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06/01/2023

Socialisme à la fin du XIX ème siècle...

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05/01/2023

Formation

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04/01/2023

Les Soldes...

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Servitudes

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« — Je veux bien combattre, mais pourquoi ces entraves ? Je veux bien gravir le sentier ardu, mais que ce fardeau me soit ôté !

L'AMI. — Tu ne serais pas un homme, si tu n'éprouvais ce désir. Mais resterais-tu semblable aux autres, si ce désir s'accomplissait ? Les servitudes, grandes ou petites, ont dans l'existence un caractère accidentel. Mais l'accident, par sa régularité, se rapproche de l'essentiel. Qui donc est exempt de servitudes ? Lorsque les grandes difficultés s'éloignent, les petites misères apparaissent. Nous passons le temps à changer de servitudes. Demande son secret à chacune d'elles ! Ne les retiens pas inutilement, mais profite de leur passage ! Si elles deviennent chroniques, apprivoise-les ; qu'elles se rendent utiles dans la maison ! Selon leurs aptitudes, fais-leur cultiver ton âme ou cirer tes souliers !

Il faut des servitudes, afin de s'initier à la vie, et surtout pour comprendre les embarras des autres. Tout joug est une révélation à celui qui le porte en conscience. Chaque misère, de quelque nom distingué ou vulgaire qu'elle se nomme, est une messagère capable de nous expliquer ceux de nos frères qui en sont atteints. Elle nous offre la clef d'un mystère. Profite de la clef ; ouvre la porte fermée ! Ce que tu apprendras sera le prix de ce que tu auras souffert. Ne te plains pas d'être astreint à des soins vulgaires, indignes d'un homme d'esprit ; ne te plains pas des irritants détails, des heures perdues à entendre bavarder des fâcheux ! A supposer qu'on te force tous les matins à balayer une rue, balaye de bon coeur et fraternise avec ceux qui balayent comme toi ! Ce sera là ta prière du matin, ton élévation en fraternité. — Arrive l'occasion ensuite de parler à tes semblables ou de prendre la plume, ta pensée aura ce goût authentique conféré par l'expérience directe, et que rien ne remplace. C'est au "balai" que tu le devras. »

Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs

 

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Mort de froid

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03/01/2023

Soyez aimables !

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Contrariétés

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« L'AMI. — Ne te plains pas des contrariétés, des difficultés ! Les choses déplaisantes font notre éducation.
Une vie régulière et facile serait la meilleure condition de progrès, si l'homme n'avait pas besoin d'être excité pour travailler. Mais les natures qui peuvent se passer d'aiguillon sont rares. Existent-elles ?
Presque toujours, ce qui nous pousse en avant, a sa source à l'extérieur. Le ressort intérieur, sans doute, est la chose essentielle. Mais fonctionnerait-il, sans être préalablement tendu, comprimé ? Les actions les plus énergiques sont souvent des réactions, et nous devons une grande partie de nos conquêtes aux nécessités qui nous font violence.
Plus d'un, faisant un retour sur lui-même, s'est aperçu de ceci : Combien de temps précieux et calme n'avais-je pas à tel moment de ma vie, et quel emploi médiocre en ai-je tiré ?

On travaille, non parce qu'on a le temps de travailler, mais parce que la vie vous y contraint. Un homme doué, quand il est sollicité, fournit plus dans ses heures de loisir, qu un homme engourdi de repos, dans sa journée entière. L'activité, une fois stimulée, a une tendance à augmenter. Une entreprise soutient et provoque l'autre. Mais si l'existence entière est seulement loisir, on ne trouve plus le temps de rien faire. Il est bon de lutter, de souffrir, d'être jeté à l'eau avec obligation de se débrouiller. Ce que vous perdez en confort, vous le gagnez en énergie. Or, de toutes les armes de l'homme, la plus précieuse est l'énergie. »

Charles Wagner, L'ami - Dialogues intérieurs

 

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Un champion...

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02/01/2023

Soldes

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Tentations...

