25/02/2015
Il reste les livres
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« Pour consolation, comme toujours, il reste les livres, vaisseaux légers et sûrs en vue des errances à travers le temps et l’espace, voire au-delà d’eux. »
Ernst_Jünger, La cabane dans la vigne
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Les circonstances
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« Il y a naïveté et imprudence à attendre que les circonstances travaillent toutes seules et conspirent bénévolement en faveur de notre pays. »
Jacques Bainville, Réflexions sur la politique
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24/02/2015
Des lendemains furtifs
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« Il faudra bientôt, je le soupçonne, que nous nous cachions pour lire, comme le temps est venu de se cacher pour boire. Rendre hommage au vin loyal confine à l'insoumission et invite à la clandestinité. Nous sommes quelques-uns à nous préparer à des lendemains furtifs. »
Jean-Claude Pirotte, Expédition nocturne autour de ma cave
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Le secret des forts
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« Le secret des forts est de toujours se contraindre. »
Maurice Barrès, Sous l’œil des Barbares
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Apprenez à sacrifier
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« Vous voulez devenir quelqu’un de grand ? Croyez-vous toujours capable de tout. Apprenez à sacrifier. Mettez votre honneur en jeu dans tout ce que vous faites. »
Jean-René Huguenin, Journal
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L’amour de la vie et le mépris de la mort
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« Ils faisaient preuve ainsi de deux qualités que tout homme digne de ce nom réunit : l’amour de la vie et le mépris de la mort. »
Ernst Jünger, Lieutenant Sturm
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Résister à l’Etat
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« La vérité est que seuls les hommes qui tiennent la famille pour sacrée auront jamais une ligne de conduite et une dignité qui permettent de résister à l’Etat ; car eux seuls peuvent en appeler à quelque chose de plus sacré que les dieux de la cité : les dieux du foyer. »
Gilbert Keith Chesterton, L’Homme Éternel
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Un témoignage de respect envers soi-même
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« L’homme qui importe vit de telle manière que son existence soit un sacrifice à son idée. Le sens que l’on donne à sa propre vie est un témoignage de respect envers soi-même. »
Oswald Spengler, Ecrits historiques et philosophiques
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Héritier
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Je suis d’ici, et non d’ailleurs, fils d’une famille, héritier d’un nom. »
Pierre Boutang, La Politique
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22/02/2015
Nous sommes chez nous...
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Antifa Fasciste !
=--=Publié dans la Catégorie "PARENTHÈSE"=--=
« Pierre B. » (Le meneur de la profanation du cimetière de Sarre-Union) « avait étrangement un ennemi déclaré : "le fascisme". Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements. "On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner, raconte Gaëtan. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise." »
Cliquez sur la photo puis servez-vous de la loupe...
Tout cela est d'une logique implacable... ça s'tient... C'est la Gôche qui va êt'e déçue, encore, que ce ne soit pas l'oeuvre de l'immonde esstrêêêêmeuh-drouâââteuh... qui nous rappelle les zeurléplus sombres de not' histwouare ! Toussa...
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Très pieuses Sourates...
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Monsieur le Ministre...
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20/02/2015
Le culte que le démocrate rend à l’humanité
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« La ferveur du culte que le démocrate rend à l’humanité n’a d’égale que la froideur par laquelle il manifeste son manque de respect pour l’individu. Le réactionnaire, lui, dédaigne l’homme, sans trouver aucun individu méprisable. »
« L’historien authentique est un érudit qui écoute la rumeur de l’histoire avec l’imagination d’un enfant. »
« La ferveur d'une âme noble peut se tromper d'objet sans se tromper de direction. »
« L’intelligence ne consiste pas à manier des idées intelligentes, mais à manier intelligemment n’importe quelle idée. »
Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie - Scolies pour un texte implicite
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19/02/2015
Tout se confondit dans une même souffrance
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Alors les appétits de la chair, les convoitises d’argent et les mélancolies de la passion, tout se confondit dans une même souffrance ; et au lieu d’en détourner sa pensée, elle l’y attachait davantage, s’excitant à la douleur et en cherchant partout les occasions. Elle s’irritait d’un plat mal servi ou d’une porte entrebâillée, gémissait du velours qu’elle n’avait pas, du bonheur qui lui manquait, de ses rêves trop hauts, de sa maison trop étroite. »
Gustave Flaubert, Madame Bovary
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Ces étroits cerveaux de négociants
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Il flairait une sottise si invétérée, une telle exécration pour ses idées à lui, un tel mépris pour la littérature, pour l’art, pour tout ce qu’il adorait, implantés, ancrés dans ces étroits cerveaux de négociants, exclusivement préoccupés de filouteries et d’argent et seulement accessibles à cette basse distraction des esprits médiocres, la politique, qu’il rentrait en rage chez lui et se verrouillait avec ses livres. Enfin, il haïssait, de toutes ses forces, les générations nouvelles, ces couches d’affreux rustres qui éprouvent le besoin de parler et de rire haut dans les restaurants et dans les cafés, qui vous bousculent, sans demander pardon, sur les trottoirs, qui vous jettent, sans même s’excuser, sans même saluer, les roues d’une voiture d’enfant, entre les jambes. »
Joris-Karl Huysmans, À rebours
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Le Confort...
