et les politiques » ne tient pas l’industrie du cinéma apparemment, sinon elle aurait empêché ce réalisateur inexpérimenté d’obtenir le César du meilleur film pour un premier long-métrage, dont personne n’ose pointer les imperfections. À moins que « cette classe, cette minorité » omnipotente ait été enfin détrônée pour être remplacée par une autre minorité avide d’un pouvoir qu’elle fantasme. La vie est un éternel recommencement. Et le cinéma donneur de leçon par la voix de faux prophètes, est de moins en moins un art.
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PATRICK EUDELINE : « MÊME LIBÉRATION A ADMIS QUE LES ALLÉGATIONS DE CHARLOTTE LEWIS CONTRE POLANSKI TENAIENT DU SIMPLE CHANTAGE »
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Le spectacle pathétique qu’a donné la grande famille dégénérée du cinéma français lors de la dernière nuit des César n’a pas laissé Patrick Eudeline de marbre. Réaction au vitriol.
Cela n’a pas commencé depuis dix minutes, et déjà madame Foresti se permet d’appeler Roman Polanski « Atchoum ». Ben oui, on grandit mal dans le ghetto de Cracovie. Bon : de la diversité, des accusations, des blacks inconnus agressifs en veux-tu en voilà, avec au milieu, perdus, un Roschdy Zem classieux et élégant, un Nicolas Bedos sympathique, une Fanny Ardant merveilleuse – forcément. On a eu tout cela. Et, surtout, quatre César pour le film de Ladj Ly : bien sûr, Madame Foresti – ni personne – n’a évoqué comment il a battu comme plâtre la cousine coupable et essayé de faire la peau du cousin qui l’avait séduite (« Allumez le feu ! » comme dans la chanson). Non, lui, il a le droit. C’est ainsi que la charia punit « le crime de fornication ». Mieux vaut s’en prendre gratuitement à Vincent Cassel (une trop jeune épouse !) et à Bruel. Aux sales Blancs.
Selon que vous serez caissière ou actrice
Je suis énervé. Hier, on m’a raconté, de première source, comment sont recrutées les caissières chez « ….. ». Une pipe pour moins d’un SMIC et une vie de harcèlement. Des filles traumatisées parce qu’elles ont croisé la route d’un mâle odieux, oui, j’en ai rencontré. Certaines en sont mortes, cognées à mort, violées.
Et… il n’y avait pas la couv’ de Télérama à la clef ou une invitation aux César avec buzz final. Pour ces privilèges, Adèle Haenel a dû supporter, elle, quelques poèmes vaseux et « un ou deux bisous dans le cou » non sollicités. Ah ! Je suis injuste. Un jour, chez lui, alors qu’elle avait posé la tête sur ses genoux, Christophe Ruggia a essayé de passer la main sous son teeshirt. On n’est pas loin de la tournante dans les caves du 93. Effectivement. On comprend, c’est terrible. Ça méritait bien de foutre en l’air la vie du niais réalisateur, du premier à vous avoir fait confiance, chez qui, spontanément, on allait « pour regarder des films ».
Polanski : condamnation de principe
Autre chose. J’ai un peu connu Polanski. Il y a très longtemps. Tiens ! Quand Valentine Monnier l’invitait dans son chalet de Gstaad et lui courait après, pour qu’il accepte de lui faire passer un casting. (« Il ne l’a pas prise pour Tess, elle l’a mal vécu », confie avec candeur la propre sœur de la Valentine). Et à cette époque, je l’ai vu se comporter, le Roman, en gentleman, avec ces amies communes (des filles toutes majeures) qu’il fréquentait. Je suis désolé. C’est mon souvenir et mon ressenti. Et je suis allé à des « fêtes » où des gamines de 14 ans harcelaient les rock stars, où tout le monde était défoncé. Oui. C’étaient les seventies. Tous les débordements étaient permis et même encouragés. Et peut-être même qu’à cette époque, Polanski était trop porté sur les filles, sur le sexe.
Mais des viols ? Je ne crois pas. Même Libération a admis que les allégations de Charlotte Lewis contre Polanski, par exemple, tenaient du simple chantage. Les autres ? Robin M., des actrices ratées en quête de buzz ? Examiné, aucun cas ne tient vraiment la route. Des situations borderline ? Sûrement. L’homme a ses démons : sa vie, son génie, le massacre de sa femme et de son fils, les pogroms. Cela ne pèse dans aucune balance ? Mais… a-t-il vraiment fait du mal à quelqu’un ? Rien n’est moins sûr. Qui connaissait Valentine Monnier, il y a six mois, avant son coup d’éclat ? Le seul témoin qu’elle exhibe ? Un vieux copain à elle, transi d’amour. Mais Adèle Haenel, la Foresti et toutes les autres n’ont pas pris la peine de lire l’histoire : le petit roi juif des Césars devait être condamné. Par principe.
Matzneff : un passé fantasmé
Autre chose, tiens… Jadis, quand tu étais un écrivain attiré par l’homosexualité, c’était bien vu et normal d’aller faire une « expérience » à Manille afin de « découvrir la pédérastie. » Cela faisait partie du chemin initiatique. C’est sale, oui. Mais c’était ainsi. Sinon, hors ces rares escapades tarifées, Maztneff, sa vie entière, à l’exception de son bourreau (celle-là même qui lui envoyait voilà cinq ans encore des lettres d’amour) n’est quasiment sorti en fait, malgré ses allégations, qu’avec des femmes majeures. Normal. Quand on est un écrivain germanopratin tendance Flore, ce sont les femmes mûres qui vous courent après, pas les gamines. Et soyons clairs : je n’aime pas ce que fait Maztneff. Et la lecture de son journal… Pas mon truc. Vraiment pas. Mieux : cette pédophilie crue et précieuse me dégoûte quelque peu. Mais juger le passé – fantasmé qui plus est – à l’aune d’aujourd’hui ? C’est de l’ignorance. Ou du révisionnisme. De la chasse aux sorcières. Ils cherchent absolument des témoins pour porter plainte et ainsi clouer le Maztneff sur leur croix ? Ils n’en trouvent pas. Pardi ! Il n’y en a pas.
