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22/02/2020

Taxes... Taxes... Taxes...

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21/02/2020

Âge de la Retraite...

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20/02/2020

Infidélités

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EHPAD... AME...

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19/02/2020

Tendu vers l'avenir

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Un Pouvoir qui se chie dessus et, par la même occasion, nous chie sur la gueule !

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Justice

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18/02/2020

Honte...

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Chris Duarte : "My Way Down"

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Chris Duarte

 

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Drapeaux maghrébins sur le toit d’une église à Albi: « Vers une banalisation des actes anti-chrétiens »

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À Albi, trois jeunes hommes sont montés sur le toit d’une église pour hisser les drapeaux du Maroc, de la Tunisie et de l’Algérie

 

FIGAROVOX/TRIBUNE - Dimanche 9 février, des individus ont hissé des drapeaux maghrébins sur le toit d’une église à Albi. Pour Maya Khadra, cette provocation témoigne de la fréquence des actes anti-chrétiens, pourtant rarement évoqués dans les médias.

Par Maya Khadra

Maya Khadra est journaliste et directrice du département de culture générale et d’humanités à l’IPAG Business School.

L’église catholique Saint Jean-Baptiste, située dans le quartier de Rayssac à Albi, a été la cible dimanche 9 février d’un acte insensé, à la fois banal et hautement provocateur. Des drapeaux maghrébins ont brièvement été hissés sur le toit de l’église. Le tout a l’air d’une farce, au demeurant assez ridicule. Cependant, l’image retenue regorge de symboles contradictoires et dérangeants: dans l’esprit de ceux qui ont assisté à la scène, c’est comme si le Maghreb s’en prenait à une église… Par extension, ces jeunes ont en réalité singé l’affrontement entre le monde musulman et la France catholique.

En réalité, c’est une guerre de symboles impitoyable que subit la France, depuis maintenant de nombreuses années. Le tableau est surréaliste: le croissant islamique du drapeau algérien disputant la place à la croix dressée sur le toit d’une église s’ajoute à la liste déjà longue des actes anti-chrétiens dont le catholicisme français fait l’objet, attaqué à hue et à dia avec une agressivité souvent gratuite. En France, les chrétiens subissent une véritable «crise sacrificielle» au sens girardien du terme. Une foule violente, mue tantôt par un anticléricalisme d’un autre âge (comme ces individus cagoulés qui ont attaqué le 19 janvier un car de pèlerins à Caen) ou par un islamisme obscurantiste qui nourrit une aversion revancharde à l’encontre de la France, se jette sur le corps sacrificiel de la victime, du bouc émissaire qu’est la France catholique.

La violence, dans les actes et dans les symboles, est le moteur inlassable de ce phénomène civilisationnel alarmant. Il y a aussi, dans l’acte de hisser des emblèmes maghrébins sur le toit d’une église comme l’écho des persécutions de jadis, dans un passé révolutionnaire qui avait déjà en son temps déclaré la guerre aux symboles chrétiens en France. La violence anti-chrétienne en France court les pages des livres d’histoire et ses stigmates sont toujours visibles: statuaires dégradées pendant la révolution, églises transformées en casernes ou atelier de teinturerie - comme l’église paroissiale Saint-Landry bâtie au VIIIe siècle à Paris… La Tour Saint-Jacques, fière et silencieuse, est le dernier vestige qui témoigne encore du sort qui fut fait à l’église Saint-Jacques-la-Boucherie, démontée lors de la révolution pour le commerce de ses pierres. Un mimétisme s’installe irrévocablement entre cette violence ancienne et cette violence actuelle. En France, les chrétiens sont encore et toujours la première communauté religieuse visée par des attaques ou des profanations. En 2018, on recensait plus d’un millier d’actes anti-chrétiens - dix fois plus que d’actes anti-musulmans. Comme si cette violence était chevillée à l’histoire de la France. Et pour ne rien arranger à l’affaire, les chrétiens souffrent en outre de la lâcheté de certaines de nos élites qui ont choisi de les rayer de l’imaginaire collectif français.

Il est aujourd’hui aussi la cible parfaite d’un nouvel assaut identitaire, porté cette fois par certaines communautés islamistes. On oublie seulement que la violence unanime, celle du «tous contre un», mène chez Girard à l’auto-destruction des foules déchaînées et à l’érection du bouc-émissaire, de la victime, en symbole triomphant. Les actions anti-chrétiennes répétitives, comme l’image de ces drapeaux maghrébins sur le toit de l’église, couplées à un lynchage médiatique anti-catholique, mèneront à terme à une décrédibilisation totale des adversaires de la France historique et de ses racines chrétiennes. Le propre du bouc émissaire est d’avoir raison de ses pourfendeurs.

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SOURCE: Le Figaro

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Palais de l'Elysée 2025...

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Joe Bonamassa : "Angel Of Mercy"

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17/02/2020

Réchauffement Climatique, Mythe et Réalité

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Partie 1/2

 


Partie 2/2

 

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Subventions...