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Répondre...
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Elle était si triste...
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Elle était si triste, si triste, qu’à la voir debout sur le seuil de sa maison elle vous faisait l’effet d’un drap d’enterrement tendu devant la porte. Son mal, à ce qu’il paraît, était une manière de brouillard qu’elle avait dans la tête, et les médecins n’y pouvaient rien, ni le curé non plus. Quand ça la prenait trop fort, elle s’en allait toute seule sur le bord de la mer. »
Gustave Flaubert, Madame Bovary
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18/02/2015
LostAlone : "Scarlet Letter Rhymes"
=--=Publié dans la Catégorie "Music..."=--=
The rhythms of life are not syncopated
A hurricane strike is a fate worth sailing on a fictional tide for
Forever we chase this is why we are living
Forever replace where i end
You are beginning in the passage of time
Don't waste your life and dreams
Finding ways to stare into the sun
Fear anti pioneers who hope to tame us while we're young
The fascination is all around
When your generation is lost in the crowd
And we waste our time counting life down
And we force an attack and I won't look back for hope that's gone
I'm a hostage but I'm holding on
Who said that all you can be is but a vessel in time
Shaping this dichotomy impaled inside
Wisdom is light that reflects your breathing
Wisdom is light that inflames all reason
In the passage of time
Don't waste your life and dreams
Finding ways to stare into the sun
Fear anti pioneers who hope to tame us while we're young
The fascination is all around
When your generation is lost in the crowd
And we waste our time counting life down
And we force an attack and I won't look back for hope that's gone
I'm a hostage but I'm holding on
They were not our dreams to open
But I took them back unbroken
For that moment we were stolen
When your generation is lost in the crowd
And we waste our time counting life down
And we force an attack and I won't look back for hope that's gone
I'm a hostage but I'm holding on
21:58 Publié dans Music... | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook
L’embryon de la terreur
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« La loi est l’embryon de la terreur. »
« Seul est un catholique accompli celui qui élève la cathédrale de son âme sur des cryptes païennes. »
« Les jugements injustes d’un homme intelligent sont le plus souvent des vérités drapées dans la mauvaise humeur. »
« Ce qui était populaire est devenu vulgaire quand le peuple a renoncé à copier naïvement la culture aristocratique pour acheter la culture "populaire" que lui fabrique la bourgeoisie. »
Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie - Scolies pour un texte implicite
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Ressembler à l’absolu
=--=Publié dans la Catégorie "Lectures"=--=
« Tout ce qui nous reste, c’est la liberté du choix de la méthode que nous essaierons une fois rendus face à ce vide de l’action en cours, pendant cet entracte ou nous attendons "l’absolu". De façon ou d’autre nous devons faire nos préparatifs. Que l’on désigne préparatifs sous le nom de "progrès spirituel" est dû au désir qui hante plus ou moins tout être humain de se modeler, fût-ce sans y réussir le moins du monde, sur l’image de l’absolu à venir. De tous les désirs, c’est peut être là le plus naturel et le plus honnête, de souhaiter ainsi que tant le corps que l’esprit en viennent à ressembler à l’absolu. »
Yukio Mishima, Le soleil et l’acier
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Une secrète sympathie
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« Les préjugés ont ceci de bon, qu’ils préservent des idées stupides. »
« Entre adversaires intelligents il existe une secrète sympathie, car nous devons tous notre intelligence et nos qualités aux qualités et à l’intelligence de notre ennemi. »
« La tyrannie d’un individu est préférable au despotisme de la loi, parce que le tyran est vulnérable et la loi incorporelle. »
« Seules les éducations austères forment des âmes fines et délicates. »
Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie - Scolies pour un texte implicite
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Notre incroyable légèreté, notre ironie provinciale...
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« Notre incroyable légèreté, notre ironie provinciale, notre inaptitude française à l’uniformisation européenne, notre mégalomanie encrassée, ont toujours exaspéré les peuples qui voulaient vraiment notre intérêt, et Dieu sait qu’ils sont nombreux. [...] Je sais la France et ses horreurs. Mais on ne m’empêchera jamais de me dire qu’un pays où le féminisme anglo-saxon et le déconstructivisme derridien n’ont jamais pu réellement adhérer, prendre racine en profondeur, ne peut être tout à fait mauvais. »
Philippe Muray, L’empire du bien
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Degré de civilisation
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« La phrase doit émerger de son habillement verbal, pulpeuse, limpide et fraîche, comme une adolescente qui se met nue. »
« Le christianisme dépasse toute éthique, parce qu’il ne demande pas d’être sans péchés, mais avide de pardon. »
« Rien n’attendrit plus le bourgeois que le révolutionnaire d’un pays étranger. »
« Le degré de civilisation d'une société se mesure au nombre de gestes usuels de politesse dans la vie quotidienne. »
Nicolás Gómez Dávila, Les horreurs de la démocratie - Scolies pour un texte implicite
07:00 Publié dans Lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | | del.icio.us | | Digg | Facebook