Charia et révolution culturelle
Ce qu’on voit, ce qu’on vit ? C’est la Révolution Culturelle de Mao. C’est la charia qui impose de brûler les livres et de casser les statues et les monuments du « mauvais Islam » d’il y a… mille ans, d’avant le pédophile Mahomet et sa fiancée de 8 ans, Aisha. C’est l’inquisition et la dénonciation façon Au bon Beurre. On en est là. Ils veulent la peau de Gauguin comme hier les nazis avaient fait le ménage dans l’art de leur temps.
Demain, cela sera le tour des Stones et des autres (pour appropriation culturelle du blues ! les black panthers avaient déjà fait le coup à Hendrix – pas assez noir ! – qui avait dû cracher au bassinet.) Tout cela n’est pas nouveau, en fait. Pas nouveau. Non. Mais c’était mort avec le gauchisme. C’est cela – en pire – qui se réinvente aujourd’hui, via la nouvelle gauche américaine et ses imitateurs franchouilles. Déjà – ça m’a frappé – des journaux mode comme Stylist ou Vice écrivent en inclusif. C’est insidieux. Et ça court plus vite que le ConnardoVirus. Avec son lot d’opportunistes et de résistants de la dernière heure : les Darroussin, la Foresti…
Attention : vieux boomer non racisé chante le blues
Mais nous parlions des César. De ce monde du cinéma français rongé par cette nouvelle orthodoxie. Les films, aujourd’hui, sont quasi tous des films sociaux. De Hors normes à Roubaix, une lumière en passant par Les Misérables (qui est un navet victimaire, misérabiliste, justement, et fallacieux. Désolé). Pourquoi pas, au fond ? Cela révèle la société. Ses crispations. On était un peu las des histoires d’adultères chez des architectes du VIIIe. Mais une telle Révolution culturelle ? Qui va imposer des films sur la diversité et sur le militantisme LGBT ou féministe hardcore au détriment du reste ? Et nous expliquer que ces victimes sont là pour nous rappeler nos fautes ? « Nous » ? Ben oui, je suis blanc non racisé, vieux boomer et je chante le blues. Je suis un salaud de colonialiste. Et je dois payer avant de disparaître. Vous aussi.
Punks du côté de la réaction
Les écrivains décadents de 1880, classés donc à droite (les dandys !), étaient pourtant presque tous, comme Villiers de l’Isle-Adam, d’anciens communards, d’anciens révolutionnaires. Ainsi, nombre de punks libertaires et de rockers des seventies se battent aujourd’hui du côté de la « réaction », contre le nouveau monde, la tyrannie victimaire et ses chantages. Il n’y a pas de hasard : l’Histoire, souvent, balbutie. Comme disaient nos amis maoïstes : « Choisis ton camp, camarade ». Non, en fait. On a choisi pour toi.
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Violences à la gare de Lyon : « Une société multiculturelle est une société de conflits multiples »
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FIGAROVOX/TRIBUNE - Yves Mamou revient sur les affrontements violents qui se sont déroulés vendredi dernier en gare de Lyon. Selon lui, l’immigration de masse, conjuguée à l’abandon du modèle d’intégration à la française, débouche inévitablement sur une flambée de violences.
Par Yves Mamou Yves Mamou est journaliste. Il est notamment l’auteur de l’ouvrage Le Grand abandon. Les élites françaises et l’islamisme (L’Artilleur, 2018).
Il va falloir s’y habituer. La population d’un pays qui accueille des «réfugiés» par centaines de milliers chaque année, doit s’accoutumer (aussi) à voir se déployer sur son sol les guerres et conflits que ces mêmes réfugiés ont fui dans leur pays d’origine. Les Parisiens qui déambulaient dans le quartier de la gare de Lyon, vendredi 28 février en fin d’après-midi, ont dû se demander, ébaubis, à quoi rimait ce déchaînement de violence africaine - incendies de voitures, de scooters et de poubelles - sur le sol français. C’est ainsi que des Congolais, opposants au régime du président Tchisekedy du Congo, ont jugé bon d’exprimer leur hostilité à la star congolaise Fally Ipupa, jugée trop proche du régime actuel, et qui se produisait au palais omnisports de Bercy. Les violences ont été si importantes que les forces de l’ordre ont annoncé avoir procédé à 37 interpellations et 54 verbalisations.
Ces violences incompréhensibles aux non-Congolais qui vivent en France sont des conflits importés. Ces violences importées sont le fait de populations fraîchement immigrées. Ces violences se produisent quand un pays se déclare lieu d’immigration, qu’il ne sélectionne pas les «réfugiés» qu’il accueille sur son sol et renonce même à tout effort d’intégration. Willy Dendebe, un opposant, s’est indigné ainsi auprès de l’AFP, de la tenue du concert. « Ça fait 30 ans que je suis ici à cause d’eux ! 30 ans et on les laisse se produire ici en France comme si de rien n’était. Alors oui on est en colère ! ».
Mais ces violences intra-ethniques importées peuvent prendre la forme de conflits interethniques comme cette bagarre à l’arme blanche entre une cinquantaine de migrants qui a eu lieu, à Ouistreham, au moment même où les Congolais se déchaînaient à Paris.
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