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Ce sont les mêmes...

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Donc si je suis bien et si j'ai bien compris...

Sitôt le responsable de la diffusion de la vidéo où Benjamin Griveaux met en scène son vigoureux sexe connu, le pathétique Piotr Pavlenski, des voix au sein de la majorité se sont élevées pour appeler à l'expulsion vers la Russie du névrotique dissident accueilli à bras ouverts par la France en 2017. Ce sont les mêmes qui désirent accueillir les Jihadistes supposés français de retour de Syrie ou d'Irak. Ce sont les mêmes qui tardent à expulser hors du pays des étrangers en situation irrégulière sur notre sol. Et comble de leur sottise : ce sont les mêmes qui vilipendent les théories complotistes mais affirment que Poutine est derrière ce qui arrive.

Tout cela est fort délicieux...

 



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16/02/2020

Il y a urgence ! Merci !

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Paris sera toujours Paris

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1985 : Tranches de vie de François Leterrier...

Film à Sketches. Ici : Paris sera toujours Paris : un journaliste rencontre une parisienne d'un quartier très particulier...

Prophétique ! Un film semblable ne serait certainement pas possible aujourd'hui sans une levée de boucliers... 

 

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Défense du Climat...

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Vidéos intimes de Griveaux : le rôle trouble de Juan Branco

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L'avocat d'extrême gauche affirme avoir été consulté par Piotr Pavlenski, l'homme qui a publié des messages privés du candidat LREM à la Mairie de Paris.

Par Aziz Zemouri et Marc Leplongeon

 

 

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JUSTICE !

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Enfin à la maison !

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Boulevard

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15/02/2020

LOI UNIVERSELLE !

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Si j'puis m'permettre... tout ce beau monde politique qui, à l'unissons, condamne ce climat délétère moralisant et puritain (quand il s'agit de leur cul ou leur bite)... c'est bien... c'est très bien même !

Mais ce sont les mêmes qui, à l'unissons toujours, pourrissent la vie de la moindre personne qui fait un pet de travers dans leur organigramme idéologique. Dans ces cas-là, ils lâchent la meute sur la brave personne qui a eu l'outrecuidance de braver leurs postulats (im)moraux !

Finalement... Griveaux n'a que ce qu'il mérite... On récolte toujours ce que l'on sème ! LOI UNIVERSELLE !

 



 

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Bite !

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Paris 18ème : bienvenue dans le monde d’après !

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Par Xavier Eman

Si Dante, ressuscité pour services rendus au génie européen, rédigeait en 2020 une nouvelle version de son œuvre fondamentale, nul doute qu’il y ajouterait la description d’un autre cercle de l’enfer : la station de métro Château-Rouge et ses environs. Bienvenue dans le 18e arrondissement de Paris : le laboratoire du monde d’après !

Tout d’abord, vous êtes expulsé, plus que vous ne sortez, de la bouche de métro. Vous, petite touche blanchâtre perdue et portée par la densité du flot africain qui vous projette au cœur d’un vaste marché sauvage, misérable et bruyant. Dans les odeurs d’épices et de maïs grillé sur des structures métalliques de caddies de supermarchés, les divers produits sont présentés à même le sol, au mieux sur un bout d’étoffe étendu sur le bitume. Volubiles, les mamas en boubous multicolores négocient hardiment gadgets made in China et denrées du « pays » via d’infinis et gesticulants palabres. Pour le néophyte, l’ensemble atteint rapidement un niveau sonore désagréablement assourdissant. C’est Bamako au pied des immeubles haussmanniens. Ou plutôt, c’est un ersatz de Bamako au pied des vestiges lépreux de l’architecture haussmannienne, une sorte de no man’s land ethnico-culturel. Ici, on n’est pas « dépaysé », on est « apaysé ». On n’est nulle part.

Aux abords de ce marché tiers-mondisé, des individus paraissant désœuvrés « tiennent les murs ». Adossés aux portes des résidents ou abrités sous un porche, ils attendent, le plus souvent plongés dans la contemplation de l’écran de leur smartphone dernier cri. En fait, ils travaillent. Ce sont les entrepreneurs du lieu, les businessmen de la rue, les petits génies de la start-up à fort taux de croissance, bref, des dealers. Inutile d’être Columbo pour les identifier tant leur commerce se déroule au grand jour, de façon on ne peut plus visible, pour ne pas dire ostentatoire. À quelques mètres de là, deux fonctionnaires de police somnolent dans leur voiture de patrouille. Incongru et inutile rappel d’une autorité factice.