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« La première tentation est celle des pains: "Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces cailloux deviennent des pains!" C'est ce que j'appelle la tentation de l'économie politique (et aussi celle de la médecine, qui est devenue une annexe de l'économie politique). Nourrir les hommes, répartir entre eux les biens de ce monde, les guérir de leurs maux physiques, leur donner l'illusion qu'ils vaincront la mort même, tel semble être, réduit à sa plus simple expression, l'art de rendre aujourd'hui les hommes heureux ici-bas et tout de suite. Si vous leur donnez tout cela, les hommes doivent vous obéir, ou alors c'est qu'ils sont fous et qu'ils relèvent de l'hôpital psychiatrique, lequel hôpital fait lui aussi partie du système, comme nous le voyons en Russie.
Le Christ – et c'est là qu'à des yeux modernes il doit paraître un imbécile – repousse cette tentation, affirmant fortement une autre dimension de l'homme, qui ne vit pas seulement de pain, mais aussi de toute Parole proférée par Dieu. Et c'est bien cette autre dimension de l'homme que la scolastique moderne, non seulement oublie, mais renie et tente de rendre impossible. Il faut à tout prix limiter, réduire les désirs de l'homme à ce bas monde; alors après, fermer solidement le couvercle et s'asseoir dessus.

La seconde tentation est celle que j'appelle la tentation de la science et du miracle technologique: "Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas : les Anges te porteront dans leurs mains". Nous faisons tellement mieux aujourd'hui. Vaincre la pesanteur est même l'aspect le plus spectaculaire de nos performances, puisque nous allons sur la Lune et nous baladons entre les planètes. Nous en sommes éblouis.
Le Christ rejette aussi cette tentation : "Tu ne provoqueras pas le Seigneur, ton Dieu !" J'ai déjà parlé longuement du miracle et dit combien les hommes préfèrent le miracle à Dieu. Si Dieu existe, ils savent bien qu'ils doivent lui obéir, tandis que le miracle à leur disposition représente leur domination sur l'univers. Certes ce n'est pas la science que le Christ condamne et repousse, mais son aspect provocateur de rivalité avec le Créateur, la volonté de puissance qu'elle déchaîne en l'homme.
Au 19e siècle, les hommes ont carrément mis la science à la place de Dieu. "Seule la science est pure", écrivait Renan... Elle était notre Providence, nous attendions d'elle tout, absolument tout, en tous les cas le Salut. Nous avons un peu déchanté depuis. Il semble aujourd'hui que la Science ne soit pas que bénéfique et qu'elle ne peut pas nous dispenser de notre responsabilité ultime à propos de l'usage que nous en faisons. Bref c'est une divinité foireuse qui n'inspire plus le même respect. Elle tourne vers nous parfois un visage de Méduse qui ne laisse pas d'être épouvantant.

La troisième et dernière tentation est tout à fait explicite, c'est la tentation politique: "Tous les royaumes de la terre et leur gloire !" Jésus repousse cette tentation non moins catégoriquement que les deux autres, c'est ce que le Grand Inquisiteur [dans Les frères Karamazov] lui reproche le plus: "Cependant tu aurais pu t'emparer du glaive de César. Pourquoi as-tu repoussé ce dernier don ? En suivant ce dernier conseil du Puissant Esprit, tu réalisais tout ce que les hommes désirent sur la terre: un Maître devant qui s'incliner, un Gardien de leur conscience, le moyen de s'unir finalement dans la concorde en une commune fourmilière. Car le besoin de la Communion universelle est le troisième et suprême tourment de la race humaine." Le premier étant le pain quotidien et la santé du corps; le second étant le goût de la science et du miracle.

Encore une fois, et il faut le dire très clairement : le Christ ne porte pas une condamnation absolue contre l'économie politique et son annexe la médecine; pas davantage contre la science et son annexe, la technique; ni même contre la politique. Toutes ces choses sont bonnes et nécessaires. Il faut d'abord faire attention qu'elles ne nous soient pas offertes par le Diable et par magie, comme il arrive qu'elles le soient.
En tout cas, pour ce qui le concerne lui, le Christ proclame solennellement que là n'est pas son affaire, et qu'il n'est venu en ce monde ni pour nourrir les hommes de pain, ni pour guérir leurs corps, ni pour leur donner la science de l'univers, ni pour faire des miracles, ni pour régner sur un trône terrestre. Quant au chrétien, qui veut être disciple du Christ, même s'il est embringué dans le temporel, même s'il donne dans l'économie politique, la médecine, la science, la technique, la politique, du moins qu'il ne leur donne pas toute son âme, qu'il n'en fasse pas des idoles. C'est pourtant sur cette triple idolâtrie qu'est fondé le monde moderne. S'il y a une époque dans l'histoire qui ait sacralisé l'économie politique et la médecine, la science et la technique, la politique, c'est bien la nôtre. Notre époque est idolâtre, elle a l'épaisse bêtise de l'idolâtrie, la bêtise et la cruauté. Et à nos idoles, nous immolons par milliers, et parfois par millions, des victimes innocentes. Quel siècle de sang ! Et pourtant, nous continuons d'embrasser les genoux de nos idoles et d'en attendre le salut. Et dans les entrailles de la terre, retentit le rire de Satan...

Quant à l'Eglise, comment à son tour ne subirait-elle pas les mêmes tentations que son Maître a subies ? Il les a victorieusement repoussées, et c'est bien ce que lui reproche le Grand Inquisiteur, qui lui, est homme d'Eglise. S'adressant toujours au Christ, "Je ne veux pas de ton amour, lui dit-il, car moi-même, je ne t'aime pas. Pourquoi le dissimulerais-je ? Je sais à qui je parle, tu connais ce que j'ai à te dire, je le vois dans tes yeux. Est-ce à moi de te cacher notre secret ? Mais peut-être veux-tu l'entendre de ma bouche ? Le voici : Nous ne sommes pas avec 'toi', mais avec 'lui', depuis longtemps déjà !" Et il conclut : "Nous atteindrons notre but, nous serons César. Alors nous songerons au bonheur universel." »

Raymond Léopold Bruckberger, L'Évangile, Commentaires pour le temps présent

 

 

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Crevez vaccinés !

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01/01/2023

Les clopes !

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Bonne année !

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Dans la boue

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« J’aimerais mieux une de ces époques où l’on croit que l’Eglise va disparaître dans les flots de sang. J’aurais meilleure espérance de la voir se relever. Bienheureux ceux qui ont entendu la messe dans les catacombes, bienheureux ceux qui l’ont servie à quelque prêtre fugitif de la Vendée, au milieu des blessés, des orphelins et des veuves ! Ceux-là ont pu prédire des triomphes. Dans nos cathédrales où l’on nous laisse en paix, nous avons à compter que sur des abaissements. Ce n’est pas la chair qui vous parle et qui se révolte ; c’est l’esprit. Des abaissements, j’en veux pour moi Dieu merci ; mais je n’en veux pas pour Jésus, et c’est Lui que l’on abaisse.

Considérez bien ceci, je ne crois pas que le monde ait vu rien de pareil. On outrage l’Eglise et nous ne sommes ni fugitifs, ni réduits à nous cacher, ni sans moyen d’agir. Tout au contraire, nous jouissons de nos biens, de notre liberté, nous exerçons les pouvoirs de citoyens, nous sommes gaillards et l’arme au bras pendant qu’on L’outrage. Nous regardons faire et nous allons communier. (…) Je crains moins pour un temple les furieux qui veulent le démolir que les fidèles qui ne songent qu’à leur potage en présence de ce danger. Ceux-là détruisent vraiment l’Eglise qui ne lui font pas un rempart de leur corps, qui ne se font pas massacrer sur les marches pour la moindre de ses prérogatives.

Jadis les parents chrétiens plutôt que d’abjurer dévouaient leurs enfants à la misère et les voyaient d’un œil ferme massacrer sous leurs yeux : aujourd’hui on s’expose plus volontiers à leur voir perdre la foi qu’à leur voir manquer un diplôme. On achète froidement un titre d’avocat ou de médecin au prix de cent péchés mortels qu’ils pourront commettre avant de l’obtenir. On appelle cela "songer à leur avenir" : ce mot dit tout. Quand on était chrétien, l’avenir était au ciel ; il n’y est plus, il est ici dans les boutiques, dans les négoces, dans les affaires, dans la boue : et pour y arriver, on marche d’abord sur le crucifix. Il n’y a plus de chrétiens, car il n’y a plus de foi. S’il y avait de la foi, on saurait qu’avec tant de lâchetés on expose son âme, et on verrait ce que nous ne voyons pas : des hommes.