Plus discrets, glissant le long des façades comme des ombres étiques et vacillantes, les clients toxicos quadrillent également la zone. Corps décharnés, visages secoués de tics, à demi clochardisés, ils sont aussi effrayants que pathétiques. Les yeux brûlants de manque, sans doute prêts à vous égorger pour une piquouse ou une pilule, ils ont tout des zombies de films hollywoodiens de série Z, ruines d’humanité, souvenirs d’hommes. Certains mendient, obséquieux ou agressifs, d’autres, ayant déjà basculés dans l’antre de la folie, vocifèrent tout seuls ou entretiennent des conversations avec un interlocuteur imaginaire. Peut-être l’être humain qu’ils ont un jour été…

À l’exception du visiteur de passage, plus personne ne prête attention à ce spectacle, même quand l’un de ces naufragés défèque dans le caniveau ou urine sur une voiture en stationnement. Le poids de l’habitude. L’indifférence accompagne le renoncement.

La situation est telle que les riverains ont récemment attaqué l’État et l’ont fait condamner par le tribunal administratif pour « rupture de l’égalité des citoyens » en matière d’hygiène et de sécurité. Bien entendu, cette décision judiciaire n’a été suivie d’aucun effet, d’aucune ébauche d’intervention, d’aucune velléité d’action. Malgré les idées immanquablement courageuses et géniales de la mairie de Paris, consistant à envisager d’installer du mobilier urbain « anti vendeurs à la sauvette » et à vouloir « renforcer le dialogue entre les différents acteurs du champ social », c’est toujours la même désolation et le même accablement pour les derniers habitants « historiques » du quartier.

Que l’on puisse affirmer que cet émétique chaos, un tel maelstrom de misère, de saleté et de vice, représente un quelconque « enrichissement », le moindre « progrès », pour qui que ce soit, s’apparente soit au cynisme idéologique le plus abject, soit à la déficience psychologique lourde.

On ne peut d’ailleurs s’empêcher ici de penser au désormais fameux « syndrome de Paris », ce mal qui frappe les touristes japonais à leur retour d’un séjour dans la capitale française, traumatisés par le contraste entre l’image qu’ils se faisaient de la Ville Lumière – nourrie par le visionnage des films de Duvivier, Renoir, Audiard et plus récemment de Jean-Pierre Jeunet – et la réalité de ce qu’elle est devenue. Les rues de Montmartre sont des coupe-gorges crasseux, et la vraie Amélie Poulain est une camée accro au crack, qui taille des pipes entre deux poubelles pour se payer sa dose. Le choc est, il est vrai, assez violent…

Tartuffe à la casbah ou les aventures de Jean-Eudes et Marie-Chantal chez les Bantous…

Pour tenter de respirer à nouveau, on marche alors quelques centaines de mètres, remontant la rue Custine, et, peu à peu, les kebabs cèdent la place aux salons de thé « bio », et les taxiphones aux épiceries « gluten free ». Une frontière invisible a été franchie, et les catogans et autres pantacourts prennent le pas sur les coupes afros et les djellabas… Sans le savoir, vous avez pénétré dans le « bon XVIIIe », celui que les agents immobiliers vous présentent comme ayant un « fort potentiel », gentrification oblige. Un « quartier populaire » où le mètre carré à 8 500 euros pourrait atteindre les 10 000 sous quelques mois. Bref une « expérience humaine diverse et enrichissante » doublée d’un investissement prometteur. Spéculation et bons sentiments. En un mot : le paradis, pardon, le nirvana, du bobo gauchisto-cosmopolite, vélocipédiste et macronien.

Ici, autant de drogués qu’un peu plus bas, mais ceux-là, au moins, ont les moyens de leurs addictions, et le vegan cocaïné jusqu’aux sourcils présente mieux – plus proprement – que le prolo gavé aux méthamphétamines. C’est le royaume des chantres de « l’accueil », du « sans-frontiérisme » et du « vivre ensemble », très fiers, en bons anthropologues ouverts et curieux, de côtoyer des « populations issues de la diversité » auxquelles ils se gardent toutefois bien de se mélanger vraiment. Une sorte de « développement séparé », dans les faits, mais accompagné de la douce musique du prêchi-prêcha mondialiste et politiquement correct. Tartuffe à la casbah ou les aventures de Jean-Eudes et Marie-Chantal chez les Bantous…

Ainsi, en terrasse, les pubards trinquent à grands coups de spritz ou de mojitos avec des architectes d’intérieur ou des conseillers en patrimoine tout aussi soucieux qu’eux de la montée des populismes en Europe et de la situation – inhumaine et inacceptable – des migrants/exilés/réfugiés. Migrants qu’ils pourraient visiter à quelques rues de là, Porte de la Chapelle, entassés dans des bidonvilles infâmes aussi souvent « évacués » qu’immédiatement reconstitués. Ils admireraient alors le résultat concret de leurs utopies, de leur charité théorique et inconséquente, le fruit de leurs choix électoraux « généreux et progressistes » : des miséreux déracinés et déculturés terrorisant la population autochtone en attendant d’être pris en charge à vil prix par les néo-esclavagistes du Medef.

Mais, comme dirait l’autre, ceci est une autre histoire…

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SOURCE : Eléments

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