Je vous déclare, entre nous, que les sociétés de Saint-Vincent-de-Paul et toute cette charité de bons de soupe et de bons de pommes de terre, réduite aux termes où je les vois, me font pitié ! Je ne comprends rien à ce système de vouloir sauver des âmes moyennant des pièces de dix sous, et de refuser une parole toutes les fois qu’il faut la dire. On a trouvé l’art d’assister les pauvres sans assister Jésus-Christ. Si le Journal des Débats n’avait inventé pour nous le nom de néo-catholique, nous devrions l’inventer, nous, pour cette race poltronne, car elle est en effet nouvelle. Partout où je la tâte, sous la mitre, sous la soutane, et sous l’habit bourgeois, j’y sens des lacunes et des excroissances qui en font une espèce particulière. Ce sont des chrétiens avec beaucoup de ventre en plus et beaucoup de cœur en moins.

Ce qu’il faut faire, cher Maurice ? Prier le Bon Dieu d’abord ; Lui demander pour unique grâce de l’aimer follement, sans aucune espèce de prudence ni de raison en ce qui nous concerne ; accepter les croix, les affronts, les solliciter, nous préparer à ne rien craindre et ne point jurer qu’on ne s’appliquera pas un jour quelque peu de discipline. Pour ce qui concerne nos chers frères, aviser le plus tôt possible à les faire rouer de coups, car ce n’est qu’alors qu’ils se défendront et qu’ils se souviendront qu’ils sont ici l’Eglise militante, non pas l’Eglise croupissante.

Quand je vois les Evêques supporter l’Université, les laïcs ne songer qu’à leur pot-bouille, les ordres religieux mourir d’inanition au milieu de cette jeunesse qui n’a rien à faire et qui se met à entretenir les pauvres parce que cela coûte moins que les filles et que c’est plus honnête, je dis qu’il n’y a plus qu’un péril : c’est de laisser les choses sur ce pied là. Cherchez des affaires et poussez-les.

Je n’ai point la vocation monastique, surtout la bénédictine ; mais j’obtiendrai, s’il plait à Dieu, la vocation du dévouement. Il n’y a que servir Dieu. Tout le reste est par trop misérable et par trop dangereux en un temps comme celui-ci, pour une âme qui a pu entrevoir une fois la Croix où Jésus est mort. Quand je serai de retour à Paris, vous tâcherez de venir me voir, et nous arrangerons une campagne d’hiver. Adieu, cher enfant ; je vous aime dans mon cœur. présentez mes tendres respects à votre excellente et vénérée mère. Dites-lui que Dieu l’aime et qu’on est heureux d’être du nombre de ses martyrs, à une époque où les chrétiens ne redoutent que la Croix ; c’est-à-dire ce qui est le caractère même du chrétien. »

Louis Veuillot, Lettre à monsieur de Foblant, le 8 août 1843, in Œuvres complètes, Vol XV, Correspondance, Tome 1

 

 

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Cliché balayé...

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Bonne Année...

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Les complotistes...

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2023

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Un tour autour du soleil...

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Bonne Année 2023 !

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31/12/2022

Célébration...

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Projet 2023

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L'acte de sauter par-dessus soi-même

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« L'acte de sauter par-dessus soi-même est partout le plus haut — le point originel — la "genèse" de la vie. Ainsi la flamme n'est rien d'autre qu'un tel acte. Ainsi toute philosophie commence là où le philosophant se philosophe lui-même — c'est-à-dire en même temps consomme (détermine, contraint) et régénère (ne détermine, laisse libre). La philosophie est l'histoire de ce processus. Ainsi toute moralité vivante débute quand j'agis par vertu contre la vertu — c'est de cette manière que commence la vie de la vertu, grâce à laquelle la capacité augmente peut-être à l'infini, sans jamais perdre une limite — c'est-à-dire la condition de possibilité de sa vie.

Devenir un homme est un art. »

Novalis, Poésie, Réel Absolu

 

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Bande d'égoïstes !

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30/12/2022

Je m'accroche...

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